[2022/23 - LDC - J1] Tottenham 2-0 OM

Je vois pas comment il pourrait ne pas y avoir but sur l'action du rouge. Derrière y a un 2 contre 1 à jouer ou le 1 c'est Clauss qui était pas ouf hier c'est aussi 99% de risque de prendre un but. Et vu notre prestation offensive jusque la, devoir se livrer avec la fatigue avançant, compliqué.
Cela étant dit vu qu'au final on perd c'etait de facto le mauvais choix puisqu'on perd le match ET le joueur mais sur le moment ça se comprend complétement qu'il tacle.

Dans l axe, il y a un attaquant qui arrive, et un défenseur qui revient ( et positionné entre Son et l attaquant).
Loin d être but pour moi

On parle de Son et Perisic C’est pas Lorient en face (Et pourtant Lorient c’est pas si degueu) si dans la meme situation tu as Mbappé et Mendes (ou pas loin) et qu’ils marquent pas c’est un scandale) a mon sens une situation comme ça à ce niveau c’est 99% but

Et oui y a que 1-0 et t’es à 11 mais on avait quasiment jamais été dangereux. Pour aller égaliser il aurait fallu beaucoup se découvrir et ils ont montré qu’il leur fallait pas beaucoup d’occase.

Après à posteriori et avec toutes les données connues bien sûr que ça aurait été mieux de perdre 2-0 à 11 contre 11.
Mais en taclant je suppose que Chancel a l’espoir 1/ de toucher le ballon et 2/ au pire de préserver le score en sachant très bien que mené dans ce match très dur de revenir que tu sois à 10 ou à 11

Enfin sur l'action, à vous lire, Son avait 1m50 d'avance sur MBemba, au point que c'était sûr et certain qu'il allait réussir à revenir vers l'axe tranquille.

Plutôt l'impression que si MBemba était resté à la course, y'a aussi des chances que Son soit gêné et obligé de continuer tout droit et de se retrouver à l'angle de surface

Le geste était quand même le plus mauvais choix possible dans cette situation. Et ça coute très cher et va couter cher sur les 2 prochains matchs décisif, c'est sans doute ça le pire si on part du principe que prendre 1 pt hier c'était de toute façon du bonus.

Pour moi Mbemba pouvait tenter de le jouer à l'épaule.

Sur la 1ère journée de LDC, on est l'équipe qui a touchée le moins de ballons dans la surface adverse ...

oui après on est aussi la seule équipe sur cette journée à avoir joué une mi temps entière à 10.
La seule autre équipe avec un rouge c'est Porto à la 81ème.

Franchement je trouve que beaucoup ici minimise grave la 1ère mi-temps. J'ai apprécié l'état d'esprit, la détermination et on jouait bien!
S'il y avait eu Sanchez devant....

Enfin sur l'action, à vous lire, Son avait 1m50 d'avance sur MBemba, au point que c'était sûr et certain qu'il allait réussir à revenir vers l'axe tranquille.

Plutôt l'impression que si MBemba était resté à la course, y'a aussi des chances que Son soit gêné et obligé de continuer tout droit et de se retrouver à l'angle de surface

Le geste était quand même le plus mauvais choix possible dans cette situation. Et ça coute très cher et va couter cher sur les 2 prochains matchs décisif, c'est sans doute ça le pire si on part du principe que prendre 1 pt hier c'était de toute façon du bonus.

Il prendra un match, pas plus

Marseillais13z, faut que tu réduises un peu ta signature

superolive,

Rouge direct c'est pas deux matchs minimum ?

Non, c’est automatiquement un match, sanction qui peut être aggravée en cas de faits graves, ce qui n’est pas les cas ici.

https://documents.uefa.com/r/Reglement- ... ges-Online

On va voir si l'UEFA nous chie dessus comme la plupart des instances du football, locales nationales et internationales.

Aucune raison en effet d'aggraver la sanction, we shall see...

Sur la 1ère journée de LDC, on est l'équipe qui a touchée le moins de ballons dans la surface adverse ...

Cents pour cela que ça ne sert à rien de dire qu’on a dominé la première mi-temps, on a juste été inoffensif et Tottenham a simplement attendu le bon moment pour nous punir.

pretender t’as perverti?

On a été inoffensif en 1ère mi-tps. Mais dans ce cas, que dire de Tottenham, « l’épouvantail du groupe », durant 47min, voire même 60??

