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Chris Red a écrit:Vous hallucinez sur Wahi...
peezee a écrit:Et personne ici ne l'a "enterré" (enfin me semble pas mais j'ai p-ê loupé un post),
Marseillais-du-93 a écrit:Wahi va vite finir sur le banc. Tête molle, frappe molle, rate l’immanquable. Il pue l’arnaque ce type.
Jack73 a écrit:Je crois qu'on a chopé le gros lot avec ce tocard
oukimaya a écrit:Wahi , bien avant son match du soir , ça pue quand même l erreur de casting.
Par contre , outre son match , tu sens qu il y du Dembele en lui , il a un peu les yeux qui sentent le vide à l intérieur
Pancho11 a écrit:J'ai aussi des doutes sur son mental qui était déjà limite à Lens. Mais maintenant il est là le flinguer est stupide
gigi a écrit:Pancho11 a écrit:J'ai aussi des doutes sur son mental qui était déjà limite à Lens. Mais maintenant il est là le flinguer est stupide
C’est stupide mais autant dire que la pression d’un grand club c’est stupide. On y peut rien, faut faire avec et recruter en conséquence.
Wahi arrive avec le statut du buteur phare, il a eu des mots polémiques sur l’OM, ça réduit forcément la patience que le public aura. C’est aussi aux dirigeants de pas être stupides en foirant trop régulièrement des recrues phares.
gigi a écrit:Pancho11 a écrit:J'ai aussi des doutes sur son mental qui était déjà limite à Lens. Mais maintenant il est là le flinguer est stupide
C’est stupide mais autant dire que la pression d’un grand club c’est stupide. On y peut rien, faut faire avec et recruter en conséquence.
Wahi arrive avec le statut du buteur phare, il a eu des mots polémiques sur l’OM, ça réduit forcément la patience que le public aura. C’est aussi aux dirigeants de pas être stupides en foirant trop régulièrement des recrues phares.
Dragan a écrit:InformationDécryptage : pourquoi le plan de l'OM a (un peu) déraillé contre Reims
L'OM a de nouveau récité le football de Roberto De Zerbi durant une grande partie du match, face à Reims (2-2), dimanche. Mais son manque d'efficacité et les ajustements des visiteurs à la pause l'ont empêché d'être aussi bien payé qu'à Brest.
Avec un brin de réussite en plus, l'OM en serait à six points en deux journées et tout irait parfaitement bien sous le soleil de Marseille. Mais le football de haut niveau continue de se jouer dans les deux surfaces de réparation et dans ces zones-là, ce dimanche soir, face à Reims (2-2), les hommes de Roberto De Zerbi ont été moins inspirés qu'à Brest (1-5). Dans le Finistère, l'efficacité marseillaise, dans le sillage d'un Geronimo Rulli impérial et d'attaquants cliniques, avait scotché tout le monde. Au Vélodrome, le portier olympien n'a pas fait de miracle, Elye Wahi non plus, et ce sont les Rémois qui ont été les mieux payés.
À ce niveau-là, les expected goals sont formels : Marseille en cumulait 3,28 à la fin de la rencontre, Reims 0,95. Et si Rulli ne pouvait pas se reprocher grand-chose, Wahi devrait ruminer un moment sa première à domicile. Sorti sous les sifflets (67e), l'avant-centre aurait pu donner une autre tournure à la soirée s'il s'était montré plus « tueur ». Au contraire, il a buté sur Yehvann Diouf puis Joseph Okumu juste avant la pause et tout a changé, un quart d'heure plus tard.
Le milieu de l'OM ciblé par Elsner
Cette fois, Wahi n'y était pas pour grand-chose. Au retour des vestiaires, c'est plutôt vers Luka Elsner que les regards se sont (logiquement) tournés. Alors que l'OM avait plutôt bien récité le football sauce Roberto De Zerbi durant le premier acte, tout a été légèrement différent par la suite. « Je suis un peu responsable du niveau de souffrance que l'on a eu en première mi-temps, expliquait le coach rémois à DAZN, en après-match. Il y avait deux ou trois éléments tactiques qui n'allaient pas. On a essayé de les corriger. Ça nous a tout de suite remis dans le bain. »
Et ça a tout de suite embêté le « carré » marseillais, plaque tournante de la méthode De Zerbi. Durant le premier acte, comme à Brest une semaine plus tôt, c'est via deux lignes de deux joueurs placés dans le coeur du jeu que l'OM avait fait des dégâts (voir ci-dessous).
