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Re: [Ligue 1 2021-2022] Et le titre alors ?

08 Juin 2022, 20:31

C'est surtout du chouinage

Re: [Ligue 1 2021-2022] Et le titre alors ?

09 Juin 2022, 07:16

Je pense que c'est moins vers nous que sa frustration de s etre fait lourder comme un mal propre de son club de coeur.

Apres j'espere pour lui qu'il ne sera jamais tenté d'entrainer l'OM parcequ'on lui ressortira toutes ses petites phrases.

Re: [Ligue 1 2021-2022] Et le titre alors ?

09 Juin 2022, 07:16

C’est surtout un Lyonnais

Re: [Ligue 1 2021-2022] Et le titre alors ?

10 Juin 2022, 11:53

Re: [Ligue 1 2021-2022] Et le titre alors ?

12 Juin 2022, 15:16

Information
C’est le trade in France

Les rachats en cours d'Angers SCO et de l'OL par des intérêts américains confirment l'attrait croissant du football hexagonal pour les investisseurs (américains et autres), qui y voient un marché abordable à forte croissance. Jean Le Bail

À contre-courant. Alors que les investissements américains baissent en France depuis dix ans, le football français accueille à l'inverse de plus en plus d'argent venu de l'autre côté de l'eau, étant rappelé que le « pied ballon » reste dans l'Hexagone un « small business » avec un chiffre d'affaires de 2,5 Mds€ environ pour la Ligue 1 et la Ligue 2, transferts compris, soit l'équivalent du CA de l'entreprise de grande distribution Castorama.

Selon le « baromètre de l'attractivité de la France » (EY, mai 2022), « les entreprises américaines ne représentent plus que 19 % du total des investissements contre 32 % en 2012 », un constat qui contraste avec la pluie de billets verts sur les rectangles de même couleur en France depuis l'arrivée de Frank McCourt à Marseille en 2016.

Ont pris aussi l'accent américain Bordeaux, Toulouse et Caen, plus récemment le Red Star et Angers (rachat en cours), tandis que les rivaux Lyon et Saint-Étienne pourraient bientôt s'affronter dans un « derby de l'outre-Atlantique » (voir par ailleurs). De ce point de vue, la France imite l'Italie, terre de conquête américaine depuis le début des années 2010 (James Pallotta à l’AS Rome en 2011). Près de la moitié des clubs de Serie A sont aujourd'hui de propriété étrangère, pour la quasi-totalité entre les mains d'intérêts nord-américains. Et quand le champion d'Italie, l'AC Milan, a changé de main, début juin, il est resté sous pavillon étoilé, RedBird, actionnaire principal en France du Toulouse FC, succédant à Elliott Management, présent depuis 2018.

« Le ticket d'entrée dans les franchises américaines et les clubs anglais est devenu colossal, hors de portée pour beaucoup d'investisseurs, alors que le foot français et plus largement le sport en Europe, hors Grande-Bretagne, restent, disons, raisonnables, même si les prix grimpent aussi », décrypte Henri Philippe, associé d’Accuracy, conseil financier d’entreprise, impliqué récemment dans le rachat du Red Star par la société d'investissement américaine 777 Partners.

L’OL vaudrait 6 ou 7 fois moins cher que Chelsea

Loïc Féry, propriétaire du FC Lorient et financier à Londres (Chenavari), confirme que l'intérêt croissant des investisseurs – pas seulement américains – pour le foot tricolore va de pair avec une valorisation accrue (voir par ailleurs).

Pour comprendre l'intérêt des investisseurs pour ce « deuxième marché » continental, il suffit de comparer le prix de Chelsea, racheté 4,9 Mds€ par l’Américain Todd Boehly et ses associés le mois dernier, et celui dont on parle pour l'OL, six ou sept fois moins important. Comme l'a révélé L'Équipe, jeudi, l'Américain Foster Gillett aurait fait à OL Group une offre globale de 600 M€ incluant plus de 300 M€ pour le rachat de 40 % environ du capital du club.

Ce n'est pas tout. Si le prix est central pour un investisseur, la rentabilité de son placement l'est encore davantage, surtout s'il s'agit d'un fonds d'investissement, soucieux de gagner de l'argent à horizon cinq-dix ans. Pour garantir une rentabilité rapide aux fonds de pension ou aux grosses fortunes qui lui ont confié leurs économies, un fonds doit trouver un bon créneau avec un risque raisonnable. Mais quand la Bourse, les obligations ou encore l'immobilier sont déjà très chers, avec peu de promesses de croissance, il faut identifier d'autres « classes d'actifs ».

“Il ne faut pas négliger le côté moutonnier, mimétique, des investissements dans le football français

Henri Philippe, associé d’Accuracy, conseil financier d’entreprise

Ces niches sont soit peu chères mais risquées, comme les « junk bonds » (obligations pourries), soit moins classiques, comme les médias, l'innovation ou encore le sport, mais en croissance et susceptibles d'être rentables, surtout si les entreprises ciblées sont de « belles endormies » à réveiller. Sous-valorisée, notamment à l'international, la Ligue 1 présenterait de telles riantes perspectives. Le raisonnement est peu ou prou le même en Italie.

On l'a compris, l'accélération de l'intérêt américain pour le football français, marché abordable à potentiel de croissance (« pas encore mature » disent les économistes), a de solides motivations financières, mais une autre explication, plus psychologique, concourt également au phénomène.

