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Re: [2022/23 - LDC - J3] OM - Sporting CP

06 Oct 2022, 10:01

Alvaro je veux bien mais Luan Pères je vois pas en quoi on a été crasse avec lui

Re: [2022/23 - LDC - J3] OM - Sporting CP

06 Oct 2022, 10:13

Luan Peres à demande à partir c'est pas le club qui l'a mis dehors.

Il peut même dire merci vu le tarif...

Re: [2022/23 - LDC - J3] OM - Sporting CP

06 Oct 2022, 10:23

Maximilien Straus a écrit:Je pense qu'Harit doit être titulaire à Lisbonne et à Paris. Donc s'il peut souffler un peu ce week-end, c'est pas du luxe. Surtout qu'on a de quoi faire (on a aussi Bamba qui sera ultra frais !)

Concernant Gigot, j'ai juste peur d'une rechute. Je trouve qu'actuellement, notre meilleure formule derrière est : Gigot, Balerdi, Mbemba. D'où mon envie d'en préserver le maximum pour la semaine suivante.

Harit et Balerdi comme éléments quasi indiscutables du 11 de départ... Ça va vite le foot, peezee doit en avoir des terreurs nocturnes :lol:


Tu ajoutes Under en plus :lol:

Re: [2022/23 - LDC - J3] OM - Sporting CP

06 Oct 2022, 12:04

J'aimerais bien que Bailly commence à Ajaccio. Quite a le faire jouer 60 minutes, c'est important qu'il reprenne le rythme. Un peu comme Gigot.

Tudor mettra une équipe en pensant à la suite de matchs qui arrive, comme d'habitude, du coup on risque d'avoir du changement devant. Et si Veretout commence, au moins on devrait pas le voir à Lisbonne (je pense qu'il a été titularisé à l'aller pour son jeu long parce qu'on a bcp joué dans leur dos).

Re: [2022/23 - LDC - J3] OM - Sporting CP

06 Oct 2022, 12:19

Information
Foot - OM; Une hiérarchie se dessine

La victoire de l'OM face au Sporting Portugal (4-1), mardi soir, a confirmé l'émergence d'une équipe type dans les plans d'Igor Tudor.

Igor Tudor n'aime pas parler de turnover, encore moins d'équipe type, et rechigne souvent à évoquer les individualités après un match, préférant insister sur la valeur du collectif et les efforts communs. On a compris le message : pour l'entraîneur croate, tous les joueurs ont leur importance et un rôle à tenir dans le planning soutenu de l'OM. Mais, comme tous ses collègues, Tudor s'appuie sur certains cadres plus forts et, en ce début d'automne, une hiérarchie commence à se dessiner.Le Croate est arrivé depuis trois mois seulement, et l'effectif a été largement recomposé au fil de l'été. Il a donc eu besoin d'un peu de temps pour s'adapter et observer ses joueurs et il semble avoir les idées plus claires, aujourd'hui. Le rythme effréné du calendrier l'oblige à faire tourner, mais certains ne se reposent presque jamais. D'autres ont gagné du galon.

D'autres encore ont été déclassés sans préavis, à l'image de Dimitri Payet, resté sur le banc tout le match, mardi face au Sporting Portugal (4-1).

Derrière : Pau Lopez assure, Balerdi reverdit

Si la cohabitation avec Steve Mandanda n'a pas toujours été simple la saison dernière pour Pau Lopez, il n'y a plus de débat possible, cette fois : le « Fenomeno » est parti à Rennes et l'Espagnol est le titulaire indiscuté dans le but marseillais, un statut qui semble l'avoir rasséréné.

