MassaliaLive.com

[Dragan]

[Dragan]

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BLESSURE; Mbemba, plus de peur que de mal; La sortie prématurée du Congolais, touché au genou gauche lors du Clasico, laisse planer le doute sur la durée de son indisponibilité. Un forfait priverait l'OM d'un défenseur supplémentaire, à l'orée d'un calendrier très corsé.

Il ne manquait plus que ça. Plus que lui, Chancel Mbemba. Maudit jusqu'au bout des crampons, l'Olympique a perdu, dimanche soir, un nouveau Clasico et un énième défenseur. Le meilleur d'entre eux. Le dernier qui semblait en pleine possession de ses moyens, à la sortie d'une funeste trêve internationale. Quinze jours durant lesquels Bamo Meïte (cheville) a rejoint une infirmerie surpeuplée, d'où Leonardo Balerdi (adducteurs) et Samuel Gigot (épaule) s'échappent seulement le week-end en serrant les dents. Présent sur le banc au coup d'envoi, au prix d'une infiltration (à l'instar de son compère argentin) et d'une articulation ficelée, le Vauclusien n'aurait jamais dû fouler le pré du boulevard Michelet. À moins d'un scénario heureux, obligeant ses petits partenaires à fermer la boutique avec dix minutes d'avance. À moins qu'une tuile ne tombe encore sur la tête de Jean-Louis Gasset.

Celle-ci s'est fracassée sur sa casquette deux minutes et 33 secondes après l'entracte. Alors qu'il trottinait vers son camp, "Demi-Dieu" s'est mis à sautiller à cloche-pied. Le Congolais ne jouait pas à la marelle, dos à un PSG réduit à dix et en possession du cuir. Sans raison apparente, une douleur vive et soudaine venait d'électriser sa jambe gauche. Le Congolais a bien essayé d'être fidèle à sa réputation de guerrier, mais la messe était dite.

"C'est un dur à cuire"

Boitant bas, incapable de marcher sur ses deux compas, Chancel Mbemba a tout de suite réclamé le changement. Sa lente procession du bas de la tribune Ganay vers les vestiaires, grâce à l'indispensable soutien de deux kinés, laissait présager le pire. "J'espère que ce n'est rien de grave", grimaçait Ulisses Garcia, questionné sur le sujet avant de rentrer chez lui. "C'est un dur à cuire, il est très rarement blessé. Et quand il l'est, il fait tout pour ne pas le montrer, insiste un proche, à propos de celui qui n'a loupé aucune rencontre pour blessure depuis son arrivée à l'OM, à l'été 2022. Je croise les doigts..."

Son entraîneur aussi. "Frustré" par cette troisième défaite de rang, concédée face au rival honni, Jean-Louis Gasset a vite évacué ce sujet, pour mieux confier son inquiétude. "Si une mauvaise nouvelle tombe pour Chancel (Mbemba), on va avoir un sacré casse-tête à résoudre pour monter une défense lors des prochaines échéances", soufflait-il en conférence de presse d'après-match. Hier, le technicien héraultais a poussé un ouf de soulagement.

A priori, son numéro 99 est à l'abri du pire. S'il souffre bien du ménisque gauche, une simple contusion a pour l'instant été détectée, à l'issue des premiers examens. D'autres, notamment une IRM, auront lieu ces prochaines 48 heures pour affiner le diagnostic. "Rien de grave", pas de rupture des ligaments ni de grosse entorse, fait-on d'ailleurs savoir sur les hauteurs de La Commanderie, où l'on se veut rassurant. "Plus de peur que de mal", ajoutait, à la tombée de la nuit, son entourage.

