MassaliaLive.com

[Remind]

fourcroy, « c’etait vraiment très intéressant »@lemessageacaractereinformatif

[Coyote]

Je mets ça là

[Remind]

Coyote, discussions-football/topic32919-460.html#p4081673

[Coyote]

Remind, merci et déso pour le doublon

[Vodevil]

Il a un bec de lièvre non ?

[squall]

Il sortait du dentiste

[Dragan]

Information

JOSIP SKOBLAR RESTE PRUDENT AVEC IGOR TUDOR; "Je souhaite toujours le meilleur pour l'OM "

Quand on pense croate, à Marseille, on pense tout de suite à Josip Skoblar. Le plus grand joueur de l'histoire du club, où il fut aussi directeur sportif, puis membre de la cellule de recrutement et ambassadeur. Il est pourtant assez réticent à s'exprimer sur son compatriote Igor Tudor, qu'il aime bien. "C'est un garçon très sympathique, mais on m'avait déjà interrogé sur Radonjic ou Caleta Car et j'ai la même position : la nationalité du joueur ou de l'entraîneur importe peu pour moi, ce n'est pas un critère. Ce qui compte, ce sont les performances. Et pour un entraîneur, elles ne dépendent pas que de lui, mais des joueurs, du contexte, du président."

Josip connaît Igor Tudor, mais il ne veut pas non plus donner une opinion qui pourrait sembler faussée, "à une époque où sur les réseaux sociaux ou dans les médias, onprivilégie toujours les phrases chocs, l'immédiateté, alors qu'un entraîneur, pour être bon, il doit entraîneur une grande équipe."

"La confiance du président est indispensable"

Entre un OM assez chamboulé et un entraîneur jeune, on ne peut que rester dans l'expectative. "L'an passé, l'OM a fait une bonne performance en se qualifiant pour la Ligue des champions, mais n'a rien gagné. L'OM a perdu dans les coupes, de France et européennes. Il y a de nouveau du monde au stade, de l'enthousiasme, mais il faut aussi des trophées. Dix ans que l'OM n'a rien gagné, ça fait long pour un tel club ! Alors, recruter des joueurs c'est une chose, faire une équipe c'en est une autre. Pour avoir des résultats, il faut une bonne équipe et parfois ça ne suffit pas. Manchester City n'a jamais gagné la Ligue des champions, Liverpool n'a rien gagné l'an dernier (ni le championnat, ni la C1, ndlr)."

L'avantage d'Igor Tudor est qu'il est arrivé suffisamment tôt pour contribuer, en partie, au recrutement. "C'est la moindre des choses ! Sinon, ce n'est pas la peine !, s'exclame Josip, qui avait justement connu les deux situations il y a quarante-cinq ans à la tête de l'OM, où il avait d'abord bâti une belle équipe avant qu'on lui impose des joueurs (notamment Didier Six). "Nous avions perdu Hervé Florès sur blessure à quelques journées de la fin, alors que nous jouions le titre, c'était notre meilleur joueur et on s'était écroulé, parce que l'effectif n'était pas assez fourni, ce qui était aussi le cas de l'OM la saison dernière. Après, j'en ai marre des dirigeants. Donc, ce qui compte beaucoup pour Tudor, c'est la confiance du président."

"Je prends toujours le parti des entraîneurs"

Quel crédit peut-on accorder à ce nouvel entraîneur ? "Je connaissais bien le joueur, je l'avais rencontré quand il évoluait à Split et que j'étais directeur sportif à Zadar, explique Josip Skoblar. Comme entraîneur, je le connais moins. Il a exercé à droite à gauche, jusqu'à Vérone l'an passé. J'ai beaucoup de respect pour le championnat d'Italie, c'est l'un des meilleurs, tactiquement, on y est très pointu, depuis toujours. D'ailleurs, les entraîneurs italiens sont bons, regardez Ancelotti au Real. Alors, sur ce qu'il a accompli à Vérone, on peut penser que Tudor est un bon, mais tout est relatif. Nouveau club, nouvelle aventure. Pour un entraîneur, comme pour un joueur. Mon préféré, c'est l'Espagnol de Villarreal, Unaï Emery. Le top. Mais à Paris, ça n'a pas marché. Alors, il faut voir les joueurs, les résultats, la confiance des dirigeants."

