[Ligue 1 - 2022-23] : pas de titre

Joueur qui serait à coup sûr moyen chez nous de toutes façons.

Il a du mal à confirmer sa grosse saison

On va se rassurer en se disant que si on avait battu Montpellier, peut être que les parisiens se seraient un peu plus bougés le fion.
Quelle misère ce parcours au Vélodrome... Honteux.

On n’a même pas l’excuse des moyens vu les derniers mercato.
Vraiment la rage depuis hier soir. Il y avait vraiment la place cette année.

Un match par semaine et on a des joueurs incapables de se donner à fond. Ou alors, s’ils le font, c’est le coach qui merde.

A part Tavares on a quand même pas les profils d’une 4ème techno pour sortir la sempiternelle excuse du manque d’envie.

Je vois pas pourquoi des joueurs qui se sont arrachés en 1ère partie de saison et s’arrachent encore à l’extérieur pour garder la tête hors de l’eau, décideraient volontairement de lâcher des trophées au Vel devant 65 000 supporters avec qui ils ont une super relation.

On y arrive pas parce que le coach n’a déjà pas la formule pour gagner des titres. Il sait pas gérer son banc, sait pas s’adapter un minimum et les rares coups tactiques qu’il tente sont mal foutus.
Rappelons que Galatasaray l’a viré fissa en craignant que ses prises de tête avec les cadres leur fassent foirer le titre. Ils ont ensuite été champions sans lui.

Il n’est pas responsable de tout bien sûr. Longoria, malgré des réussites notables, s’est un peu loupé sur le mercato. On a pas d’effectif cohérent pour assurer une vraie course au titre. La gestion du buteur a été catastrophique. On dégage Milik et Bakambu pour prendre un Suarez archi pété, on arrive très tardivement sur le dossier Moffi pour se prendre un vent logique et on retombe dans un panic buy en recrutant un Vitinha pas adapté au système du coach. Idem pour Ounahi alors qu’une vraie doublure à Tavares aurait été plus utile au coach.

Globalement le biais hispano-italien du président et son poto Ribalta m’inquiète un peu en débouchant sur une équipe manquant d’impact, de physique, de vitesse. Ruslan n’est pas une crevette mais c’est un lent habitué qui plus est au petit rythme de la serie A.
Tudor a récemment avoué que la L1 demande de la vitesse…

Bref si on veut gagner, il faudrait déjà un coach qui a un CV en la matière ou un gars en devenir qui semble avoir le pragmatisme pour. Peut-être qu’un Tudor parfaitement écouté à la Juve ou moins hautain pour s’adapter à l’effectif d’une telle institution, pourrait réussir. Chez nous il n’y a rien pour l’encadrer ou le cadrer ou l’envoyer se faire encadrer aux Prud’hommes après le combo Annecy/PSG.

Je vois pas comment l’OM pourrait passer le palier du haut niveau sans un coach très fiable et un effectif cohérent. Tant qu’on aura pas ça, je ne croirais plus en ce club, peu importe qu’on démarre une saison avec 15 victoires d’affilée ou qu’on soit en finale de CDF face au Cassis FC. Ça finira par une douche froide.

Le pire c’est que gagner une CDF comme le vieux Nantes de Kita l’a fait ne demande pas une gestion parfaite mais la pression est trop forte à l’OM. Si t’as pas un gagneur sur le banc, un buteur pour te sauver les miches quand le collectif est dans un creux, des golgoths pour user les défenses regroupées et contrer violemment ceux qui osent nous attaquer au Vel, ça marchera jamais.

Bref, on doit se recréer un OM à base de DD le pragmatique, Niang la salope, Mbia le taré, Diawara le saoulard. Lucho on l’a déjà avec Sanchez et Chancel c’est Heinze.

Hein ? Quoi ? Après Rennes, Lyon ? C'est donc possible de pas se faire marcher dessus par le QSG ? Et même quand ils ont Messi et Bappé titulaires ? Et chez eux qui plus est ??

On nous aurait menti ?!?