« Il ne faut pas négliger le côté moutonnier, mimétique, des investissements dans le football français, sans que cela soit un mal, explique encore Philippe. C'est un phénomène connu dans le monde ultra conservateur de la finance : on préfère souvent avoir tort avec tout le monde que raison tout seul. » En clair, il est difficile d'être le pionnier d'un secteur, plus simple d'imiter un défricheur.« Frank McCourt a ouvert le chemin à d'autres investisseurs qui se sont interrogés : “Mais pourquoi regarde-t-il ce football français, avec ses problèmes de gouvernance, de revenus limités, de lourdes charges patronales ? Et si je regardais moi aussi ? Comment ce Championnat peut-il évoluer, ses droits télé augmenter ? Et comme ça ne me coûterait pas encore trop cher... ”»

Dans l'analyse des investissements américains, il faut distinguer les « industriels » des « financiers ». Logique financière ? C'était clairement le cas de GACP et de King Street à Bordeaux en 2018. De même, le fonds américain CVC, qui a posé 1,5 milliard d'euros sur la table contre 13 % du capital de la société commerciale de la Ligue, ne restera pas forcément une fois atteints les objectifs de progression des droits télé et sa part dans la société mécaniquement revalorisée.

À l'inverse, relève Philippe, « les investisseurs de 777 Partners n'ont pas l'épée dans le dos comme les fonds qui sont dans une obligation de rentabilité à court terme, car eux investissent, au Red Star et ailleurs, leur propre argent et s'inscrivent dans une logique d'entreprise familiale, sur le temps long. »

L'Equipe

Re: [Ligue 1 2021-2022] Et le titre alors ?

14 Juin 2022, 17:14

Re: [Ligue 1 2021-2022] Et le titre alors ?

14 Juin 2022, 17:14

Information
Lille est repassé devant la DNCG / L'Équipe

Lille est repassé devant la DNCG, le gendarme financier du football français. Confiant, le LOSC attend l'officialisation de la décision sous vingt-quatre heures.

Après son audition précédente et la demande de documents complémentaires de la part de la DNCG, qui avait placé sa décision et le club en sursis le 31 mai, le LOSC est repassé devant le gendarme financier du football français ce mardi après-midi, en visioconférence. Selon un témoin, l'audition (avancée à la demande des actionnaires) s'est bien passée. Ce qui signifierait que les dirigeants lillois ont proposé une situation comptable avec des fonds propres positifs, comme le réclamait la DNCG dans un courrier du 4 mars.

Si l'instance donne un feu vert officiel aux Dogues, ce mardi soir ou au plus tard ce mercredi, et ne prend aucune mesure coercitive, les décideurs nordistes pourront entamer concrètement leur mercato estival, appréhender le choix de l'entraîneur pour la saison 2022-2023 (Jocelyn Gourvennec est sous contrat et attend des nouvelles de ses dirigeants) et avancer sur leur programme de préparation. Cela signifierait aussi qu'Olivier Létang reste aux commandes en qualité de PDG, car c'est la solution comptable qu'il préconisait qui a été présentée.

Re: [Ligue 1 2021-2022] Et le titre alors ?

14 Juin 2022, 18:02

Re: [Ligue 1 2021-2022] Et le titre alors ?

14 Juin 2022, 18:05

:clapping: :clapping: :clapping: :clapping: :clapping: :clapping: :clapping: :clapping: :clapping: :clapping: :clapping: :clapping: :clapping: :clapping:

Re: [Ligue 1 2021-2022] Et le titre alors ?

14 Juin 2022, 18:05

:lol:

Re: [Ligue 1 2021-2022] Et le titre alors ?

14 Juin 2022, 18:09

peezee, regarde ce que j'ai posté sur Twitter :lol:

Re: [Ligue 1 2021-2022] Et le titre alors ?

14 Juin 2022, 18:18

C'est à titre conservatoire, ils ont 7 jours pour faire appel mais ... :clapping: :lol:

Re: [Ligue 1 2021-2022] Et le titre alors ?

14 Juin 2022, 18:46

J'ai beau détester les girondins c'est chaud :?

Re: [Ligue 1 2021-2022] Et le titre alors ?

14 Juin 2022, 18:46

Re: [Ligue 1 2021-2022] Et le titre alors ?

14 Juin 2022, 18:47

Dragan a écrit:J'ai beau détester les girondins c'est chaud :?

Je doute quand même fort que la sanction devienne effective hein...

Re: [Ligue 1 2021-2022] Et le titre alors ?

14 Juin 2022, 18:50

Excellente cuvée 2022 pour les Girondins 8)

Re: [Ligue 1 2021-2022] Et le titre alors ?

14 Juin 2022, 19:19


\:D/

Re: [Ligue 1 2021-2022] Et le titre alors ?

14 Juin 2022, 19:51

Vu comment ca traine pour nous je ferais pas le mariole. Ca peut aussi tomber pour nous.

Re: [Ligue 1 2021-2022] Et le titre alors ?

14 Juin 2022, 20:09

:shock: Quelques minutes ? Pour les envoyer en N1 ? Ah ouais quand même. :laporte:

Et sinon le Lopez là, un peu de zonzon ça lui dirait pas ?

Re: [Ligue 1 2021-2022] Et le titre alors ?

14 Juin 2022, 20:54

Dossier bien ficelé et limpide fourni par Gégé => direction N1, du travail de pro.
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