[CDF 1/4 F] Nice 4-1 OM

On compte sur les supporters niçois pour être au top de leur intelligence dès le 1er corner

Si tel est le cas, je suis curieux de voir la réaction que va avoir l'arbitre.
Je suis d'ailleurs sceptique sur le fait que le match puisse se dérouler sans encombre.
S'il y a embrouille, l'arbitre va devoir calmer de suite, sinon ça va dégénérer, mais va-t-il oser arrêter le match ?

En tout cas j'espère que nos joueurs ne laisseront rien passer si l'arbitre devait ne pas agir face à des débordements.

C'est une bonne chose, et pas un hasard je pense, que ce soit l'arbitre de Lyon-OM pour ce match. Au premier incident, il arrêtera le match.

alexduke, là la LFdP n'a rien à voir dans ce match, je pense que les dirigeants de la FFF ont dû bien briefer Ruddy Buquet, le match va être scruté par des millions de personnes je pense qu'au moindre pet de travers le match sera arrêté, et pour le coup le club OGC Nice risque vraiment gros (d'ailleurs je pense que Rivère est sincère pour une fois il doit vraiment les avoir à zéro avant ce match - sa grande faute hein, lui qui fait ami-ami avec les fachos de ses tribunes ).j

J'ai du mal à voir comment les 93mns du match vont pouvoir se dérouler sans qu'il y ait une cou*lle dans le potage àmant donné, d'autant plus que le stade sera plus que plein et un paquet de supporters de l'OM - pas forcément les plus intelligents ou raisonnables - inside. Sérieux, je vois pas.

Pancho11, on verra le jour où il sera dans les buts.

Je pense que je le préférerais encore dans les buts, qu'avant centre

Notre couloir gauche traîne les Gipsy Kings.

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LA HACHE DE GUERRE EST ENTERRÉE

Six mois après une nuit brûlante dans la corbeille présidentielle de l’Allianz Riviera, les dirigeants de Nice et de l’OM promettent que les règles de bienséance seront respectées ce soir. DE NOS ENVOYÉS SPÉCIAUX PERMANENTS

MATHIEU GRéGOIRE (avec ANTOINE MAUMON DE LONGEVIALLE) MARSEILLE et NICE – Ébahi par le spectacle lunaire se produisant sur la pelouse niçoise le 22 août dernier, on a oublié quelques séquences tout aussi irrationnelles dans la tribune des VIP, qui était plutôt celle des chiffonniers ce soir-là. Les querelleurs de la corbeille ? Pablo Longoria, le président de l’OM, et Jacques Cardoze, son directeur de la communication, aux prises verbales avec Jean-Pierre Rivère, le boss de l’OGC Nice, et sa compagne, sous le regard courroucé du maire de Nice et ami du couple, le véhément Christian Estrosi (LR).

Les invectives ont failli laisser la place à une étreinte plus musclée, l’intervention appropriée du vétéran niçois José Cobos permettant d’éviter le pire. Après ces échanges de quolibets, de multiples règlements de comptes dans la presse les jours suivants, Rivère et Estrosi fustigeant à volonté le comportement de Longoria. Le boss olympien resta discret et envoya au front son tirailleur à la saillie aiguisée comme une baïonnette, Cardoze, le même qui partira à l’assaut de la commission de discipline d’OL-OM comme s’il s’agissait de Monte Cassino, le 8 décembre. Mais ceci est une autre histoire, celle entre dirigeants niçois et marseillais ayant versé dans l’apaisement.

Avant la détente, il y a toujours cette étrange étape de la coexistence, certes pacifique mais polaire, avec regards en chiens de faïence et poignées de main se dérobant. Elle a lieu à Troyes, le 27 octobre, dans un stade de l’Aube congelé et à huis clos. Avant d’assister au match rejoué entre Nice et l’OM (1-1), les dirigeants des deux camps ont réussi, avec une certaine habileté, à ne pas se croiser. Les esprits ont encore mûri un petit mois et la réconciliation s’est déroulée place Beauvau, au ministère de l’Intérieur, le 23 novembre, lors des états généraux d’un foot français gangrené par la violence dans ses stades.

