[2021/22 - Ligue 1 - J37] Rennes 2-0 OM

ville,

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Bruno Genesio (Rennes) : « On a les armes pour battre Marseille »

https://www.lequipe.fr/Football/Actuali ... le/1332869

peezee, Selon Vincent Duluc, si l'arme en question est une bouteille, il faudra qu'elle soit pleine pour que ça compte.
(oui je ne me remets pas de son insinuation de sac à merde)

L’arme s’appelle surtout Benoit Bastien seconde par Stéphanie Frappart à la VAR

Il "suffit" de prendre 4 pts sur 2 matchs pour être seconds quoiqu'il arrive par ailleurs.

C'est le tournant de la saison Nul à Rennes et victoire contre Strasbourg, je signe !

Je pense que Monaco va lacher des points sur les 2 derniers matchs.
Je ne les vois pas gagner à Lens.
Je ne nous vois pas perdre non plus à Rennes..Bref je pense que ce sera plié avant la 38e.

Pour la 1ere fois en 20 ans ne faite pas confiance à peezee sur la 1ere page

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Rennes Marseille sur C+ décalé

Je vois ça :

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« Dans la position du chasseur, les Rennais ne se trompent pas »

Entre-guillemets René Izquierdo (104 matches entre 1978 et 1981)

Il faut savoir qu’on s’est retrouvé longtemps sur le podium parce que les équipes qui devaient y être n’y étaient pas. C’est une année particulière, avec beaucoup d’événements dans le foot et des clubs qui n’ont pas performé comme prévu. À Rennes, le travail est bien fait, mais il existe une certaine irrégularité, notamment quand il manque des joueurs phares comme Nayef Aguerd.

Malgré tout, j’ai confiance en Rennes, qui devient de plus en plus régulier, avec un jeu agréable, qui met des buts. Genesio et Maurice font du bon boulot et je ne dis pas ça parce que je suis Lyonnais comme eux ! Il faut avoir de la patience, on aimerait tous qu’ils arrivent sur le podium, voir le club au plus haut. Mais pour moi, une bonne saison, c’est le top 5. C’est honorifique déjà comme classement, cela donne de la valeur à la saison. Face à Marseille, il ne faut pas se poser de question ou jouer le match la veille dans sa tête (rires) ! Ce genre de match va permettre au club et aux joueurs d’apprendre un peu plus.

Gaël Danic (29 matches entre 2000 et 2003)

Ce ne sont pas deux équipes en pleine possession de leurs moyens. Marseille a des joueurs blessés et pas des moindres. Et à Rennes, la défaite à Nantes a fait mal, parce que c’est le derby mais aussi parce qu’un succès leur aurait permis de recevoir Marseille avec l’objectif deuxième place. Pour les Rennais, c’est un match à domicile et s’ils réitèrent ce que l’on voit depuis le début de saison, ils peuvent le faire, même si je les ai sentis fatigués mentalement après Nantes.

On a peut-être sous-estimé cet aspect mental. Avant Monaco, j’avais dit que la problématique de Rennes était d’être dans une position de chassé et pas de chasseur. À chaque fois qu’ils ont été le chassé, ils ont perdu : face à Monaco, à Strasbourg, à Nantes. Ce n’est pas une question de qualité mais de fraîcheur mentale. J’aurais préféré qu’ils soient troisièmes avant Marseille, mais compte tenu de tout ça, c’est peut-être un mal pour un bien, car quand ils sont dans la position du chasseur, ils ne se trompent pas, ce sont des snipers.

Et puis, le côté chauvin mis à part, je n’ai pas vu plus fort que Rennes en termes d’équipe cette saison. C’est pour cela que je pense qu’ils mériteraient la deuxième place. Ils font une très bonne saison, mais il y a des failles. Quand tu ne peux pas gagner, il faut savoir ne pas perdre. Ça devrait être leur leitmotiv : tu leur rajoutes trois nuls sur leurs douze défaites, ce n’est pas demander la lune, et le championnat ne serait pas le même…

Ouest France

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ATTAQUE; Devant, l'opposition de styles; Le bulldozer Rennes, le patient OM : presque tout sépare deux équipes ultra-dominatrices

Fin d'été dernier, l'équipe frisson de Ligue 1 vient de battre 2-0 un chancelant Rennes au Vélodrome et est déjà cramponnée à la 2e place avec un match en moins. Les Bretons sont eux 16es et n'ont inscrit que trois buts en six rencontres. Qui aurait cru alors que la formation la plus spectaculaire du championnat deviendrait celle entraînée par Bruno Genesio au détriment de celle de Jorge Sampaoli ? Huit mois plus tard, l'OM est toujours dauphin du PSG, a réalisé de nombreuses prestations de très haut vol, mais a inscrit 19 buts de moins que le Stade Rennais et a terminé sa mue, qui ne fait pas que des satisfaits dans les travées du Vél'. Plus patients qu'en début de saison, les Marseillais attendent surtout l'erreur de l'adversaire quand les Rouge et noir attaquent plutôt en bande organisée, sans calculer.