Après faut pas être de mauvaise fois non plus. L'équipe qui nous a poutré en championnat n'avait rien à voir avec L'équipe d'hier. On joue pas le même championnat qu'une équipe comme monaco par exemple et ça c'est une réalité.

Depuis la coupe du monde, Paris a joué un seul match et nous a collé une branlée. Ils ont été sympas : ils nous ont laissé la coupe.

mamad_25, typiquement le genre de réaction liée à la stagnation du club.

On peut refaire le débat, mais c'est surtout que la tactique choisie par Tudor sur ce match qui explique la grosse défaite : personne ne joue Mbappé en un vs un sur un demi terrain (surtout avec un défenseur qui n'a pas joué depuis 2mois).

A cela on peut ajouter qu'on a joué contre l'équipe type qui jouait encore la LDC.

Mais cette défaite est anecdotique dans notre parcours. On sait que si on veut être champion, il faut que Paris soit moyen et qu'on soit très bon. Pour l'instant, aucune des 2 conditions n'est réunie :
- il faudrait qu'on gagne 8 matchs sur 9 pour avoir a peu près le total de point du Lille champion (quand Paris a été moyen).
- Paris a encore une moyenne de points qui lui permet de finir vers 86 points, total qu'on pourra battre qu'en faisant 9/9.

Après moi j'ai encore l'espoir d'un pic de forme prévu pour le printemps et qu'on fasse un super sprint final. Mais ce qu'on a vu vendredi n'était pas du tout encourageant.

Si on fait le boulot lors des deux prochains matchs, on peut se préparer à de savoureuses déceptions sur la fin.

Auxerre est 2e?

Seulement s'ils jouent contre nous, sinon pour les autres ils sont 17ème.

Et voilà l'excuse déjà toute trouvée.

Troyes, Auxerre, Angers et Brest à dom. Ça va être chaud

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La flambée des prix

Les salaires de la Ligue 1 ont augmenté dans la grande majorité des clubs par rapport à la saison dernière. Les raisons sont multiples. Romain Lafont

Dans le foot aussi, c’est l’inflation, avec un grand I. Quoi de plus normal, nous direz-vous, lors d’une saison où le vainqueur de la Coupe du monde est aussi le pays où le prix du bife de lomo peut être différent au début et à la fin d’une même journée. Mais si les salaires de la Ligue 1 ont une nouvelle fois augmenté, l’Argentine et Lionel Messi n’y sont pour rien, le septuple Ballon d’Or touchant la même somme que la saison dernière.

La guerre en Ukraine non plus, d’ailleurs, même si elle a eu pour conséquence indirecte de ramener de Russie quelques joueurs, comme Rémy Cabella (Lille), Dejan Lovren (Lyon) ou  Alexis Beka Beka (Nice). Sur les dix-sept clubs qui évoluaient déjà en Ligue 1 la saison dernière, treize ont vu la moyenne de leurs émoluments partir à la hausse, même si cette dernière n’est pas délirante dans tous les clubs, loin s’en faut.

Les exceptions ? Monaco, contraint d’être plus raisonnable à cause du fair-play financier et dont la moyenne salariale a mécaniquement chuté avec la fin de contrat d’un joueur, Cesc Fabregas, qui aura passé trois saisons et demie à l’ASM et dont le rendement en Ligue 1 a été inversement proportionnel à son salaire de superstar (600 000 €). Vient ensuite le LOSC, qui a tenté de garder une équipe compétitive tout en continuant son désendettement, avec notamment le départ de ses deux plus gros salaires (Renato Sanches et Burak Yilmaz), et Angers, qui a probablement anticipé, dans son mercato hivernal, sa descente future en Ligue 2. Rennes, lui, semble être resté stable dans sa masse salariale, mais il a continué à débourser des sommes plus que coquettes en indemnités de transfert (25 M€ versés à Paris pour Arnaud Kalimuendo, 28 M€ pour Amine Gouiri, dans le cadre d’un échange avec Gaëtan Laborde, parti à Nice).