En charnière centrale, où il évolue toujours à trois, Tudor a du choix, dans un secteur étoffé par le mercato estival. À ce poste, le Croate voulait de l'expérience et il a été servi, avec Eric Bailly et Chancel Mbemba, une doublette qu'on devrait revoir lors de tous les gros matches. Pour l'instant, l'Ivoirien a nettement moins joué que le Congolais, parce qu'il est arrivé tard et à court de préparation. « Avec la pause de la Coupe du monde (20 novembre-18 décembre), où il s'entraînera un mois ici avec nous, il pourra revenir à 100 % », espère Tudor, qui l'a aligné à chaque fois en Ligue des champions. La troisième place dans l'axe est moins définie. Elle oscille entre Samuel Gigot et Leonardo Balerdi, qui semble monter en puissance sur les derniers matches.Très sûr à Angers (0-3), l'Argentin a été confirmé contre le Sporting et il s'est montré au niveau, défenseur fiable et même buteur. « Depuis quelques matches, il finit toujours parmi les meilleurs sur le terrain. J'ai toujours dit que c'était un joueur de haut niveau, ses qualités commencent à émerger », le félicitait son entraîneur après la victoire.Première recrue de l'été, le grand Isaak Touré (2,06 m), lui, ne doit se contenter que des miettes. Enfin, sur les côtés, à des postes cruciaux pour Tudor et qui ont été doublés par le mercato (Clauss et Kaboré à droite, Nuno Tavares et Kolasinac à gauche), la hiérarchie est très claire : quand ils sont aptes, Clauss et Tavares sont alignés.

Milieu : Veretout et Guendouzi en tête

Dans le 3-4-2-1 inamovible d'Igor Tudor, les deux postes de milieu devant la défense sont essentiels. Le duo est censé assurer l'équilibre général, coulisser pour compenser les incessantes montées des latéraux, sécuriser l'axe ou encore se projeter vers l'avant pour amener le surnombre. Les tâches sont multiples et le technicien croate veut donc des joueurs avec un volume de jeu important. Jordan Veretout a le profil et il semble d'ailleurs déjà indispensable. Arrivé en provenance de l'AS Rome, l'expérimenté milieu (29 ans) disparaît rarement du onze de départ malgré des prestations un peu ternes dernièrement. Après avoir été utilisé un cran plus haut, avec de la réussite, Mattéo Guendouzi évolue à son côté depuis quelques matches. L'infatigable milieu a gagné du crédit aux yeux de Tudor au point même d'avoir porté le brassard face au Sporting. Valentin Rongier, l'autre vice-capitaine derrière Payet, a glissé sur le banc lors des deux dernières rencontres mais il avait ressenti une gêne. Et l'entraîneur marseillais loue souvent son activité. Pape Gueye est lui, en revanche, clairement un second choix. Quant à Gerson, le Brésilien est davantage considéré comme un milieu offensif par Tudor.

Attaque : Alexis Sanchez inamovible numéro un

Incontournable sous Jorge Sampaoli, l'international brésilien n'est plus titulaire depuis l'arrivée de Tudor et il se contente d'entrées en jeu dans les matches qui comptent. C'est un peu le même constat pour Dimitri Payet, qui joue encore moins. Alexis Sanchez, lui, est bien l'attaquant n° 1 dans les plans de l'entraîneur marseillais qui l'utilise en pointe, même si son profil ne colle pas exactement à ce rôle. Mais avec son activité incessante et son sens du but, il semble déjà indispensable, son égalisation contre le Sporting le prouve. Pour l'épauler aux deux postes en soutien de l'avant-centre, Amine Harit a gagné des points au fil des semaines au point d'être régulièrement titularisé dans les grands rendez-vous. Il a les jambes pour répondre aux exigences de Tudor et se montre également décisif, ce qui change tout pour lui. Après un été compliqué où l'Olympique de Marseille l'aurait bien vendu et malgré un profil d'ailier qui ne semblait pas correspondre au jeu de l'entraîneur, Cengiz Ünder a réussi à se faire une place. Il semble avoir un temps d'avance sur la concurrence. Derrière ces trois-là, Luis Suarez et Bamba Dieng ont davantage le statut de joker, tout comme Gerson et Payet.

L'Equipe

Re: [2022/23 - LDC - J3] OM - Sporting CP

06 Oct 2022, 14:48

Maximilien Straus a écrit:Je pense qu'Harit doit être titulaire à Lisbonne et à Paris. Donc s'il peut souffler un peu ce week-end, c'est pas du luxe. Surtout qu'on a de quoi faire (on a aussi Bamba qui sera ultra frais !)

