peezee a écrit: pareil, je capte pas qu'on ne puisse pas parler foot sans se faire rétorquer "ho gars ! tu peux kiffer un peu ? on est en 1/4 de finale putaing !".
C'est pas ça. Dimeco, comme d'autres, comme moi, on arrive sur le sujet après le coup de sifflet final et tu lis uniquement des : "Le match était pourri", "Gasset a merdé", "On a Rennes qui arrive", "J'ai zappé", etc.
Et donc on réagit sur l'ordre des choses, je sais pas, mais de mon côté (je ne m'avance pas sur les autres), j'ai sauté au plafond et gueulé de joie sur le but de Clauss après s'être chié dessus à 3-0 et après avoir senti depuis le début du match que l'arbitre allait sauter sur n'importe quelle occase pour nous la faire à l'envers.
C'est le
premier sentiment que j'ai ressenti (et ma femme aussi), on était heureux, on a kiffé la qualif mais bien !
Après on peut parler foot et se dire qu'on a trop subi, que les joueurs n'étaient clairement pas à l'aise et avaient peur de mal faire, que l'arbitre leur a mis une pression supplémentaire, qui venait s'ajouter à celle de Villarreal. Ce que j'ai ressenti c'est ça. La pression des supporters olympiens est telle que je pense que les joueurs ne voulaient pas les décevoir et se qualifier (ce qu'ils ont fait), et du coup en voyant le 2-0 (c'est là pour ma part qu'on a été marqué avec cette histoire de VAR sur le HJ et la validation du but), c'est là que ça a déraillé.
Ensuite Gasset a fait rentrer Aubameyang et Harit et en réorganisant le jeu, c'était tout de même mieux.
Puis y a eu le match de Lopez, merci à lui.
On s'attendait avant le match à un va-tout de Villarreal, on l'a eu.
On s'attendait à perdre le match mais à se qualifier quand même, on l'a eu.
Ce qui nous déroute dans l'expression de quelques forumeurs (encore que je ne vois pas tout sur le fil - heureusement
) c'est qu'on a l'impression qu'ils n'ont pas kiffé la qualif et ont commencé direct à critiquer le jeu, Gasset, les joueurs.
Oh merde, on est qualifié et on a battu 5-3 Villarreal qui n'était pas un petit club facilement écartable de la route des 1/4, d'ailleurs au tirage, on se demandait à quelle sauce on allait être mangés.
C'est donc juste une divergence d'émotions sur laquelle je, on, réagis.