voici quelques extraits:
Réalisé pour L'Expansion par les cabinets spécialisés Advent et BFS sur les saisons 2000-2001, 2001-2002 et 2002-2003, le classement des clubs les mieux gérés permet de distribuer médailles et cartons rouges.
Cinq critères sont pris en compte : la rentabilité, la gestion du « capital joueurs », la structure financière, le niveau d'activité et la transparence financière. Deux clubs de l'actuelle Ligue 1 n'ont pas été intégrés au classement : Istres, trop récent dans l'élite, et Monaco, dont le statut particulier rend toute comparaison peu pertinente.
« le Losc combine les meilleurs ratios de rentabilité et de structure financière »
Y figurent les clubs les plus populaires du foot français, le Paris-Saint-Germain, quinzième, l'Olympique de Marseille, quatorzième, et l'AS Saint-Etienne, treizième. Ils paient une politique d'achat de stars ruineuse et sans résultat, comme l'illustre notre classement du meilleur rapport dépenses/résultats
A Marseille, le milliardaire Robert Louis-Dreyfus a injecté, de 1996 à 2002, 171,50 millions d'euros pour conquérir un titre de champion, sans jamais y parvenir. Là aussi, la donne semble changer. Après 39 millions de pertes en 2001-2002 et 8 millions en 2002-2003, l'OM a dégagé un bénéfice de 1 million en 2003-2004 et prévoit le même chiffre pour cette saison. Ce redressement reste pourtant fragile. Christophe Bouchet, son artisan depuis 2002, a dû démissionner fin novembre de son poste de président à la suite de mauvais résultats et de la fronde des supporters. « En foot, dès que vous n'avez pas d'objectif sportif, vous gagnez de l'argent. La pression complique les choses.
Marseille a investi 5 millions d'euros dans le regroupement de ses bureaux. Vive la stratégie globale !
les tableaux de classements démontrent:
Bonne gestion ne rime pas avec notoriété et ceux qui marquent le plus en dépensant le moins
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