MassaliaLive.com

[Chris Red]

La passe de Harit pour Aubam, quel bonheur.

[Dragan]

Bien vu à Gattuso pour son positionnement sur ce match

[Kim Nielsen]

[Dragan]

Information

La libération d'Amine Harit, buteur en L1 pour la première fois depuis un an et demi

Buteur face à Clermont, le milieu offensif a retrouvé le chemin des filets en Ligue 1 pour la première fois depuis plus d'un an et demi.



Amine Harit est un joueur curieux qui aime regarder ce qui se fait ailleurs, notammentde l'autre côté de l'Atlantique. Il sait que dans les sports américains, et dans le basket en particulier, les statistiques masquent souvent tout le reste et il a dû s'en rendre compte encore plus en lisant la biographie de Kobe Bryant, comme il le rappelait dans ces colonnes en octobre dernier. Plus d'un an et demi après son dernier but en Ligue 1 - à Nantes, le 20 avril 2022 -, le milieu offensif de 26 ans a enfin de nouveau marqué, face à Clermont dimanche.

Comme une libération. Son entraîneur Gennaro Gattuso en a souri : « Si je pouvais faire une blague, je dirais : "Enfin, tant mieux !" Il a cette faculté pour marquer des buts. Il a de grandes qualités. C'était l'homme en plus sur le terrain pour nous ce soir (dimanche), il nous donnait cette supériorité numérique parce qu'on jouait presque en 3 + 3 avec les pistons qui évoluaient très haut et qui prenaient l'avantage sur les leurs. Il a cette capacité avec cette ­première touche de balle, avec ce dribble pour passer l'adversaire. Il a fait un match de très grande qualité. »

Malgré quelques absences sur la durée du match, l'international marocain a été impliqué dans de nombreuses actions de son équipe, en première période essentiellement. Et il a donc su se montrer décisif en reprenant une frappe d'Iliman Ndiaye détournée par Mory Diaw pour marquer le but du 2-0 (42e). Ce n'est pas la première fois qu'il ouvre son compteur cette saison puisqu'il avait déjà inscrit un but en Ligue Europa face à l'AEK Athènes (3-1, le 26 octobre).

Une belle complicité avec Aubameyang

Mais c'est dans un autre rôle qu'il rayonne, celui de passeur (2 en L1, 4 en Europa League), ­depuis son retour sur les terrains après de longs mois d'absence en raison de sa grave blessure au genou gauche en ­novembre 2022. Sa complicité avec Pierre-Emerick ­Aubameyang est visible et elle est l'arme offensive principale de l'OM ces dernières semaines. Mais puisque l'avant-centre ne peut pas marquer à chaque match malgré son efficacité récente, Harit devrait être bien utile à une attaque marseillaise pas toujours tranchante.

https://www.lequipe.fr/Football/Article ... mi/1437681

[gob]

Symbolique que l’un de nos titulaires en attaque ne marque que tous les 18 mois.

[Pancho11]

Dont 9 sans jouer

[peezee]

Information

Mais c'est dans un autre rôle qu'il rayonne, celui de passeur (2 en L1, 4 en Europa League)

"rayonner" est p-ê un peu excessif, surtout en L1, 2 PDs au bout d'une quinzaine de journée, bôf...

Mais bon c'est le signe pour moi de la baisse générale de niveau de l'équipe, Harit était supposé être vu en sortie de banc, et rien d'autre.

[boodream]

Dont 9 sans jouer

Il ne fait vraiment aucun effort

Plus sérieusement, il apporte quelque chose que personne n'apporte actuellement dans l'effectif. Pas besoin de kiffer Harit pour faire ce constat simple. Est-ce qu'il a des défauts et des limites? Oui, comme l'équipe. En attendant, que ça nous plaise ou non, et faute de mieux, c'est un joueur clé cette saison.

[dxd92]

Par contre faut qu'il travaille sa finition. L'occasion bien placé qu'il fout à côté...

[Dragan]

Information

LE MILIEU DE L'OM EST TRÈS ATTACHÉ À SON PAYS D'ORIGINE AMINE HARIT; D'amour et de sang; L'histoire du binational avec le Maroc est un vrai roman, mêlé de passion intense, d'émotions, de blessures et de drames.

Il y a la blessure, violente, qui l'a privé d'une coupe du monde historique pour son pays d'origine et le continent africain. Il y a l'accident, dramatique, enseveli dans le plus profond silence, mais nous y reviendrons. Et puis, avec Amine Harit, il y a aussi tout le reste : cette première CAN qui arrive enfin, les sourires, les dribbles made in Maghreb, les racines familiales, l'attachement à la religion musulmane, la nouvelle maturité et quelques bêtises, évidemment. Hervé Renard, son premier sélectionneur, s'en souvient avec affection : "C'était le plus jeune, je lui parlais beaucoup parce qu'il représentait l'avenir. Je ne sais pas pourquoi il était aussi attachant, je l'ai toujours apprécié même quand il faisait des conneries, c'est bizarre. Il était insouciant mais intelligent, devait mûrir mais était charmeur... Ce n'est pas pour rien que les anciens comme Medhi Benatia l'aimaient bien. Il a un bon fond."