Reste que le genou de l'ex-Portista devrait l'éloigner des terrains, a minima, cette semaine. L'on imagine, en effet, difficilement "Demi-Dieu" tenir sa place dès vendredi soir à Lille, où les Olympiens sont attendus au tournant face à des Dogues au mordant retrouvé. Pour composer sa défense, Jean-Louis Gasset devra encore jongler entre absence longue durée (Amir Murillo), récents forfaits (Jonathan Clauss, Bamo Meïte et donc probablement Chancel Mbemba) et éléments très diminués (Samuel Gigot, Leonardo Balerdi et Ulisses Garcia). "Je vais continuer à me gratter la tête...", riait jaune Gasset, dimanche soir, en songeant également à la Ligue Europa. Compétition que l'OM retrouve dans neuf jours, avec le seul Quentin Merlin en latéral de métier. Les autres étant sur le flanc ou non-inscrit sur la liste UEFA. Arrière-droit à Lisbonne, un avenir auquel Mbemba semblait promis... avant de rejoindre l'infirmerie.

La Provence

[Dragan]

[Dragan]

Quel joueur quand même

Meilleur buteur pour un défenseur en coupe d’Europe à l’OM

[Pancho11]

A prolonger

[Dimeco63]

Et ben alors vous voyez que tout n'est pas à jeter dans cet effectif finalement.
Auriez vous eu un peu tort à insulter les joueurs, le staff, le jardinier et pleurnicher sans une once de dignité pendant 6 mois à tous les matchs ?

[negrOM]

Mbemba faut le prolonger ASAP

[Dragan]

Et ben alors vous voyez que tout n'est pas à jeter dans cet effectif finalement.
Auriez vous eu un peu tort à insulter les joueurs, le staff, le jardinier et pleurnicher sans une once de dignité pendant 6 mois à tous les matchs ?

Chancel c'est ma photo de profil depuis l'an dernier coco
Et je pense que c'était l'un des rares à avoir toujours était épargné ici.
Son départ (si départ il y avait) ferait autant de tort que celui de Saliba

[Dimeco63]

Bien sur mon troll se voulait particulièrement mesquin afin de tenir le rôle du type insupportable qui viens parader
Perso je reste sur ma hiérarchie : PEA, Mbemba, Balerdi, Clauss, Veretout, Rongier, indispensables !
Harit, Kondo, Meité, Merlin, Ndiaye et Bagnao je garde aussi.

Moralité la base n'est pas si pourrie que ça et on constate que l'envie et le coeur sont présents dans ce groupe, il ny'a peut-être pas tant de retouches que cela à faire pour lancer un cycle sympa. En fait il va pas falloir se planter sur le coach

[boodream]

Dragan, il ne partira pas cet été. Il va se faire opérer du ménisque, mettre quelques semaines/ mois à revenir correctement, signer ailleurs libre en janvier pour la saison suivante. On connait le film par cœur.

Et vu tout ce qu'il aura apporté à l'OM, il n'y aura aucune raison de lui en vouloir, contrairement à d'autres cas.

[Vodevil]

Mentalité en or massif.

[aristote2]

Et Longoria ne voudrait lui proposer une prolongation ?

[Dragan]

Information

Combattant, buteur régulier, polyvalent... Mbemba s'occupe de tout à l'OM

A la fois solide défenseur et régulièrement buteur, comme il l'a encore prouvé lors de la demi-finale aller de Ligue Europa contre l'Atalanta Bergame jeudi dernier (1-1), le Congolais s'affirme à l'OM dans des registres différents.



Tant pis pour ceux qui veulent la paix : Chancel Mbemba, c'est la « guerre », le terme qui revient dans tous ses discours, suggérant qu'il vit par et pour le combat. Trompeur, car la palette du défenseur est infiniment plus variée. Arrivé à Anderlecht en 2011, il est apparu en équipe première deux ans plus tard, freiné par une controverse sur son âge réel. Il affiche 29 ans aujourd'hui et présente un bagage de joueur expérimenté, qui n'a pas seulement travaillé sa force physique.

À Bruxelles, il sortait de son appartement le soir pour enchaîner les sprints en côte dans une rue voisine, la tête cachée sous une capuche. « Leader silencieux du vestiaire », selon Igor Tudor, son entraîneur à l'OM la saison dernière, il n'a pas besoin de mots pour donner l'exemple et son influence parle pour lui : avec Mbemba, Marseille gagne 53 % de ses matches. Sans le Congolais (83 sélections, 6 buts), le ratio tombe à 20 %. Heureusement, il sera ce jeudi soir à Bergame pour disputer la demi-finale retour de Ligue Europa.