« L’incident est clos entre Pablo Longoria et moi, nous a confié hier Jean-Pierre Rivère. J’ai attendu des excuses de sa part sur un point précis. Je les ai eues un peu plus tard que lors du match à Troyes, lors de la réunion interministérielle à laquelle nous avons participé. Je vais l’appeler tout à l’heure pour lui dire qu’il sera accueilli le mieux possible, avec beaucoup de respect. Je souhaite aussi qu’à notre niveau on donne le ton de cette rencontre. Les dirigeants marseillais seront reçus plus que normalement. Avec Pablo, on a mis tout ça derrière nous. Il sera au stade avec moi. Il n’y aura aucun souci à ce niveau-là. Nous devons donner l’image qu’on passe à autre chose. »

“Au ministère, c’était le bon moment pour clarifier les choses, la conversation a été sincère

Pablo Longoria, président de l’OM

Interrogé un peu plus tard, Longoria évoque « ce retour à la normale » : « Cette fois, on ne va parler que de foot, nous sommes ici pour ça, pas pour provoquer toutes ces tensions. Les protagonistes sont sur le terrain ! Dans ma vie, je n’ai de problèmes avec personne, je suis quelqu’un d’honnête, d’ouvert et, surtout, je représente une institution qui dépasse les intérêts personnels. Au ministère, c’était le bon moment pour clarifier les choses, la conversation a été sincère. Il est toujours bon de parler pour résoudre des conflits. Le business veut ça aussi, ne serait-ce que sur le marché des transferts… »

Début janvier, les deux clubs ont planché sur le prêt du latéral Jordan Amavi, prêté par l’OM à l’OCGN. « Cela s’est fait de façon fluide, précise Longoria. D’ailleurs, le comportement de Nice, depuis la blessure de Jordan (une entorse d’un genou la semaine dernière), est extraordinaire, il y a un vrai partage d’informations de leur part. » Lui n’avait même pas inclus de clause pour priver Amavi d’éventuels chocs contre l’OM en Coupe ou en L1 : « Ce n’est pas ma façon de faire… » En janvier, après l’appel marseillais rejeté par la FFF, sur le volet des sanctions d’OL-OM, Longoria avait souhaité ne pas poursuivre devant le CNOSF, histoire de ne plus perdre d’énergie avec ces événements extra-sportifs ayant alourdi le premier semestre phocéen.

Hier, pendant que Jorge Sampaoli déplorait l’absence des supporters de l’OM à Nice, Longoria s’est voulu inflexible sur un seul aspect : son comportement de pile électrique pendant les rencontres, ce concentré de stress au bord de la crise d’hystérie dans un gabarit si menu, qui étonne souvent ses homologues. « Franchement, le jour où je change sur ce point, je ne ferai plus de foot, je vis le match ainsi ! dit-il dans un sourire. En Italie, et j’étais encore à Milan pour le plaisir de vibrer lors du derby samedi, certains dirigeants sont pires que moi ! En Espagne, ça dépend des clubs, mais à Valence, on était comme ça ! » Une petite tisane ou une coupette de champagne partagée ce soir en loge en avant-match et tout sera oublié.

L'Equipe

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Galtier : «Aucun message à faire passer»
L'Equipe.fr

À la veille du quart de finale de Coupe de France face à l'OM, l'entraîneur de Nice Christophe Galtier a cherché à dépassionner le retour des Marseillais à l'Allianz Riviera.

« Où en sont les joueurs absents face à Clermont ?Pablo (Rosario) est disponible et opérationnel. Jordan Amavi a une entorse à un genou et Youcef Atal s'est fracturé la clavicule au même endroit que sa fracture de 2019. Il sera indisponible entre quatre et six semaines. Danilo (Barbosa) est toujours positif au Covid avec quelques symptômes. Walter (Benitez) est encore positif au Covid. Le test fait ce matin ne nous donne pas beaucoup d'espoirs sur sa participation. Et on attendra demain pour voir la situation de Kasper (Dolberg). Il sera testé demain mais il n'est pas entraîné avec nous.

Quant à Todibo (douleurs musculaires), il est O.-K.