La prudence de Josip ne doit pas être assimilée à de la réticence, mais plutôt à sa volonté de toujours prendre le foot au sérieux sans laisser percer les sentiments. Mais ses voeux de réussite accompagnent son compatriote et son club de coeur.

"Je suis passé par là, je soutiens toujours les entraîneurs, je prends toujours leur parti. C'est un métier tellement difficile, tellement cruel ! Alors, évidemment, je lui souhaite le meilleur, parce que je souhaite toujours le meilleur pour l'OM."

La Provence

[Dragan]

Information

UNION SACRÉE; Une volonté d'apaisement; Les Olympiens se sont réunis hier, en début de soirée, avec Igor Tudor afin de lui exposer leurs griefs et essayer de repartir sur de bonnes bases. Pablo Longoria a pris la parole devant tout le monde et rappelé l'importance du collectif et les exigences d'un club comme l'OM

La chaleur étouffante ne les a pas effrayés. Vacanciers amoureux de l'OM et piliers de la traverse de la Martine (et de l'aviation générale à Marignane) étaient là, hier soir, aux abords de La Commanderie. Ils ont vu les Olympiens défiler, mines renfrognées, juste avant 18h. C'est à cette heure qu'était fixé le rendez-vous entre les membres du groupe marseillais, emmenés par leur capitaine Dimitri Payet, et Igor Tudor, le nouvel entraîneur qui les fait tant suer, et dont les méthodes de management, particulièrement dures, ne passent pas dans le vestiaire.

Trois heures plus tard, les fidèles de la barrière étaient encore là, la passion chevillée au corps. Ils ont vu les mêmes têtes, plus détendues pour la plupart. Dans le lot, le fort sympathique Chancel Mbemba, chemise et short rayés, claquettes en cuir aux pieds. "Alors, il s'est déroulé comment ce rendez-vous ?", le questionnait un supporter. Réponse du Congolais, hilare, les mains tournées vers le ciel : "Eh je ne sais pas moi !" Fou rire général.

Entre-temps, que s'est-il passé ? Regroupés dans le bâtiment sportif, l'effectif et le staff ont eu l'occasion de remettre les choses à plat. Pablo Longoria, que les joueurs voulaient également voir, s'est exprimé devant tout le monde afin de rappeler l'importance du collectif et les exigences d'un club tel que l'OM. Pour le président, il était important de parler afin de ne pas laisser la situation se dégrader plus qu'elle ne l'était déjà. On n'en saura pas beaucoup plus. Tout à l'heure, à 13h30, il sera donc forcément questionné à ce sujet lors de la conférence de presse de présentation de Jonathan Clauss, Luis Suarez, Nuno Tavares et Ruben Blanco, organisée au Vélodrome.

Son intervention d'hier suffira-t-elle pour créer du lien entre un groupe comportant plusieurs éléments vexés et un coach qu'ils estiment trop brutal et sans pédagogie ? À voir dimanche face à Reims (20h45). Seule la vérité du terrain parlera... Le terrain, justement, Valentin Rongier et ses acolytes ont tout de même fini par le retrouver autour de 19h20. Leur première séance collective depuis la défaite (0-2) lors de l'ultime rencontre de préparation face aux Milanais. La réunion n'a tout de même pas duré 1h20 puisqu'une séance de travail en vidéo a aussi été proposée, juste avant la sortie sur le rectangle vert du bas. À l'issue de l'entraînement, les sourires étaient revenus sur une majorité de visages. Pas tous, cependant. Igor Tudor, lui, a ainsi filé à la vitesse grand V sans s'arrêter devant les irréductibles du centre RLD. Ce qu'il faisait pourtant à ses débuts. Le Croate a du pain sur la planche à quatre jours de l'ouverture de la saison. Il doit encore convaincre la bande à Guendouzi que son style de jeu, aux antipodes de celui de Jorge Sampaoli, correspond à ce dont l'OM a désormais besoin. Il lui faudra également adoucir son discours et son attitude face à ses joueurs. Lesquels n'ont pas oublié qu'ils ont fini 2es, ramené le club en Ligue des champions et fait vibrer le Vel' pendant que lui terminait 9e de Serie A avec Vérone.

