Modérateur: Modérateurs
Ama le Pape pourrait facilement démonter Acariès, c'est le genre de renard tout à fait capable de faire un coup tordu tel qu'à la fin Acariès apparaisse à tlm comme le comique qu'il est.
voila comment il se definit et l'autre risque de tout lui passer par amitié
Anh Thom a écrit:voila comment il se definit et l'autre risque de tout lui passer par amitié
C clair, c ce qui me fait peur en tout cas...Put1 mais Acariès président de l'OM, faut se pincer pour y croire
A quand Acaries ds La Ferme ou La 1ère Compagnie...?
gigi a écrit:ouais, tu peux résumer stp
en plus je viens de lire un gros article sur de la Brosse (Marseille l'hebdo)
je connais enfin sa tete au passage
ils disent aussi que pour l'instant il travaille seulement a mi tps pour l'OM
3j/7j (mais il se serait rendu compte de l'ampleur de la tache )
et qu'il vient de virer sans etats d'ame 3 anciens potes a Bouchet dont Carenzo
peezee a écrit:Anh Thom, t'as déjà managé des boxeurs...?
D'apres ce que je sais, cette derniere a fait du super boulot au club et est loin de n'avoir été que la femme du president. Elle a notamment joué un role sans la modernisation de l'OM-T, du site ( qui est plus vivant) mais aussi des ecrans geants du vel'
Quel poids a pesé le forfait de dernière minute de Steve Marlet pour raisons familiales ?
P.T. : «Je m’interdis de dire que nous n’avons pas gagné parce que Marlet n’était pas là. Ce serait faire injure aux autres joueurs. Ceci dit, il est vrai que son départ précipité et imprévu dimanche a peut-être fait partie de ces détails qui nous ont contrarié. Il est également juste de dire qu’une complicité s’est créée entre Péguy et lui».
A St Etienne, Olembe sera suspendu. Et il y a pénurie d’arrières gauche…
P.T. : «C’est vrai. Il y a bien Beye qui peut évoluer à gauche. Il le fait d’ailleurs en sélection. Il y a aussi Ferreira ou Ecker. Mais la solution la plus logique, c’est Nakata. Il ne manque que son permis de travail. Le dossier est toujours entre les mains de la Préfecture. Même s’il manque de compétition, et que Geoffroy Guichard serait un sacré baptême du feu, j’espère pouvoir l’aligner. Dans cette optique, il est peut-être plus à l’aise dans une défense à trois».
Que pouvez-vous nous dire sur le jeune Taiwo ?
P.T. : «Je l’ai vu samedi (contre Monaco avec le CFA). Il m’a fait une hyper grosse impression. Lui aussi est davantage dans l’esprit d’une défense à trois. Même s’il a du retard dans le placement et le replacement, je pense qu’on tient un joueur de qualité pour l’avenir».
«On ne s’est pas lâché»
En panne d’imagination et de folie, Marseille a perdu deux points contre Istres (1-1) et n’a pas saisi l’occasion d’écarter un peu plus Lille et Monaco de la deuxième place. C’est Lyon qui en profite. Philippe Troussier garde tout de même le titre dans son viseur. Interview
Le premier derby de la Provence au stade Vélodrome entre Marseille et Istres ne restera pas dans les mémoires (1-1). Le froid a gelé les ambitions marseillaises qui perdent deux points dans la course au titre. Incapables d’emballer la rencontre, les hommes de Philippe Troussier se sont laissés surprendre par de courageux Istréens mais pointent toujours à la deuxième place du classement.
Vous avez manqué l’occasion de prendre des points sur Monaco…
Nous avions la possibilité contre Istres de consolider et de bétonner notre deuxième place. Nous avions la possibilité en cas de victoire d’arriver à 50 points, ce qui est une référence intéressante en février. C’était notre volonté, mais nous sommes tombés sur un adversaire qui nous a contrariés. Sur l’ensemble des matches retour, Istres a réussi de bons résultats, ils ont confirmé parfaitement l’idée de l’équipe qu’on se faisait d’eux. Un groupe en renouveau qui a joué son va-tout. Le résultat en lui-même n’est pas immérité pour notre adversaire. Sur notre tableau de marche, on peut considérer ce match nul comme une demi-défaite mais en même temps on a conforté à moitié l’idée qu’on se faisait de consolider notre deuxième place. Nous sommes toujours à la même position et nous avons pris un point sur Monaco. On essaiera de se contenter de ce faux-pas. Il faut savoir accepter ce genre de situation. Mais il faut surtout relever la qualité de notre adversaire qui a vraiment réalisé un bon match.
Qu’est ce qui a manqué à Marseille pour faire la différence ?
