Gennaro Gattuso, ex-entraîneur de l'OM

C'est un peu tôt pour juger que les recrues sont des échecs, non ? Certains s'adaptent vite quand d'autres ont besoin de 12 ou 18 mois. Thauvun par exemple était tellement quelconque qu'on était content de le dégager à Newcastle avant son retour et des saisons à plus de 10 buts/ 10 passes décisives.

J'adore quand on parle du départ de joueurs de "caractère" en citant Payet et Guendouzi notamment. En y ajoutant Sanchez et Kolasinac.

Ça change tout c'est vrai...

http://www.massalialive.com/les-notes/c ... e-de-route

Jester, ah bah c'est sûr que si tu choisis le pire match de toute la saison, ça va te permettre de basher TOUS les joueurs un par un. Pratique. Mais sans valeur aucune.

Y en a eu d'autres mais c'est pour dire que ça n'a rien changé au final.
http://www.massalialive.com/les-notes/j ... e-olympien
http://www.massalialive.com/les-notes/j ... rrive-plus
http://www.massalialive.com/les-notes/j ... tete-a-lom
Avec le "prodige" Gerson même ("qu'on a viré comme un malpropre") :
http://www.massalialive.com/les-notes/l ... naissables
Bref, y en a paxon.

Tu découvres le poncif du "c'était mieux avant"

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Vainqueur de l'AEK Athènes (3-1), jeudi, en Ligue Europa, dans une superbe ambiance au Vélodrome, Gennaro Gattuso, l'entraîneur de l'OM, n'a pas caché son plaisir. Gennaro Gattuso (entraîneur de l'OM, vainqueur 3-1 de l'AEK Athènes) : « En première période, on a bien joué, malgré quelques pressings ratés. Mais en deuxième, on a fait les mêmes erreurs qu'à Nice. Ils ont changé de pressing et on a fait des erreurs. On aurait dû jouer plus large. Leur but vient d'un pressing raté de notre part, Rongier monte trop haut et on leur a donné de l'espace. On doit être meilleurs dans la lecture du jeu.Sur l'ambiance, quitte à ce qu'on dise que je fais le saint, je me dis que dans le monde dans lequel on vit, ce serait beau de revoir souvent ce qu'on a vu ce soir (jeudi soir). J'aimerais voir plus de fraternité, comme on l'a vu aujourd'hui. L'ambiance était incroyable. Quand on joue dans un stade comme ça, cela te pousse.

C'est une valeur ajoutée pour nous et je le rappelle toujours à mes joueurs.Gennaro Gattuso« J'aurais pu donner plus de minutes à Vitinha depuis mon arrivée mais il aurait pu donner un peu plus aussi »Je suis très content du match de Vitinha comme de celui de tous mes joueurs. J'aurais pu lui donner plus de minutes depuis mon arrivée mais il aurait pu donner un peu plus aussi. Il sait ce que je pense de lui, que je veux le voir s'entraîner avec le sourire. Avec le sourire, on joue mieux au foot. On a seulement deux attaquants. Il est difficile d'imaginer un changement de système avec deux attaquants, avec lui et Aubameyang ensemble dès le début. »Matias Almeyda (entraîneur de l'AEK Athènes) : « Je veux analyser le match plus que l'arbitrage, même si les faits de jeu ont changé la partie. Je garde les premières minutes de la deuxième période, qui ont été très bonnes. L'OM ne nous était pas vraiment supérieur et le match était sous contrôle. Mais après le premier penalty, le match a changé. Le deuxième a ensuite mis fin au match. Il faut continuer, féliciter l'adversaire. Nous sommes une équipe, les erreurs arrivent et concernent toute l'équipe. On reste dans la course, rien n'est fait et on est prêts à se battree

Y a zero hype sur lui, l'histoire etait belle mais le gars est juste un bon joueur de Championship, championnat qu'on surcote mecaniquement, comme la PL.

Il est pas nul (il cree enormement d'occases) mais il est tres maladroit dans les derniers gestes (outre ses rates hier ses passes decisives sont toujours donnees un temps trop tard, comme sur le but de Sarr par exemple).

T'es sévère avec Gattuso quand même.

Merde j'ai repondu sur Ndiaye n'importe ou

C'est pourtant pas la première fois qu'on te demande de ne pas en foutre partout.

Personnellement j'ai préféfré le 4-2-3-1 que le 4-3-3. C'est pas la fin du monde si Rongier sort ponctuellement du 11, ça s'appelle la concurence, mais Harit a tellement moins d'impact sur un côté que dans l'axe que je trouve ça con...

et finalement on se rend compte qu'Ounahi est pas si indispensable que certaines groupies voulaient nous faire croire.
Et Gueye revient dans 6 matchs... la concurrence va être rude.

Ben, Ounahi serait bon justement dans ce 433 à la place de Rongier je pense, mais bon sur les derniers matchs où il a joué, il n'a pas été convaincant.