Le combattant

« Si vous êtes attaquant, vous avez peur de vous approcher »
Il est plus facile d'aller au contact avec un physique qui inspire la crainte, et Mbemba est bien outillé de ce côté-là. « Tout est costaud chez lui. Si vous êtes un attaquant, vous avez peur de vous approcher ! Waouh, il faisait très mal dans les duels, s'exclame John van den Brom, l'entraîneur qui l'a lancé à Anderlecht. Il était si fort, sautait si haut. Il était toujours là pour mettre sa tête. »

À Marseille, sa proportion de duels gagnés, au sol ou dans les airs, est pourtant inférieure aux chiffres de Leonardo Balerdi et Samuel Gigot. Mais l'ancien joueur de Newcastle (2015-2018) sait s'arracher pour compenser un placement parfois aléatoire, en commettant moins de fautes que ses collègues. Il n'a reçu que trois avertissements cette saison avec l'OM, même si cela n'empêche pas Jean-Louis Gasset de filer la métaphore guerrière. « C'est un soldat, un homme sur qui vous pouvez compter, souffle le technicien marseillais. Même diminué, il va au bout des choses. »

Ses douleurs au genou gauche n'ont pas altéré son explosivité. « C'est son truc le plus impressionnant, lié à sa détente et à sa vitesse sur les premiers pas, observe Alexandre Teklak, ancien défenseur belge qui le suit comme consultant TV. Il était extrêmement engagé, aimait les défis, avait été excellent face à Zlatan Ibrahimovic contre le PSG en C1 (1-1, le 5 novembre 2013). Et il a grandi au contact de Pepe à Porto (2018-2022). Il a structuré son jeu, plus serein, moins fougueux. » Mais encore rugueux.

Le buteur

« Avec sa détente et son timing, il était un fantastique joueur offensif »

C'est flatteur pour Mbemba et inquiétant pour les attaquants marseillais : avec 7 buts toutes compétitions confondues en 2022-2023, il était le meilleur buteur de l'effectif derrière Alexis Sanchez (18), et il se place cette saison juste derrière Pierre-Emerick Aubameyang. Il a marqué treize fois depuis qu'il est à l'OM et son dernier but était aussi crucial que magnifique, car il a égalisé d'une frappe enroulée du droit contre l'Atalanta (1-1, jeudi dernier).

D'ordinaire, il brille à l'intérieur de la surface, autant du droit que de la tête même s'il mesure seulement 1,82 m. « Il a beaucoup plus de détermination que quiconque dans les zones dangereuses, et attire naturellement le ballon, estime Sébastien Desabre, le sélectionneur du Congo. Comme il est aussi adroit devant le but, il est récompensé avec un jeu de tête au-dessus de la moyenne. » À Anderlecht, ses caractéristiques en avaient fait une cible privilégiée sur coups de pied arrêtés. « Avec sa détente, son timing, il était un fantastique joueur offensif. On ne l'a pas travaillé, c'est un talent qu'il avait en lui et j'ai vu qu'il ne l'a pas perdu », sourit Van den Brom, pas surpris quand on lui dit que Mbemba est devenu, avec six buts, le défenseur marseillais le plus prolifique de l'histoire en C1, C2, C3 et C4.