À 11 vs 11, perso, je n’avais absolument pas peur de prendre un but. Certains diront qu’ils ont patienté, qu’ils n’avaient besoin que d’une erreur pour être dangereux, blabla.
Je suis loin d’être un spécialiste comme vous tous, perso, j’ai trouvé qu’on les a éteint chez eux à domicile pendant 47min. Ils ont été aussi inoffensifs que nous à minima pendant 47min

Après ce fût un autre match.

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L’OM entre deux eaux

Comme Deschamps, Baup ou Villas-Boas avant lui, Igor Tudor a perdu pour ses débuts à l’OM en Ligue des champions. À Tottenham, son équipe a démontré une discipline réjouissante en première période, mais aussi un manque d’efficacité dans les zones qui comptent. MÉLISANDE GOMEZ et MATHIEU GRÉGOIRE

L’entrée en lice en Ligue des champions de l’OM s’est soldée par une défaite sur la pelouse de Tottenham (0-2) mercredi soir. Pour autant, avant l’expulsion de Chancel Mbemba en début de seconde période, la prestation des Marseillais a été plutôt encourageante. Voici des raisons d’y croire pour la suite, mais aussi une poignée de nuages à dissiper.

LES MOTIFS D’ESPOIR

Les principes de Tudor

L’entraîneur croate vivait sa première en Ligue des champions, mercredi, et il y avait baptême plus facile que ce déplacement chez le cador du groupe. Mais il a passé l’épreuve avec caractère, sans renier ses idées bien arrêtées sur le jeu que doit développer son équipe. Il avait prévenu que ce n’était qu’un match de foot parmi d’autres et qu’il l’avait préparé comme d’habitude. Des entraînements intenses et rythmés, et des principes audacieux déjà affichés en Ligue 1 : le marquage individuel tout terrain, le pressing haut, l’agressivité dans le duel, les transitions rapides. Les exigences du Croate réclament des efforts physiques considérables et supposent une vraie prise de risques dans ces interventions très hautes des défenseurs axiaux : il a suffi que le ballon passe une fois vers Son pour provoquer le carton rouge et sceller le sort du match. Mais cette intensité, cette énergie et cette rigueur collective ont fait mal à Tottenham pendant quarante-cinq minutes et feront mal encore, contre Francfort ou le Sporting Portugal, si les Marseillais gardent cet état d’esprit.

L’expérience ajoutée

Les précédentes campagnes de C1 de l’OM, entre la jeunesse du « projet Dortmund » encadré par Élie Baup en 2013 et l’inexpérience européenne de la troupe de Villas-Boas à l’automne 2020, ont rappelé combien il est important d’avoir des joueurs habitués à ces altitudes pour vite s’acclimater à ces soirées particulières. L’OM a recruté aussi dans ce sens, cet été, avec Chancel Mbemba, Éric Bailly, Alexis Sanchez ou même Jordan Veretout, qui a gagné la C4 avec l’AS Rome la saison dernière. À Londres, ces joueurs au cuir endurci n’ont pas vacillé en découvrant la pelouse et leur sérénité a rendu beaucoup de choses possibles pour l’OM en première période. Certes, Mbemba a pris un carton rouge, mais il avait été impérial jusque-là. Et ce sont les joueurs plus tendres à ce niveau, comme Nuno Tavares, Jonathan Clauss ou Luis Suarez, qui ont le plus souffert de l’enjeu.

Le retour de Sanchez

L’OM a réussi sa première période mais son efficacité dans le pressing et à la récupération a tranché avec le peu de danger qu’il a été capable de faire planer sur le but d’Hugo Lloris. La bonne nouvelle, c’est que le retour de suspension d’Alexis Sanchez, mardi face à l’Eintracht Francfort, va donner une autre allure à l’attaque marseillaise, où Luis Suarez n’a pas pesé très lourd, mercredi. Le Chilien présente un CV qui parle pour lui en Ligue des champions, où il a disputé 66 matches depuis 2011, marqué 14 buts et donné 14 passes décisives.

Sa forme actuelle (déjà 3 buts en L1) et la facilité avec laquelle il s’est intégré à la pointe du 3-4-3 marseillais, un poste qui n’est pourtant pas le sien, sont autant de raisons d’espérer. Par la qualité de ses déplacements, sa maîtrise technique et son intelligence de jeu, il rend meilleurs les autres joueurs autour de lui et il sera à sa place sur la scène étoilée de la Ligue des champions.

