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beenie a écrit:lol
argentina, franchement ca va etre chaud pour la france aussi. Y a pas grd chose qui indique que la fr peut dechirer l'irlande. L'irlande a de toutes facons, rien a perdre et c'est pas non plus les iles feroes (qu'on a du mal a battre).
Il parait que la fr va jouer a l'ext et que pres de 40000 irish sont attendus au stade de France (rebaptise "stade d'irlande" pour l'occasion).
« RAYMOND DOMENECH a-t-il compris votre détermination à évoluer en défense centrale ?
– Apparemment, non. Mais tout le monde a le droit d’avoir une opinion différente. Le sélectionneur veut m’utiliser au poste d’arrière gauche. Je vais répondre présent, montrer que je suis capable de combler son attente de manière positive. L’important, c’est de prendre du plaisir. Comme lors de mon dernier match officiel à ce poste, contre la Croatie (2-2).
– Vous êtes titulaire dans l’axe à Manchester United. Finalement, vous ne parvenez toujours pas à vous fixer à un poste en équipe de France du fait de votre polyvalence…
– L’important, c’est de jouer. Pour Gallas, pour moi ou pour Thuram, ç’a toujours été la même histoire, le même combat. Même mes proches ont un avis partagé. Ce sera peut-être un débat qui durera jusqu’à la fin de ma carrière. En fait, les gens s’en foutent un peu à partir du moment où l’équipe gagne. C’est vraiment un débat de spécialistes. Les joueurs doivent s’adapter. Moi, du moment qu’on ne me fait pas jouer à droite…
– Que vous a demandé Raymond Domenech ?
– Il m’a tenu un discours très clair. Je dois imposer ma puissance dans le couloir gauche. Il attend de moi une participation offensive et une grosse activité athlétique. Il pense que j’ai les qualités pour ça. Il faudra que je “dédouble” avec Robert Pires. Ce poste d’arrière gauche exige un plus grand don de soi. Il faut avoir la volonté de se faire mal. Voilà pourquoi je n’ai pas refusé d’y évoluer.
(...)
beenie a écrit:Gentil Bourriquet, pkoi il vient ouvrir sa bouche dans l'equipe le sylvestre?
Deja, il devrait etre bien heureux que domenech le selectionne et encore plus qu'il le mette titulaire
COUPE DU MONDE 2006 (qualifications) – FRANCE - EIRE
Pas de malentendu
Mikaël Silvestre débutera arrière gauche mais ne veut pas polémiquer.
De retour en équipe de France après une parenthèse de trois matches (Bosnie-Herzégovine, Israël et Îles Féroé), le défenseur central titulaire de Manchester United débutera une nouvelle fois au poste de latéral gauche ce soir, face à l’Eire. Sans esprit de polémique et presque à 100 % de ses moyens, Silvestre évoluera avec une protection sur la cheville droite, son hématome apparu mercredi étant en voie de guérison. Hier, il a fait le point sur son état d’esprit.
« RAYMOND DOMENECH a-t-il compris votre détermination à évoluer en défense centrale ?
– Apparemment, non. Mais tout le monde a le droit d’avoir une opinion différente. Le sélectionneur veut m’utiliser au poste d’arrière gauche. Je vais répondre présent, montrer que je suis capable de combler son attente de manière positive. L’important, c’est de prendre du plaisir. Comme lors de mon dernier match officiel à ce poste, contre la Croatie (2-2).
– Vous êtes titulaire dans l’axe à Manchester United. Finalement, vous ne parvenez toujours pas à vous fixer à un poste en équipe de France du fait de votre polyvalence…
– L’important, c’est de jouer. Pour Gallas, pour moi ou pour Thuram, ç’a toujours été la même histoire, le même combat. Même mes proches ont un avis partagé. Ce sera peut-être un débat qui durera jusqu’à la fin de ma carrière. En fait, les gens s’en foutent un peu à partir du moment où l’équipe gagne. C’est vraiment un débat de spécialistes. Les joueurs doivent s’adapter. Moi, du moment qu’on ne me fait pas jouer à droite…
– Que vous a demandé Raymond Domenech ?
