Chancel Mbemba [-> Juin 2025]

Il se passe quoi bordel

Ça c’est le point négatif de la soirée. On peut pas se permettre de placardiser Chancel. On doit lui trouver au contraire un partenaire niveau C1 pour que cette équipe passe un palier, pas le pousser vers la sortie pour repartir dans l’inconnue.

Dans un article sorti sur lui dans l'équipe du jour, ils parlent du fait qu'il soit resté sur le banc contre Lorient, selon eux c'est parce qu'il était moins bien aux séances d'entrainement aux yeux de Tudor, il a peut-être du mal physiquement. Dans l'ensemble je l'ai trouvé moins bien à ce niveau en 2e partie de saison, moins de dépassement de fonction, athlétiquement il avait l'air moins dominant. J'espère que c'est quelque chose comme ça et pas un problème plus profond

C’est le seul joueur de niveau C1 avec Sanchez

athlétiquement il avait l'air moins dominant. J'espère que c'est quelque chose comme ça et pas un problème plus profond

Y a un moment où tu commences à faire ton âge

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LIGUE 1; Mbemba, la zen attitude; Remplaçant à deux reprises récemment, le défenseur congolais reste tout de même l'un des piliers de l'OM . Avant le match à Lyon demain soir, il diffuse comme toujours un grand calme tout en affichant de l'ambition

Homme de base d'Igor Tudor (39 matches toutes compétitions confondues, 3 129 minutes, soit le troisième temps de jeu de l'effectif derrière Valentin Rongier et Pau Lopez), Chancel Mbemba allie performance et régularité depuis l'été dernier. Irréprochable, même s'il a parfois été moins tranchant, le Congolais se montre aussi à l'aise dans le dépassement de fonction : à droite de la défense à trois de l'OM, l'ex de Porto se retrouve souvent aux avant-postes (6 buts). Alors, forcément, sa récente mise au ban(c) de deux matches, contre Montpellier (1-1, 31 mars) et à Lorient (0-0, 9 avril), a suscité des interrogations. Remplaçant, le numéro 99 était entré 31 puis 8 minutes, avant de retrouver le onze de départ face à Troyes (3-1), dimanche dernier. "Je suis comme tous les joueurs, a dribblé Mbemba hier après-midi. On n'en a pas parlé avec le coach. Le plus important est que j'ai la grâce de jouer, j'ai joué. C'est le plus important."

Arrivé en sandales dans le bâtiment presse, le natif de Kinshasa (28 ans) n'est pas détendu qu'en apparence. Il l'est aussi dans son comportement, diffusant un grand calme en permanence sur et en dehors du terrain. Cette zen attitude, il l'applique aussi à sa vie, lui qui débranche du ballon rond chez lui. "Sans blague, je ne regarde pas le foot. Je regarde les grands matches, insiste-t-il. Il fallait regarder Lyon pour regarder les cartouches (sic). Moi, mes délires, je regarde les films tranquilles. Ma vie est compliquée (sourire) : quand je sors d'ici (de la Commanderie, ndlr), je rentre direct chez moi. Faire des siestes, c'est facile. Je rentre, je prends mon téléphone et je commence à regarder des films. Mes enfants sont en Belgique, comme ce sont les vacances ici actuellemet. Je profite du soleil, des supporters quand je pars, je fais des photos. Je ne fais pas beaucoup de choses, je rentre chez moi, tranquille. Depuis que j'ai commencé ma carrière, je suis comme ça."

Pas d'effusion de voix ni de parole inutile, Mbemba est un sage qui sait faire passer des messages sans hausser le ton, sans jamais vraiment se départir de son sourire. "Je suis comme ça de nature, je n'ai pas de pression dans ma vie, distille-t-il. Je joue pour faire plaisir aux autres, à tous ceux qui regardent le foot. Je joue normal, naturel, je ne force pas."

"Je n'ai pas de pression

dans ma vie"

Sa décontraction naturelle n'enlève rien à sa capacité à bosser à l'entraînement, à performer en match et à avoir sans cesse beaucoup d'ambition pour lui et l'OM. "La motivation la plus importante, c'est celle qui vient de l'âme, du coeur et de l'esprit de chaque joueur. Cette envie de toujours donner le maximum, de gagner, cette hargne. La motivation passe aussi par le coach, elle peut être transmise de l'extérieur. Mais l'aspect-clé est la motivation que chaque joueur a en lui", développe Tudor, qui n'a pas répondu, hier en conférence de presse, sur les raisons qui l'avaient poussé à sortir Mbemba de son onze deux matches à la suite. "Ceux qui n'ont pas joué sont ceux qui ont joué 90 minutes en sélection", avait expliqué le technicien croate après Montpellier. "On a beaucoup parlé pendant toute l'année avec Chancel, il fait une très belle saison et a de très bons résultats", a loué le coach olympien hier.

S'il n'est à Marseille que depuis une dizaine de mois, le défenseur des Léopards, 68 sélections depuis 2012, a bien cerné l'importance de la rivalité entre l'OM et Lyon. "C'est un match très, très, très important pour nous, pour le club et les supporters, a-t-il martelé à plusieurs reprises, hier, devant les médias. Ça fait un long moment qu'on n'a pas gagné là-bas." Avant d'enfoncer le clou : "Ça ne va pas être facile, mais on part à la guerre. J'ai regardé le match de Lyon contre Toulouse, c'est une très belle équipe. Le plus important c'est le terrain, on va sortir notre cartouche pour gagner ce match. On est concentré sur nous, notre match, on ne regarde pas à côté".