Comme à Brest lors de la première journée, Marseille s'est déployé avec une base à trois et un coeur du jeu composé par quatre joueurs très axiaux. Au milieu, Geoffrey Kondogbia, Pierre-Emile Höjbjerg, Luis Henrique et Amine Harit composaient le « carré » qui joue un rôle clé dans le nouveau système olympien.
Pour tenter de contrer cette approche, Elsner avait initialement demandé à Junya Ito et Keito Nakamura de se replacer à l'intérieur, tout près de Harit et Henrique. Sur le papier, l'approche semblait judicieuse mais elle empêchait, en réalité, Reims d'exercer la moindre pression sur la défense marseillaise. Et pour cause, le pauvre Oumar Diakité se retrouvait tout seul face aux premiers relanceurs locaux.
Ito et Nakamura (entourés en rouge) ont surveillé de près Harit et Henrique durant toute la première période. Balerdi et les défenseurs olympiens avaient alors tout le loisir de progresser balle au pied sans être pressés.
À mi-chemin, dans les vestiaires du Vélodrome, l'Ivoirien a dû apprécier que son entraîneur revoie ses plans. Comment s'y est-il pris ? En demandant à Valentin Atangana et Marshall Munetsi, deux vrais milieux défensifs, de jouer les rôles qu'Ito et Nakamura (ailiers) venaient de tenir.
En deuxième période, Harit et Henrique étaient marqués par Atangana et Munetsi. L'opération a permis à Ito et Nakamura (entourés en rouge) d'évoluer plus haut. Diakité et Yaya Fofana (troisième milieu dans le 4-3-3 d'Elsner) pouvaient, eux, presser le duo Höjbjerg-Kondogbia. Les premiers relanceurs marseillais ont donc dû composer avec davantage de Rémois dans leur zone durant le second acte.
Mieux organisés, positionnés un cran plus haut, les Rémois ont alors fait très mal durant un gros quart d'heure (1-2, 51e et 55e). Pour Marseille, la donne venait de se compliquer. Ce qui a permis de tirer deux enseignements : quand l'équipe de De Zerbi subit un pressing efficace dans des zones clefs, elle peut rencontrer des difficultés ; elle n'abandonne pas ses nouveaux préceptes à la moindre contrariété.
Au contraire, l'OM a continué de rechercher les mêmes circuits de passes, les mêmes chefs d'orchestres. Et il a suffi d'une erreur rémoise pour que cette cohérence tactique soit récompensée. Sur la séquence, Atangana a compensé une incursion de Sergio Akieme, son latéral gauche, Harit a pu être trouvé dans la zone où il demande inlassablement le ballon et quelques secondes plus tard, Marseille a égalisé (2-2, 72e).
De Zerbi pouvait souffler. Problème pour le manager italien, les siens n'ont pas su forcer le verrou une dernière fois, dans une fin de match où Reims s'est arcbouté devant son but. Que retenir, alors ? Que les coéquipiers de Leonardo Balerdi savent tenir un cap mais qu'ils viennent de perdre deux points à domicile. Et qu'ils ont encore du boulot. Leurs dirigeants aussi, alors que la fin du mercato approche. « RDZ » aurait, en tout cas, sûrement aimé pouvoir faire entrer un attaquant de pointe, un vrai, dans le money time.
Pour suppléer Wahi et vu qu'il doit désormais composer sans Faris Moumbagna (victime d'une rupture d'un ligament croisé antérieur), il a, au contraire, dû s'en remettre à Jonathan Rowe. Très remuant et impliqué sur le but de l'égalisation, l'Anglais n'en demeure pas moins un ailier de formation. Il n'a, en tout cas, pas vraiment le profil d'un pur finisseur. Quand les Olympiens ont multiplié des centres qui ne trouvaient que rarement preneurs, cela s'est vu. Même les plans de jeu les plus élaborés n'échappent pas à la dure loi des surfaces de réparation.
https://www.lequipe.fr/Football/Article ... ms/1503508
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