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b-molko a écrit:je crois qu'il a traversé un pare brise dans un accident ou un truc comme ca...le truc pas cool quoi
Le président du FC Metz, Carlo Molinari, n'a pas souhaité faire de commentaire, regrettant juste que son joueur ait pu "aller en boîte de nuit dans un état physique qui nous avait inquiétés au départ, alors que son équipe venait de perdre 2 à 0."
Cookies a écrit:Ouais, ils font tous pareil en parlant de l'OM. Meme si on est dernier du classement on reste le grand OM capable de tout et pas a prendre a la legere. C'est d'un pénible.
peezee a écrit:Si je lis bien l'itw J. Fernandez prépare son public à une défaite contre l'OM... Bien joué, comme ça si y perdent "bah j'vous l'avais dit" et si y gagnent c'est un héros (en nous ayant battu 2 fois cette saison en plus! )...
A nous de ne pas faire de lui un héros local, d'autant plus que ni Auxerre ni Monaco ne vont nous attendre...
Départ de Lizarazu, ambitions européennes, révélation d'un talent nommé Nasri: avant le déplacement à Metz, Philippe Troussier lève le voile sur l'actualité marseillaise. Et clame tout haut son attachement à l'OM.
Depuis lundi, Saint-Symphorien affiche complet pour la venue de Marseille... "Cela démontre l'impact de l'OM dans l'esprit du public. J'avais déjà noté le phénomène durant nos stages à Granville et à Capbreton.>
* Cette fièvre est-elle un moteur ou une contrainte? "Elle n'est surtout pas un poids. C'est même une joie d'évoluer à chaque fois dans des stades pleins à craquer. On dit de l'OM qu'il est le coeur de la Méditerranée. Je vais plus loin en avançant qu'il est le coeur de la France. Sa notoriété est même internationale. Au Japon, j'ai pu vérifier qu'il appartenait toujours au top 10 européen.>
* Un entraîneur étudie-t-il longuement la question avant de sauter le pas? "Je n'ai pas réfléchi une seule seconde. Cette proposition était une forme de reconnaissance de la part de mes pairs, de mon pays. L'OM, j'en ai toujours rêvé. Les dirigeants marseillais ont eu du courage, car je rentrais d'un long voyage de quinze ans à l'étranger. Quand ils m'ont joint, j'étais sur le point de repartir pour le Japon.>
* A votre arrivée, l'équipe frappait par sa fragilité... "Elle n'était pourtant pas si mal lotie au classement, avec une septième place, à trois points d'un ticket en Ligue des champions. L'équipe n'était pas au mieux, d'accord, mais certainement pas malade. José Anigo s'est sacrifié afin de permettre une prise de conscience. J'ai tout de suite averti que je m'inscrirais dans la logique du travail effectué au préalable.>
* Le départ de Lizarazu a-t-il constitué un épisode déstabilisant? "Non, mais cela aurait pu être le cas. Liza et moi n'avons eu que trois semaines pour faire connaissance. C'est trop peu. Surtout en face d'un joueur qui semblait avoir des a priori. Il était braqué contre moi.>
* Il a mis l'accent sur votre fermeté. Peut-on parler d'incompréhension? "Sans doute. Il suffit d'entendre ce qu'en disent les autres joueurs. A ma connaissance, il n'y a pas eu de mouvements tumultueux depuis ma prise de fonctions. Mais je devais également marquer mon territoire. Encore une fois, j'estime que les choses se seraient arrangées avec le temps.>
* Avec deux victoires d'affilée, êtes-vous aujourd'hui sur la voie de l'équilibre? "Après Lille, il était important de renouer avec notre public devant Nice, de retrouver une harmonie, de la stabilité. C'est fait. Je ne suis pas sûr que l'élimination en Coupe de France ait réveillé tout le monde. Ce soir-là, contre Angers, nous avons d'abord subi un coup de folie.>
* Le jeune Samir Nasri, dix-sept ans, est-il déjà un élément pivot? "Oui, mais ponctuellement. A son âge, il n'est pas question de le griller. On se doute bien qu'il essuiera des contrecoups en cours de saison. Pour l'heure, il nous permet d'asseoir notre jeu, de rendre le ballon plus facile. Il est important dans notre dispositif. A nous, désormais, de lui proposer un projet politique afin de le conserver. Un club comme l'OM en est capable.>
* Une place en Ligue des champions est-elle un objectif vital? "Il me semble. Une qualification générerait des rentrées financières et un intérêt sportif accru. Or, ici, il y a une culture du succès.>
* Quand Marseille se déplace à Metz, treizième, la victoire doit être au bout? "On a de l'ambition, mais pas de suffisance. Metz n'a perdu qu'une fois à domicile, Lyon, Monaco ou Bordeaux n'y ont pas gagné. Je ne veux pas tomber dans le piège de l'excès de confiance."
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