Christophe Galtier « Ce qui est passé est pass? Ce match face l'OM a pesé dans les têtes contre Clermont (0-1, dimanche). Cette fois, l'engouement autour de ce quart de final sera-t-il un atout pour vos joueurs ?C'est avant tout un quart de finale de coupe de France. C'est à la fois un quart de finale et la réception de l'Olympique de Marseille, le 2e du Championnat et l'un des plus gros effectifs de la Ligue 1. En aucun cas je ne place le match sur l'historique de cette saison. Ce qui est passé est passé. Les gens me parlent de derby. Non : ce sera d'abord un match qui donne l'accès à une demi-finale. La cicatrice du match qui ne s'est pas terminé, le 22 août, est-elle refermée ?Je n'en ai pas. Personne ne doit avoir une cicatrice. De même que ce que nous avons fait le match à Troyes (1-1, le 27 octobre), je ne suis jamais entré sur ça. Je ne veux surtout pas que mes joueurs aient cette approche-là. lire aussi

Votre qualification face au Paris-SG vous place-t-elle dans la peau du favori ?Pas du tout. Oui, on a l'avantage de recevoir. Mais Marseille est aujourd'hui 2e du Championnat et quand on voit notre prestation face à Clermont on doit garder les pieds sur terre et rester plein d'humilité. Parce que face à Clermont, on a sorti un match qui était nul. On a jeté le match à la poubelle. Trois jours après, ce sera une autre compétition, avec une grande exposition médiatique et une réelle envie de se qualifier. lire aussi Le classement de la Ligue 1 Avez-vous un message à faire passer au public niçois ?Je n'ai aucun message à faire passer. Mes joueurs vont jouer un match rythmé, sûrement engagé, avec beaucoup d'intensité. Mais ils seront exemplaires, comme ils le sont depuis le début de la saison. Après, les supporters, les gens qui viennent au stade doivent apprécier le fait de pouvoir revenir au stade. Christophe Galtier « L'environnement doit être un atout et pas un inconvénient pour nos joueurs » Allez-vous donner des consignes à vos joueurs sur les célébrations de buts ?

Que je sache il n'y aura pas de supporters marseillais. J'espère qu'on aura de belles célébrations. Comment aborde-t-on ce type de match à enjeu avec un groupe si jeune ?Il faut évidemment être concentré sur le jeu et rien que sur le jeu. Sur la manière d'attaquer, de ressortir le ballon... On a identifié de gros points forts chez l'Olympique de Marseille, également quelques points faibles. L'environnement doit être un atout et pas un inconvénient pour nos joueurs. C'est un réel avantage de joueur à domicile. »

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Plus de cinq mois après le "derby de la honte", les dirigeants niçois craignent encore des débordements ce soir contre l'OM

Marseille, Marseille, on t'enc... !" Les Aiglons n'avaient pas encore perdu contre Clermont (0-1), dimanche devant une faible assistance (18 000 spectateurs seulement), que les fans niçois lançaient déjà les hostilités avec des chants anti-marseillais. À quelques heures de la venue de l'OM, 171 jours après l'interruption du match de la 3e journée de Ligue 1, la tension est donc toujours palpable sur la Côte d'Azur.

Ce soir-là, le 22 août, les hommes de Jorge Sampaoli perdaient pourtant 1-0, mais les ultras de l'OGCN s'étaient mis en tête de plomber la soirée. Visé par une bouteille d'eau dans la nuque, réexpédiée aussi sec dans la Populaire sud, Dimitri Payet inaugurait, deux semaines après Valentin Rongier à Montpellier, la nouvelle et triste mode des tribunes... Et alors que Mattéo Guendouzi et Alvaro Gonzalez invectivaient le kop, un envahissement de terrain et des scènes surréalistes avaient eu lieu (à l'image de la manchette de Pablo Fernandez), obligeant les officiels à stopper la partie devant le refus de l'OM à reprendre.

