[2022/23 - LDC - J2] OM 0-1 Eintracht Frankfurt

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SAISON 2022 - 2023

2èmeJournée de Ligue des Champions



Mardi 13 septembre 2022, 21h00

au Stade Vélodrome, ou sur ou

Arbitre: José María SÁNCHEZ (ESP)|Juan Martínez MUNUERA (ESP)

La compo IMprobable :

Classement du Groupe D avant le match


source: uefa.com

Le groupe Marseillois

Gardiens :
Défenseurs :
Milieux :
Attaquants :

Président : Pablo LONGORIA
Entraîneur : Igor TUDOR
Site Off : http://www.om.net

Le groupe Eintracht Frankfurt

Gardiens :
Défenseurs :
Milieux :
Attaquants :

Président : Peter FISCHER
Entraîneur : Oliver GLASNER
Site Off : : https://www.eintracht.de

ALLEZ L'OM !!!

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Les liens vers des streams vidéo pour regarder ce match en Live via le Net sont ILLEGAUX. En faire la demande explicitement sur ce topic est hors Charte.
Un OMliver averti en vaut deux.

Sur canal+foot… fais chier j’ai que canal+ et canal+360… rien pour faire plaisir à leurs abonnés…

On joue déjà une grosse partie de notre avenir en ligue des Champions. C'est excitant et c'est flippant. Je mets une pièce sur une titularisation de Gerson à côté de Payet et sur un grand match des deux.

Il faut absolument mettre Balerdi dans l'axe.

Dans l axe oui mais du banc alors

Sur canal+foot… fais chier j’ai que canal+ et canal+360… rien pour faire plaisir à leurs abonnés…

Pluzun
J'ai gardé mon abo Canal pour pouvoir voir les match de la LDC et ils nous foutent sur une chaîne optionnelle. C'est vraiment du racket. Ce genre de chaîne devrait servir pour pour les vrais puristes et diffuser des matchs des équipes étrangères. Je comprends pas de limiter l'accès à ce point aux équipes françaises. Et je ne parles même pas d'RMC sport dont il doit y avoir 400 abonnés... Bref j'ai la haine.

Hâte d’être demain soir.

Faut pas se louper la
C’est à priori notre adversaire le moins au point

Information

Les premiers supporters allemands arrivent aujourd'hui...

Les premiers supporters de l'Eintracht Francfort sont attendus aujourd'hui, à Marseille, où l'on retient son souffle après les débordements vécus la saison dernière et les graves incidents provoqués par les "supporters" d'une autre équipe allemande, ceux de Cologne à Nice jeudi dernier (32 blessés). La Préfecture de police a pris plusieurs arrêtés pour faire face à une arrivée massive, mais c'était déjà le cas contre Feyenoord, en mai, ce qui n'avait pas empêché les nombreux problèmes. D'autant que, à l'image des fans néerlandais, plusieurs supporters de l'Eintracht viendront sans billet, en plus des 3 300 détenteurs de ticket encadrés par 40 stewards.

"Jusqu'à 5 000 autres personnes démunies de titre, calculent les autorités, qui se déplaceront de manière dispersée." "Plusieurs centaines sont potentiellement des ultras", est-il encore précisé. Pour éviter des affrontements avec les Marseillais et assurer "la sécurité des personnes et des biens", il leur est interdit de circuler ou de stationner dans quatre arrondissements de la ville (1er, 2e, 6e et 7e), à partir de midi. Des policiers de la Sécurité publique (DDSP) et des CRS seront déployés dès aujourd'hui. D'après certaines sources, ils seraient 500 à 600. Du côté de l'OM, pas moins de 1 200 stadiers ont été réquisitionnés pour que tout se passe bien à l'intérieur du stade.

La Provence

Information

Rendez-vous a été pris jeudi soir, sitôt la fin de Nice-Cologne (1-1) auquel Jean-Philippe Durand a assisté. À cet instant-là, le scout de l'Eintracht Francfort sur la France ne se doutait pas que l'Allianz Riviera serait le théâtre de scènes d'une violence inouïe et que la rencontre de Ligue Conférence serait retardée. Malgré tout, sur le chemin du retour, le champion d'Europe 93, longtemps responsable de la cellule de recrutement de l'OM, a pris le temps de se confier, lui qui s'impose comme le lien naturel entre les deux escouades qui s'affrontent demain soir avec, déjà, l'impérieuse nécessité de l'emporter pour continuer à exister en Ligue des champions. Durand nous a expliqué le fonctionnement de l'Eintracht, dernier vainqueur de la Ligue Europa, qui diffère de ce qu'il a connu à l'OM. Avant de se projeter sur le duel et de décrypter les forces en présence.

