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13 Nov 2004, 00:56

il s'emballe les c.........


Quelle souplesse :shock:

13 Nov 2004, 01:02

Boobie : Je fait mon possible pour rester le plus correct possible ... :mrgreen:





___________________________________

C'est pas nous c'est les autres @ CRI ( Culte Révolutionnaire indépendant )

13 Nov 2004, 01:04

ROCCA, dernierement j'ai regardé l'emission d'Ardisson sur Paris Premiere , il y'avait Tapie , Boli , Saccomano d'invités .... Tapie a parlé du procés et a dit que a coup sur il racheterai l'OM si il gagné " que RLD avait 8 jours pour faire ses valises " , car l'OM lui manqué trop et que Bouchet c'etait un rigolo qui conné rien au foot bla bla bla ... Boli il essayé de le faire comprendre que c'etait une connerie si il le fesait en lui disant " mais sa sert a rien tu peu pa refaire ce que ta crée a l'époque glorieuse , les joueurs maintenant il veulent tous allé en Angleterre , Espagne ou Italie ... " , et Tapie lui disé " arrete Basile je té déja parlé du projet et tu été d'accord pour intégré le staff " , Boli etait mort de rire et a nié , lol mais c'etait bien drole quand meme l'émission

13 Nov 2004, 01:31

LeRat-Luciano, en gros c'est un myto cette histoire

13 Nov 2004, 01:45

n'empeche,en 2000 il disait qu'il reviendrait tout en insultant RLD ds la presse... personne n'y croyait et un an plus tard il etait la :)

certains disent qu'il mettra jamais l'argent qu'il peut toucher avec le Lyonnais dans l'achat de l'OM
moi je me demande si Dreyfus serait pas soulagé de filer le club pour un prix cadeau
il aurait l'assurance de plus perdre de fric, il toucherait un peu de pognon pour sauver la face et passerait pas pour un pourri a lacher le club dans la nature

faut jamais parler d'impossibilité avec Tapie... et il peut aller tres vite si la tunne tombe et qu'il a vraiment envie de revenir en tant que boss :mrgreen:

voila je suis sympa, j'entretiens le reve pour ROCCA :P

13 Nov 2004, 01:53

explicons qui est ROCCA pour ceux qui le savent pas gigi,

Rocca est quelqu'un qui a des pates d'ours a la place des mains , qui se paluche sur Mido et qui croit au pere noel

13 Nov 2004, 02:04

:D

13 Nov 2004, 02:15

Erreur : Forum inconnu
Le forum demandé n existe pas

marche pas ton lien :roll:


ça fait au moins 5 ans qu'on entend dire ça...

13 Nov 2004, 10:36

Atary, bah ce que je raconte c vrai .... maintenant a savoir si Tapie le fera vraiment ca c une autre histoire

13 Nov 2004, 10:38

pour info dans le proces qui risquede saranger a lamiable tapis devrai recuperer entre 2 et 3 milliard de francs et il en doit environ 900 million (fisc et autre)!
et si j'ai bien compris si ca se passe mal tapis aurait le droi de reclamer la valeur d'adidas de nos jour soit environ 36 milliard de francs

13 Nov 2004, 11:15

Rocca est quelqu'un qui a des pates d'ours a la place des mains , qui se paluche sur Mido et qui croit au pere noel
:D ptdr....

mais c sut drogba queje me paluche surtotu mido aurait était pour moi la meilleure alternative apres son depart (a drogba)
en faite j ai aps de pattes d ours mais juste l index et el majeur inversé

13 Nov 2004, 11:26

tout le monde aimerait le retour de TapieIII mais a t'il encore l'envie, et ne risque t'on pas de vivre une saison comme lors de TapieII :?:

13 Nov 2004, 11:47

FINANCE La cour d'appel a confié la médiation à l'ancien procureur de la Cour de cassation
Adidas : Bernard Tapie et l'Etat ont trois mois pour s'entendre

J.-O. M.
[13 novembre 2004]


Bernard Tapie peut commencer à relever la tête. Comme l'a révélé Le Figaro économie (voir nos éditions du 10 novembre), la cour d'appel de Paris a donné hier en fin d'après-midi son accord pour l'ouverture d'une médiation de trois mois en vue de trouver une solution globale et définitive à l'ensemble des procédures judiciaires concernant Bernard Tapie, et notamment son différend avec l'Etat dans la cession d'Adidas. Cette médiation sera conduite par Jean-François Burgelin, ancien procureur de la Cour de cassation.


