Sans déconner, on en est à combien de poteaux et de transversales depuis le début de la saison ?
Donnez-moi vos pauvres, vos exténués, Envoyez-moi vos cohortes qui aspirent à vivre libres, Les rebuts de vos rivages surpeuplés ; Envoyez-les moi, les déshérités que la tempête m’apporte. J’élève ma lumière et j’éclaire la porte d’or