Marseille a cassé sa tirelire

Chez tous les autres, donc, une hausse a été observée, mais cette situation globale cache d’immenses disparités et possède des explications multiples. Comme d’habitude ces dernières années, il y a évidemment le PSG et les autres. Pour convaincre Kylian Mbappé de rester alors que son contrat se terminait en juin dernier, le club de la capitale lui a tout simplement offert l’un des plus gros contrats de l’histoire du sport (voir page 4).

À Paris, « Kyky » a tout pris : pour les recrues estivales, le PSG s’est montré un tout petit peu plus raisonnable que d’habitude – à son échelle, évidemment. Un seul joueur arrivé durant l’été figure dans le top 10 de ses plus gros salaires, Nordi Mukiele, débarqué du RB Leipzig. Les autres naviguent dans des sphères financières qui se rapprochent un peu plus du commun des mortels, ou du moins des plus gros contrats du dauphin marseillais.

C’est l’un des grands enseignements de cette cuvée 2023 : l’OM a cassé sa tirelire pour tenter de réaliser une campagne de Ligue des champions plus digne que les deux précédentes, qui s’étaient achevées avec respectivement 0 et 3 points, en 2013-2014 et 2020-2021. Le club phocéen a certes encore terminé à la dernière place de son groupe, mais il a au moins existé cette saison (6 points), et il était encore en mesure de se qualifier pour les huitièmes de finale à dix minutes du terme de la phase de groupes. Rien de plus normal, après tout, lorsque l’on recrute des joueurs du pedigree d’Alexis Sanchez ou Eric Bailly, et des valeurs sûres comme Jordan Veretout.

Merci qui ? Merci CVC

Des renforts qui, à défaut de lui permettre de voir le printemps européen, font de Marseille un candidat très solide à la deuxième place de la Ligue 1. Des renforts qui trustent, aussi, les premières places dans la hiérarchie salariale du club et qui font une apparition remarquée dans le top 30 de notre Championnat. Huit Marseillais y figurent, contre trois lors des deux saisons précédentes, et cinq en 2019-2020.

L’Europe, c’est aussi ce qui a incité Nantes à faire venir de Watford un Moussa Sissoko qui devient par là même le plus gros salaire de l’histoire du club. Attirer des joueurs venant du Championnat anglais, boosté financièrement par ses droits télé mirifiques, forcément, cela coûte cher.

Ce ne sont pas l’OL, qui a fait revenir Alexandre Lacazette pour près d’un demi-million d’euros mensuel, Nice, où figurent trois « British » d’adoption (Pépé, Schmeichel) ou de passeport (Barkley) dans le top 7 des salaires, ou Strasbourg qui diront le contraire, même si les Alsaciens ne paient qu’une petite partie des émoluments de Morgan Sanson, prêté cet hiver par Aston Villa. Nantes peut au moins profiter du fait que Sissoko ait été résident fiscal anglais lors des cinq dernières années, ce qui permet au club et au joueur de bénéficier de l’impatriation au même titre que les joueurs étrangers (voir ci-dessous).

Chez les « petits » du Championnat, pas de folie, hormis peut-être Troyes et son pari Jeff Reine-Adélaïde, aussi audacieux que pour l’instant raté. Mais les candidats au maintien ont, pour certains, tenté de se renforcer, à l’image d’Auxerre et ses six prêts hivernaux. Tout ce petit monde a pu bénéficier de deux éléments qui permettent de compenser un peu la baisse des revenus liés aux droits télé par rapport à ce qui était prévu avec feu Mediapro.

D’abord, la fin des huis clos, totaux ou partiels, liés au Covid. Ensuite, et surtout, la manne financière apportée par CVC. Le fonds d’investissement va verser 1,5 milliard d’euros d’ici à juin 2024 contre 13,04 % des parts de la filiale commerciale de la Ligue et les millions ont déjà commencé à tomber sur les comptes des clubs, l’été dernier. Mais pas de façon égale, à terme : Paris aura touché d’ici un an et demi 200 M€, l’OM et l’OL 90, Nice, Lille, Rennes et Monaco 80, les autres au mieux 33. Pour certains versements futurs, il faudra d’ailleurs prouver que son club est sain et que l’argent est bien utilisé. Inflation, oui, déraison, non.