La décision de la cour d'appel intervient après que Bercy a donné son feu vert au principe d'une négociation amiable. Un feu vert qui sonne comme une quasi-victoire morale pour Bernard Tapie. Car négocier, c'est admettre en quelque sorte que les procédures judiciaires engagées par les actionnaires minoritaires et les liquidateurs de BTF (Bernard Tapie Finance) à l'encontre du Consortium de réalisation (CDR) – la structure publique en charge du traitement des dossiers pourris du Crédit lyonnais –, dans l'affaire Adidas, ne sont pas sans fondement.


A la lecture des différents jugements qui jalonnent la dernière décennie de l'homme d'affaires, on a appris à le ranger dans le camp des coupables. La méfiance, diront certains, doit prévaloir lorsque Bernard Tapie s'érige en victime. Sauf que dans le cas de l'affaire de la cession d'Adidas, la donne est un peu différente des autres affaires judiciaires : c'est l'homme d'affaires qui, indirectement, a porté plainte contre le CDR. Charge au consortium de démontrer que Bernard Tapie n'a pas été escroqué et privé de plus-values dans cette cession.


C'était tout l'enjeu de ce procès qui devait s'ouvrir le 18 novembre prochain et qui se déroulera à partir du 30 mars prochain en cas d'échec de la médiation. Si dans les trois mois, les parties s'accordent sur une transaction amiable, ce procès n'aura pas lieu. Bernard Tapie aura tout loisir de revendiquer la victoire. Bercy se flattera d'avoir réglé en quelques mois un conflit qui traîne depuis une décennie. Le CDR devrait faire profil bas. Et les contribuables qui ont indirectement mis la main à la poche pour éponger les affaires du Crédit lyonnais ne sauront jamais si la banque a «roulé» Bernard Tapie. Dommage ! Car l'affaire Adidas mérite quelques éclaircissements tant les analyses des faits par les parties sont opposées.

14 Nov 2004, 08:10

Bonjour,

Voici les explications sur le dossier également dans le figaro :

Duel autour d'une vente contestée

Jacques-Olivier Martin
[13 novembre 2004]

Lorsque Bernard Tapie rachète la société Adidas dans une situation très difficile, en juillet 1990, l'homme d'affaires est heureux. C'est le dossier de sa vie, laisse-t-il entendre. Celui qu'il ne revendra jamais. Et pourtant... C'était parler un peu vite. En décembre 1992, Pierre Bérégovoy, premier ministre à l'époque, rappelle l'entrepreneur, écarté un temps en raison de sa mise en examen, au gouvernement. Cette proposition tente Bernard Tapie. Mais ce dernier comprend qu'il doit abandonner sa casquette de chef d'entreprise et se désengager de son groupe, donc d'Adidas.
Le 16 décembre 1992, BTF (Bernard Tapie Finance) consent un mandat de vente à la SDBO, une filiale du Lyonnais, principal créancier du groupe Tapie. Les modalités de l'opération sont précises. La SDBO devra vendre avant le 15 février 1993 les 78% du capital d'Adidas détenus par BTF au prix de 2,085 milliards de francs.

Le 12 février 1993, un tour de table est constitué. Il est composé de deux sociétés off-shore (Oméga Ventures et Coatbridge), d'institutionnels français (Groupe Worms, AGF, Crédit lyonnais) ainsi que Ricesa, une société contrôlée par Robert Louis-Dreyfus, l'homme qui a redressé la société de publicité Saatchi & Saatchi et qui s'apprête à prendre la direction opérationnelle d'Adidas.
A priori, tout se passe bien. BTF obtient, lors de cette vente, le prix attendu. Mais c'est sans compter sur un événement qui va tout bouleverser. Le 31 décembre 1994, Robert Louis-Dreyfus et ses associés annoncent qu'ils rachètent les 85% d'Adidas qu'ils ne détiennent pas, sur la base d'une valeur d'entreprise de 4,65 milliards de francs. En vingt et un mois, Adidas s'est apprécié de 2 milliards de francs. Mieux, fin 1995, la marque aux trois bandes entre en Bourse : sa capitalisation atteint 11 milliards de francs !

