
Alors que les trêves internationales étaient auparavant l’occasion de sortir du marasme olympien pour se plonger dans le marasme national – le second étant plus propice aux rires que le premier pour les supporters marseillais – voilà que celles-ci permettent de passer du rêve olympien au plaisir bleu blanc rouge. Comme le disait un célèbre poète français : « la rouetourne a tourné ! » Pourvu qu’elle reste longtemps dans sa position actuelle !