Concernant Gigot, j'ai juste peur d'une rechute. Je trouve qu'actuellement, notre meilleure formule derrière est : Gigot, Balerdi, Mbemba. D'où mon envie d'en préserver le maximum pour la semaine suivante.

Harit et Balerdi comme éléments quasi indiscutables du 11 de départ... Ça va vite le foot, peezee doit en avoir des terreurs nocturnes :lol:

non non aucune terreur lol, on parlera de Harit "titulaire indiscutable" quand il aura confirmé sur plusieurs semaines pas sur 1 ou 2 bons matchs, quant à le voir au niveau et avec l'impact la saison passée de Payet ou Gerson (seconde partie de saison évidemment ^^) c'est juste risible. Ok j'ai pas vu le match avant-hier où visiblement il a été bon et tant mieux je serai heureux s'il confirme car (et j'ai déjà dit tout ça) il a une bonne mentalité et c'est à souligner, mais si Payet et Gerson étaient au niveau attendu il continuerait de tâter du banc - à juste titre.

Quant à Balerdi tu étais où (non non) quand je continuais à le "soutenir" peu ou prou en lui trouvant qq qualités pendant que beaucoup ici le vomissaient (dont toi p-ê d'ailleurs) ? (jusqu'à ce qu'il aligne des perfs vraiment ignobles et là j'ai du me faire une raison sur son niveau).
Mais c'est vrai que venir se gausser stupidement après 1 ou 2 matches corrects d'un joueur c'est tellement tentant. :cretin:

Re: [2022/23 - LDC - J3] OM - Sporting CP

06 Oct 2022, 14:52

tigrou a écrit:Tu ajoutes Under en plus :lol:

you talking to/about me ? Si c'est le cas, tu pourras vérifier que j'ai mis Under titulaire sur ce match et ce 2 jours avant que la compo officielle sorte, mais pour ça faudrait lire le 1er post des matches. Mais comme dit ci-dessus prévoir le passé ça mange pas de pain. :lol:

Re: [2022/23 - LDC - J3] OM - Sporting CP

06 Oct 2022, 16:02

Information
Lisbonne, le foot pour l’éternité
L'Équipe
4 octobre 2022

Lisbonne, le foot pour l’éternité

Les deux grands clubs de la capitale portugaise sont opposés à Paris et Marseille cette semaine en Ligue des champions. Plongée dans une ville dévouée au ballon rond. DE NOTRE ENVOYé SPéCIAL

RéGIS DUPONT LISBONNE – Il arrive que le foot portugais se déplace ailleurs. Comme la semaine dernière, quand un rendez-vous de Ligue des nations contre l’Espagne (0-1) a mené la Seleçao jusqu’à Braga, tout au nord du pays. Mais les supporters du Sporting Portugal et de Benfica ont de la ressource. Mercredi, il y avait quand même derby à l’ombre du stade de la Luz, où les Aigles ont dégommé les Lions (5-1) en rink hockey, dans une énième version du duel entre les Vert et Blanc et les Rouges, ou plutôt les « Encarnados », parce que les mots employés pour évoquer les couleurs ont un sens dans un pays où le « crayon bleu » était celui employé par la censure avant la révolution des œillets.

« Foot, hockey, volley, hand, on trouve toujours un terrain pour se confronter », sourit Toni, ancien entraîneur de Bordeaux et de Benfica. Depuis le 25 avril 1974, le FC Porto a, à lui seul, gagné plus de titres nationaux que ses rivaux lisboètes (*). Peu importe : il n’y a pas beaucoup d’autres villes au monde où deux institutions remettent en permanence leur rivalité à jour, à travers leurs multiples sections sportives. En voisin depuis Estoril, le milieu français Loreintz Rosier confirme : « Ici, dès que vous sortez de chez vous, au restaurant ou au centre commercial, la télévision diffuse ou rediffuse du foot. Des fois, ça vrille entre supporters, parce qu’ils ont trop de choses à se prouver. C’est une ville où la rivalité est permanente. » « Comme tous ceux qui sont passionnés, les Lisboètes vivent le foot avec leur cœur, pas toujours avec leur tête, constate Toni. Et la passion pour le club est souvent plus forte que celle pour le foot. »