L'Equipe

mamad_25, typiquement le genre de réaction liée à la stagnation du club.

Pourtant Deschamps lui même expliquait que pour être champion faut que l'OM possède une équipe bien supérieure aux autres.

Mais c'est juste une evidence, y a qu'a regarder les affluences, le nombre de matchs televises en prime time, pour bien comprendre que ce match reste un match de gala pour tous les clubs, le nier est juste de la mauvaise foi

Betsamee, en revanche raconter que le PSG est archi motivé c'est des conneries. Ça arrive 20 min tous les 5 ans contre nous.

Mais quand bien même ils s'arracheraient plus que face au Bayern, cette saison ils sont bidons.
Que Bapé en plante 2 c'est normal. Que de notre côté on branle strictement rien en écartant les fesses devant 65 000 supporters au Vel, c'est scandaleux.

Se cacher derrière les moyens du Qatar jetés à la poubelle, si c'est pas de la mauvaise foi, c'est de la troyennisation ou une sécurité mentale pour éviter de se taillader les veines en acceptant pas la réalité de la loose olympienne. Le problème c'est qu'elle se vérifie ailleurs et la douche est d'autant plus glaciale quand ce sont les Ajaccio, Annecy & co qui torpillent nos ambitions.

mamad_25, typiquement le genre de réaction liée à la stagnation du club.

Pourtant Deschamps lui même expliquait que pour être champion faut que l'OM possède une équipe bien supérieure aux autres.

Ça vaut aussi pour le coach alors. L’OM avait besoin d’un gagneur, d’un manager comme DD pour remporter à nouveau des trophées.
Tudor a gagné quoi depuis 10 ans qu’il est dans le métier ? Dans quel club il a construit quelque chose sur 2-3 ans ? Quel effectif d’internationaux il a su gérer ?

Je veux bien que ce soit un futur cador que Longoria a sorti de l’ombre mais en attendant on essuie les plâtres en foirant l’opportunité de la décennie d’aller chercher un doublé coupe/championnat.
Très clairement tant qu’on aura pas un manager et une ossature complète armés pour la gagne, on gagnera rien. Logique.

Mais par contre, est-ce qu'il existe vraiment des coaches winner à notre portée ?

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Ligue 1iOui, Paris peut perdre le championnat

Après sa défaite face à Lyon, le PSG ne compte plus que six points d’avance sur Lens et l’OM à neuf journées de la fin de la saison. Face à cette menace, la perte du titre de champion de France par le club parisien n’est plus à exclure.

Comme l’ombre d’un doute. Et au fur et à mesure que la fin de saison approche et que le PSG continue d’enchaîner des prestations aussi indigentes que celle proposée dimanche face à l’OL (0-1), cette incertitude n’en finit plus de grandir. Au point de se poser une question, légitime, que l’on croyait pourtant presque réglée il y a quelques semaines : Kylian Mbappé et ses partenaires peuvent-ils laisser échapper le titre de champion de France ?

Battu pour la deuxième fois consécutive sur sa pelouse sans marquer le moindre but (une première dans l’ère QSI), la huitième défaite de l’année (pire bilan depuis 2001), le club de la capitale amène clairement à s’interroger sur sa capacité à devenir champion de France en fin de saison. À neuf journées du terme, les hommes de Christophe Galtier ne possèdent désormais plus que six points d’avance sur Lens et Marseille. De quoi totalement relancer une course au titre aux allures de sprint final. « Le titre ? Non, il n’est pas assuré, on savait qu’il ne l’était pas parce qu’il y a encore beaucoup de matchs, a reconnu Danilo après la défaite contre Lyon. La Ligue 1 est un championnat très, très difficile, compétitif. On doit aller chercher ce championnat. »

« Un manque de confiance s’est installé »

Mais l’épaisseur du matelas dont bénéficie le PSG est menacée et pourrait continuer de se réduire avec deux prochains matchs à jouer face à des équipes, des vraies. Un déplacement jamais facile à Nice, d’abord, ce samedi. Une formation invaincue au cours des 14 derniers matchs et depuis l’arrivée de Didier Digard sur le banc. Et puis la réception de Lens au Parc, le 15 avril. Après un léger coup de moins bien, les hommes de Franck Haise ont enchaîné trois succès et accueilleront Strasbourg vendredi prochain.