– Il m’a tenu un discours très clair. Je dois imposer ma puissance dans le couloir gauche. Il attend de moi une participation offensive et une grosse activité athlétique. Il pense que j’ai les qualités pour ça. Il faudra que je “dédouble” avec Robert Pires. Ce poste d’arrière gauche exige un plus grand don de soi. Il faut avoir la volonté de se faire mal. Voilà pourquoi je n’ai pas refusé d’y évoluer.
– Avec cette fois un statut de plus ancien défenseur en activité…
– Il va falloir que je me comporte comme un leader, même si je suis excentré. Déjà, en club, avec Gary Neville, c’est moi qui possède le plus grand nombre de matches. Est-ce que les conditions me sont favorables ? Je n’en sais rien.
– Comment avez-vous vécu vos absences contre Israël et les Îles Féroé ?
– Je n’étais pas content, j’étais même très surpris. J’ai regardé la liste à deux fois. Mais voilà, j’étais mis devant le fait accompli. Et comme je n’ai pas eu Raymond Domenech au téléphone, je me suis contenté de lire ses choix. Il a dit qu’il avait envie de voir d’autres joueurs. Alors j’ai essayé d’être bon avec Manchester United. Et comme on jouait tous les trois jours, je n’ai pas eu le temps de gamberger.
« On ne peut
pas tout me mettre
sur le dos »
– Si Abidal avait été apte, auriez-vous été retenu ?
– Je ne sais pas. Le sélectionneur m’a parlé. Il m’a dit qu’il avait besoin de moi pour s’inscrire dans le temps. Il m’a demandé de lui faire confiance. Il y a du respect, je pense, entre nous. J’espère. Tellement de choses ont été dites sur cette équipe en reconstruction. Alors je ne m’attarde pas trop sur mon cas personnel. Je pense seulement à disputer ce match et à le gagner. J’ai envie d’être dans cette équipe et d’aller à la Coupe du monde 2006. Je pense que ça va bien se passer. Les joueurs sont déterminés, concentrés. On a besoin d’un match-référence, de lancer notre saison, d’une belle victoire. C’est simple. Ce succès ne tient qu’à nous.
– Et si vous étiez resté sur le banc face à l’Irlande ?
– En étant convoqué, je l’aurais très mal pris. Tu n’es jamais content quand tu ne joues pas mais, là, c’est moi qui avais le plus de sélections en défense. J’espérais encore plus jouer. Mais n’allez pas écrire qu’il existe un quelconque malentendu. Si je veux revenir la prochaine fois, il faudra que je sois bon. Tout simplement.
– Avez-vous digéré votre Championnat d’Europe raté ?
– J’ai tourné la page. J’ai fait des prestations correctes, à part quelques actions. J’ai concédé deux penalties malheureux. Disons que c’est un ensemble. Il faut respecter les priorités du poste. On ne peut pas tout me mettre sur le dos. J’ai essayé de rattraper les coups. De toute façon, le grand public pense que j’ai provoqué deux penalties et donné une passe à l’adversaire. Mais si j’avais été aussi mauvais que ça, je n’aurais pas été titularisé à chaque match. Maintenant, c’est vrai, je n’étais pas content de moi.
– Le retour des cadres contre l’Irlande vous inspire-t-il confiance ?
– Oui, car beaucoup de jeunes joueurs ont été lancés dans le bain en même temps. C’était difficile à gérer. Le niveau international, c’est un cran au-dessus. Moi, quand je me souviens de ma première sélection, je compare ça à une autre planète. »
JOËL DOMENIGHETTI
en milieu off, vu les pref de wiltord en ce moment, c'est ce qu'on a de mieux.
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