La Provence

Information

JEAN-PHILIPPE DURAND; "Francfort, complètement différent de l'OM "; L'ancien responsable de la cellule de recrutement du club olympien est l'oeil des Allemands en France. Le champion d'Europe nous explique le fonctionnement de l'Eintracht avant le duel de demain

Racontez-nous comment vous vous êtes retrouvé à l'Eintracht Francfort...

Après mon départ de l'OM, j'ai une discussion avec un copain, agent en Belgique. Je lui dis que je cherche un poste de directeur sportif. Il m'explique qu'il y a peut-être une opportunité en Belgique. Finalement, le club en question voulait quelqu'un qui parle flamand. Une semaine plus tard, il me rappelle. "Un copain vient d'arriver à Francfort, il veut développer le club et la cellule de recrutement. Il cherche quelqu'un sur la France. Ça peut t'intéresser ?", me demande-t-il. J'étais un peu sur la réserve. Francfort n'était pas une référence, jouait plutôt le bas de tableau. Je connaissais un peu le stade pour y être allé une ou deux fois. Il m'a quand même mis en contact avec les dirigeants. J'ai discuté avec eux, je les intéressais vraiment. Le gars est venu me voir à Marseille. On a échangé pendant trois ou quatre heures. Il m'a expliqué le projet du club, son développement, son organisation. J'ai dit oui pour un essai d'une année. Le projet me paraissait intéressant, le discours cohérent. C'est ma cinquième saison. Depuis, le club a bien grandi.

Qu'est-ce qui a fini par vous séduire et a éteint vos réticences ?

Le discours. Ce dirigeant m'a dit que Francfort n'avait peut-être pas une bonne image, mais que le club était très populaire en Allemagne et ne demandait qu'à grandir. Parfois, 15 000 supporters font le déplacement. Je lui ai répondu qu'il exagérait un peu. "Non, on peut atteindre ce chiffre, ce n'est pas un souci. Le club a un gros potentiel, Francfort est une grande ville, très cosmopolite. On peut avoir des étrangers de tous les pays, l'adaptation se fait facilement." Il venait de reprendre le club avec Fredi Bobic, devenu manager général (il a rejoint le Hertha Berlin en 2021, ndlr). Il m'a détaillé comment ils voulaient structurer le club, avec un scout en France pour les aider. Ce projet-là m'a séduit.

Quel club et quelle organisation avez-vous découvert ?

Un club organisé de façon très simple, avec un circuit très court au niveau décisionnel. Francfort est présidé par un board, mais ce sont les personnes en dessous qui décident. Bobic décidait de tout, une fois que le board avait validé le budget. À tous les postes (manager général, directeur sportif, responsable du recrutement...), il n'y avait que des anciens joueurs. J'ai surtout découvert que l'ambiance dans le club était à l'image de ces gens-là.

C'est-à-dire ?

Ils ont connu le succès et la défaite, des stades avec du monde. Après deux ou trois défaites, ils ne sont pas défaitistes, tout comme ils ne s'enflamment pas après trois victoires comme peut le faire quelqu'un qui n'est pas du foot et se retrouve propulsé dans ce milieu. Ils gardent les pieds sur terre. D'ailleurs, pour notre première année de collaboration, on se fait éliminer par une équipe de 3e division en coupe d'Allemagne. Suivent deux défaites lors des (trois) matches suivants. Un début très compliqué. C'est la saison où Francfort affronte l'OM en Ligue Europa. Et va gagner au Vélodrome alors que l'équipe n'était vraiment pas bien. Le début d'une aventure. Avant le match, j'avais demandé à Bobic si ce n'était pas trop dur. Il m'avait répondu que c'était le football, il restait calme. Au club, c'était la même chose.

L'opposé de ce que vous aviez vécu à l'OM...

Oui ! En plus à Marseille. Quoi qu'il arrive, ça s'enflamme dans tous les sens. À Francfort, c'était complètement différent. Je me suis bien retrouvé dans cette attitude.

Comment s'organise votre travail ?