Rivère : "Montrer que le public niçois est irréprochable"

Depuis, le "derby de la honte" a été rejoué à Troyes (1-1), à huis clos, et les sanctions sont tombées : un point de pénalité et un autre avec sursis pour le Gym. Mais les retrouvailles du soir pour le quart de finale de coupe de France laissent craindre le pire. Notamment chez les dirigeants niçois. "Ce match contre l'OM sera scruté par beaucoup de gens et diffusé en clair, sur France 3. Je n'ai qu'un souhait, voir un beau match et montrer que le public niçois est un beau public, irréprochable, capable de pousser son équipe vers la qualification. Dans ce cas-là, et uniquement, ce sera une belle soirée, a déclaré le président Rivère hier chez nos confrères de Nice-Matin. Les événements passés font que le résultat n'est plus ma seule angoisse. Il y a la volonté que tout se passe bien. On a pris toutes les mesures nécessaires et possibles pour que ce soit le cas. Hélas, on n'est jamais à l'abri."

Auteur de déclarations ubuesques le soir-même, puis d'un spectaculaire rétropédalage, Jean-Pierre Rivère en appelle au calme car il sait que certains souhaitent en découdre. "Il n'est vraiment pas tranquille sur ce point", confie-t-on dans son entourage. Et pour cause : le dirigeant, qui n'accorde désormais qu'une confiance toute relative à ses ultras, a très mal vécu les critiques dont il a fait l'objet après ses prises de position à l'emporte-pièce. Il faut dire, également, que la famille Ratcliffe, propriétaire d'Ineos et du club niçois, n'a pas du tout apprécié les incidents de l'été et l'image véhiculée. "Je n'ai aucun message à faire passer", a réagi, de son côté, le Marseillais Christophe Galtier en conférence de presse, "focus sur le jeu pas sur l'enjeu". "C'est du passé, a balayé l'ancien Olympien Mario Lemina. On pense juste à faire un bon match de foot et nous qualifier pour les demi-finales. C'est un derby, un gros match à jouer."

Un dispositif anti-intrusion

Reste que les ultras nissarts en veulent toujours à Payet, insulté dimanche, ainsi qu'à Guendouzi et à Alvaro. Et si le club rouge et noir a pris ses dispositions, en installant enfin des filets pour retenir les projectiles lancés depuis les virages, la crainte de débordements n'est pas exclue. Peu motivés à l'idée d'encourager les leurs contre Clermont, les fans niçois se sont en revanche rués sur la billetterie (à guichets fermés) pour la rencontre face à l'OM. Ils seront plus de 33 000 à garnir les travées de l'Allianz Riviera. Les supporters de l'OM, eux, sont interdits de déplacement en raison des fumigènes craqués à Limoges, le 2 janvier contre Chauvigny. Une sanction prononcée par la commission de discipline de la FFF, mais tout de même renforcée par un double arrêté ministériel et préfectoral. Sera-ce suffisant pour empêcher les amoureux de l'OM installés dans la région de se rendre au stade ? Rien n'est moins sûr...

Pris en défaut sur l'organisation, les dirigeants azuréens n'ont en tout cas pas envie de répéter les mêmes erreurs. Outre les filets de protection, un dispositif anti-intrusion a été mis en place avec 700 agents de sécurité et 3 compagnies de CRS (soit 150 représentants des forces de l'ordre). Un match "ultra-sensible" et sous surveillance.

La Provence

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La belle occasion

Après l’élimination du Paris-SG, l’OM sait combien ce match à Nice pourrait le rapprocher d’un trophée. vincent Garcia et Mélisande Gomez

Quand le PSG n’est pas là, ce sont ses adversaires qui peuvent rêver plus grand et les Niçois comme les Marseillais ont bien conscience de l’aubaine, à l’heure de s’affronter en quarts de finale d’une Coupe de France confisquée par les Parisiens six fois sur les sept dernières saisons. « Je pense que celui qui gagnera ce match aura une belle occasion de soulever le trophée », résumait hier Arkadiusz Milik, le moral regonflé par son triplé de vendredi soir face à Angers (5-2).

Ce soir-là, le Polonais avait parfaitement tiré profit du système à deux pointes étrenné par Jorge Sampaoli : pas satisfait de la partition offensive de son équipe à Lyon, trois jours plus tôt (1-2), l’Argentin était passé à un 4-4-2 en losange qui permettait à Milik d’être mieux entouré, à la fois par Cédric Bakambu et par Dimitri Payet, derrière eux. Mais il n’est pas sûr que l’OM insiste dans ce schéma tactique.