Cette volonté de consolider notre seconde place existait, mais il y a eu aussi des conditions difficiles de jeu. Il faisait très froid, il y avait du vent. Mais malgré cela, nous avons manqué de verticalité et de percussion dans notre jeu. Encore une fois, les statistiques ont montré que nous avions 62 % de ballons donc avoir la possession n’est garantie de réussite. Par contre, on tire seulement cinq fois au but alors que les adversaires tirent sept fois, c’est bien le signe d’un manque de poids. C’est vrai que Marlet nous a manqué ce soir. Il a suffi qu’il soit absent pour voir ce qu’il nous apporte dans le domaine aérien. Nous avons manqué de percussion, de rapidité et de lucidité. Résultat : on ne prend qu’un point. Il faudra rebondir et reformer une équipe compacte pour aller prendre des points à Saint-Etienne.
Avez-vous été surpris par quelques défaillances individuelles ?
Je ne mets pas cela sur la défaillance individuelle, c’est beaucoup plus un problème collectif parce que nous avons été confrontés à un adversaire qui a joué haut, qui nous a percutés, qui a toujours gêné dans notre construction. C’est une équipe qui m’a fait forte impression, et qui, je pense, embêtera beaucoup d’adversaires. Nous avons manqué de lien dans les enchaînements. On a manqué de rapidité, d’imagination. Tous les joueurs sont à mettre dans le même lot.
Vous avez quand même effectué deux changements très rapidement (Cheyrou 35e et Costa 45e) ?
C’était des changements techniques pour apporter plus d’allant vers l’avant. D’ailleurs, c’était très bien fait. La rentrée de Nasri et de Hemdani nous a apporté justement cette volonté d’aller plus vers l’attaque, de jouer plus vertical même si à l’arrivée nous avons manqué de percussion à l’avant. Mais l’idée à la mi-temps était d’apporter plus de jeu à l’avant ce que nous ne faisions pas en première période.
Pendant toute la semaine, le titre alimenté toutes les discussions. Est-ce que les joueurs ne se sont pas mis la pression ?
Indirectement, sûrement. Les joueurs avaient envie de bien faire, mais nous avons été scotchés sur nos décisions. Il nous a manqué un peu de folie, on ne s’est pas lâché, pas libéré dans le jeu. Je pensais que le but égalisateur allait nous apporter cela, d’ailleurs nous avons eu un bon passage, mais malheureusement il nous a manqué un peu de lucidité.
Marseille a-t-il perdu le titre ?
Il est encore trop tôt pour parler du titre. Il reste encore onze matches et donc 33 points encore en jeu. Personne n’est à l’abri d’une contre performance, nous l’avons vu avec nos concurrents directs Monaco et Lille. La notion de titre aurait été d’actualité si nous avions gagné contre Istres ce qui n’a pas été le cas. L’objectif de jouer le titre, c’est une idée qui trottait en nous car quand nous sommes ambitieux, on souhaite l’éveiller. Le fait d’avoir perdu deux points sur Lyon est une façon de ne pas se disperser et ne de pas oublier où nous étions il y a quelques semaines. Nous sommes toujours bien calés en tête du championnat, nous sommes toujours deuxièmes de ce championnat et toujours dans l’objectif d’obtenir une qualification pour la Champions League. On se contentera ce soir de notre position, être deuxième à onze journées de la fin, il y a beaucoup d’équipes qui souhaiteraient être à notre place
Anigo tacle Bouchet
Le 01/03/2005 à 20:14
Interrogé dans le magazine France Football, José Anigo, toujours en poste à l'OM en tant qu'observateur à l'étranger et à la formation olympienne, n'a pas épargné l'ex-président Christophe Bouchet :
(à la question si c'était à refaire) : "Aujourd'hui je ne démissionnerais plus ! Pourquoi ? Tout simplement parce que Christophe Bouchet, l'ex-président,
n'est plus là. Et comme je ne voulais plus travailler avec ce grand magicien du mensonge et des coups en douce... Vous savez, quand un tel personnage vous accorde sa confiance devant les caméras télé, vous conforte dans votre rôle pour la saison à venir, mais que, dans le même temps, il suggère au manager général (Pape Diouf) qu'il est libre de choisir son entraîneur, autrement dit un autre que moi, vous imaginez la confiance qu'un tel personnage vous inspire... Si Pape n'avait pas été clean, j'aurais pu ne pas débuter la saison ! C'est pourtant quelqu'un, je parle de Bouchet, que ma marseillitude a protégé, mais à qui je n'avais plus envie de servir de paravent; ma démission a, en quelque sorte entraîné sa chute et l'a placé devant ses responsabilités."
L'ancien entraîneur de l'équipe première a ensuite fait part de sa joie d'être toujours à l'OM mais a annoncé aussi qu'il envisagé de partir "si je veux grandir et devenir un grand garçon".
Quant au retour au premier plan de l'équipe, il reste un brin amer : "Si les joueurs ont enfin compris qu'ils doivent se prendre en main, que le salut ne vient pas toujours des autres, ma démission n'aura pas été inutile"...
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