Pour Bernard Tapie, les liquidateurs des sociétés de son groupe et les actionnaires minoritaires de BTF, la messe est dite. Tous ont le sentiment amer de s'être faits floués par le Crédit lyonnais. Pour eux, Adidas valait beaucoup plus que les 2 milliards de francs récupérés trente mois plus tôt. De fait, ils réclament aujourd'hui l'équivalent d'un peu plus de 1 milliard d'euros au CDR.
Ils estiment en effet que le Crédit lyonnais leur a dissimulé des informations précieuses sur les modalités de la vente. Lesquelles ? La première est la signature d'un contrat prévoyant une rétrocession complète du capital d'Adidas à Robert Louis-Dreyfus. Le 12 février, jour du rachat des actions détenues par BTF dans Adidas, les nouveaux actionnaires ont en effet paraphé un contrat dans lequel ils s'engagent à revendre leurs parts à Ricesa (la société de Robert Louis-Dreyfus), si l'intéressé le souhaite, sur la base d'une valorisation de l'entreprise de 4,65 milliards de francs. Cette option étant valable jusqu'au 31 décembre 1994.

La seconde information aurait été que le Crédit lyonnais s'est mis en situation de récupérer la plus grande part des plus-values réalisées par les actionnaires en cas d'exercice de cette option. Le Lyonnais n'est en effet pas un simple actionnaire d'Adidas dans cette affaire. La banque organise le tour de table et surtout accorde à tous ces nouveaux actionnaires des prêts pour financer l'intégralité de leur investissement. Le tout à un taux imbattable de 0,5% l'an ! En contrepartie, en cas de cession, les bénéficiaires s'engagent à reverser au Crédit lyonnais les deux tiers de la plus-value réalisée. Le prix de l'option étant fixé, le Lyonnais engrange environ 1 milliard de francs lors de l'exercice de l'option du 31 décembre 1994. Une nouvelle plus-value, d'un montant comparable, a été réalisée par la banque lors de l'introduction en Bourse d'Adidas.

Pour les liquidateurs et les autres minoritaires, la société allemande n'a pas été achetée par de nouveaux actionnaires indépendants. Il s'agit d'une opération de portage au profit du Lyonnais et dans l'attente que Robert Louis-Dreyfus se décide à exercer ou non son option. Le portage n'est pas en soit interdit. A condition de respecter la loi. Le Code civil interdit aux mandataires d'acquérir directement ou indirectement les biens qu'ils mettent en vente. De ce fait, la SDBO aurait manqué à ses obligations contractuelles. En outre, ils estiment que la banque publique croyait au retournement d'Adidas dans la mesure où elle s'est réservé la majorité des plus-values.
Du côté du CDR et du Crédit lyonnais, on réfute en bloc cette analyse. Pas question de contester l'existence du montage. Dès le début de 1993, plusieurs articles de presse parlent du reste de portage. En revanche, ils récusent l'idée de l'avoir imaginé pour dégager des plus-values. Bien au contraire même. Pour eux, il s'agissait en réalité d'un plan de sauvetage et pas d'un coup monté pour spolier Bernard Tapie.

En 1992, Adidas est «au bord du dépôt de bilan», insiste un ancien cadre du Crédit lyonnais. La marque aux trois bandes affiche cette année-là 510 millions de francs de pertes nettes contre 52 millions de francs de bénéfices en 1991. La marque perd en outre du terrain face à ses concurrents Reebok et Nike. Autre preuve de ses difficultés, le groupe britannique Pentland, qui détient 20% d'Adidas et une option de rachat des parts de BTF, s'engage en juillet 1992 à racheter la participation de BTF sous réserve d'un audit approfondi de l'entreprise. En octobre, la société jette l'éponge.
Quelques semaines plus tard, le 17 novembre, Clinvest propose à Jean-Yves Haberer, le président du Lyonnais, de sortir BTF d'Adidas car la société de Bernard Tapie ne dispose pas des moyens financiers de procéder à une nouvelle et indispensable recapitalisation de l'entreprise allemande.