La Provence

[Dragan]

Information

Tudor, la terreur du Vieux-Port

Au-delà de ces éléments technico-tactiques, le management du technicien croate pose question. « C’est un entraîneur assez autoritaire qui ne tolère pas les gestes d’humeur à l’entraînement. Et lorsqu’un joueur lève les yeux au ciel ou montre des signes d’agacement, ça peut très vite le mettre en colère, il est très direct. Il y a eu quelques frictions lors du stage en Angleterre », confie un dirigeant, qui dévoile le sentiment global au sein de l’entité : « On est convaincus que le groupe s’améliore et est plus fort que la saison passée. Les séances sont bonnes et de qualité avec des séquences offensives très intéressantes. Il n’y a pas d’inquiétude mais comme tout changement, cela suscite des interrogations. On attend de voir si ses principes de jeu sont viables en compétition officielle. »

Une réunion pour parler de son management

Ce lundi, plusieurs joueurs, dont le capitaine Dimitri Payet, ont demandé un entretien avec Igor Tudor, qui s’est déroulé ce mardi en fin d’après-midi. « En dépit d’un bilan des matchs amicaux décevant, tout le monde veut tirer dans le même sens et prendre des points rapidement. Il n’y a pas de démobilisation. Les joueurs ne sont pas là pour remettre en question ses choix tactiques, ils ne sont pas réticents au changement. En revanche, il y a une façon de faire et c’est sur ce point que va porter la discussion », explique un intime du vestiaire, qui insiste sur la double facette du Croate.

« En dehors du terrain, c’est une bonne pâte, un type sympa et détendu mais à l’entraînement, il revêt un costume totalement différent. Pendant une heure et demie, il est extrêmement exigeant et rigoureux : il y a un peu deux Igor. »

Finalement, Rolland Courbis, ancien coach de l’OM (1997-1999) et actuel consultant RMC, se veut plus mesuré : « Il n’est pas dans une situation amusante, il passe après un entraîneur qui est parti après avoir travaillé un an et demi avec le même effectif. On ne peut pas le juger par rapport à Sampaoli, c’est impossible et impensable. Il faut attendre fin août pour voir quel sera l’effectif de Tudor. »

Et l’ancien stoppeur de conclure : « Pour l’instant, ce n’est pas son groupe mais celui de Sampaoli, moins William Saliba, Boubacar Kamara et Steve Mandanda, c’est-à-dire la colonne vertébrale de la saison dernière. Steve était remplaçant l’an passé mais c’était un titulaire dans le vestiaire : son importance était primordiale. Avec lui, il n’y aurait peut-être pas eu de réunion si tôt et il aurait eu un rôle très important auprès de Tudor pour lui expliquer le fonctionnement du groupe. »

Dimanche (20 h 45), l’OM reçoit Reims devant plus 60 000 personnes, avant de se rendre à Brest (14 août), d’accueillir Nantes (20 août), d’aller à Nice (28 août) et de réceptionner Clermont (31 août). Un calendrier abordable qu’il faudra bien négocier. « Il y aura matière à s’inquiéter si on perd trois-quatre matchs. Mais en l’état, la position de Javier Ribalta et Pablo Longoria est simple : ce n’est pas au bout de trois semaines qu’on peut juger un système, attendons un mois et demi - deux mois », souffle-t-on du côté de la Commanderie. Place au début de saison 2022-2023.

