Nous revivons l'époque des jeux du cirque où le peuple en colère trouve un exutoire dans l'arène, je pense que pour nous c'est pareil quand notre combattant gagne nous sommes heureux et on bombe le torse mais quand ça va mal les frustatrations enfoies au fond de nous mêmes font surface et c'est la déferlente de haine contre le fusible qui nous permet de péter les plombs.
D'accord avec toi à cette nuance près... Le public des arènes n'a jamais été organisé en groupements touchant un pourcentage sur les abonnements... Alors on peut se permettre de douter de la pureté des intentions dans le cas présent