C'est alors qu'intervient la fixation du prix de sortie d'un Bernard Tapie consentant. Les parties retiennent une valeur correspondant au prix d'achat d'Adidas que Pentland aurait payé, soit 2,085 milliards de francs pour les 78% du capital. Ce prix est alors jugé très correct, d'autant que Pentland n'a pas donné suite à ce niveau. En outre, Bernard Tapie s'en sort avec une plus-value. Une expertise menée par la juge Eva Joly l'a confirmé.
Il faut encore trouver un repreneur. Des contacts sont pris avec des industriels, notamment français, mais sans succès. Reste le cas de Robert Louis-Dreyfus. Approché dès le début de l'automne 1992 pour prendre la direction opérationnelle de la marque aux trois bandes, le président de Saatchi & Saatchi n'est pas opposé à condition de pouvoir racheter l'entreprise. Pouvait-il et voulait-il prendre le contrôle du groupe dès le début de l'année 1993 ? Mystère.

En tout cas, faute d'acheteurs, le Lyonnais prépare un montage dans lequel la banque prend tous les risques. En effet, si les conventions de prêts entre le banquier et les nouveaux actionnaires prévoient une rétrocession substantielle des plus-values au Lyonnais, il est aussi écrit que les nouveaux actionnaires ne remboursent pas leur emprunt en cas de défaillance de l'entreprise. Robert Louis-Dreyfus, grand gagnant de toute cette affaire, peut dès lors difficilement refuser. S'il échoue, il ne perd rien. S'il redresse Adidas, il devient son propriétaire, sans avoir à assumer jusqu'au 31 décembre 1994, le moindre risque.
On connaît la suite. Le sauvetage a fonctionné à merveille. Trop bien aux yeux de Bernard Tapie qui estime qu'Adidas était en retournement fin 1992 et pas en quasi-faillite. Autrement dit, il aurait été sorti au milieu du gué.

14 Nov 2004, 08:17

Et pis un autre

JUSTICE La cour d'appel n'aurait pas à se prononcer sur cet ancien différend avec le Crédit lyonnais

Adidas : Bercy accepte de négocier avec Bernard Tapie

Bertille Bayart
[10 novembre 2004]

Dans cette affaire, Bernard Tapie serait, et de loin, le plus grand bénéficiaire des dommages et intérêts éventuellement versés.

La bataille que se livrent depuis dix ans le Crédit lyonnais et Bernard Tapie ne se réglera pas au tribunal. Alors que la cour d'appel devait ouvrir le procès civil de ce dossier retentissant le 18 novembre, les différentes parties en présence s'apprêtent, selon nos informations confirmées auprès de plusieurs sources, à entrer dans les tout prochains jours dans un processus de médiation, sous l'égide de Jean-François Burgelin, ancien procureur général de la Cour de cassation.


Cette décision d'entrer dans une négociation amiable surprend de nombreux connaisseurs de l'affaire, tant elle paraît politiquement risquée pour le gouvernement. Car, dans ce dossier, c'est l'Etat qui est en première ligne, s'étant substitué au Crédit lyonnais pour les contentieux datant du début des années 90.


La médiation rendra, si elle aboutit, inutile la procédure en cour d'appel. La procédure concerne, principalement, deux parties. D'un côté, l'Etat, de l'autre, Bernard Tapie. Formellement, le premier intervient par l'intermédiaire du Consortium de réalisation (CDR), la structure qui a hérité des actifs compromis du Lyonnais. Quant à l'ancien homme d'affaires, il n'est juridiquement pas partie prenante à la procédure, menée en droit au nom des actionnaires minoritaires de son ancienne société, Bernard Tapie Finance (BTF). Mais, concrètement, Bernard Tapie serait, et de loin, le plus grand bénéficiaire des dommages et intérêts éventuellement versés. Devant la cour d'appel, les minoritaires et les liquidateurs de BTF ne réclament pas moins de 1 milliard d'euros au CDR. Ils affirment que le Crédit lyonnais les a spoliés d'une importante plus-value lors de la cession en 1993-1994 d'Adidas, alors propriété de BTF, à Robert Louis-Dreyfus.