Le Parisien

[Dragan]

Information

Sampaoli manque déjà à certains

Décisifs la saison dernière, Mattéo Guendouzi, Gerson, Dimitri Payet et Cengiz Ünder repartent de zéro dans l’esprit d’Igor Tudor. DE NOTRE ENVOYé SPéCIAL PERMANENT

MATHIEU GRéGOIRE MARSEILLE – Peu après 18 heures, hier, à la Commanderie, le groupe olympien a rencontré Igor Tudor et son staff pour évoquer une communication défaillante, un cadre rigide, parfois brutal. Un dirigeant de l’OM le reconnaissait lundi, au lendemain d’un match de préparation décevant face à l’AC Milan (0-2), avec un remplacement de Guendouzi dès la pause : « Jorge Sampaoli était paternaliste avec des joueurs comme Mattéo. La froideur, la distance nourrissent ce manque aujourd’hui. » Le technicien argentin n’était pas un tendre à l’entraînement. Mais il avait réussi à susciter l’adhésion. Connu pour ses coups de sang, Guendouzi a réussi sa meilleure saison en carrière sur le terrain et il était aussi devenu un jeune taulier en dehors, venant s’exprimer pour secouer les siens (après la défaite 0-2 contre Clermont le 20 février) ou les défendre vigoureusement (après le revers 0-1 face à Monaco, le 6 mars). Il était un garant de l’unité, et formait le noyau dur du groupe, avec Payet, Saliba, Kamara, Harit et Gueye.

Payet a une piètre image de Tudor

D’autres, comme Gerson, se sont affirmés au forceps. Recrutement initié par Sampaoli, tout comme Luan Peres, déjà parti sous d’autres cieux (Fenerbahçe), Gerson a connu un automne 2021 compliqué, se prenant même la tête avec son entraîneur. Il a sans doute été le meilleur joueur de l’OM dans le sprint final. Avec Tudor, plus de statut, et le Croate lui a reproché sa nonchalance lors du stage en Angleterre, théâtre d’une embrouille mémorable entre les deux hommes, avant de louer son « humilité » après OM-Milan.

Adulé au Brésil après son passage à Flamengo, Gerson a une haute estime de lui-même et il devra trouver une façon de fonctionner avec son coach, le plus sereinement possible. Cajolé par Sampaoli, très proche de Guendouzi, le capitaine Dimitri Payet a une piètre image de Tudor et cela se ressent dans son attitude sur le pré. Il a demandé à voir Pablo Longoria pour échanger sur la méthode et le discours du Croate. Le président, lui, ne souhaite absolument pas fragiliser l’entraîneur mis en place. Début 2021, Longoria avait déjà ébauché un avenir sans Payet (35 ans), mais il est bloqué par le fameux contrat « Marseillais à vie », signé au début de l’été 2020, avant son arrivée au club.

Déterminé à finir sa carrière à l’OM, Payet est lui aussi voué à composer. Il a toujours une place de choix dans le système de Tudor, au contraire de Cengiz Ünder, trimballé du poste de piston droit à celui de piston gauche. Après certains matches de préparation, son entraîneur a eu des mots très durs avec le Turc, auteur de dix réalisations en L1 la saison dernière. L’ailier aura-t-il une place aussi prépondérante cette année ? Et à quel poste ? Tudor a éludé jusqu’ici ce sujet, et Ünder a assisté à l’intégralité d’OM-Milan sur le banc.

L'Equipe

[marcos011]

[Odd]

"Tu vas conduire le car"

[Ryo Saeba]

Ça me fait sourire les declas de courbis en disant que c’est le groupe de sampa, qu’il a pas eu 18 mois comme lui pour façonner son groupe…
Je me rappel juste que sampa a pris l’équipe en feu et a réussi en même pas 5 matchs (comme le nombre d’amicaux…) a fédéré un effectif au fond du trou et a les faire jouer nettement mieux rapidement. Sans se chercher des excuses que c’était pas sa préparation etc…

[negrOM]

Non mais Courbis a toujours eu un problème avec les gens qui avait de la sympathie de la part des supporters marseillais. Il doit nous faire un sacré complexe entre 2 verres de jaunes

[boodream]

negrOM, mais quel est donc l'agent de Steve Mandanda?