Quand on connaît la capacité des Parisiens à perdre leurs moyens lorsque la route s’élève, même sur le plan national, l’enchaînement de ces deux chocs a tout du piège. « Ce n’est pas un cadeau ce qui attend le PSG, confirme Laurent Fournier, ancien entraîneur de Paris. Nice va être motivé. Lens s’est relancé en gagnant à Rennes, Marseille est toujours dans la course… Oui, il y a de quoi être inquiet. Par rapport à ce que j’avais vu contre Lille et Rennes, on a l’impression qu’un manque de confiance s’est installé. On n’a pas senti cette envie de jouer, de marquer et d’aller vers le but. Si Mbappé n’est pas dans un grand jour ou si Messi ne marque pas de coup franc, c’est compliqué. Et à côté de ça, Paris est une équipe qui concède beaucoup d’occasions. L’avance était énorme (dix points sur l’OM au soir de la 27 e journée), ça leur permettait d’être en confiance, malgré l’élimination en Ligue des champions. Dorénavant, ils sont sous pression. »

Concurrents irréguliers

Surtout, c’est le rythme auquel avance Paris qui inquiète. Depuis le retour de la Coupe du monde, le PSG est une équipe qui perd autant que Montpellier et Nantes (cinq revers) ou qui prend autant de buts que Brest et Auxerre (20 buts en 14 matchs), candidats au maintien. Les Parisiens donnent le sentiment d’être totalement démobilisés. « Quand on sort du match d’hier et qu’on se projette, oui on se pose des questions, glisse Alain Giresse, sélectionneur du Kosovo. Ce n’est pas passager, on est dans quelque chose qui dure depuis janvier. Quand on voit le type de matchs qu’ils sortent, on se demande s’il y aura une réaction des joueurs. On peut en douter. Ce n’est pas réjouissant, ni rassurant. »

Finalement, les motifs d’espoirs se trouvent peut-être chez ses concurrents directs. Entre leur inconstance et un calendrier qui n’a rien d’évident non plus, le PSG bénéficie encore d’une petite marge de manœuvre. « L’OM ne réglera pas ses problèmes à domicile d’ici la fin de saison (7 e bilan de L 1), tandis que Lens, malgré un parcours remarquable et une vraie philosophie de jeu, n’écrase pas tout, remarque Giresse. Il faudrait qu’ils possèdent un rythme de croisière très élevé sur la fin du championnat… C’est pour ça que je pense que ça va passer pour Paris. Mais il n’y aura pas un immeuble entre le premier et le second, ça ne se jouera à pas grand-chose. Si Paris n’est pas champion, ça serait à désespérer de tout ! »

Le Parisien

Betsamee, en revanche raconter que le PSG est archi motivé c'est des conneries. Ça arrive 20 min tous les 5 ans contre nous.

Mais quand bien même ils s'arracheraient plus que face au Bayern, cette saison ils sont bidons.
Que Bapé en plante 2 c'est normal. Que de notre côté on branle strictement rien en écartant les fesses devant 65 000 supporters au Vel, c'est scandaleux.

Se cacher derrière les moyens du Qatar jetés à la poubelle, si c'est pas de la mauvaise foi, c'est de la troyennisation ou une sécurité mentale pour éviter de se taillader les veines en acceptant pas la réalité de la loose olympienne. Le problème c'est qu'elle se vérifie ailleurs et la douche est d'autant plus glaciale quand ce sont les Ajaccio, Annecy & co qui torpillent nos ambitions.

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