Camel Meriem, le milieu de terrain de Bordeaux, est le premier véritable meneur de jeu à être appelé en équipe de France depuis le départ de Zinédine Zidane. Admiratif de Zizou, le Girondin, enfin arrivé à maturité, ne se compare pas au joueur du Real Madrid mais espère s’imposer en Bleu.
blablabla , on s'enfout ....
A quoi attribuez-vous cette sélection ?
Je travaille bien depuis le début de saison. J’ai fait une bonne fin de saison passée avec l’OM. Mon replacement dans l’axe par Michel Pavon me permet d’avoir de bonnes sensations. Je me sens bien avec les Girondins de Bordeaux. Je suis dans la continuité de la fin de saison dernière. Ma saison à Marseille m’a fait franchir un palier. Quand je suis revenu à Bordeaux, c’était pour confirmer, être régulier.
Votre arrivée en équipe de France est plus tardive que certains alors qu’on vous annonçait rapidement comme le futur Zidane…
Pour arriver à maturité, il m’a fallu plus de temps qu’à d’autres. Aujourd’hui, j’arrive à maturité, je suis plus fort mentalement. J’ai passé un palier à l’OM. Ça m’a fait du bien d’aller là-bas. J’y serais bien resté, mais Bordeaux avait son mot à dire car j’étais seulement prêté. Dommage que la finale de la Coupe de l’UEFA se soit mal passée avec ma sortie rapide due à l’expulsion de Barthez. La fête avait été un peu gâchée. Mais à Bordeaux, je suis devenu un leader sur le terrain. C’est ce que me demande Michel Pavon. Il y a des leaders du vestiaire et des leaders du terrain. Comme je suis assez discret, je suis plus un leader de terrain.
Pourquoi on la pas gardé .....