"La patience de l'OM en attaque est à l'opposé de beaucoup d'équipes européennes"

Le revirement date du 26 septembre, seulement une semaine après la démonstration contre Rennes. Ce soir-là, l'OM se fait transpercer à de multiples reprises et s'incline contre Lens : "Quand on n'a pas le contrôle du match, ça donne ça", estimait le technicien argentin. Depuis, ses joueurs l'ont rarement déçu sur ce plan-là et enchaînent les rencontres ultra-dominées. "J'aime beaucoup comment l'OM joue et j'adore la folie de Sampaoli", confie Robert Pirès, même si l'alchimiste de Casilda est beaucoup moins Loco que son prédécesseur de Rosario (à la tête de l'Argentine, du Chili et de l'Olympique) Marcelo Bielsa, surtout depuis la leçon donnée par Franck Haise.

"La patience de l'OM en attaque est à l'opposé de beaucoup d'équipes européennes, il y a un cousinage avec Manchester City. Ces deux formations seraient plus dangereuses en allant plus vite, mais s'exposeraient plus à la perte de balle", détaille Christophe Kuchly, journaliste et auteur de plusieurs ouvrages sur la tactique. "L'OM va exploiter au maximum la largeur et attendre la faille qui permettra de déséquilibrer le bloc adverse, enchaîne Romain Pélissier, futur directeur technique du CA Gombertois et entraîneur chez les jeunes de Marignane-Gignac, réputé pour ses analyses tactiques sur la toile. Ça manque de verticalité et de profondeur, on peut parfois s'agacer, mais il y a une vraie identité."

Ces 62,2 % de possession moyenne en Ligue 1 sont loin d'être stériles et fatiguent les joueurs défensifs adverses, qui en perdent parfois leur lucidité : le nombre de buts marseillais à la suite d'une récupération haute (13) et sur penalty (10) le prouve. "Tout est lié: si je passe 70% de mon temps à défendre, à ne pas avoir le ballon, et que d'un coup je le récupère, je vais faire davantage d'erreurs, poursuit Pélissier. L'attaque marseillaise est très compliquée à anticiper par l'adversaire durant la préparation du match.""On ne sait jamais de quelle manière ils vont évoluer tactiquement, c'est déroutant pour les joueurs et l'entraîneur adverses", confirme Pirès. Et même si Dimitri Payet ne sera pas de la partie et qu'Arkadiusz Milik n'est pas dans la forme de sa vie, les profils déséquilibrants ne manquent pas, de Gerson à Amine Harit, en passant par Bamba Dieng et Cengiz Ünder.

"Ils attaquent beaucoup et

en nombre, ça va être intense"

Plus offensive dans son approche que l'OM, l'équipe de Bruno Genesio a marqué 78 buts en Ligue 1 et multiplié les cartons, notamment contre Lyon (4-1 et 4-2), qui n'a jamais réussi à calmer le jeu varié et ultra-rapide des Bretons. Ce n'est pas une attaque totale, mais pas loin : il y a des appels dans tous les sens, les milieux (Tait, Majer) sont souvent à la conclusion, les latéraux (Traoré et Truffert) font autant office d'ailiers que de défenseurs, et le trio Laborde-Bourigeaud-Terrier laisse planer un danger constant. Les deux derniers et Majer sont d'ailleurs dans la forme de leur vie depuis plusieurs mois, même si Rennes vient de perdre trois de ses cinq derniers matches. En quelques secondes, le 5e du championnat peut faire plier une défense de niveau Ligue des champions si elle roupille : face au PSG, Flavien Tait avait marqué sur l'engagement de la deuxième mi-temps à l'issue d'une action de seulement sept passes.

"À chaque attaque, la cavalerie débarque. Ils essaient de maximiser chaque incursion dans le camp adverse, sans redoubler de passes ni réfléchir à ce qu'il peut se passer à la perte de balle comme l'OM, théorise Kuchly. Le plan habituel de Sampaoli peut clairement fonctionner contre eux. Ils ont besoin du ballon pour respirer, si on les en prive, même sans en faire grand-chose comme Lens en janvier (1-0, Rennes n'avait pas cadré un tir), ils sont embêtés. Si tu as 65-70 % de possession, tu as déjà gagné la première bataille."

"Ils attaquent beaucoup et en nombre, ça va être intense", prévoit Valentin Rongier. Son entraîneur abonde : "Ils sont souvent en supériorité numérique dans les 30 derniers mètres. Offensivement, ils sont très intéressants." Et différents de ses joueurs, qui ont toutefois de nombreux atouts dans leur manche.