Pour le système, je préfère aussi le 4231, mais après sans Kondogbia, un Rongier moyen, un Ounahi à qui ça ne convient pas, sans Gueye, c'était pas facile. Je pense que Kondogbia/Veretout avec Gueye/Rongier en backup serait le plus logique.

Et après en 433 plutôt Ounahi, mais je pense qu'on voit tous qu'Harit est meilleur dans l'axe. Et personnellement, je préfère voir Harit sur le terrain qu'Ounahi, Harit a beaucoup plus d'influence, il est intégré dans l'équipe...

Personnellement j'ai préféfré le 4-2-3-1 que le 4-3-3. C'est pas la fin du monde si Rongier sort ponctuellement du 11, ça s'appelle la concurence, mais Harit a tellement moins d'impact sur un côté que dans l'axe que je trouve ça con...

Idem. L'an dernier Rongier était indispensable. Parce qu'il était bon et qu'on avait besoin de son activité pour combler les manques entre les pistons qui jouaient très haut, Tavares imprévisible dans son positionnement et son envie, les défenseurs qui montaient aussi et le marquage individuel tout terrain qui perturbait tout le monde.

Cette saison, non seulement Rongier est moins souverain, perdant beaucoup trop de ballon mais en plus, avec Gattuso, on a une équipe plus disciplinée, plus en place qui a besoin de limiter les déchets techniques. L'idée de Longoria d'associer Kondo et Veretout peut s'avérer payante.

Cela étant, on peut imaginer aussi que l'on bascule de l'un à l'autre. Le 4231 quand on reçoit une équipe dont on sait qu'elle va mettre le bus et un 433 face aux équipes qui pressent et jouent plus haut.

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Gennaro Gattuso (OM) : « Éviter que nos matches deviennent des parties de ping-pong »

Gennaro Gattuso est revenu, ce samedi en début d'après-midi, sur ses ambitions dans le jeu et l'importance du déplacement à Lens, dimanche (20h45). Il s'attend à une opposition féroce.

« Que représente ce rendez-vous à Lens pour vous ? Est-ce un des premiers tournants de la saison ?
Non, ce ne sera pas un rendez-vous capital pour notre saison. Si on regarde le classement, on pourrait éventuellement le penser, mais il reste énormément de matches à disputer cette saison. Nous allons affronter une équipe très physique, la formation qui court le plus en L1, qui évolue dans un stade en ébullition. Cette équipe joue un 3-4-2-1 très agressif. Nous avons préparé le match dans des conditions qui ne sont pas forcément les meilleures, nous avons peu d'énergie, le match de jeudi a été intense. Mais ce n'est pas une excuse, on terminera le travail à la vidéo demain et nous serons fin prêts. Il faudra batailler sur le terrain, cette équipe avait déjà une belle ossature, elle a recruté d'excellents joueurs.

Vous avez émis quelques critiques sur le contenu de votre équipe, jeudi soir (à Athènes en Ligue Europa), notamment dans la construction des attaques. L'urgence de résultats freine-t-elle vos ambitions tactiques, dans le jeu à installer ?
À Athènes, ce n'était pas forcément spectaculaire dans la création. Sur le jeu vertical, je voulais que l'équipe puisse arriver dans les 30 derniers mètres sur des situations de trois contre trois ou quatre contre quatre. On doit essayer d'éviter la première pression adverse, de manière à être beaucoup plus propre, plus instinctif, plus réaliste dans 30 ou 40 derniers mètres. Je suis ici depuis cinquante jours. Il est clair que nous n'avons pas encore atteint la perfection, mais nous avons amélioré pas mal de choses. On cherche à combiner davantage. Ce qui m'intéresse, c'est surtout de passer la première pression sur le terrain, pour améliorer ensuite la phase de réalisation. Je veux éviter que nos matches deviennent des parties de ping-pong, avec des ballons qui vont d'un camp à l'autre.

Ce match reste un choc de L1, malgré le classement actuel des deux équipes. Peut-il être une référence pour la suite de la saison, en cas de résultat positif ?
Je ne pense pas que nous ayons besoin de cette rencontre-là comme d'un match référence. Il faut surtout qu'on joue avec la même mentalité que celle appliquée dans le match contre Lille (0-1, le 4 novembre). Les défaites peuvent arriver, mais elles ne doivent pas changer ton objectif dans la suite de la saison et les matches à venir. L'équipe est très compétitive. Dans une saison, il y a toujours des matches où on souffre plus que dans d'autres, comme cette rencontre à Athènes, par exemple. Ce n'est pas pour ça qu'il faut avoir peur de son adversaire et peur de ce que cela peut impliquer pour la suite de la saison. Lens est un adversaire de grande qualité, fort, nous allons forcément éprouver des difficultés pendant la rencontre, mais nous sommes prêts, nous ne devons pas avoir peur de ce qu'il se passera pendant et après le match. Un bon résultat serait positif pour l'avenir, mais on ne doit pas trop se mettre la pression.

