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boodream a écrit:Le Phoceen se fend d'un édito à base de "les sifflets c'est normal on étais tous inquiets"
Serber a écrit:santana a écrit:peezee a écrit:Ah c'est le VN ? D'habitude ce genre d'inepties est la prérogative des SW87...
Etonnant ce message je pensais que ceux qui allaient au stade avaient toujours raison?
peezee, allez, vire nous ce troll de compét'.
Les supporters de l'OM partagés au sujet des sifflets adressés à Igor Tudor
Après avoir sifflé l'entraîneur Igor Tudor, en ouverture du premier match de la saison dimanche, de nombreux supporters de l'OM reconnaissent que son management, notamment vis-à-vis des cadres, a pesé.
Les supporters de l'OM n'en sont pas à leur premier coup de chaud. Depuis le départ de Didier Deschamps en 2012, ils ont pris l'habitude de vivre des étés suffocants et d'entamer le mois d'août en colère, ou en plein doute. Mais les sifflets adressés au nouvel entraîneur Igor Tudor, avant même sa première rencontre officielle dimanche face à Reims (4-1), sont à la fois inédits et surprenants. Ces derniers temps, le courroux de rentrée au Vélodrome visait davantage les dirigeants, Jacques-Henri Eyraud et Vincent Labrune en savent quelque chose. Ce n'est que plus tard, une fois le bénéfice du doute consommé, que les coachs se voyaient également coincés dans les mailles du sifflet.
Sauf que cette fois, le président, c'est Pablo Longoria. Adoré sur le Vieux-Port pour sa capacité à réaliser des miracles lors du mercato, l'Espagnol de 36 ans dispose d'un crédit immense. « Il n'a jamais été question de s'en prendre à lui, c'est le meilleur président qu'on ait eu depuis Pape Diouf. Notre frustration s'est déplacée sur Tudor car on n'a pas apprécié la présaison et surtout la rencontre contre l'AC Milan (0-2, le 1er août) », révèle Yacine, un membre des M.T.P. qui a participé à la bronca d'avant-match, dimanche.
Aucune consigne n'a été donnée de la part des groupes de supporters. La contestation est descendue naturellement des tribunes. Et les raisons ne se sont pas évanouies dans l'euphorie de la victoire. « Le score final et la manière ne changent rien. On espère évidemment que Tudor va réussir et on est satisfaits du match, mais c'était une manière pour nous de le mettre en garde », semonce Corentin (le prénom a été modifié), dans le noyau dur des South Winners depuis dix ans et qui désapprouve le manque de chaleur de l'entraîneur croate.
Ils sont nombreux à partager ce grief. Au-delà des mauvais résultats enregistrés cet été, ce sont avant tout les frictions avec les chouchous du Vélodrome qui font jaser. Gérard suit le club depuis plus de cinquante ans et il n'adhère pas du tout au management de Tudor : « C'est fatigant de terminer deuxième et de repartir avec un entraîneur qui est en rupture totale avec ce qu'on a fait. Il s'embrouille avec Guendouzi et Gerson qu'on adore, il met Payet sur le banc alors qu'il était capitaine, il écarte Dieng sans aucune humanité... Non vraiment ça ne peut pas se passer comme ça. »
Une partie des fans a jugé cette bronca prématurée
À Marseille, Eric Gerets, Marcelo Bielsa ou encore Jorge Sampaoli ont laissé de bons souvenirs à ceux qui ont manifesté leur colère avant-hier. En plus d'instaurer une certaine discipline, ils entretenaient une relation paternaliste avec leurs joueurs. C'est précisément ce qui est demandé à Igor Tudor : se montrer moins froid, moins cassant avec son effectif. Soutenu par son président, l'ancien de l'Hellas Vérone s'est appliqué à montrer patte blanche en conférence de presse, se pliant, en façade, à la volonté des supporters qui « ont toujours raison ».« On joue pour eux car il n'y a pas de football sans eux. Ils sont fondamentaux et je les félicite aussi pour l'ambiance qu'ils ont mise. Je vais travailler tous les jours pour le bien de l'équipe et le bien des supporters. »
Un grand nombre de fans marseillais ne font pas grand cas non plus des sifflets. Jérémy (le prénom a été modifié), membre influent des Fanatics, va jusqu'à tempérer : « Tout va très vite à Marseille, on a le sifflet facile mais maintenant on veut tous tirer dans le même sens et soutenir l'équipe ». Comme lui, plusieurs personnes présentes au stade ont épargné le coach dimanche soir, considérant que c'était prématuré. « Ce n'est pas de sa faute si Sampaoli est parti et c'est incroyable de lui tomber dessus alors que la saison n'a pas commencé », assure le supporter. Jérémy et ses amis préfèrent retenir le positif. Les recrues ont déjà séduit et l'équipe qui s'est qualifiée en Ligue des champions bénéficie toujours d'un énorme capital sympathie. Charge à Tudor d'en profiter.
lequipe.fr
lolo38 a écrit:Faut vraiment faire quelque chose avec le VN bas ..
Deux abrutis qui ont pris le micro hier en essayant de lancer des chants mais c’était d’un pitoyable ..
Arno26 a écrit:Et son adjoint
C’est quand même rarissime on n’a jamais entendu ça ou que ce soit
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