LES MOTIFS D’INQUIÉTUDE

La fiabilité de Lopez

Le gardien espagnol a été un des premiers choix forts de Pablo Longoria et Jorge Sampaoli, qui voulaient autant déboulonner la statue du commandeur Steve Mandanda que choisir un portier adapté au style de l’entraîneur argentin. Dans cette ode au jeu de possession, le positionnement haut et l’anticipation de Lopez, ainsi que son adaptation au rôle de premier relanceur, étaient des qualités rares et recherchées. Sampaoli est parti, Tudor a débarqué et Lopez semble moins attendu dans la participation à l’effort collectif que sur les tâches classiques du gardien. S’il avait sorti une grosse parade face à Nantes et Moses Simon, le 20 août, pour maintenir son équipe à flot, à 0-0 en début de seconde période, il n’a pas offert une garantie tous risques sur sa ligne. Il a été impuissant sur le doublé de Richarlison : son intervention sur le premier but du Brésilien (76e) laisse quelques regrets. En septembre 2021, à Moscou face au Lokomotiv, il avait déjà proposé des débuts bien ternes. Avant de se reprendre à l’automne, en L1. Il devra élever son niveau, une nouvelle fois, pour prouver qu’il a sa place en Ligue des champions.

Des ailes à cajoler

Au moment d’identifier les principes du jeu olympien, Antonio Conte n’a pas hésité. Brillants contre le tout-venant de la L1 en août, les pistons de l’OM ont été ciblés et plutôt maîtrisés par un Tottenham habitué à bien défendre. Tavares s’est empêtré dans les choix douteux, Clauss a eu du déchet pour sa première à ce niveau. Les soirs où ses pistons déchantent, Tudor va devoir trouver des alternatives pour dynamiser les offensives de son équipe, avec un jeu de transitions encore plus cinglant et fluide dans l’axe, via Dimitri Payet, par exemple, ou en responsabilisant Jordan Veretout.

Surtout, les si précieux joueurs de côté devront être choyés, lors d’un automne dantesque. Tavares n’a pas vraiment d’équivalent à gauche, le plan B s’appelle Sead Kolasinac qui, sans être génial, maîtrise bien les rudiments du « Tudor ball » (déclencher l’appel en profondeur dès que le milieu axial est touché, puis centrer en retrait), et le plan C… Clauss. L’ex-Lensois, qui postule pour une place au Mondial, a Issa Kaboré comme suppléant, un joueur encore en développement. Mercredi, Tudor a préféré placer Tavares à droite à sa sortie, et l’OM a failli défensivement sur ce côté.

Le risque d’une pointe émoussée

L’absence de Sanchez, avant-centre désigné, s’est faite sentir. Comme à Auxerre, Tudor a titularisé Luis Suarez, et le Colombien n’a guère pesé, notamment sur les temps forts de l’OM en première période. Énergique dans les tâches ingrates comme le pressing, Suarez aime être face au jeu avec le ballon, mais les grands rendez-vous n’offrent pas aux buteurs le luxe de choisir leur configuration préférée. Devant, l’OM sera ainsi suspendu au physique de sa star chilienne.

Contraint par les sanctions du fair-play financier décrétées par l’UEFA, il n’a pas inscrit Cédric Bakambu et Bamba Dieng pour la compétition. Deux munitions en moins sur ce secteur, deux profils différents qui ont pu débloquer quelques situations la saison dernière, Bakambu par sa précision, Dieng par sa vigueur. Et on ne s’attardera pas sur le départ d’Arkadiusz Milik, vrai 9 de métier soldé en fin de mercato. Autant Tudor a le choix sur ses deux milieux offensifs, derrière la pointe, avec Gerson, Guendouzi, Payet, Ünder, Harit voire Veretout, autant le poste d’avant-centre sera une source de réflexion, sinon de stress.

