
Le recrutement du « Mozer » hollando-tunisien soulève de grandes interrogations auprès de l’intelligentsia marseillaise. Pourquoi nous direz-vous ?
Le recrutement du « Mozer » hollando-tunisien soulève de grandes interrogations auprès de l’intelligentsia marseillaise. Pourquoi nous direz-vous ?
Profession : footballeur.
Poste : milieu défensif, latéral droit.
Surnom : « Lass, le nouveau Makélélé »…Contrairement à ce que vous pourriez imaginer, ce sobriquet ne vient pas de ses coéquipiers après une comparaison incrédule et gênée avec « L’homme aux trois jambes » au moment de la douche…
Profession : footballeur.
Poste : gardien de but.
Surnom : « l’albatros »…
N’y voyez aucun hommage au roman de Richard Bach, à l’instrumental de Peter Green avec Fleetwood Mac, ni même la moindre relation entre le style de Pelé et la grâce que déploie cet oiseau dans les airs.
L’entraînement n’a pas encore repris, mais les joueurs sont revenus de vacances et passent des tests physiques. Profitons-en pour revenir sur la saison écoulée et nous projeter sur la prochaine sous la forme d’une cacophonie omlivienne à trois voix, lyonnaise (Torben Frank), parisienne (Travis Bickle) et marseillaise (fourcroy).
Mieux vaut tard que jamais ! Alors que Bielsa n’a pas encore signé sa prolongation et que la fuite des cadres se profile, l’OM accueille son premier renfort de la saison.
La saison 2014-2015 s’achève sur une note amère, comparable à l’orgasme d’un jeune puceau : des mois d’espoir gâchés en quelques minutes. Cette année encore c’est sur le canapé que l’on va suivre la Champion’s League…
Au terme d’un match sérieux face à une équipe corse peu motivée, sinon pour donner des coups, l’OM l’emporte 3-0 et remporte son premier titre de Champion depuis Deschamps, euh… se qualifie pour la LDC après deux ans d’abscence, euh… termine à une quatrième place honnête, mais décevante.
L’OM est un club étrange. Ses dirigeants semblent improviser en permanence, et ses supporters paraissent incapables de vivre l’instant présent. Pourtant, avant de tirer un bilan et des plans sur la comète, il est encore temps de raccrocher le wagon de la Ligue des Champions.