[2021/22 - Ligue 1 - J38] OM 4-0 RC Strasbourg

Clairement, et on va le dire pour la dernière fois , ce match , c est clairement LE tournant de la saison

Si on perd, vous allez tous demander à ce qu'on fasse venir Galtier?

Modifié en dernier par Thor le 18 Mai 2022, 14:32, modifié 1 fois.

Thor, non ! Gourvennec !

Si on perd, vous allez tous demander à ce qu'on fasse venir Galtier?

Assumé de ma part: je prefere me faire chier a regarder des matchs avec un gars qui propose une tactique normale (Galtier), ou tu sais qu il peut se passer qchose, plutot que de me faire chier a regarder un match de possession inutile (Sampaoli).

Avec une tactique normale, le miracle est possible tandis qu avec Sampaoli il ne se passera.

Argentin ne veut pas forcément dire folie.Il y a erreur de marchandises.

Le plus probable, c'est qu'on finisse 3eme, la pire place possible.

Nice, Lyon, Lille, Saint Étienne, Bordeaux et douze autres équipes ne sont pas d'accord avec cette affirmation

Les 4 matchs de plus en août contre de bonnes équipes europeennes te front changer d'avis

Et on ne sera pas en ligue des champions, juste en qualifications.

Et surtout SI on perd lors de notre entrée en lice, on sera ELIMINE de toute competition europeenne avant la mi août et y 'aura que nos yeux pour pleurer.

Nope, reversé en barrage de C3 si éliminé au 3ème tour de qualification

Alors que finir 4eme du championnat te qualifie directement en phase de groupe de la C3

Vive la logique

Edit : Je viens de voir un article ou perdre au 3eme tour preliminaire te qualifie pour a phase de groupe de la C3, a verifier car cela a l'air trop beau pour être vrai, les dirigeants olympiens sont plus au courant que moi avec ce reglement.

Edit 2 je crois avoir compris le chinois du site de L'UEFA pour les qualifications (CL-Q3nc, donc ca doit être nous) on est directement dans la phase de groupes de la C3

Dans ce cas, pourquoi pas la 3eme place MAIS cela nous ferait quand même des matchs en plus en août, preparez vous a jouer tous les 3 jours.

Modifié en dernier par Gwenn le 18 Mai 2022, 16:46, modifié 1 fois.

je suis persuader que Monaco ne gagnera pas à Lens , nous par contre .....

Nope, reversé en barrage de C3 si éliminé au 3ème tour de qualification

Les perdants de la voie de la Ligue sont directement reversés dans la phase de groupes de la ligue europa, ils ne passent pas par les barrages.
Souviens toi l'été dernier, le Sparta Prague, qui avait perdu contre Monaco en tour préliminaire, avait été directement reversé en C3

En début de saison, je pense qu'on aurait ts signé pour une 3eme place
Mais au vue de la saison, au final cela serait décevant

Si 4eme ça sera suicide collectif

julius99, jamais de la vie on finira 4eme.

Perdre contre Strasbourg à domicile, cela me semble impensable vu les enjeux...

Clairement, et on va le dire pour la dernière fois , ce match , c est clairement LE tournant de la saison

C'est pas la dernière ligne droite plutôt ?

Si on perd, vous allez tous demander à ce qu'on fasse venir Galtier?

Assumé de ma part: je prefere me faire chier a regarder des matchs avec un gars qui propose une tactique normale (Galtier), ou tu sais qu il peut se passer qchose, plutot que de me faire chier a regarder un match de possession inutile (Sampaoli).

Avec une tactique normale, le miracle est possible tandis qu avec Sampaoli il ne se passera.

Argentin ne veut pas forcément dire folie.Il y a erreur de marchandises.

Il se passe tellement de choses avec Galtier que son équipe a mis 10 buts de moins que la notre

Et il a un effectif que je considere superieur en densite

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« La Coupe d’Europe leur coûte la deuxième place »

Alain Perrin, l’ancien entraîneur de l’OM, a connu une dernière journée où la place sur le podium s’était jouée sur un match en 2002-2003. Il estime que le parcours européen de l’OM actuel a eu une influence directe sur ses résultats. BAPTISTE CHAUMIER

Entre deux séances de jardinage au soleil, Alain Perrin a déterré ses souvenirs qui remontent à près de vingt ans. Le technicien (65 ans), sur le banc de Marseille en 2002-2003, s’était retrouvé à jouer une place sur le podium lors de la 38e et dernière journée de Championnat comme les joueurs de Jorge Sampaoli aujourd’hui. Il explique les ressorts d’une telle tâche et évalue les chances de l’OM (3e de L1) actuel d’y parvenir.