Mon secteur, c'est la France. Je suis leur seul référent, même si beaucoup de scouts allemands viennent voir des matches en France, notamment dans l'Est, à Nancy, Metz ou Strasbourg. Ils viennent aussi voir les joueurs que je leur recommande. Je leur conseille des profils, des joueurs par poste. Ma priorité, c'est de trouver des joueurs pour l'équipe professionnelle, plutôt des profils jeunes avec des qualités et un potentiel de développement, une marge de progression intéressante. Si un joueur est en fin de contrat et peut correspondre à un poste ciblé, ils sont évidemment preneurs. La cible prioritaire, ce sont des jeunes sur lesquels le club va investir un peu d'argent, mais pas énormément. L'Eintracht n'est pas un club qui va payer un joueur 15 ou 20 millions d'euros. Ce n'est pas la stratégie du club, même si celui-ci évolue avec trois participations en coupes d'Europe en quatre ans, dont une Ligue des champions. En cinq ans, le budget a doublé ou triplé.

La victoire en Ligue Europa facilite-t-elle votre travail auprès des recrues éventuelles ?

Non. Depuis ma prise de fonction, je me suis rendu compte que l'Allemagne intéressait énormément les jeunes Français, Francfort aussi car ce n'est pas le Bayern, Dortmund ou Leipzig où l'exigence va être très importante très vite. Le joueur peut y évoluer, grandir et progresser. Ça peut être une étape importante. Le projet Francfort est tout de suite rentré dans les moeurs en France. Aujourd'hui, je suis très sollicité par beaucoup d'agents de joueurs car le club est bien géré, bien structuré, avec un vrai projet sportif pour les joueurs.

Il y a plusieurs joueurs français au sein d'un effectif cosmopolite : Randal Kolo Muani, Evan Ndicka et Almamy Touré...

En quatre ans, ce sont les trois seuls joueurs que j'ai faits. Le premier a été Ndicka. Ça a été un très bon révélateur. Il avait 10 ou 12 matches en Ligue 2 avec Auxerre ; il doit maintenant en avoir une centaine en Bundesliga. Il a fait son chemin, est sollicité par d'autres clubs plus importants. Pour moi, c'est un bon exemple à faire valoir pour les projets futurs. Almamy Touré, c'était plus une opportunité en janvier, financièrement intéressante pour un joueur aussi jeune. Quant à Kolo Muani, c'était un dossier différent. Je m'étais positionné très tôt sur lui, on n'a jamais pu finaliser le transfert avec Nantes qui n'a jamais voulu. On a attendu qu'il soit libre pour le faire signer.

Est-il facile de convaincre un Kolo Muani ?

Je pense qu'on a été les premiers à lui proposer un vrai projet en dehors de Nantes. J'ai vraiment commencé à travailler sur ce dossier quand il est revenu de son prêt à Boulogne. Nantes n'en voulait plus. Le joueur a été séduit par notre projet, le club, ses structures. Son jeu et ses qualités peuvent vraiment bien s'adapter au championnat allemand. Il a une grosse marge de progression. De par la façon de s'entraîner, de se conduire et de travailler au sein du club, l'Allemagne peut le faire progresser.

Il y aurait pu y avoir - au moins - un quatrième Français puisque vous avez longtemps milité pour engager Valentin Rongier...

Il faisait partie des joueurs que j'avais proposés. À l'époque, l'entraîneur Adi Hütter, passé par les Young Boys de Berne, a préféré prendre Djibril Sow qu'il avait dirigé en Suisse.

L'évolution de Rongier doit confirmer ce que vous pensiez alors de lui...

Complètement. Je n'ai jamais eu vraiment de doutes à son sujet. Je le suis depuis longtemps, je connais ses qualités. Je supposais qu'en quittant Nantes pour se retrouver dans un club avec plus d'exigence et d'intensité, il allait forcément franchir un cap. C'est un joueur intelligent qui, selon moi, avait une marge de progression intéressante. Dans un championnat comme la Bundesliga, il aurait sacrément progressé. Mais c'est une autre histoire. Il y en a plein d'autres...

À qui pensez-vous ?

