Modérateur: Modérateurs
Solid Snake a écrit:Faudrait un président accompagné d'un entraineur compétant qui soit capable de débloquer 25millions pour acheter 3 pointures et amortir cette dépendse surr toute la durée du contrat des pointures mais bon ca restera un reve
hijodelsol a écrit:foutre un bordel monstre en signe de bouquets finals si nous ne sommes pas en champion's league mais avant
hijodelsol a écrit:1_Gob, ce que tu dis est logique, diouf va pas chier sur des joueurs qui se caguent dessus dans la presse, mais je ne doute pas qu'il doit remonter certains à la commanderie.
Mais, je ne vois pas l'intérêt de demeurer dans cette constance actuelle, pourquoi s'entêter à cette compo d'équipe et à ces préparations d'avant match.
2_Luyindula ? ca fait un moment qu'il est passé dans l'autre monde, il n'a pas le profil pour jouer dans la compo de l'OM, lui il veut jouer comme à Lyon mais c marlet pas govou ou anderson devant lui
3_Marlet ? Il sait que quoiqu'il arrive dans 2 mois il retourne dans le froid anglais de fulham, pourquoi se lèverai t il le cul
4_Pedretti ? il cauchemarde de jouer au velodrome car il se fait insulter et siffler, lui le grand seigneur de l'équipe de france, le nouveau deschamps
5_Costa ? tout le monde lui demande de plsu faire de faute, maintenant c'est un agneau
6_Nasri ? Et oui minot, t'as 17 ans , t'es pas zidane et tu ne gagneras pas un match à toi tout seul..
Que faire ?
Ligue 1 - Marseille - Pape Diouf: "Une équipe comme apeurée"
dim 17 avr, 17h57
MARSEILLE, 17 avr (AFP) - - Marseille traverse une sale période: après sa défaite face à Ajaccio samedi au Vélodrome (1-2) lors de la 33e journée de L1, l'OM a compromis un peu plus ses chances de qualification en Ligue des champions de football.
"Vivement déçu", établissant le constat d'une "équipe comme apeurée", le président du directoire, Pape Diouf, assure que l'OM "ne démissionnera pas".
Q.: Quel est votre sentiment après cette nouvelle défaite ?
R.: "La déception est vive, même si Ajaccio évolue à un bien meilleur niveau qu'en début de Championnat. Mais après notre défaite à Strasbourg (0-1, 32e journée, ndlr), nous pensions entamer une nouvelle série. Or ce match m'a rappelé les pires moments de la saison. Cela dit, avec le recul, et au vu de notre 3e place actuelle, il y a aussi des choses positives dans cette saison".
Q.: Comment expliquez-vous cette mauvaise passe, après les succès au retour de la trêve ?
R.: "Je suis tout à fait convaincu que les dégâts ont leur origine dans la tête des garçons. Il y a eu samedi tellement de ratés techniques, une telle crispation, l'absence de tir, d'initiative... Cette équipe jouait comme apeurée, nous avons retrouvé le syndrôme d'il y a quelques mois. Or, tout le monde, les joueurs en premier, sont désireux de disputer la Ligue des champions, on ne peut donc parler de démotivation ou de +je m'en foutisme+. En fait, samedi, comme à chaque fois que l'équipe s'est trouvée en position de devoir assumer une position, elle a bafouillé. Il y a dans cette équipe une vraie fragilité psychologique. Et pourtant, ce n'est pas la valeur des joueurs qui est en cause. Nous ne sommes pas allés recruter des joueurs sur lesquels nous risquions de manquer d'informations, comme des Uruguayens, des Chiliens ou des Serbes, mais des valeurs sûres du championnat: la saison dernière, Costa était le milieu qu'il valait mieux avoir avec soi que contre soi, Luyindula nous avait mis deux buts avec Lyon et tout le monde reconnaissait le talent de Pedretti. Les principaux éléments n'arrivent pas à exprimer le talent qu'on leur connaît. Je crois que cela est dû, fondamentalement, au fait que l'équipe a été reconstruite à 80%".
Q.: Quelles solutions apporter, à cinq journées de la fin, pour mener à bien l'objectif Ligue des champions ?
R. "Il faut essayer de redémarrer. A chaque fois que nous avons été en position de +chasseur+, sans rien à perdre, cela nous a réussi. Je me souviens notamment que c'est après la défaite à domicile face à Angers en Coupe de France que l'équipe a repris sa marche en avant. Mais il faut travailler l'approche psychologique, il faut une discussion, que les gars se parlent, et +franco+, même s'il n'est jamais facile pour un garçon de reconnaître sa fragilité. Je pense néanmoins que le fait que chacun se dévoile pourrait constituer une thérapie. Je suis sûr d'une chose en tout cas: nous resterons mobilisés, nous ne démissionnerons pas".
Propos recueillis par Renaud LAVERGNE
ben becker a écrit:et qui c'est qui a reconstruit l'équipe à 80% ?
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