« Il casse des lignes par la passe ou en se projetant »

Mbemba est le défenseur de l'OM qui porte le plus le ballon vers l'avant, et il a fait gagner 3, 214 km à son équipe depuis le début de saison. Seul le milieu Amine Harit fait mieux. « Il est capable de faire du lancement de jeu en conduite de balle, analyse Desabre. On utilise cet aspect de son jeu, notamment quand il joue à trois défenseurs, sur son côté droit préférentiel, car il sait apporter le surnombre à l'intérieur. Avec son exceptionnelle vision du jeu, il casse des lignes par la passe ou en se projetant. »

Ce n'était pas acquis à Anderlecht. « Il avait une capacité naturelle d'infiltration, il poussait son ballon mais c'était rudimentaire. Il a dû améliorer sa conduite mais c'est normal car il a fait sa postformation chez les pros, note Teklak. Il a aussi travaillé ses diagonales, son jeu long. »« Techniquement, il n'était pas top, confirme Van den Brom. Il était parfois nonchalant avec le ballon et je vois là qu'il est bien plus concentré. »

« Il a aussi joué au début de sa carrière en numéro 6 »

Luis Enrique n'est pas le seul entraîneur qui aime dépayser ses joueurs. À Anderlecht, Van den Brom a vite fait visiter le couloir droit à Mbemba. « Tout le monde savait qu'il était un vrai central, se souvient le Néerlandais. Il était plus précieux dans l'axe, il n'y a pas de débat, mais ça lui a servi pour son développement. »

Cela a été aussi utile à Gasset, qui l'a placé plusieurs fois sur le côté pour pallier la pénurie de latéraux. « Il fallait trouver quelqu'un de très intelligent et qui allait se sacrifier, expliquait-il après la victoire contre Montpellier (4-1, le 25 février). On a trouvé l'homme idéal, parce que dans le sacrifice, c'est un client. »

En Belgique, Mbemba avait volontiers peaufiné ses centres. « Il s'appliquait du mieux qu'il pouvait mais la flexion de son pied d'appui montrait que ce n'était pas naturel pour lui, se rappelle Teklak. À trois, il est parfait en axial droit pour accompagner un mec moins à l'aise dans les grands espaces, mais je préfère le voir à quatre car il compense énormément de coups. »« À trois, il participe plus au jeu offensif, appuie Desabre. Il est intéressant dans les animations car il a aussi joué au début de sa carrière en numéro 6, avec un abattage important. » Tourné vers le collectif, il est prêt à être aligné partout, et c'est d'abord un état d'esprit.

https://www.lequipe.fr/Football/Article ... om/1466249

[Dragan]

Il lui est arrivé quoi sur le but de Lorient ? Y a 2 neurones qui ont pas connecté

[peezee]

Il avait 2 ou 3 passes faciles à faire, il a préféré s'enferrer dans des dribbles alc, il le refera plus je pense ^^, mais c'est pas sur lui qu'on va tomber cette saison, bien au contraire, une des rares satisfactions...

[boodream]

Dragan, c'est pas la première fois qu'il fait le kéké, c'est un de ses défauts agaçants, au milieu de nombreuses grandes qualités. S'il avait que les qualités il serait dans un club plus ambitieux.

[Serber]

Il lui est arrivé quoi sur le but de Lorient ? Y a 2 neurones qui ont pas connecté

A son âge, peut-être un début de démence.

[Dragan]

Ça a recommencé ce soir

[Dragan]

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MERCATO; Mbemba, parti pour rester; Malgré une saison éprouvante sur le plan collectif, le défenseur congolais devrait honorer la troisième et dernière année de contrat qui le lie à l'OM... avant, vraisemblablement de voguer vers de nouveaux horizons.

Sous le cagnard de Rabat, où il sue à grosses gouttes pour préparer les deux derniers rendez-vous de sa saison, Chancel Mbemba a-t-il eu écho des soubresauts provençaux ? L'OM, son club en quête d'un entraîneur, contraint d'enterrer la piste menant à Paulo Fonseca, a érigé en priorité un autre Portugais. Sergio Conceição, son ancien mentor au FC Porto. Un fin tacticien et meneur d'hommes, qu'il tient en haute estime depuis leur collaboration sur les rives du Douro. Quatre années (2018-22) durant lesquelles, le capitaine des Léopards a collectionné les trophées, signant deux doublés. Après ses piges internationales, contre le Sénégal (6 juin) et le Togo (9 juin), et des vacances en famille bienvenues, "Demi-Dieu", de retour sur les hauteurs de La Commanderie, aura-t-il le plaisir de tomber dans les bras de cette vieille connaissance ?