Et les idées claires : bien qu'il ait été champion d'Europe avec l'équipe de France U19 de Kylian Mbappé, le Maroc a toujours été numéro 1 dans son coeur. "J'ai des parents 100% marocain, je suis né en France mais à la maison on parlait beaucoup arabe, mes grands-parents étaient là-bas, j'ai plein d'attaches avec ce pays. C'est un choix de famille, de racines, une envie quoi !, confiait-il en décembre. Je savais que mon choix se porterait sur le Maroc une fois atteint le niveau professionnel, mais je suis très fier d'avoir joué en équipe de France chez les jeunes, ça m'a énormément apporté et je suis très reconnaissant." Nasser Larguet, ancien DTN passé par l'OM, l'avait repéré et contacté à ses 16 ans pour qu'il rejoigne les Lions de l'Atlas dès les sélections inférieures : "Il était d'accord mais le FC Nantesn'était pas très chaud parce que les compétitions jeunes en Afrique sont souvent en dehors des dates FIFA. Il a eu peur qu'on ne lui propose pas un contrat pro à cause de ça donc il a finalement refusé. Son papa m'avait assuré qu'il jouerait pour le Maroc quand il aurait l'âge et le niveau pour les A, il a tenu parole."

"L'hymne, des frissons"

Les choses sont allées aussi vite qu'un de ses dribbles foudroyants : dernière rencontre avec les Espoirs des futurs champions du monde Lucas Hernandez et Benjamin Pavard le 5 septembre 2017, première présence dans la liste du Maroc de Renard 19 jours plus tard, premier match le 7 octobre, convocation à la coupe du monde en juin 2018. Dans la foulée de l'élimination des Lions de l'Atlas, en vacances à Marrakech, il est impliqué dans un accident de la route qui entraîne la mort d'un piéton et écope de 4 mois de prison avec sursis.

La suite de son aventure en sélection est irrégulière (16 matches en tout), entre ses passages à vide à Schalke, Marseille (Jorge Sampaoli lui a très peu fait confiance avant mars 2022), la mise à l'écart par Vahid Halilhodzic puis sa grave blessure au genou juste avant le Mondial, alors que Walid Regragui l'avait sélectionné.

Pour sa seconde compétition internationale, Amine Harit part-il avec un esprit de revanche ? "Je ne sais pas sur quoi je prendrais ma revanche, sourit-il. Mais j'ai beaucoup de motivation, encore plus parce que j'ai raté une chose formidable. Ma blessure, c'était le destin... Quand on perd quelque chose comme moi avec l'équipe nationale lors de la coupe du monde, on se rend compte de son importance. J'ai envie de vivre ce genre d'émotions. C'est toujours la même fierté au moment de mettre ce maillot, de chanter l'hymne national, c'est des frissons."

"Un leader en sélection"

Il a depuis effectué une longue rééducation, regoûté aux terrains avec l'OM de Marcelino, est devenu un titulaire indiscutable de Gennaro Gattuso et a retrouvé la sélection marocaine. Sans faire beaucoup de bruit, lui l'ancien trublion du centre de formation du FC Nantes qui faisait les 400 coups avec Enock Kwateng. "Je suis arrivé à maturité footballistique et personnelle, il faut que je donne l'exemple car je suis l'un des plus anciens", dit Harit. Des propos confirmés par son coéquipier Azzedine Ounahi. "Il a un vrai rôle en sélection, c'est un leader. On était très déçu qu'il ne soit pas là à la coupe du monde, il va beaucoup nous aider à la CAN." La tâche sera ardue pour l'Olympien, qui tentera de mener le Maroc à son premier sacre continental depuis 1976. "Souhaitez-nous que tout le monde soit en bonne santé, qu'il n'y ait pas de blessure, et que l'on remporte la coupe d'Afrique, inch'allah !"

La Provence

[Dragan]

Il a peur de frapper en ce moment

[Dragan]

Il a à peine le niveau d’un remplaçant.

Ne remplacera jamais Payet dans l’organisation du jeu

[peezee]

Quelle grosse DAUBE lui aussi, sérieux, toujours à contre-temps, à préférer faire des dribbles là où le jeu CRIE de faire la passe, à tomber dès qu'il sent qu'il a trop poussé son ballon... mais c'est juste un médiocre dans un océan de nullité autour de lui.

[oukimaya]

Entre lui et Ouhani , ce sont des ich ich en puissance

Rien a faire sur un terrain à 11 contre 11

[Serber]

Dans un cadre, une tactique claire ils peuvent être bons. L'absence de direction et de projet met en avant leurs defauts.

[Dragan]

Il n’arrive pas à être décisif et à peser suffisamment sur le jeu

L’an prochain prendre un vrai meneur de jeu capable de marquer et passer sera une priorité

Harit n’y arrive pas

[Serber]

+1
Son activité, son volume sont appréciables, mais il manque de stats pour un titulaire à ce poste.

[Pancho11]

Il sert à rien il fait un bon truc c'est de suite annihiler par in mauvais choix

Tu peux pas aller en ldc avec un 10 aussi peu fiable

[peezee]

C'est le seul créatif de tout notre roster, donc faut faire avec, mais ouais c'est insuffisant. J'apprécie malgré tout sa combativité, il ne se laisse pas marcher dessus et c'est un des seuls à gueuler quand ça va pas (sur ses coéquipiers, sur un adversaire, ou sur l'arbitre quand ce dernier nous fiste tranquille, trop tranquille).

Si seulement il avait qq neurones de plus et savait quand LÂCHER son put*** de ballon...

[Dragan]

Ptdr vla que maintenant il fait des feintes à 35 mètres de ses buts pour qu’on s’en prenne un

On confie le jeu à un joueur qui n’en a pas la capacité encore une fois