Le dernier joueur pour lequel j'ai vraiment les boules de ne pas avoir réussi à l'engager, c'est Khéphren Thuram. Ça ne s'est pas fait, c'était au moment du Covid. Il voulait quitter Nice, avait un accord avec son club. Je m'étais positionné, persuadé des énormes qualités du gamin qui n'exploitait pas tout son potentiel. J'en avais beaucoup parlé avec Lilian. Ça ne s'est pas fait pour des histoires d'argent... Notre vie de scout est ainsi faite. Deux ans plus tôt, j'avais proposé de "faire" son frère aîné, Marcus, qui jouait à Guingamp. J'étais bien branché sur la famille Thuram (sourire).

La Provence

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"Cette année, l'OM a un plus grand potentiel"

Comment Francfort perçoit le marché et les joueurs français ?

Comme un marché très important, très intéressant à suivre et très regardé. Pour l'Eintracht, les Français sont bien formés, sans parvenir à exploiter tout leur potentiel tant qu'ils restent dans l'Hexagone. On ne les aide pas à repousser leurs limites ni à aller plus loin. Avant de faire signer un joueur, ils font une étude environnementale et comportementale. Puis, quand un joueur signe, les Allemands sont sûrs de le faire progresser. Regardez le nombre de Français en Bundesliga. L'Allemagne est aussi un pays de mode. Quand un club essaie un truc et que ça marche, les autres ont tendance à faire pareil. Les Français sont à la mode, les clubs allemands cherchent donc des joueurs français.

Comment voyez-vous le match entre l'OM et Francfort ?

Ça va être un match intéressant, avec deux équipes qui jouent beaucoup. Cette saison, l'OM est bien armé, notamment physiquement. L'équipe a franchi un cap par rapport à l'an dernier. Athlétiquement, l'équipe est plus forte, elle a un état d'esprit conquérant, elle va de l'avant et s'engage pour presser et récupérer le ballon haut, alors que la saison passée elle pratiquait un jeu de position et de possession souvent un peu stérile. L'équipe de cette année possède un plus grand potentiel. Son état d'esprit est plus raccord avec une compétition comme la Ligue des champions.

Et Francfort ? Son identité de jeu est-elle aussi claire ?

L'équipe a commencé la saison en jouant à trois derrière ; maintenant, elle joue à quatre. Par rapport à son dispositif, elle a toujours eu un esprit très offensif. Les milieux de terrain se projettent, les joueurs de côté sont très offensifs. L'équipe est souvent en déséquilibre défensif à la perte de balle, elle n'hésite pas à jouer en un contre un derrière. C'est dans sa culture.

Comme l'OM de cette année...

Un peu, oui. À la base, ce n'est pas une culture française, alors qu'en Allemagne, ce n'est pas un souci. Il y a toujours beaucoup de buts, on ne s'ennuie jamais pendant les matches !

Quelles sont les ambitions de Francfort pour sa première participation à Ligue des champions ?

C'est effectivement la première du club à ce niveau ; il n'est pas préparé à ça. L'Eintracht est un club de niveau Ligue Europa, pas Ligue des champions, de par son histoire, l'expérience des joueurs à ce niveau qui est quasiment nulle. Il découvre la Ligue des champions et va la jouer à fond car il a une capacité à se transcender lors des matches importants et contre les grosses équipes. Ils ont toujours fait des gros matches contre les grosses équipes. Le groupe est tellement ouvert, tout est possible, mais le démarrage est un peu compliqué.

Ça va vous faire bizarre de voir s'affronter votre club et votre ancien club ?

Un peu. Je me fais chambrer par tous mes potes. J'ai assez de détachement et de recul. Ça me fait plus sourire qu'autre chose.

La page OM est-elle définitivement tournée ?

Ça fait longtemps que je suis passé à autre chose. L'OM, ça reste l'OM. Je travaille avec l'Eintracht, mais je ne suis pas au club comme je l'étais à l'OM à l'époque. J'y vais trois fois par an.

La Provence

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Balerdi relancé contre Francfort ?

Cela ne se perçoit pas toujours, mais Igor Tudor est un technicien heureux. Il n'y a qu'à voir la manière dont il a soulevé Pablo Longoria, quelques instants après le succès sur Lille (2-1), pour s'en convaincre. Son OM vogue sur les sommets du championnat et offre un visage séduisant. La dernière victoire en date l'a tellement satisfait qu'il a lâché une indication sur sa prochaine composition d'équipe. Demain soir, contre Francfort, il alignera Dimitri Payet, sorti du onze de départ depuis sa blessure au mollet contre Clermont (1-0), il y a bientôt deux semaines.

