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Rocca a écrit:en meme temsp troussier a montrer qu il avait des capacités a faire évoluer léquipe c son caractere de merde qui estune explication du fait que ca a capoté ..on sait pas si metsu a un caractere de merde pareil
il faut pas commencer a lui jetter la pierre...c pas comme ca qu on avancera les gars
jock a écrit:C'est marrant certains disent que Trosisier n'est pas l'homme idoine et d'autres que ce sont les joueurs qui sont des merdes inommables...les mêmes prônent sans rire la stabilité en prétendant que 2 ou 3 retouches suffiraient pour faire de l'OM la grande équipe que tout le monde attend...
si on a une équipe de merde que Troussier n'a pas choisi, ce qui expliquerait ses résultats plus que médiocres ... juste 2 ou 3 retouches, vous êtes bien contradictoires...
à mon avis il faudra une refonte totale de l'équipe, à moins que ces mêmes gens se contentent des abominations que dirigeants, entraineurs et joueurs nous infligent depuis plusieurs années... et particulièrement au cours de celle ci...
Un peu de réflexion et d'esprit critique ne ferait pas de mal à certains????
Désolé!!!
fukusan a écrit:
Ba c'est vrai qu'on a des boulets, non ?
Soit de par leurs qualités : Cheyrou, Bamogo, Olembé
Soit par mauvaise adaptation : Costa, Luyindula, Koji
fukusan a écrit:tigrou, le mot boulet est fort.
C'est plutot des joueurs pas au niveau qu'on attend d'eux.
idiome du village
Philippe Troussier (om.net): "À partir de là, tout peut arriver". Même Laurent Blanc.
levrette
Pape Diouf (om.net): "Philippe reste en place. Je serai solidaire derrière lui".
Philippe Troussier (om.net): "Ma décision est de m’inscrire dans une posture de résistance".
Pancho11 a écrit:sur Nakata je capte pas la logique de Troussier, il l'a titularisé d'entrée, dans les matchs les plus durs, et la il a disparu meme pas sur le banc
^fukusan a écrit:tigrou, le mot boulet est fort.
C'est plutot des joueurs pas au niveau qu'on attend d'eux.
La Trousse a écrit: Dans la mesure où, aujourd’hui, les robinets sont renfermés, qu’on ne peut pas dire l’année prochaine on va dépenser 150 millions d’Euros pour recruter, donc automatiquement vous pouvez asseoir votre politique technique non plus sur le recrutement des joueurs, mais se dire : on partira avec 80 % de l’effectif, on va renforcer le secteur sportif, asseoir le club dans la durée, on va essayer de se servir de cette année où on a essuyé les plâtres pour rendre groupe plus fort.
Imaginez que dans trois semaines on reparte à zéro. On change 80 %. On va repartir avec des gens qui auront plus d’idées que nous encore, mais qui devront encore essuyer des plâtres. Ils vont dire là je me suis trompé mais je ne me tromperai pas l’année prochaine. Non, l’année prochaine, on ne te laisse pas le temps, tu dégages tout de suite. La notion de dire je me suis trompé, j’ai acquis d’autres connaissances, j’ai corrigé et je reste, ça, ça n’existe pas. Tu t’es trompé, tu pars. Cette notion d’instabilité est aussi par rapport à ça.
Essuyer les plâtres c’est acquérir des connaissances parce qu’on s’est trompé, parce qu’on a corrigé, parce qu’on a travaillé. L’expérience c’est quoi ? Des choses bien, des choses moins bien. C’est ce qui fait que les hommes sont plus forts. On est beaucoup plus fort lorsqu’on a traversé des bons moments et des moments difficiles. Monaco il y a trois ans était 15ème, Lille était relégable il y a deux ans, Rennes, ils étaient 12ème, Auxerre était entre la cinquième et la huitième place comme tous les ans.
A part Lyon, on s’aperçoit que les équipes qui aujourd’hui sont avec nous, sont des équipes qui, il y a un an ou deux, étaient entre la 12e et la dernière place. Ce sont des équipes qui s’inscrivent sur les cinq prochaines années. Lille ne va pas passer l’année prochaine à la 12e place. Pour en arriver là, ils ont essuyé le plâtre pendant un an ou deux. La première année de Deschamps à Monaco, c’était une catastrophe. Ce sont des modèles. Des références dont on doit tenir compte lorsqu’on a plus les moyens de se dire l’année prochaine on a 150 millions. Eto’o, c’est 45 millions, Ronaldo ou Ronaldinho c’est 86 millions, c’est ces chiffres là qu’il faut si on veut les meilleurs joueurs d’Europe. Aujourd’hui, si on dit la politique on s’en fiche on veut une équipe de 10 bons joueurs, c’est 150 millions qu’il faut à la source pour acheter ces joueurs.
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