Saliba essayé à droite

D’abord parce qu’il n’y avait que le Polonais en pointe, hier, lors de la mise en place. Ensuite parce que les difficultés de son bloc à la perte du ballon n’ont pas échappé à Sampaoli, dont l’équipe était menée de deux buts après onze minutes, contre les Angevins : « Chaque système dépend de l’adversaire et des joueurs que j’aligne. On a eu de gros problèmes en début de match et on a dû faire quelques ajustements en seconde période », rappelait l’entraîneur marseillais, qui est passé à une seule pointe à l’heure de jeu, avec l’entrée de Cengiz Ünder.

La suspension de Boubacar Kamara, après trois cartons jaunes reçus en moins de dix matches, obligera l’Argentin à revoir son milieu de terrain, d’autant que Pape Gueye, qui peut lui aussi jouer en sentinelle, était encore hier au Sénégal, avec l’attaquant Bamba Dieng, pour fêter la victoire à la CAN. Leur retour est prévu vraisemblablement demain. Du coup, Valentin Rongier semble le profil le plus adéquat pour remplacer Kamara, dans un groupe où Konrad de la Fuente, 15 petites minutes de jeu en 2022, fait son retour et où Luis Henrique, banni de la liste pour la C4, est là aussi. En défense, une surprise n’est pas à exclure, William Saliba s’étant entraîné hier en tant que latéral droit dans une défense à quatre composée en outre de Leonardo Balerdi, Duje Caleta-Car et Luan Peres.

Dans le but, Steve Mandanda, attendu mais finalement remplaçant contre Montpellier au tour précédent (1-1, 5-4 aux t.a.b.) à cause d’une douleur à une cheville, pourrait débuter, même s’il n’a eu aucune assurance de la part de son entraîneur pour être titulaire en Coupes. Si les matches s’enchaînent pour les Marseillais, Sampaoli ne fera pas de calcul : « J’adorerais partager la joie d’un titre avec ce groupe », s’est-il avancé hier. Dans ce stade où le dernier déplacement de l’OM s’était vraiment mal terminé (voir par ailleurs), l’ambiance s’annonce électrique, forcément, mais les joueurs n’ont pas prévu de changer les habitudes et, si l’OM obtient un corner, c’est bien Dimitri Payet qui le tirera.

L'Equipe

Payet à gauche.. Ça marche jamais mais il le met quand même

La compo c'est du bluff, on verra au coup d'envoi

Sampaoli : "Je suis un entraîneur qui diagnostique, qui n'est pas rigide ou fixé sur une idée. Je vais évaluer les moments, voir si je peux m'approcher ou m'éloigner du joueur. Ce que je veux faire comprendre, c'est qu'on doit être là pour satisfaire le club et la ville, représenter Marseille de la meilleure des manières des façons. La seule chose que je n'accepte pas, c'est le joueur qui pense être au-dessus de l'écusson. Sinon j'essaye toujours d'évaluer au cas par cas."

pas encore la hype Bielsa, mais complètement sous le charme de l'homme et qui a su s'adapter à l'environnement local, bravo , se remettre en question n'est pas donné à tout le monde, à lui de faire en sorte que les joueurs restent à l'écoute et s'adaptent à son discours aussi bien sur le court et moyen terme. En espérant ça puisse nous sourire sur ce mois de février et le reste de la saison.

m'enfin un 1/4 de CDF foiré et tout son travail serait remis en cause, je ne me fait pas de soucis pour ça, demain est un vrai tournant de la saison.

Pour le coup nos résultats sont beaucoup plus parlants pour répondre aux gens qui ne l'adorent pas (coucou) que ce genre de discours convenu.

Fais pas le con!

Je ne vois pas l'intérêt de bouger Saliba qui est la pièce maitresse de l'axe central

Herpès Léonard, attendons de voir avant d'hurler. Kamara n'étant pas là et Rongier le remplaçant, ça fait mécaniquement un vide à droite, où Lirola n'est pas hyper convainquant. On verra ce que ça donne.

L'important, d'un point de vue tactique, ce sont nos gigantesques couilles.