« Existe-t-il des similitudes entre la saison de 2002-2003 et celle d’aujourd’hui alors que l’OM va jouer sa place sur le podium sur la dernière journée ?   Ce sont des finales, en sachant que nous avions les cartes en main à l’époque (l’OM était 2e devant Monaco avant de chuter à la 3e place), alors que les Marseillais doivent, eux, attendre un faux pas de Monaco. Mais ce ne sera pas facile pour l’ASM à Lens, qui a encore quelque chose à jouer. Ce serait étonnant quand même que les Marseillais ne prennent pas au moins un point à domicile (contre Strasbourg).

Vous aviez votre destin en main à l’époque alors que l’OM est dépendant des résultats de l’ASM. Comment faut-il aborder cette dernière journée ? L’aspect mental sera-t-il primordial ? La situation est un peu frustrante pour les Marseillais, qui ont été la plupart du temps à la deuxième place cette saison avant de la perdre lors de la 37e journée. Cela joue forcément mais je crois qu’il y a surtout une grosse fatigue. C’est la Coupe d’Europe qui leur coûte cette deuxième place. Maintenant, ils peuvent aussi terminer troisièmes, ce qui serait déjà bien, même s’il resterait certainement une déception, d’autant que terminer 2e ou 3e, ce n’est pas du tout la même chose dans la gestion de l’été et du calendrier.

“Quand vous perdez votre meilleur joueur dans la dernière ligne droite, cela fait très, très peur

Justement, cette 3e place à l’époque avait-elle bouleversé vos plans ? Elle ne vous garantit pas directement une place en phase de groupes de la Ligue des champions (1), ça change donc tout. Les équipes qui disputent les barrages, généralement, réalisent un premier mercato et se laissent une petite marge pour recruter un ou deux joueurs en plus s’il y a qualification. À l’époque, Robert Louis-Dreyfus avait pris le pari d’effectuer tout le recrutement par anticipation (Drogba, Mido, etc.) en pariant sur une qualification. On avait joué contre l’Austria Vienne (2), c’était quand même un match à 15 M€ ! Il y avait donc une forte pression mais on était passés.

L’OM vous semble-t-il armé pour aller chercher la deuxième place ? En tant qu’entraîneur, on s’attache souvent aux signes et il y en a un qui n’est pas très rassurant. Quand vous perdez votre meilleur joueur (Dimitri Payet) dans la dernière ligne droite, cela fait très, très peur. Il n’était pas seulement décisif, il était aussi l’animateur du jeu de l’équipe. Ces joueurs-là, vous en avez besoin dans les matches clés, dans les finales, comme ce sera le cas face à Strasbourg.

Il existe un scénario du pire où l’OM peut aussi terminer à la 4e place, derrière Rennes (en déplacement à Lille). Êtes-vous inquiet ? Je pense que Sampaoli a les arguments et la personnalité pour tonifier le groupe avant ce dernier match. Il ne faut pas paniquer, il va jouer sur le fait de fournir un dernier effort pour ne pas tout gâcher. Et puis, si l’OM dépend beaucoup de Payet, il a aussi réussi quelques bons matches sans lui. »

(1) Le troisième de L1 devra passer par le 3e tour préliminaire et par un barrage pour accéder à la phase de groupes. (2) À l’époque, l’OM n’avait dû passer que par un seul tour de qualifications (1-0, 0-0).

L'Equipe

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LE DÉFENSEUR PRÊTÉ PAR ARSENAL EST SUSPENDU SAMEDI CONTRE STRASBOURG; Comment jouer sans Saliba ?

Suspendu pour le dernier match de la saison, en raison d'une accumulation de cartons jaunes, William Saliba prendra place dans la tribune présidentielle du stade Vélodrome aux côtés de Pablo Longoria, samedi soir, contre Strasbourg. Parleront-ils de son avenir, lui qui doit retourner à Londres à la fin de cet exercice ? Mystère.

Ce qui est sûr, c'est que Jorge Sampaoli devra composer sans le maillon essentiel de sa défense, élu meilleur espoir du championnat de France, pour cette ultime rencontre aux enjeux primordiaux. Il s'agit seulement du quatrième match de la saison que manquera le natif de Bondy, mais le premier pour cause de suspension. Sur le banc contre Cannet-Rocheville (4-1) en coupe de France, à Angers (0-0) en L1 et face à Qarabag (3-1) en Ligue Conférence, il a été mis à toutes les sauces par le coach de l'OM.

Un secteur déjà privé

de Balerdi et d'Alvaro

Une absence qui s'ajoute à celles de Leonardo Balerdi, opéré de l'épaule le 23 mars, et d'Alvaro Gonzalez, écarté presque dans le même temps et parti depuis en Espagne pour se reposer loin du tumulte marseillais. Autant dire que l'entraîneur argentin n'a pas l'embarras du choix dans ce secteur peu fourni et largement déplumé.