L'Equipe

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LE POINT NÉGATIF; Devant, peu de solutions et d'occasions

Un seul être vous manque et tout un secteur est dépeuplé. En inscrivant seulement deux finisseurs de métier sur sa liste européenne, l'OM a pris le risque de se retrouver désarmé en cas d'absence de son principal artificier : Alexis Sanchez. C'est exactement ce qui s'est passé avant-hier soir au Tottenham Hotspur Stadium, où le Chilien était suspendu. Son suppléant, Luis Suarez, s'est simplement mis en valeur en s'appliquant à réaliser ce qu'il sait faire de mieux : cavaler et harceler les défenseurs adverses. Le Colombien a été recruté pour sa faculté à se mettre au service du collectif et à répéter les efforts. À ce titre, son profil correspond parfaitement à la philosophie prônée par Igor Tudor.

Oui mais voilà, le Sud-Américain a proposé peu de solutions et ne s'est pas créé la moindre occasion. Particulièrement utile dans le bloc qui a posé de sérieux soucis aux Spurs en première période, il n'a en revanche été trouvé que trop rarement par ses partenaires. Et quand ce fut le cas, il a péché par précipitation ou imprécision.

On le savait déjà : l'homonyme de l'ancienne vedette du Barça n'a pas le profil axial d'un Arkadiusz Milik, prêté avec option d'achat à la Juventus, avec laquelle il a mis Gianluca Donnarumma à contribution mardi au Parc des Princes, malgré la défaite des Turinois (2-1) face au PSG. Mais l'ex-pensionnaire de Grenade a d'autres qualités. Celles-ci ont notamment été entraperçues contre Reims (4-1), première journée durant laquelle il avait inscrit un doublé après être entré en jeu. Reste que pour l'instant, il a du mal à être trouvé par ses coéquipiers, surtout les pistons. C'est là où le bât a blessé à Londres, où trop peu de centres ont été effectués. "On aurait pu en faire davantage, je l'ai dit aux joueurs à la mi-temps. Nous aurions dû être plus tranchants, plus concrets", a regretté son entraîneur, néanmoins très satisfait de la copie globale rendue par ses hommes (lire aussi ci-dessus).

Oui mais voilà, avec 62% de possession de balle durant les quarante-cinq premières minutes (une statistique que Jorge Sampaoli aurait appréciée), il y avait forcément mieux à faire devant la cage. Simple partie remise ? Mardi, contre Francfort au Vélodrome, les Marseillais devront absolument l'emporter pour se remettre dans le sens de la marche et ne pas annihiler leurs chances de qualification en 8e de finale. Ils ne pourront pas se permettre autant d'approximations (Suarez n'a pas été le seul fautif sur ce plan-là) et devront retrouver le chemin du but.

Alexis Sanchez aura purgé sa sanction. Avec lui, ce sera forcément différent. Encore faudra-t-il, évidemment, que celui-ci ne se blesse pas demain soir contre Lille en Ligue 1. C'est tout le dilemme qui se présente à Igor Tudor. Le Dalmate dispose d'une multitude d'options pour composer son trident offensif (Dimitri Payet a même passé l'intégralité de la rencontre sur le banc mercredi), mais avec Cédric Bakambu et Bamba Dieng recalés du casting continental, il n'a pas trop de choix. Pour rappel, l'OM ne pouvait inscrire que vingt joueurs sur sa liste A (en raison des sanctions du fair-play financier de l'UEFA, celle-ci était réduite de 25 à 23 joueurs, puis encore diminuée à 20 à cause du trop faible nombre d'éléments formés au club).

Revenu de Chine l'hiver dernier pour signer un gros contrat au sein de la maison ciel et blanc, le trentenaire congolais a refusé une offre estivale de Celta Vigo car il voulait... disputer la Ligue des Champions sous le maillot blanc. Il a pourtant été sacrifié, au même titre que le jeune Sénégalais (22 ans), finalement resté après un feuilleton à rebondissements. Ces deux-là pourront toujours être candidats pour une place en Ligue 1, quand bien même le second, écarté depuis juillet, est à court de compétition. Mais ils regarderont la C1 à la télé. Auraient-ils fait mieux que Luis Suarez à Tottenham ? On ne saura jamais. Il est une certitude, en revanche, que personne ne pourra jamais contester : sans marquer, il est impossible de gagner...

