06 Fév 2005, 23:05
jvoudrais pas etre a la place de vahid en ce moment 
06 Fév 2005, 23:09
il doit etre en train de gerber
06 Fév 2005, 23:11
a force de gerber , ses chiottes vont finir par etre bouchees
06 Fév 2005, 23:19
06 Fév 2005, 23:19
bien fait pour lui c'est pas un entraineur pour une equipe comme paris qu'il aille a rennes ou lilles quoi que lille c'est de la confiture pour ce cochon
06 Fév 2005, 23:20
Maintenant je crois que pour lui il est temps de partir...
Ces erreurs de recrutement se seront payer cash, j'aime pas le psg mais il doit partir c'est un entraineur de merde qui ne doit plus entrainer en france.
Ces erreurs de recrutement se seront payer cash, j'aime pas le psg mais il doit partir c'est un entraineur de merde qui ne doit plus entrainer en france.
06 Fév 2005, 23:22
mais non moi je veux quil reste 
06 Fév 2005, 23:24
dans son itw de cette semaine il a fait comprendre que si graille le virait ils ne seraient plus amis...le connard il lui ffout le couteau sous la gorge
06 Fév 2005, 23:34
Sacré Vahid, il s'accroche comme il peut à ce qu'il peut
07 Fév 2005, 00:20
de toute facon si Bordeaux s'impose face au péèssegé, Vahid pourra pointer au chomdu (et par la meme se foutre en l'air vu ses réactions maitrisés en cas de contrariété).
Car ce soir apres le match, GRAILLE a sous entendu que Allez l'old zik pourrait y jouer sa place.
gniark gniark
Car ce soir apres le match, GRAILLE a sous entendu que Allez l'old zik pourrait y jouer sa place.
gniark gniark
07 Fév 2005, 00:24
a la fin du match le vahid était gris,il pense a son futur déménagement
07 Fév 2005, 01:08
ouais vules saisons qu'on travers, on devrait eviter de trop se foutre de leur gueule.....mais c'est vrai que la tete de vahid ds le couloir c'etaiat jouissif 
07 Fév 2005, 02:25
Interrogé dans l'Equipe avant le match contre Lens, Vahid Halilhodzic a une nouvelle fois pesté contre les carences de son effectif. "Il manque de talent dans cette équipe. Car le talent ça coûte. Quand il manque Rothen et Fiorèse, alors que tu as construit l'équipe autour d'eux, c'est dur", a déploré le coach du PSG, nostalgique de sa première saison à la tête du club, qui s'était alors classé second (en 2003-2004). "La première saison, c'était super : si Ronaldinho était resté, on aurait fait le doublé", a-t-il assuré.
07 Fév 2005, 02:44
c'est fou comme ce gars parle comme un supporter capricieux
je le pensais franchement plus serieux que ca
"c'est la faute a la blessure de Rothen, mon equipe est nul, je vx Deco, avec Ronnie on serait les meilleurs..."
je le pensais franchement plus serieux que ca
"c'est la faute a la blessure de Rothen, mon equipe est nul, je vx Deco, avec Ronnie on serait les meilleurs..."
07 Fév 2005, 08:44
il est pitoyable dans ses déclarations
dire apres un mercato qu'ils auraoent pu avoir robinho comme ca a été fait et dire "ouais mai finalementon a la superstar semak" c'est vraiment se foutre de la guele du monde
il s'y connaseent pas en communications que ce soit graille ou vahid
dire apres un mercato qu'ils auraoent pu avoir robinho comme ca a été fait et dire "ouais mai finalementon a la superstar semak" c'est vraiment se foutre de la guele du monde
il s'y connaseent pas en communications que ce soit graille ou vahid
07 Fév 2005, 09:11
La première saison, c'était super : si Ronaldinho était resté, on aurait fait le doublé
Juste une question, c pas grace à la vente de Ronaldinho, que le PSG a pu avoir Pauleta?
Modifié en dernier par Anh Thom le 07 Fév 2005, 09:11, modifié 1 fois.
07 Fév 2005, 09:11
Moi il me fait bander vahid !
Il me fait penser à un putain de vaniteux a qui on met une carotte devant la bouche comme un bourriquot et ceci pour aller droit dans une fosse !
Il se la joue tellement que son malheur me fait trop plaisir !
Allez pour toi gros cono !
" allez tous vous faire enculer !!!"
Il me fait penser à un putain de vaniteux a qui on met une carotte devant la bouche comme un bourriquot et ceci pour aller droit dans une fosse !
Il se la joue tellement que son malheur me fait trop plaisir !
Allez pour toi gros cono !
" allez tous vous faire enculer !!!"