Benfica-Sporting, la fracture originelle

Pour une bonne histoire, il faut une bonne intrigue. Là, le cadre a été posé d’entrée. « Longtemps, la meilleure équipe de Lisbonne était forcément la meilleure du Portugal, rappelle l’historien Ricardo Serrado. La rivalité entre les deux clubs existe depuis 1906 (date de fondation du Sporting), et aujourd’hui elle n’est pas différente de ce qu’elle était il y a quatre-vingts ou soixante ans. »

La césure entre le club du peuple, d’un côté, et celui des élites, de l’autre, demeure. « En 1907, le Grupo Sport Lisboa, qui deviendra Sport Lisboa et Benfica en 1908, était le meilleur club portugais, continue Serrado. Mais les meilleures équipes, à l’époque, étaient anglaises. Les matches contre les Anglais de Carcavelos pouvaient réunir 8 000 personnes, et ce n’était pas Sport Lisboa contre Carcavelos, c’était Portugal contre Angleterre. Or en 1907, pour la première fois du siècle, une équipe portugaise a battu Carcavelos. Ça a donné une autre dimension au Sport Lisboa. L’année qui a suivi, le Sporting a acheté huit joueurs du Sport Lisboa en leur offrant un meilleur salaire, des vestiaires, un terrain. »

La fracture entre voisins est actée. Originaire de Belem puis basé à Benfica, le SLB est foncièrement populaire. Le Sporting est lui fondé dans la zone de Lumiar, près de l’aéroport actuel, au milieu des belles propriétés de la bourgeoisie locale. À une période où la mixité entre strates sociales est résiduelle. « La somme demandée pour devenir socio du Sporting était beaucoup plus élevée que celle demandée par Benfica, détaille Serrado. Il fallait avoir de l’argent pour être socio du Sporting alors qu’on pouvait être supporter de Benfica moyennant une somme modique. » En 1913, Artur José Pereira, le Cristiano Ronaldo du début du siècle, est débauché du Benfica par le Sporting. « Benfica l’a pris comme une attaque, confirme Serrado. La communauté sportive dans son ensemble a crié au scandale, c’était considéré comme non éthique et Benfica promettait de se venger. Mais l’année suivante, bien sûr, le Sporting est champion du Portugal. »

Depuis, les étiquettes perdurent. « Sous l’Estado Novo, douze dirigeants du Sporting occupaient une fonction officielle auprès du gouvernement, détaille Serrado. Le Benfica en avait un, le FC Porto en avait deux : même pendant la dictature, le Sporting était considéré comme le club de l’élite. Alors que Benfica avait quatre dirigeants qui étaient dans l’opposition, des sympathisants communistes. » Un club proche du peuple contre un autre proche du pouvoir. La vengeance la plus éclatante sera administrée à travers Eusebio, dérobé au Sporting par Benfica alors qu’il venait d’un club filiale des Lions au Mozambique. Mais ces derniers seront plus prompts au moment de transférer Cristiano Ronaldo depuis Madère, en 1997.

AU XXIE SIÈCLE, LA GUERRE DE LA FORMATION

Le quintuple Ballon d’Or est la référence absolue au sein de l’académie qui porte son nom depuis quelques mois. « Il est partout ici, sourit Tomaz Morais, le directeur technique de la formation au Sporting. On n’a même pas besoin de parler de lui. Il fait partie du Sporting, de cette structure, il est dans les murs, il est dans l’air. » Il est le premier de la longue liste des joueurs made in Alcochete lancés chez les pros Lions, dont le dernier inscrit s’appelle Rodrigo Ribeiro, lancé le 28 avril contre Manchester City en Ligue des champions, à 16 ans et 10 mois. Les deux grands clubs de Lisbonne, distants de quelques centaines de mètres sur les bords de la Segunda Circular, ont profité du nouveau siècle pour traverser le Tage. Dès 2002 pour le Sporting, quand le Benfica Lisbonne a transféré son siège à partir de 2006 à Seixal, à portée de navette fluviale de la place du commerce. Longtemps à la remorque au niveau de la formation comme des infrastructures, les Aigles ont maintenant de l’avance sur les Lions, qui prévoient de moderniser et d’agrandir leur outil de travail dans les prochains mois.