La Provence

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LE POINT NÉGATIF; Devant, peu de solutions et d'occasions

Un seul être vous manque et tout un secteur est dépeuplé. En inscrivant seulement deux finisseurs de métier sur sa liste européenne, l'OM a pris le risque de se retrouver désarmé en cas d'absence de son principal artificier : Alexis Sanchez. C'est exactement ce qui s'est passé avant-hier soir au Tottenham Hotspur Stadium, où le Chilien était suspendu. Son suppléant, Luis Suarez, s'est simplement mis en valeur en s'appliquant à réaliser ce qu'il sait faire de mieux : cavaler et harceler les défenseurs adverses. Le Colombien a été recruté pour sa faculté à se mettre au service du collectif et à répéter les efforts. À ce titre, son profil correspond parfaitement à la philosophie prônée par Igor Tudor.

Oui mais voilà, le Sud-Américain a proposé peu de solutions et ne s'est pas créé la moindre occasion. Particulièrement utile dans le bloc qui a posé de sérieux soucis aux Spurs en première période, il n'a en revanche été trouvé que trop rarement par ses partenaires. Et quand ce fut le cas, il a péché par précipitation ou imprécision.

On le savait déjà : l'homonyme de l'ancienne vedette du Barça n'a pas le profil axial d'un Arkadiusz Milik, prêté avec option d'achat à la Juventus, avec laquelle il a mis Gianluca Donnarumma à contribution mardi au Parc des Princes, malgré la défaite des Turinois (2-1) face au PSG. Mais l'ex-pensionnaire de Grenade a d'autres qualités. Celles-ci ont notamment été entraperçues contre Reims (4-1), première journée durant laquelle il avait inscrit un doublé après être entré en jeu. Reste que pour l'instant, il a du mal à être trouvé par ses coéquipiers, surtout les pistons. C'est là où le bât a blessé à Londres, où trop peu de centres ont été effectués. "On aurait pu en faire davantage, je l'ai dit aux joueurs à la mi-temps. Nous aurions dû être plus tranchants, plus concrets", a regretté son entraîneur, néanmoins très satisfait de la copie globale rendue par ses hommes (lire aussi ci-dessus).

Oui mais voilà, avec 62% de possession de balle durant les quarante-cinq premières minutes (une statistique que Jorge Sampaoli aurait appréciée), il y avait forcément mieux à faire devant la cage. Simple partie remise ? Mardi, contre Francfort au Vélodrome, les Marseillais devront absolument l'emporter pour se remettre dans le sens de la marche et ne pas annihiler leurs chances de qualification en 8e de finale. Ils ne pourront pas se permettre autant d'approximations (Suarez n'a pas été le seul fautif sur ce plan-là) et devront retrouver le chemin du but.

Alexis Sanchez aura purgé sa sanction. Avec lui, ce sera forcément différent. Encore faudra-t-il, évidemment, que celui-ci ne se blesse pas demain soir contre Lille en Ligue 1. C'est tout le dilemme qui se présente à Igor Tudor. Le Dalmate dispose d'une multitude d'options pour composer son trident offensif (Dimitri Payet a même passé l'intégralité de la rencontre sur le banc mercredi), mais avec Cédric Bakambu et Bamba Dieng recalés du casting continental, il n'a pas trop de choix. Pour rappel, l'OM ne pouvait inscrire que vingt joueurs sur sa liste A (en raison des sanctions du fair-play financier de l'UEFA, celle-ci était réduite de 25 à 23 joueurs, puis encore diminuée à 20 à cause du trop faible nombre d'éléments formés au club).

Revenu de Chine l'hiver dernier pour signer un gros contrat au sein de la maison ciel et blanc, le trentenaire congolais a refusé une offre estivale de Celta Vigo car il voulait... disputer la Ligue des Champions sous le maillot blanc. Il a pourtant été sacrifié, au même titre que le jeune Sénégalais (22 ans), finalement resté après un feuilleton à rebondissements. Ces deux-là pourront toujours être candidats pour une place en Ligue 1, quand bien même le second, écarté depuis juillet, est à court de compétition. Mais ils regarderont la C1 à la télé. Auraient-ils fait mieux que Luis Suarez à Tottenham ? On ne saura jamais. Il est une certitude, en revanche, que personne ne pourra jamais contester : sans marquer, il est impossible de gagner...

La Provence

Faux, les CSC ça existe

Odd, désolé de te contredire mais, autant je ne sais pas pour ses stats, autant son salaire à l'OM a bien été confirmé à 650k€ net par mois.

650 K net par mois ???????
Ça a été confirmé par Toubache TER ?

Au mieux il est à 250K net par mois (ce qui est déjà pas mal)

Toubache TER avance un chiffre d'1M net