08 Fév 2005, 10:19
Les joueurs lâchent Halilhodzic
Au lendemain du naufrage face à Lens (2-0), les Parisiens ont refusé de partir en stage pour préparer le match de Coupe de France contre Bordeaux, et plusieurs ont confié leur ras-le-bol. Vahid Halilhodzic n'a plus le soutien de ses troupes.
CAMP DES LOGES, hier matin, 11 heures. Bruno Baronchelli, entraîneur adjoint du PSG, dirige la traditionnelle causerie de lendemain de match, puis la séance d'entraînement. Non, Vahid Halilhodzic n'est pas encore parti, malgré la défaite concédée dimanche soir contre Lens (2-0) et la place de 12 e en Ligue 1, sept points seulement devant le premier relégable.
L'entraîneur franco-bosniaque s'était excusé dès l'issue de la rencontre : « Je ne fuis pas, j'ai un rendez-vous prévu de longue date, je ne serai pas là pour le décrassage. » Autour du centre d'entraînement, quelques dizaines de supporters manifestent leur mécontentement, cherchent micros et caméras pour hurler leur ras-le-bol et réclament le départ d'Halilhodzic. Jérôme Rothen n'est pas là pour assister à la scène. Convalescent suite à son opération de la cheville, le milieu de terrain gaucher est venu effectuer sa séance spécifique à l'aube. Idéalement, l'ancien Monégasque aurait voulu retrouver l'équipe première contre Toulouse (0-0), le 15 janvier, mais une vive douleur l'en a empêché. Halilhodzic lui a ordonné de jouer, le joueur a refusé et s'est plaint à Francis Graille. L'incident a marqué les esprits. C'est le premier signe de rébellion affichée face à l'autorité du manager sportif parisien. Un deuxième épisode marquant vient confirmer le vent de fronde qui souffle sur le camp des Loges.
« Ce n'est plus possible avec lui, il faut qu'il parte » Halilhodzic souhaitait partir en stage dès demain, sur proposition de son président, afin de préparer le 16 e de finale de Coupe de France de dimanche contre Bordeaux. Consultés, les joueurs cadres ont refusé et fait savoir qu'ils n'avaient pas envie, non plus, d'avancer la mise au vert du samedi au vendredi. Si ce dernier point pourra encore être négocié demain avec l'entraîneur en chef, l'affront est bien là. « Il y en a marre de partir au vert pour un oui ou pour un non », peste l'un des seize joueurs retenus contre Lens qui, comme ses partenaires, souhaite rester anonyme. « On fait toujours la même chose ! poursuit-il. Si on veut relever la tête, il faut du changement, et vite ! » Prolongeant une discussion amorcée dimanche soir dans les vestiaires du Parc, plusieurs joueurs ont débattu hier matin après l'entraînement. « Ce n'est plus possible avec lui, il faut qu'il parte », assène l'un des protagonistes au sortir de cette réunion. « On n'y arrive pas, on n'a pas de solution », se désole l'un de ses équipiers. « C'est saoulant, on n'en peut plus », renchérit un troisième. Les joueurs parisiens sont lassés et n'ont pas du tout apprécié les interviews de leur coach en fin de semaine passée dans lesquelles il les critiquait sans jamais se remettre en question. Perdus sur le terrain, ils ne semblent pas mieux organisés une fois les crampons rangés. Pourquoi n'ont-ils pas fait part de leurs états d'âmes à Francis Graille, jeudi dernier, lors de leur rencontre ? Aujourd'hui, seule une action concertée des joueurs semble pouvoir convaincre le président parisien de trancher. Interrogé sur le sujet, le gardien Lionel Letizi reste évasif : « Si le président me demande mon avis sur l'entraîneur, je le lui donnerai, mais ça restera entre nous. Nous n'avons pas à en débattre sur la place publique. » En privé, d'autres joueurs, remplaçants ou passés par l'équipe réserve le temps d'une rééducation, vantent l'ambiance des séances dirigées par Laurent Fournier, pressenti pour succéder à Halilhodzic si ce dernier était remercié avant la fin de saison. Le malaise est si profond qu'une interrogation a vu le jour depuis dimanche soir. Faut-il jouer la victoire en Coupe de France contre Bordeaux, au risque de sauver Halilhodzic ? Ou saborder la rencontre pour sceller le sort de l'entraîneur, quitte à anéantir la dernière chance de qualification européenne ? A ce stade de la réflexion, il devient urgent d'agir.
Source Le Parisien
Perrin avait tenu pas mal de temps comme ca , avec les joueurs contre lui , Vahid reste jusqu'a la fin de la saison qu'on rigole
Au lendemain du naufrage face à Lens (2-0), les Parisiens ont refusé de partir en stage pour préparer le match de Coupe de France contre Bordeaux, et plusieurs ont confié leur ras-le-bol. Vahid Halilhodzic n'a plus le soutien de ses troupes.