Pour le reste, c'est encore un peu flou. Surtout en défense même si sa marge de manoeuvre se révèle extrêmement étroite. Expulsé à Tottenham, Chancel Mbemba est automatiquement suspendu. Il n'a écopé que d'un match de suspension qu'il purgera face aux Allemands, donc. Son absence est tout sauf anecdotique. Depuis les trois coups de la saison, le Congolais a démarré tous les matches et s'impose comme le patron de la défense olympienne, même s'il a été remplacé à la pause face au Losc. Buteur, Samuel Gigot est également sorti prématurément, cinq minutes après son but victorieux, à cause d'un problème musculaire à une cuisse. Un doute enveloppe la présence de l'Avignonnais face aux hommes d'Oliver Glasner.

Si ces soucis physiques venaient à se confirmer, Tudor n'aurait pas beaucoup d'options pour composer son arrière-garde à trois têtes. Cet été, les postes ont été doublés. Mais avec deux joueurs sur le flanc et un autre, Isaak Touré, non inscrit sur les listes transmises à l'UEFA, les possibilités diminuent fortement... Entré à la pause, Éric Bailly démarrera. Sead Kolasinac, rapidement positionné axe gauche, devrait débuter, aussi.

Leonardo Balerdi les accompagnera-t-il pour ce sixième match en seize jours ? Et si oui, dans quel état psychologique ? Samedi, l'Argentin a tout raté et est sorti sous une bronca avant la demi-heure de jeu, évitant les accolades du staff. Le moral dans les chaussettes, la colère en bandoulière. "C'est un moment difficile mais on a tous confiance en lui, plaide Mattéo Guendouzi. Il est très costaud." Tudor l'a également défendu devant les médias, regrettant les sifflets du Vélodrome et insistant sur le fait qu'il redoutait un second avertissement. El Flaco (le maigre) pourrait donc avoir l'occasion de se racheter.

À moins que Gigot ne tienne finalement sa place...

La Provence

J ai croisé leur bus sur la route hier soir


J ai klaxonne pour les deconcentrer

Je mets une pièce sur une titularisation de Gerson à côté de Payet

C'est à dire que tu ne vois pas Guendouzi-Rongier-Veretout titulaires ensemble?
Je me dis que, sur ce match, on va avoir une défense expérimentiale et/ou diminuée donc j'aurais bien mis ce trio dès le début.

Castor_Troy, je pennse que le fait de ne pas avoir fait jouer Gerson et d'avoir fait tout jouer à Guendouzi est peut être un indice. Et puis j'ai envie de tester un trio Payet-Gerson-Sanchez

Soit on gagne, soit on sera obligés de recommencer à faire de la comptabilité en mode "si on fait nul face au Sporting et que Francfort perd alors il faudra qu'ensuite etc etc..." et ce jusqu'à la fin des séries, en espérant qq chose qui n'arrive jamais.

Bon on devra faire de la compta quoiqu'il arrive hein ^^, mais si on pouvait éviter de le faire en mode désespéré comme les années précédentes ce serait pas mal.

La VICTOIRE demain soir, et rien d'autre.

boodream, je voudrais aussi essayer Payet-Gerson-Sanchez.
Après, je reste tiraillé par le fait qu'il me semble que toutes nos meilleures prestations ont été réalisées avec Guendouzi-Rongier-Veretout sur le terrain...mais il faut bien essayer autre chose un moment ou un autre

Dans ce cas, Rongier-Veretout au milieu et Guendouzi sur le banc?

On parle du match, mais en réalité vu ce qui se prépare niveau fight club on peut mm pas être certains qu'il va pouvoir se jouer...

Feyenoord ils étaient combien l'an dernier ? Ils avaient mis un sacré bordel déjà...
Sinon moi aussi j'aimerais voir le trio Payet-Gerson-Sanchez

Ouais avec Guendouzi a son vrai poste à la place de Veretout

boodream, je voudrais aussi essayer Payet-Gerson-Sanchez.
Après, je reste tiraillé par le fait qu'il me semble que toutes nos meilleures prestations ont été réalisées avec Guendouzi-Rongier-Veretout sur le terrain...mais il faut bien essayer autre chose un moment ou un autre

Dans ce cas, Rongier-Veretout au milieu et Guendouzi sur le banc?

Payet-Sanchez-Gerson, la PSG en action