[ville]

Santana?

[gigi]

Ça me fait sourire les declas de courbis en disant que c’est le groupe de sampa, qu’il a pas eu 18 mois comme lui pour façonner son groupe…
Je me rappel juste que sampa a pris l’équipe en feu et a réussi en même pas 5 matchs (comme le nombre d’amicaux…) a fédéré un effectif au fond du trou et a les faire jouer nettement mieux rapidement. Sans se chercher des excuses que c’était pas sa préparation etc…

Sur ce point Courbis a raison. Sampa arrive bien après la guerre avec une fin de saison où on a même plus la CDF à jouer. Il peut faire une revue d’effectif sans trop de pression et préparer la saison suivante avec des joueurs revanchards (la fameuse « une saison sur 2 d’un Payet »).
En prime on perd aucun joueur phare sauf Thauvin qui servait plus à grand chose depuis 2 ans à part pourrir le vestiaire (rappelons l’importance de Kamara) et on lui recrute rapidement pour 70 briques de joueurs en comptant les OA (sachant que l’un des meilleurs, Saliba n’en avait pas et profitera pas à Tudor).

Franchement c’était des conditions assez idéales pour Sampa d’autant plus que la concurrence était à la rue, nous propulsant 2ème avec 72 pts alors que la saison précédente Lyon faisait 4ème avec 76 pts…

L’histoire des pins cramés, du champ de ruine c’est sympa pour enjoliver l’histoire d’un OM passant de la terreur au bonheur mais en vrai c’était une fronde contre un homme. Eyraud était nuisible et c’était une bonne chose sur le fond de le dégager même si la forme a donné l’impression d’un club plongeant dans le chaos. Se retrouver ensuite avec Longoria permettait justement d’apaiser les esprits en pacifiant le stade et de croire à nouveau en un projet focalisé sur le ballon. C’est bien pour ça que le très pragmatique Sampa est venu…

Sampa a fait le job mais prétendre qu’il est arrivé dans des conditions catastrophiques et a fait des miracles, je suis pas ok. Le même groupe avait fait 2ème quelques mois plus tôt hein. C’est pas Perrin qui fait podium avec Baka, Ecker, Celestini, Chapuis et Johansen après 3 saisons à jouer le maintien ou quasi et un RLD se faisant retourner en direct sur M6 dans une émission affirmant que son club est controlé par le grand banditisme (dédicace à Courbis pour le coup).

C’est Tudor qui rapplique à l’arrache sans rien connaître de l’effectif, sans gros staff, avec l’énorme pression d’un OM archi attendu, une saison très dense à cause du mondial, des joueurs de L1 habitués à décompresser après une bonne saison, un mercato poussif avec des départs problématiques, des arrivées discutables pour passer un palier, un timing compliqué pour assurer une prépa optimale, Longoria qui s’en branle de la continuité tactique malgré l’urgence à présenter un collectif potable en C1, un président qui du coup semble arriver à la fin de sa lune de miel avec les supporters, un Sampa qui a flingué le moral de pas mal de monde et excité les médias en laissant filtrer qu’il se barrait par manque d’ambition du club…

Outre le profil critiquable de Tudor, c’est bien par rapport à ce contexte hardcore que j’ai du mal à l’imaginer tenir plus de quelques semaines. S’il arrive à faire le job, là oui ça sera un vrai miracle.

[julius99]

Elle est à quelle heure la conférence de presse ?

Edit : je viens de recevoir l'alerte twitch

[Arno26]

[Dragan]

En tout cas Tudor tient le même discours que Longoria sur le football qui change vers + d'intensité et de verticalité, et que les résultats ne passeront que par là dans le futur