Du côté des minoritaires de l'ancien BTF, de son liquidateur et de Bernard Tapie, on est de longue date favorable à une résolution amiable de cette affaire, déjà ancienne et qui risque devant les tribunaux de traîner encore de longues années. En revanche, du côté du Crédit lyonnais puis du CDR, la stratégie a longtemps été de camper sur un refus de s'engager dans toute négociation. Une position qui a manifestement changé au cours des dernières semaines. «La décision d'accepter une médiation a été prise par le ministre de l'Economie», affirme une source proche du dossier.


Cette stratégie, même accompagnée d'une grande prudence, puisque sept conditions auraient été posées par Bercy à la conclusion effective d'une transaction, étonne plus d'un expert de cette affaire tant elle est porteuse de risques politiques. Certes, l'Etat peut légitimement souhaiter solder un dossier qui n'a que trop duré. Mais s'engager dans une médiation signifie aussi accepter de négocier avec Bernard Tapie. «Cela va accréditer l'idée que le dossier monté contre le Crédit lyonnais et le CDR est solide», s'insurge un proche du dossier.


Tout dépendra in fine de la forme que prendrait une éventuelle transaction.

Car, explique-t-on, un accord n'impliquera pas forcément un coût pour le CDR, donc pour le contribuable. Deux éléments sont en effet dans la balance. D'une part, les dommages et intérêts réclamés au CDR (1 milliard d'euros). D'autre part, les dettes de Bernard Tapie auprès du même CDR, soit un montant de l'ordre de 120 millions d'euros. L'ancien homme d'affaires, devenu acteur, est en situation de faillite personnelle. Un accord amiable dans l'affaire Adidas pourrait le faire sortir de ce statut. Reste à savoir quelles seront les prétentions de Bernard Tapie et des représentants de l'ex-BTF dans le cadre d'une procédure amiable.

Devant la cour d'appel, ils s'apprêtaient à défendre l'idée que BTF a été lésé lors de la vente d'Adidas en 1993. A l'époque, le Crédit lyonnais et Bernard Tapie avaient décidé de dénouer leurs liens. Dans ce cadre, BTF a confié le 16 décembre 1992 un mandat à la SDBO, son banquier, filiale du Crédit lyonnais, en vue de la cession d'Adidas. Selon les minoritaires de BTF et de Bernard Tapie lui-même, il y a eu faute dans l'exécution de ce mandat. Le Crédit lyonnais aurait, d'une part, imposé un prix (2,08 milliards de francs à l'époque) et, d'autre part, organisé un portage destiné à lui assurer un gain ultérieur substantiel puisque, in fine, Adidas a été introduit en Bourse en 1995 pour une valorisation de 11 milliards de francs.

Voila maintenant vouss etes des spécialistes du dossier :!:

14 Nov 2004, 08:23

Une procédure de médiation a été ouverte entre Bernard Tapie et le Crédit lyonnais

LE MONDE | 13.11.04

Dix ans après son divorce avec le Crédit lyonnais, la banque qui avait largement contribué à sa réussite, Bernard Tapie a trouvé une nouvelle raison d'espérer un règlement qui lui soit favorable. La cour d'appel de Paris a validé, vendredi 12 novembre, l'ouverture d'une procédure de médiation dans le conflit qui oppose l'ancien ministre et homme d'affaires - aujourd'hui comédien de théâtre et de télévision -, les actionnaires minoritaires de ses anciennes sociétés et le Consortium de réalisation (CDR), société de défaisance chargée de liquider les actifs douteux de l'ancienne banque publique - et placée sous la tutelle du ministère des finances. Cette médiation a été confiée à l'ancien procureur général près la Cour de cassation Jean-François Burgelin, qui vient de quitter ses fonctions dans la magistrature. Celui-ci dispose de trois mois pour parvenir à un accord entre les protagonistes. L'audience prévue pour le 18 novembre a été annulée ; si la mission de M. Burgelin ne prospère pas, elle se tiendra le 30 mars 2005.