Le Sporting confesse consacrer près de 20 % de son budget à ce secteur fondamental. « Depuis toujours, notre ADN est de nous intéresser à la formation, assure Morais. Le supporter du Sporting aime voir son équipe gagner, mais il aime encore mieux quand c’est avec des joueurs de la formation. Et c’est une nécessité du foot moderne de créer des actifs et de les vendre pour avoir des ressources. Quand les autres l’ont compris, ils sont venus voir ce qu’on faisait. » Au printemps dernier, une étude du CIES (l’Observatoire du football) indiquait que Benfica était le centre de formation le plus rentable du monde depuis 2015, avec 379 M€ de recettes sur la période, loin devant le Sporting, neuvième (209 M€). Un résultat boosté (un tiers du total) par le transfert de Joao Felix à l’Atlético de Madrid en 2019 (126 M€). De Ruben Dias à Renato Sanches, en passant par Gonçalo Guedes, Benfica a multiplié des ventes fructueuses qui illustrent la diversité des profils couvés à Seixal.

« Traditionnellement, le football à Lisbonne est un foot de rue, rappelle Rodrigo Magalhaes, le coordinateur technique. Avant, les enfants se déplaçaient à bicyclette, ils montaient des escaliers, jouaient dans la rue, qui était leur terrain de jeu. Aujourd’hui, un enfant ne sort plus dans la rue sans son kit de survie : le téléphone mobile, les jeux électroniques, plein de choses détournent les enfants du sport. Le foot de rue est en voie d’extinction et notre méthodologie, c’est de faire entrer le foot de la rue dans le club. »

À Benfica comme au Sporting, la majorité des pensionnaires du centre de formation viennent du grand Lisbonne. Ne sont logés à l’internat que ceux qui viennent de loin ou ceux dont les « conditions sociales », pour reprendre l’expression des formateurs, seraient moins bonnes à la maison qu’au club. Ce fut le cas, par exemple, pour Nuno Tavares et Renato Sanches à Benfica, pour Nuno Mendes au Sporting. « On a besoin de cette rivalité, pense Morais. Sans Benfica, on ne serait pas le Sporting d’aujourd’hui, on n’aurait pas cette exigence au quotidien », rappelée sur les murs du club, où Luis Figo et Cristiano Ronaldo, les deux Ballons d’Or formés au Sporting, laissent une place libre, accompagnés de cette injonction : « Les meilleurs du monde sont nés ici. Le prochain, c’est toi. »

(*) Depuis la saison 1974-1975, le FC Porto a été 25 fois champion du Portugal, Benfica 17 fois, le Sporting Portugal 5 fois, Boavista 1 fois.

L'Equipe

Re: [2022/23 - LDC - J3] OM - Sporting CP

06 Oct 2022, 16:10

peezee a écrit: non non aucune terreur lol, on parlera de Harit "titulaire indiscutable" quand il aura confirmé sur plusieurs semaines pas sur 1 ou 2 bons matchs, quant à le voir au niveau et avec l'impact la saison passée de Payet ou Gerson (seconde partie de saison évidemment ^^) c'est juste risible. Ok j'ai pas vu le match avant-hier où visiblement il a été bon et tant mieux je serai heureux s'il confirme car (et j'ai déjà dit tout ça) il a une bonne mentalité et c'est à souligner, mais si Payet et Gerson étaient au niveau attendu il continuerait de tâter du banc - à juste titre.