Si le flou règne autour de l'avenir de Conceição, séduit par le projet olympien mais empêtré dans une affaire de "trahison" (voir La Provence du 1er juin), la situation du Congolais est on ne peut plus limpide. Lui, répondra présent. Ne serait-ce que pour aborder sa troisième, et vraisemblablement dernière, saison sous la tunique immaculée.

Débarqué libre à l'été 2022, Chancel Mbemba (29 ans) désirait alors "écrire son histoire" dans le plus populaire des clubs français, gagner en visibilité sur le sol africain, et, surtout, agrafer d'autres médailles sur son costume. Frustré de ne pas avoir rempli l'un de ses objectifs (l'on ne vous dira pas lequel), l'ancien Magpie est décidé à retenter sa chance. "Très heureux à Marseille", selon un proche, le 92e meilleur buteur de l'Olympique (*), à égalité avec un certain Jairzinho (13 buts en 85 apparitions), n'a pas été refroidi par cet exercice chaotique, ni l'absence de coupe d'Europe ces douze prochains mois. "Il peut toujours y avoir une opportunité incroyable qui se présente, j'entends un club plus grand que l'OM. Mais Chancel sera très content de rester", insiste-t-on dans son entourage.

Cela tombe bien, sa direction le rejoint. Très attentives aux comportements de leurs protégés, n'hésitant pas à pointer ceux qu'elles estimaient s'économiser ou manquer de caractère, les huiles n'ont rien à redire, sur ces points, concernant l'international Congolais (83 sélections, 6 réalisations). Elles seraient même soulagées de pouvoir compter sur le soldat de Kinshasa. Certes "Demi-Dieu" a connu un retard à l'allumage, avant l'arrivée de Gennaro Gattuso fin septembre, ainsi qu'une nette baisse de régime en mai, malgré son but somptueux face à l'Atalanta, en demi-finale aller de Ligue Europa (1-1), mais le numéro 99 de l'OM figure parmi les rares satisfactions individuelles de la saison. À titre d'exemple, sur le carnet de notes de La Provence, Mbemba (5,29 de moyenne) trône sur la troisième marche du podium, à un petit centième du leader, Leonardo Balerdi. L'Argentin, avec qui il pourrait encore partager les clefs du camion à la rentrée (voir l'édition du 30 mai). Un luxe en ces temps de récession au centre Robert-Louis-Dreyfus.

À ce propos, conserver cet élément très expérimenté n'est pas un poids insurmontable pour les finances de la maison ciel et blanc. Malgré un salaire douillet, le Léopard émarge loin de certains "vizirs et nababs", recrutés l'été dernier et dont l'OM aimerait bien se séparer pour respecter son nouveau train de vie. Contraints par une réduction de 35 % de leurs dépenses, à laquelle la masse salariale n'échappe pas, les décideurs marseillais n'auront, cependant, pas les moyens de proposer une prolongation à leur défenseur. Ils se préparent, déjà, à le voir nouer son baluchon et décamper à l'issue de son contrat, le 30 juin 2025.

À moins qu'une "opportunité incroyable" n'arrive sur la table. Celle-ci le sera, aux yeux de l'OM, en fonction du nombre de zéros alignés par un potentiel acheteur. Aux yeux de Mbemba, suivant le challenge sportif et la nouvelle dimension qu'il pourra donner à sa carrière.

Sous les pins de La Commanderie, l'on se souvient encore du délai pris par "Demi-Dieu" pour étudier, puis refuser le pont d'or d'un club saoudien, voici bientôt douze mois : moins de 24 heures... alors que l'OM aurait pu enregistrer, bonus compris, l'une des meilleures ventes de son histoire.

La Provence

[Kim Nielsen]

Information

OM. Chancel Mbemba passe ce lundi un entretien préalable qui peut aller jusqu'au licenciement.

La Provence