Formellement, cette procédure a été proposée à la cour d'appel par Me Jean-Claude Pierrel, liquidateur de la société Groupe Bernard Tapie (GBT) et de ses filiales, dont la Financière immobilière Bernard Tapie (FIBT), ainsi que par l'avocat Jean-René Farthouat, qui représente les actionnaires minoritaires de l'ancienne holding de l'homme d'affaires, Bernard Tapie Finance (BTF). Placé en liquidation personnelle, dépossédé de l'ensemble de ses sociétés, M. Tapie ne peut être lui-même partie à cette procédure, mais son avenir dépend de l'issue de cette médiation puisque celle-ci se substitue à l'ensemble des procédures civiles en cours qui le visent personnellement.

Interrogé vendredi 12 novembre, M. Tapie a indiqué au Monde s'être engagé, avec son épouse, à "accepter les termes de la médiation quel qu'en soit le contenu". Le président du CDR, Jean-Pierre Aubert, a indiqué qu'il était "prêt à régler le problème en trois mois" mais qu'il "ne jouerait pas les prolongations".

Voilà dix ans que M. Tapie accuse le Crédit lyonnais de l'avoir floué lors de la revente d'Adidas. A l'en croire, la banque n'aurait pas respecté les termes du mandat de cession qu'il lui avait confié et aurait dissimulé d'importantes plus-values, notamment au moyen d'une opération de portage frauduleuse. M. Tapie avait cédé le groupe d'équipements sportifs en 1992, au prix de 2 milliards de francs (305 millions d'euros). Celui-ci avait été revendu, deux ans plus tard, à un prix dépassant le double, avant d'être valorisé à hauteur de 11 milliards (1,6 milliard d'euros) lors de son introduction en Bourse. Les liquidateurs de ses anciennes sociétés ont repris son argumentation, pour réclamer à présent quelque 977 millions d'euros au CDR.

Pour leur part, le Crédit lyonnais et CDR ont toujours contesté la moindre faute et, partant, la moindre dette à l'égard de M. Tapie et de ses liquidateurs. "La capacité de Bernard Tapie à réécrire l'histoire est intacte, mais il n'est pas fondé à réclamer quoi que ce soit sur Adidas", déclarait ainsi l'ancien président du Crédit lyonnais, Jean Peyrelevade, dans Le Monde du 2 mars 1998. La médiation ne tranchera pas sur le fond entre les deux parties ; elle ne consiste qu'à tenter de trouver un modus vivendi entre leurs exigences respectives. Si elle échoue, c'est la justice qui aura le dernier mot.

Jacques Follorou
• ARTICLE PARU DANS L'EDITION DU 14.11.04

14 Nov 2004, 08:37

un conseil Bouchet: profite bien des dernieres semaines qu'il te reste a faire au club 8)

14 Nov 2004, 08:50

LeRat-Luciano a écrit:ROCCA, dernierement j'ai regardé l'emission d'Ardisson sur Paris Premiere , il y'avait Tapie , Boli , Saccomano d'invités .... Tapie a parlé du procés et a dit que a coup sur il racheterai l'OM si il gagné " que RLD avait 8 jours pour faire ses valises " , car l'OM lui manqué trop et que Bouchet c'etait un rigolo qui conné rien au foot bla bla bla ... Boli il essayé de le faire comprendre que c'etait une connerie si il le fesait en lui disant " mais sa sert a rien tu peu pa refaire ce que ta crée a l'époque glorieuse , les joueurs maintenant il veulent tous allé en Angleterre , Espagne ou Italie ... " , et Tapie lui disé " arrete Basile je té déja parlé du projet et tu été d'accord pour intégré le staff " , Boli etait mort de rire et a nié , lol mais c'etait bien drole quand meme l'émission

franchement si tout sa c'est vrai marseille va revolutionner a 200 % deja d'un il va vite changé se logo pourit porte poisse,degager les joueur trouble faite(ex:christanval) et puis prendre un ou des buteur pour sont club cheri et en 2 3 ans je pense que l'equipe sera une vrai team pour rivalisé avec tout les teams d'europe,mes j'ai oublier un point tres importent c'est le staff je pense aussi que nanard va vite jetet tout less imcompetent
nanard revient nous vite :cry:

14 Nov 2004, 11:57

L'vantage c qu'avec lui les supp seraient patient (on avait rien branlé lorsqu'il est revenu et changé 10 fois de coach sans qu'il n'y ai de greve ou autre)

14 Nov 2004, 12:07

vous y croyez quand meme...

vous êtes pires que ROCCA :lol:
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