CAMP DES LOGES, hier matin, 11 heures. Bruno Baronchelli, entraîneur adjoint du PSG, dirige la traditionnelle causerie de lendemain de match, puis la séance d'entraînement. Non, Vahid Halilhodzic n'est pas encore parti, malgré la défaite concédée dimanche soir contre Lens (2-0) et la place de 12 e en Ligue 1, sept points seulement devant le premier relégable.
L'entraîneur franco-bosniaque s'était excusé dès l'issue de la rencontre : « Je ne fuis pas, j'ai un rendez-vous prévu de longue date, je ne serai pas là pour le décrassage. » Autour du centre d'entraînement, quelques dizaines de supporters manifestent leur mécontentement, cherchent micros et caméras pour hurler leur ras-le-bol et réclament le départ d'Halilhodzic. Jérôme Rothen n'est pas là pour assister à la scène. Convalescent suite à son opération de la cheville, le milieu de terrain gaucher est venu effectuer sa séance spécifique à l'aube. Idéalement, l'ancien Monégasque aurait voulu retrouver l'équipe première contre Toulouse (0-0), le 15 janvier, mais une vive douleur l'en a empêché. Halilhodzic lui a ordonné de jouer, le joueur a refusé et s'est plaint à Francis Graille. L'incident a marqué les esprits. C'est le premier signe de rébellion affichée face à l'autorité du manager sportif parisien. Un deuxième épisode marquant vient confirmer le vent de fronde qui souffle sur le camp des Loges.
« Ce n'est plus possible avec lui, il faut qu'il parte » Halilhodzic souhaitait partir en stage dès demain, sur proposition de son président, afin de préparer le 16 e de finale de Coupe de France de dimanche contre Bordeaux. Consultés, les joueurs cadres ont refusé et fait savoir qu'ils n'avaient pas envie, non plus, d'avancer la mise au vert du samedi au vendredi. Si ce dernier point pourra encore être négocié demain avec l'entraîneur en chef, l'affront est bien là. « Il y en a marre de partir au vert pour un oui ou pour un non », peste l'un des seize joueurs retenus contre Lens qui, comme ses partenaires, souhaite rester anonyme. « On fait toujours la même chose ! poursuit-il. Si on veut relever la tête, il faut du changement, et vite ! » Prolongeant une discussion amorcée dimanche soir dans les vestiaires du Parc, plusieurs joueurs ont débattu hier matin après l'entraînement. « Ce n'est plus possible avec lui, il faut qu'il parte », assène l'un des protagonistes au sortir de cette réunion. « On n'y arrive pas, on n'a pas de solution », se désole l'un de ses équipiers. « C'est saoulant, on n'en peut plus », renchérit un troisième. Les joueurs parisiens sont lassés et n'ont pas du tout apprécié les interviews de leur coach en fin de semaine passée dans lesquelles il les critiquait sans jamais se remettre en question. Perdus sur le terrain, ils ne semblent pas mieux organisés une fois les crampons rangés. Pourquoi n'ont-ils pas fait part de leurs états d'âmes à Francis Graille, jeudi dernier, lors de leur rencontre ? Aujourd'hui, seule une action concertée des joueurs semble pouvoir convaincre le président parisien de trancher. Interrogé sur le sujet, le gardien Lionel Letizi reste évasif : « Si le président me demande mon avis sur l'entraîneur, je le lui donnerai, mais ça restera entre nous. Nous n'avons pas à en débattre sur la place publique. » En privé, d'autres joueurs, remplaçants ou passés par l'équipe réserve le temps d'une rééducation, vantent l'ambiance des séances dirigées par Laurent Fournier, pressenti pour succéder à Halilhodzic si ce dernier était remercié avant la fin de saison. Le malaise est si profond qu'une interrogation a vu le jour depuis dimanche soir. Faut-il jouer la victoire en Coupe de France contre Bordeaux, au risque de sauver Halilhodzic ? Ou saborder la rencontre pour sceller le sort de l'entraîneur, quitte à anéantir la dernière chance de qualification européenne ? A ce stade de la réflexion, il devient urgent d'agir.
Source Le Parisien
Perrin avait tenu pas mal de temps comme ca , avec les joueurs contre lui , Vahid reste jusqu'a la fin de la saison qu'on rigole
08 Fév 2005, 10:23
Super l'ambiance au camp des loges.... Les joueurs en peuvent plus des supporters, du coach, il peuvent pas se voir entre eux... Ca nous promet une fin de saison, pleine de satisfactions...
08 Fév 2005, 10:28
Vahid va se suicider avant la fin de la saison c'est pas possible.