Dans quel état se trouve Pierre-Emerick Aubameyang, aperçu ce samedi matin à l'entraînement ?
Il est prêt à 100 %, il est disponible, il a réalisé des tests convaincants hier aujourd'hui (vendredi, samedi), il a fait des pointes à 33 ou 34 km/h, on a effectué des tirs, des changements de direction. Je ne sais pas s'il sera sur le terrain dès la première minute ou s'il aura le droit de jouer 30 ou 40 minutes, je dois encore le décider. Au niveau physique, on est certains de ce qu'on fait avec lui. On remercie surtout sa disponibilité. Cela le prouve encore une fois, ce qui fait la différence dans ce groupe, pour l'instant, c'est la mentalité. Tout le monde pense au bien de l'équipe. Il y a deux jours encore, il était encore impossible de croire que Pierre-Emerick serait disponible demain, il présentait encore un oedème ».

https://www.lequipe.fr/Football/Actuali ... ng/1431103

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Gattuso est tombé amoureux de l’OM

Intronisé fin septembre à Marseille, le coach italien s’est rapidement intégré à l’environnement provençal.

Xavier Condamine, Correspondant À Marseille (bouches-Du-Rhône)

Après une entame de saison tumultueuse, marquée par les départs de Javier Ribalta et Marcelino, Gattuso a été nommé à la tête de l’OM le 27 septembre, son neuvième club en dix ans comme coach. Un parcours mouvementé mais peu surprenant au regard du passé de l’intéressé réputé pour son tempérament de feu en tant que joueur. « Le soir du sacre mondial à Berlin (en 2006), il rentre dans Marcello Lippi (sélectionneur) qui perd presque l’équilibre, se souvient un intime. Il était fou mais s’est quand même un peu calmé avec l’âge. »

À l’inverse d’Igor Tudor, venu seul en Provence, Gattuso vit à côté de la Commanderie avec sa femme et son fils, qui joue avec les U 17 de l’OM, sa fille étant restée à Milan.

« Il se reconnaît dans le peuple marseillais »

« Il passait ses journées et ses nuits au centre d’entraînement à son arrivée. Aujourd’hui, il débarque vers 8 heures du matin et repart l’après-midi ou en début de soirée. Il n’aime pas modifier ses habitudes : il fait bosser son groupe le matin et le laisse au repos l’après-midi. On sent qu’il est heureux ici. L’OM correspond à son image et il se reconnaît dans le peuple marseillais. On pourrait même parler de coup de foudre : il est tombé amoureux du Vélodrome », témoigne un proche de l’effectif, qui ajoute : « Les joueurs sortent de l’entraînement avec le sourire, ce qui n’était pas vraiment le cas avant. Il a apporté de la sérénité et plus de clairvoyance sur le plan tactique. » Polyglotte, le natif de Corigliano Calabro comprend le français et le parle de façon sommaire, bien qu’il suive des cours avec un professeur. Le président, Pablo Longoria, avec qui il déjeune régulièrement, souhaite désormais que l’entraîneur olympien soit à l’aise en français. Lors des séances, Gattuso jongle entre l’italien, l’anglais et l’espagnol selon son interlocuteur.

« Un vent de fraîcheur dans une période compliquée »

Malgré des résultats en demi-teinte — 3 victoires, 2 nuls et 2 défaites en 7 matchs —, les joueurs saluent unanimement la venue du Calabrais. « Il a apporté un vent de fraîcheur dans une période compliquée. Grâce à son expérience, il donne de la confiance à son équipe en étant paternaliste. Il n’est pas père fouettard mais il ne rigole pas non plus, souligne un membre de l’institution. Il est pointilleux et peut engueuler un joueur mais une fois que l’entraînement est terminé, il passe à autre chose. Il a réussi à séduire sans être dans le calcul. Dans un contexte comme Marseille, ça colle parfaitement. »

Une donnée détaillée par un intime, qui s’interroge : « À Naples, il était parvenu à créer une belle relation avec les tifosis. Ce qui se passe à Marseille ne me surprend pas. Et il ne faut pas oublier sa science tactique issue de son parcours de milieu : quand il était joueur, il voulait déjà être coach. Son point négatif, c’est qu’il n’arrive jamais à rester longtemps dans un club. »

De là à parler de point de bascule à Marseille ? « Il a eu une carrière incroyable et les joueurs le savent. On sent qu’il veut rester ici mais tout dépendra des résultats. » Le nerf de la guerre.

Le Parisien

Il est tombé amoureux de l'OM , mais bon "Son point négatif, c’est qu’il n’arrive jamais à rester longtemps dans un club".

Repos tous les aprèm
Sympa le job de footballeur à l’OM .

Et si Rongier travaillait un peu plus les tirs ? Veretout les CF? Sarr les passes? Vitinha la finition ?

La différence entre nos branleurs et coach de Ligue 1 , et en France en général, et les meilleurs championnats d europe

La moyenne de point doit être largement inférieure à Marcelino