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ouais, exactement. C'est bien beau de parler de rajeunissement et tout MAIS DES NOMS!!Magneto a écrit:Jester, donne des noms de jeunes qui peuvent prétendre faire mieux que ceux qui ont été appelés pour ces matches
Jester a écrit:Magneto a écrit:Jester, donne des noms de jeunes qui peuvent prétendre faire mieux que ceux qui ont été appelés pour ces matches
je ne suis pas sélectionneur, Domenech oui, c'est son boulot. Il n'a que ça à faire.
Soit on dit pas la peine d'incorporer des jeunes, et donc on pense que les "anciens" suffisent largement, avec quelques retouches par ci par là... et à ce moment là on est en droit de demander plus et de biens meilleurs résultats qu'actuellement.
Soit on dit qu'il faut dès à présent tourner la page "Zidane- Champions du Monde" et on fait le pari du renouvellement... et à ce moment là on peut dire qu'on doit être patients et que l'équipe est en contruction.
Actuellement, Domenech a choisi la première voie. Et son équipe n'est donc pas en reconstruction.
c'est ca qu'il faut faire. Il faut evidemment pas faire table rase et juger des perf sur le terrain donc henry, pires, sylvestre -> dehors!!peezee a écrit:Non, ama RD n'a pas d'autre choix que de "mixer" qq anciens avec les jeunes, c'est pour moi la façon la plus rationnelle d'assurer la transition tout en gardant nos chances de participer à la CDM - qui comme tu sais est TRES importante pour que nos jeunes franchissent un palier. Ca c'est que perso j'appelle une "reconstruction".
Cinq mois et demi de travail
La France a su éviter le pire sans atteindre le meilleur, mercredi soir à Nicosie. Elle a remporté face à Chypre la deuxième victoire de sa campagne éliminatoire vers la Coupe du monde 2006, la deuxième à l'extérieur, face à la deuxième équipe la plus faible du groupe après les Féroé, sur le même score (2-0). Sylvain Wiltord et Thierry Henry ont fait basculer, par leur froid réalisme, une partie mieux entamée que toutes les autres, mais au cours de laquelle les Bleus ont aussi connu des passages à vide effroyables. Une nouvelle fois, sans Barthez, l'histoire de cette équipe aurait pu connaître un autre cours. Cependant, l'enjeu était si capital que les Français ne vont pas se perdre dans les mises en relief perfectionnistes dans l'avion du retour. Cette victoire était indispensable, incontournable, vitale pour ne pas dévier de l'objectif final. Pour le reste, les Bleus ont maintenant du temps devant eux. Un luxe remarquable dans leur situation actuelle, qu'il faudra exploiter au mieux, car cette équipe repart vraiment de loin.
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