En toute logique, Boubacar Kamara, qui disputera pour sa part son dernier match sous les couleurs de l'OM avant de partir libre, devrait suppléer le joueur de 21 ans, prêté par Arsenal, aux côtés de Duje Caleta Car et Luan Peres. Pape Gueye, lui, devrait s'occuper du rôle de sentinelle. Défenseur, c'est le poste dont "Bouba" a hérité le peu de fois où Sampaoli a fait tourner son effectif, comme lors des réceptions de Montpellier (2-0) et de Feyenoord (0-0). Une position qu'il a aussi occupée en cours de rencontre dans les systèmes évolutifs d'El Pelado, redescendant d'un cran pour s'intercaler entre les deux centraux sur les phases défensives avant de reprendre sa place au milieu sur les séquences offensives. C'est surtout son poste de formation, lui qui a pourtant connu sa première dans le monde professionnel en tant que latéral droit, à Sochaux en huitième de finale de coupe de la Ligue, sous les ordres de Rudi Garcia. Un technicien qui, à juste titre, lui prédisait surtout un avenir radieux au milieu de terrain.

Pour samedi, il ne devrait donc pas y avoir de surprise. À moins que l'ancien sélectionneur du Chili et de l'Argentine n'invente une nouvelle composition d'équipe, comme il en a l'habitude. Sauf que cette fois, sa marge de manoeuvre est réduite à la portion congrue.

La Provence

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LE DÉFENSEUR PRÊTÉ PAR ARSENAL EST SUSPENDU SAMEDI CONTRE STRASBOURG; Comment jouer sans Saliba ?

Suspendu pour le dernier match de la saison, en raison d'une accumulation de cartons jaunes, William Saliba prendra place dans la tribune présidentielle du stade Vélodrome aux côtés de Pablo Longoria, samedi soir, contre Strasbourg. Parleront-ils de son avenir, lui qui doit retourner à Londres à la fin de cet exercice ? Mystère.

Ce qui est sûr, c'est que Jorge Sampaoli devra composer sans le maillon essentiel de sa défense, élu meilleur espoir du championnat de France, pour cette ultime rencontre aux enjeux primordiaux. Il s'agit seulement du quatrième match de la saison que manquera le natif de Bondy, mais le premier pour cause de suspension. Sur le banc contre Cannet-Rocheville (4-1) en coupe de France, à Angers (0-0) en L1 et face à Qarabag (3-1) en Ligue Conférence, il a été mis à toutes les sauces par le coach de l'OM.

Un secteur déjà privé

de Balerdi et d'Alvaro

Une absence qui s'ajoute à celles de Leonardo Balerdi, opéré de l'épaule le 23 mars, et d'Alvaro Gonzalez, écarté presque dans le même temps et parti depuis en Espagne pour se reposer loin du tumulte marseillais. Autant dire que l'entraîneur argentin n'a pas l'embarras du choix dans ce secteur peu fourni et largement déplumé.

En toute logique, Boubacar Kamara, qui disputera pour sa part son dernier match sous les couleurs de l'OM avant de partir libre, devrait suppléer le joueur de 21 ans, prêté par Arsenal, aux côtés de Duje Caleta Car et Luan Peres. Pape Gueye, lui, devrait s'occuper du rôle de sentinelle. Défenseur, c'est le poste dont "Bouba" a hérité le peu de fois où Sampaoli a fait tourner son effectif, comme lors des réceptions de Montpellier (2-0) et de Feyenoord (0-0). Une position qu'il a aussi occupée en cours de rencontre dans les systèmes évolutifs d'El Pelado, redescendant d'un cran pour s'intercaler entre les deux centraux sur les phases défensives avant de reprendre sa place au milieu sur les séquences offensives. C'est surtout son poste de formation, lui qui a pourtant connu sa première dans le monde professionnel en tant que latéral droit, à Sochaux en huitième de finale de coupe de la Ligue, sous les ordres de Rudi Garcia. Un technicien qui, à juste titre, lui prédisait surtout un avenir radieux au milieu de terrain.

Pour samedi, il ne devrait donc pas y avoir de surprise. À moins que l'ancien sélectionneur du Chili et de l'Argentine n'invente une nouvelle composition d'équipe, comme il en a l'habitude. Sauf que cette fois, sa marge de manoeuvre est réduite à la portion congrue.

La Provence

Tant qu'il dépasse pas la ligne médiane avec le ballon ça me va.

Pareil, c'est probablement à ce poste là qu'il peut être le moins pénalisant.