La Provence

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IL ÉTAIT UNE FOI DANS L’OUEST

Au bout d’une saison éreintante, Marseille peut décrocher une place en Ligue des champions dès ce soir à Rennes. Mais l’équipe club bretonne, distancée, croit toujours en la C1 et ne cédera rien. MéLISANDE GOMEZ

Ceux qui l’ont connu avant qu’il soit rebaptisé Roazhon Park savent bien que le stade de Rennes est situé sur la route de Lorient, mais il se trouve surtout sur la route de la Ligue des champions, en ce mois de mai 2022. Au bout d’une saison déjà longue de cinquante-quatre matches pour son équipe, l’OM n’a jamais été aussi proche de concrétiser son rêve d’un retour en C1 et, à deux journées de la fin du Championnat, il peut presque sentir la qualification au bout de ses doigts : s’il prend au moins 4 points contre Rennes puis Strasbourg, dans une semaine au Vélodrome, il terminera deuxième de Ligue 1 et ira directement en phase de groupes. Il y serait même ce soir en cas de circonstances favorables (voir cas de figure ci-contre).

Le programme est à la fois court et chargé pour les Marseillais, affronter les deux équipes surprises de la saison l’une après l’autre et qui, elles aussi, courent après l’Europe. Si l’affiche s’annonce belle, ce soir en Bretagne, elle a perdu un peu de son piment depuis mercredi soir et la défaite des Rennais à Nantes (1-2) : désormais à 6 points de l’OM, le Stade Rennais incarne une menace un peu moins effrayante et, même si Bruno Genesio a répété hier qu’il fallait maintenir la pression, c’est plutôt Monaco que les Marseillais surveillent, ce matin.

Propulsés à toute allure sur le podium par leurs huit victoires d’affilée en Ligue 1, les Monégasques ne laissent pas le choix à Marseille et, si ce n’est peut-être pas bon pour leurs nerfs, c’est parfait pour le suspense.

Le moral a pu vaciller la semaine dernière quand, après une claque en Championnat contre Lyon (0-3), l’OM a été éliminé en demi-finales retour de la Ligue Europa Conférence par Rotterdam (2-3, 0-0). Contre l’OL, on a pensé que les joueurs avaient déjà la tête au Feyenoord ; contre le Feyenoord, on s’est demandé où ils avaient mis leurs jambes. Mais tout était en place dimanche dernier à Lorient, pour une démonstration de force (3-0) qui a rassuré Jorge Sampaoli sur les ressources mentales de son groupe, déterminé à ne pas tout voir s’envoler dans le dernier acte, comme cela lui était arrivé il y a quatre ans avec Rudi Garcia.

“Il faut garder à l’esprit qu’on est favoris car on ne dépend que de nous-mêmes

Jorge Sampaoli, l’entraîneur marseillais

Pour la première fois depuis début avril et une série de onze matches tous les trois jours, l’Argentin a eu le luxe d’une semaine entière pour préparer son équipe, ce qui ne tombe pas plus mal contre des Rennais qui posent des problèmes à tout le monde, ou presque, et notamment quand ils jouent dans leur stade. « On est une des meilleures équipes à domicile, eux sont l’une des meilleures équipes à l’extérieur, donc ce sera un match très ouvert », résumait Genesio hier.

Ce sera un match différent de l’aller, sans doute, parce que Rennes a fait du chemin depuis ce 19 septembre où il était tombé sans briller au Vélodrome (0-2). « Ce match-là, ou plutôt ce non-match, a été le point de départ de toutes les bonnes choses qu’on a faites cette saison », considère l’ancien entraîneur de Lyon. Comme à chaque fois, Sampaoli, lui, a observé de près le jeu de son adversaire et la base de sa philosophie est bien comprise par ses joueurs, depuis le temps : « Si on les prive du ballon, cela les mettra en difficulté », résume Valentin Rongier, qui incarne à lui seul les dépassements de fonction réclamés par le coach aux bras tatoués. Les consignes sont parfois lourdes et les systèmes souvent hybrides, mais le vestiaire a fini par tout digérer et il adhère. « On aime cette philosophie de jeu, un footballeur préfère toujours avoir le ballon que courir après », confirme l’ancien Nantais.

Ils vont se frotter à une formation qui aime attaquer, elle aussi, comme en témoignent ses 78 buts marqués, près de 20 de mieux que l’OM. Elle défend moins bien, parfois, par manque d’agressivité, mais elle va récupérer Aguerd, suspendu à Nantes, et elle n’a plus grand-chose à perdre. Contrairement à l’OM, qui sait combien la deuxième place est plus confortable que la troisième, synonyme d’un troisième tour préliminaire puis d’un barrage en août. « Ce serait très beau si on finit deuxièmes, plus problématique si on finit troisièmes, et encore pire si on finit quatrièmes, dresse lucidement Sampaoli. Mais il faut garder à l’esprit qu’on est favoris car on ne dépend que de nous-mêmes. On n’a pas à se soucier du résultat des autres. » Il n’y a plus qu’à gagner, donc, pour ne pas tout perdre.

L'Equipe

Merci Dragan

LE match qui peut nous envoyer en Champions League l'an prochain, et... à peine DEUX pages d'avant-match ?

Et bah...

Les gens doivent avoir peur

Il fait trop chaud pour tapoter

j'avoue que je suis un peu caca culotte la, peu de kiff pour le moment

Pour plus de kiff, change de slip.

je suis en couches la