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crikken a écrit:nice est une équipe qui ne ferme pas le jeu, marseille s'accomode mieux de ce genre d'équipe...dimanche peut réellement constituer un tournant, même marlet peut réaliser un gros match, alors tout est permis
A l’heure où il est naturel de s’interroger sur le décalage entre le faste des déplacements (deux victoires et un nul) et la tristesse des réceptions (une défaite et une élimination), le « rapport de force » refait surface.
«A domicile, l’adversaire nous oblige à avoir le monopole du ballon. Cela a été le cas contre Auxerre et Angers, et ce sera encore ainsi face à Nice, dimanche. Dans ce rapport, nous devons être actifs. Et pour le moment, ce n’est pas dans cette position que nous sommes le plus à l’aise. Car à force de devoir manœuvrer pour trouver la faille, on perd en spontanéité, on fait beaucoup d’efforts en vain, et on se désorganise en tentant d’apporter le surnombre», résume Troussier.
A l’inverse, à l’extérieur (a fortiori contre des équipes mieux classées) l’OM a été déchargé de l’animation du jeu et a obtenu de meilleurs résultats.
Mais alors que faire dimanche dans ce derby a priori déséquilibré entre Marseillais (4e) et Niçois (11e) ? Philippe Troussier à son idée en tête. Il accepte d’en dessiner les contours : «Il y a une organisation spatiale, une autre répartition des rôles à trouver dans la configuration de l’équipe. Ensuite, l’essentiel sera de voir quelle utilisation nous ferons du ballon. Avons-nous intérêt à avoir une relation du type le défenseur passe au milieu qui envoie vers l’attaquant ? Ou bien devons-nous avoir un jeu plus direct, sans verser non plus dans le hourra-football ? Il y a un transit à trouver pour ne pas perdre le ballon dans certaines zones».
Sans oublier qu’une utilisation plus efficace des coups de pied arrêtés est aussi un recours de poids pour débloquer les situations.
Sans oublier qu’une utilisation plus efficace des coups de pied arrêtés est aussi un recours de poids pour débloquer les situations.
Tres interressant ce que dis Troussier. C'est vrai qu'a force de jouer dans la largeur faute de progresser on multiplie les pertes de balles en phase de construction dans des zones tres dangereuses
crikken a écrit:Tres interressant ce que dis Troussier. C'est vrai qu'a force de jouer dans la largeur faute de progresser on multiplie les pertes de balles en phase de construction dans des zones tres dangereuses
vrai, marseille ressemble parfois à une équipe de hand, dans la préparation de ses phases offensives
Bon, Ok lui il est plus là, alors qui... Tomasson me semblerait pas mal dans ce rôle-là, nan...
si, contre nantes il me semble...
mais c'est l'exception qui confirme ce que tu énonces .
gob a écrit:Cookies, celui qui fait les stats etait bourré sans doute ...
J'etais sur que c'etait sur coner
Bon, Angers alors ?
Ah non c'etait un csc ...
Pour en revenir au syndrome velodrome, avez vous lu l'ITW de Beye sur le site off ?
c'est rare qu'un joueur dise ce qu'il pense et ne nous ressorte pas un discours convenu...
«Non. Il n’y a pas de malaise de ce genre. Aujourd’hui le problème au Vélodrome c’est que quand on fait tourner la balle vingt minutes avant d’avoir une action, ça commence à gronder. Et à partir de là, l’équipe plonge petit à petit. On a l’impression que les supporters ne sont plus avec nous mais contre nous. Il y a une chape de plomb qui tombe sur nous. Dès qu’ils ont commencé à applaudir les phases de jeu d’Angers, on avait l’impression que c’était le Milan AC».
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