Quant à Balerdi tu étais où (non non) quand je continuais à le "soutenir" peu ou prou en lui trouvant qq qualités pendant que beaucoup ici le vomissaient (dont toi p-ê d'ailleurs) ? (jusqu'à ce qu'il aligne des perfs vraiment ignobles et là j'ai du me faire une raison sur son niveau).
Mais c'est vrai que venir se gausser stupidement après 1 ou 2 matches corrects d'un joueur c'est tellement tentant. :cretin:


Bon... Apparemment c'était pas une journée pour venir taquiner peezee... Je note :mrgreen:

Re: [2022/23 - LDC - J3] OM 4-1 Sporting CP

06 Oct 2022, 18:17

Après, Harit n'a pas bénéficié de l'indulgence qu'a eu Gerson l'an dernier pendant 6 mois. Au premier match en dessous, hop sur le banc... quand Gerson a bénéficié d'une certaine confiance même quand il était mou. Et je ne parle pas de Payet dont son hygiène de vie parle pour lui.

Harit a quand même le profil du mec qui peut faire beaucoup de bien offensivement, ce qu'il a d'ailleurs très bien fait mardi. J'adore Payet mais je préfère qu'on donne sa chance à Harit, un jeune de 25 ans motivé et en bonne forme physique. Je ne parle pas de ses qualités, il faut être vraiment dr mauvaise foi pour ne pas les voir.

Re: [2022/23 - LDC - J3] OM - Sporting CP

06 Oct 2022, 18:25

peezee a écrit:
Maximilien Straus a écrit:Je pense qu'Harit doit être titulaire à Lisbonne et à Paris. Donc s'il peut souffler un peu ce week-end, c'est pas du luxe. Surtout qu'on a de quoi faire (on a aussi Bamba qui sera ultra frais !)

Concernant Gigot, j'ai juste peur d'une rechute. Je trouve qu'actuellement, notre meilleure formule derrière est : Gigot, Balerdi, Mbemba. D'où mon envie d'en préserver le maximum pour la semaine suivante.

Harit et Balerdi comme éléments quasi indiscutables du 11 de départ... Ça va vite le foot, peezee doit en avoir des terreurs nocturnes :lol:

non non aucune terreur lol, on parlera de Harit "titulaire indiscutable" quand il aura confirmé sur plusieurs semaines pas sur 1 ou 2 bons matchs, quant à le voir au niveau et avec l'impact la saison passée de Payet ou Gerson (seconde partie de saison évidemment ^^) c'est juste risible. Ok j'ai pas vu le match avant-hier où visiblement il a été bon et tant mieux je serai heureux s'il confirme car (et j'ai déjà dit tout ça) il a une bonne mentalité et c'est à souligner, mais si Payet et Gerson étaient au niveau attendu il continuerait de tâter du banc - à juste titre.

Quant à Balerdi tu étais où (non non) quand je continuais à le "soutenir" peu ou prou en lui trouvant qq qualités pendant que beaucoup ici le vomissaient (dont toi p-ê d'ailleurs) ? (jusqu'à ce qu'il aligne des perfs vraiment ignobles et là j'ai du me faire une raison sur son niveau).
Mais c'est vrai que venir se gausser stupidement après 1 ou 2 matches corrects d'un joueur c'est tellement tentant. :cretin:

A partir du moment où Harit est meilleur que les autres à son poste, oui il doit être titulaire. Payet n’est plus qu’une ombre et gerson n’a rien montré depuis le début de saison. Alors oui intransequement ils sont meilleurs, mais encore faut il qu’ils le montrent.

Re: [2022/23 - LDC - J3] OM 4-1 Sporting CP

06 Oct 2022, 18:49

Alors attention hein, au départ c'était juste une boutade sur le fait que les pestiférés peuvent devenir des titulaires. D'où le "ça va vite le foot"... :lol:

Je ne viens pas me "gausser stupidement" ni affirmer que ce sont des "titulaires indispensables" parce qu'ils enchaînent deux titularisations.

Je l'aime bien Harit (et Balerdi aussi d'ailleurs), mais il vient au départ pour être remplaçant, pas pour être un taulier. S'il en est là aujourd'hui, c'est tout autant pour ses bonnes performances que pour celles parfois catastrophiques des supposés titulaires.