Expérimenté, Mbemba sait que le succès face à Troyes, bien que contre une très modeste équipe, est bénéfique, après un gros passage à vide au Vélodrome. "Ça fait du bien et ça donne confiance à chaque joueur", a-t-il posé. Nul doute qu'une victoire de costauds à Lyon, demain soir, alors que Lens et Monaco s'affrontent ce soir, serait un nouveau pas dans la bonne direction. "On ne regarde pas derrière, on regarde devant." Parole(s) de Mbemba.

La Provence

Chez les filles, il y a Mbayang Sow qui vient de l'ASC Parcelles assainies, au Sénégal.

Excellent

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Pourquoi Chancel Mbemba, cadre de l'OM, a-t-il rétrogradé dans la hiérarchie d'Igor Tudor ?

Titulaire indéboulonnable pendant des mois, Chancel Mbemba s'assoit plus régulièrement sur le banc ces derniers temps. Un choix tactique et physique à la fois.

Avec son sourire solaire, Chancel Mbemba (28 ans) désarme souvent les questions les plus piégeuses. De toute façon, le gaillard est un homme de peu de mots et quand il s'exprime, il ne s'aventure jamais en terrain miné, il préfère user du vocabulaire guerrier comme pour témoigner de son état d'esprit infaillible.

C'est justement de cette force mentale dont il a besoin ces dernières semaines pour appréhender une situation personnelle qui a nettement évolué dans un sens que personne n'avait vu venir dans le vestiaire. Titulaire indéboulonnable de la défense marseillaise pendant des mois, reconnu comme l'un des joueurs les plus performants de l'équipe, il est plus régulièrement remplaçant désormais.

Un retour de sélection compliqué

La dernière trêve internationale a été un tournant le concernant. De retour d'une double confrontation face à la Mauritanie, en mars, l'international de la RD Congo a une première fois goûté au banc de touche contre Montpellier (1-1, le 31 mars). Et si cette absence au coup d'envoi pouvait se deviner compte tenu des kilomètres avalés et de la fatigue accumulée, elle s'est donc prolongée depuis.

Mbemba n'a débuté que trois matches sur les sept derniers, et il n'est même pas entré en jeu contre Lyon (2-1, le 23 avril). Pour expliquer cette rétrogradation dans la hiérarchie de ses défenseurs centraux, Igor Tudor a invoqué officiellement des options tactiques comme lors du déplacement au Groupama Stadium. Mais, depuis les terrains de La Commanderie, le staff juge Mbemba un peu moins fringant physiquement, un peu moins dominant, et lui préfère donc en ce moment Leonardo Balerdi (24 ans). Cette nouvelle donne a surpris de nombreux joueurs de l'effectif, à commencer par l'intéressé. Mais il en faudrait plus pour le faire douter et il ne se départit pas de son sourire contagieux au quotidien.

Retour en défense face au LOSC ?

Mbemba a déjà vécu plusieurs vies d'Anderlecht à Newcastle en passant par le FC Porto, et il ne s'inquiète pas de sa situation alors que l'OM joue gros en cette fin de saison dans la quête de la deuxième place de la L1. Il expérimente à son tour le management sans détour de Tudor, qui n'a pas hésité à déboulonner des statues (Dimitri Payet), quitte à revenir dessus (Payet encore). Le technicien croate a également prouvé qu'il n'aimait pas les statuts figés (passages sur le banc plus ou moins prolongés pour Clauss, Tavares ou Guendouzi). Avec l'ancien coach du Hellas Vérone, rares sont les joueurs indéboulonnables, à l'exception, peut-être, d'Alexis Sanchez, Valentin Rongier ou Jordan Veretout.

Mbemba semblait appartenir à cette catégorie jusque-là, ce qui n'est donc pas (plus ?) le cas. Reste à savoir s'il sera relancé à Lille, un déplacement périlleux pour l'OM, vingt-quatre heures avant le voyage de son concurrent lensois à Lorient. Compte tenu de l'incertitude autour de Samuel Gigot, gêné à une cheville, et du profil athlétique des attaquants du LOSC, Mbemba pourrait bien effectuer son retour en défense, c'est en tout cas l'une des options étudiées par le staff.

Les journaleux de l'épique et d'ailleurs qui cherchent à semer la zizanie avec 2 articles depuis hier à propos de Chancel. Mais heureusement ce gars est tranquille.

Il est moins bon c'est clair mais toujours mieux que Boulerdi

Ça me convainc pas spécialement cet article

M'Bemba colosse. Inscrire autant de gol pour un central, compliment.
PS : tu iras mettre un coup de boule à Tusomnoles.

Le seul avec Sanchez qui aura été à la "hauteur" toute la saison.il me rappelle Boli (en plus technique en plus)

Bof il cavale pas assez à l'entraînement

Ça fiche les jetons je trouve de gagner un "Prix Marc-Vivien Foé" quand on connaît l'histoire...