Parce qu'avec un bon Gerson et un Payet fit, Harit est remplaçant et c'est plutôt logique

Re: [2022/23 - LDC - J3] OM 4-1 Sporting CP

06 Oct 2022, 19:42

Harit est quand même bien calibré pour ce style de jeu très direct, vertical avec une équipe qui veut aller vite sur les transitions offensives. Harit est capable de remonter le terrain en dribbles très, très vite. Ce style de jeu lui correspond beaucoup plus qu´à Payet ou Gerson sur le skillset.
Et puis je pense que le fait que dans ce système il ne joue pas sur un coté avec un 10 comme Payet à coté lui libère l´axe du terrain.
Sur ce qu´on voit en ce moment, c´est dur de le mettre sur le banc mais comme disent certains il sera jugé sur la régularité. C´est quand même à noter qu´il sort probablement son meilleur match à l´OM en LDC dans un contexte pas facile face au leader du groupe.
Harit reste aussi un joueur de 25 ans, en ascension dans sa carrière. C´est typiquement le genre de joueur que j´aurais vu exploser en vol à l´OM pour les mauvaises raisons mais peut être qu´au contraire c´est maintenant qu´il va prendre une nouvelle dimension.

Re: [2022/23 - LDC - J3] OM 4-1 Sporting CP

07 Oct 2022, 09:19

Homme du match face au Sporting, pas mal pour un « ish ish ».

Re: [2022/23 - LDC - J3] OM - Sporting CP

07 Oct 2022, 11:26

tigrou a écrit:
Maximilien Straus a écrit:Je pense qu'Harit doit être titulaire à Lisbonne et à Paris. Donc s'il peut souffler un peu ce week-end, c'est pas du luxe. Surtout qu'on a de quoi faire (on a aussi Bamba qui sera ultra frais !)

Concernant Gigot, j'ai juste peur d'une rechute. Je trouve qu'actuellement, notre meilleure formule derrière est : Gigot, Balerdi, Mbemba. D'où mon envie d'en préserver le maximum pour la semaine suivante.

Harit et Balerdi comme éléments quasi indiscutables du 11 de départ... Ça va vite le foot, peezee doit en avoir des terreurs nocturnes :lol:


Tu ajoutes Under en plus :lol:


Maximilien, Tigrou ne chatouillez pas Peezee, n'allez pas nous l' énerver.... :mrgreen:

Re: [2022/23 - LDC - J3] OM 4-1 Sporting CP

07 Oct 2022, 12:01

Vous pensez que Payet peut revenir ?
Question sérieuse, car j’ai l’impression que pour beaucoup, c’est qu’une question de rythme ou de volonté.
Pour moi, son corps ne répond plus et il n’arrivera plus à renverser la dynamique

Re: [2022/23 - LDC - J3] OM 4-1 Sporting CP

07 Oct 2022, 12:14

Tout dépend de ce qu'on lui demande. Beaucoup de courses à haute intensité ? De la possession et de la couverture ?

L'année dernière, il était quand même capable de faire de bons retours défensifs

Re: [2022/23 - LDC - J3] OM 4-1 Sporting CP

07 Oct 2022, 15:27

spy a écrit:Vous pensez que Payet peut revenir ?
Question sérieuse, car j’ai l’impression que pour beaucoup, c’est qu’une question de rythme ou de volonté.
Pour moi, son corps ne répond plus et il n’arrivera plus à renverser la dynamique



Selon Flo Germain de RMC dans after OM ,Tudor le trouve trop gros

Re: [2022/23 - LDC - J3] OM 4-1 Sporting CP

07 Oct 2022, 15:31

Ce qui n'est pas une nouvelle. Il y a qu'à comparer une photo du début de saison dernière avec une actuelle, pour le voir.
Dès les matchs amicaux de cette saison, ça se voyait qu'il était gras comme un loukoum.

Re: [2022/23 - LDC - J3] OM 4-1 Sporting CP

07 Oct 2022, 15:38

Sujet prefere de Marcos :mrgreen:

Tudor le trouve pas apte, il l'aligne pas, tant mieux, un peu decu qu'il se fasse pas violence pour finir en beaute
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