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Re: [Ligue 1 2021-2022] Et le titre alors ?

01 Mai 2022, 17:58

gigi, sur la derniere occase, grosse faute de Lemina mais pas de soucis, ça joue…
C’est aberrant cette main mise.
Sinon sur les buts de Monaco, Rennes et Nice, a chaque fois l’un de leur but vient soit d’un but contre son camp, soit d’une remise d’un defenseur vers l’attaquant tout seul. Grosse fébrilité.

Re: [Ligue 1 2021-2022] Et le titre alors ?

01 Mai 2022, 18:01

Ils sont tellement détestables dans leur ensemble, du président à Mevlin Bard

Re: [Ligue 1 2021-2022] Et le titre alors ?

01 Mai 2022, 18:11

Le pleurnichage de Fournier a rapporte gros, en definitive

Re: [Ligue 1 2021-2022] Et le titre alors ?

01 Mai 2022, 18:16

C'est pas Santana qui avait fait état d'un complot visant à maintenir Bordeaux ? Ou alors, ils se seraient heurtés à un complot plus puissant ?

Re: [Ligue 1 2021-2022] Et le titre alors ?

03 Mai 2022, 09:06

Betsamee a écrit:Le pleurnichage de Fournier a rapporte gros, en definitive

Julien Fournier? L'inventeur du football mondial?

Re: [Ligue 1 2021-2022] Et le titre alors ?

04 Mai 2022, 11:39

Nantes - Rennes arbitré par Anthony Gautier

La LFP confirme :doubeul: 3 points pour les rennais.

Re: [Ligue 1 2021-2022] Et le titre alors ?

04 Mai 2022, 11:39

Gautier, prof de maths, COMME DE PAR HASARD redaface2

Re: [Ligue 1 2021-2022] Et le titre alors ?

04 Mai 2022, 12:19

Gwenn a écrit:Nantes - Rennes arbitré par Anthony Gautier

La LFP confirme :doubeul: 3 points pour les rennais.


Absolument incroyable :hein:

Et vous savez la cerise? Qui qui c'est qui va arbitrer le match du LOL? Je vous le donne en mille.... Ben oui, Watellier, l'arbitre VAR de dimanche :lol:
Plus c'est gros, plus ça passe c'est affolant.

Donc les gars ont commis des erreurs manifestes, journée suivante ils vont tranquillement officier en arbitre principaux, et pas sur du matchs au rabais en plus

Information
LOSC – AS Monaco (vendredi, 21h00)
Arbitre principal : François LETEXIER
Arbitres assistants : Cyril MUGNIER et Mehdi RAHMOUNI
4e arbitre : Aurélien PETIT
Arbitres assistants vidéo : Johan HAMEL et Wilfried BIEN

Stade Brestois 29 – RC Strasbourg Alsace (samedi, 17h00)
Arbitre principal : Mikaël LESAGE
Arbitres assistants : Huseyin OCAK et Bastien COURBET
4e arbitre : Marc BOLLENGIER
Arbitres assistants vidéo : Hakim BEN EL HADJ et Bruno COUE

FC Metz – Olympique Lyonnais (dimanche, 13h00)
Arbitre principal : Eric WATTELLIER
Arbitres assistants : Djemel ZITOUNI et Philippe JEANNE
4e arbitre : Gaël ANGOULA
Arbitres assistants vidéo : Amaury DELERUE et Abdelali CHAOUI

Angers SCO – Girondins de Bordeaux (dimanche, 15h00)
Arbitre principal : Benoît MILLOT
Arbitres assistants : Stephan LUZI et Laurent CONIGLIO
4e arbitre : Bartolomeu VARELA
Arbitres assistants vidéo : Florent BATTA et Stéphane BRE

Clermont Foot 63 – Montpellier Hérault SC (dimanche, 15h00)
Arbitre principal : Benoît BASTIEN
Arbitres assistants : Hicham ZAKRANI et Frédéric HAQUETTE
4e arbitre : Faouzi BENCHABANE
Arbitres assistants vidéo : William LAVIS et Yohann ROUINSARD

Stade de Reims – RC Lens (dimanche, 15h00)
Arbitre principal : Vitor FERREIRA
Arbitres assistants : Pedro RIBEIRO et Tiago COSTA
4e arbitre : Marc BOLLENGIER
Arbitres assistants vidéo : Bruno ESTEVES et Nélson PEREIRA

FC Lorient – Olympique de Marseille (dimanche, 17h05)
Arbitre principal : Bastien DECHEPY
Arbitres assistants : Brice PARINET LE TELLIER et Alexandre VIALA
4e arbitre : Guillaume PARADIS
Arbitres assistants vidéo : Thomas LEONARD et Christian GUILLARD

Paris Saint-Germain – ESTAC Troyes (dimanche, 20h45)
Arbitre principal : Jérôme BRISARD
Arbitres assistants : Alexis AUGER et Valentin EVRARD
4e arbitre : Cédric DOS SANTOS
Arbitres assistants vidéo : Clément TURPIN et Nicolas DANOS

OGC Nice – AS Saint- Étienne (mercredi 11 mai, 19h00)
Arbitre principal : Ruddy BUQUET
Arbitres assistants : Erwan FINJEAN et Julien AUBE
4e arbitre : Robin CHAPAPRIA
Arbitres assistants vidéo : Hamid GUENAOUI et Arnaud BAERT

FC Nantes – Stade Rennais FC (mercredi 11 mai, 21h00)
Arbitre principal : Antony GAUTIER
Arbitres assistants : Aurélien BERTHOMIEU et Gwenaël PASQUALOTTI
4e arbitre : Azzedine SOUIFI
Arbitres assistants vidéo : Alexandre CASTRO et Dominique JULIEN

Re: [Ligue 1 2021-2022] Et le titre alors ?

04 Mai 2022, 12:24

Betsamee a écrit:Gautier, prof de maths, COMME DE PAR HASARD redaface2

Oui, les complotistes ont souvent un peu de mal face à quelqu'un de rationnel. 8)

C'est quoi, le truc, sinon ?

Edit. On voit bien que les deux arbitres vidéos sont indiqués et que le fait de n'en indiquer qu'un ne peut être qu'une volonté louche de dissimuler la vérité aux masses laborieuses et supporteuriales.
Modifié en dernier par fourcroy le 04 Mai 2022, 12:38, modifié 1 fois.

Re: [Ligue 1 2021-2022] Et le titre alors ?

04 Mai 2022, 12:26

Ah et en plus on joue à 17h alors qu’on joue jeudi soir ?

Re: [Ligue 1 2021-2022] Et le titre alors ?

04 Mai 2022, 12:29

Il y a un grand choc Paris Troyes à 21h

Re: [Ligue 1 2021-2022] Et le titre alors ?

05 Mai 2022, 22:40

16 jours avant la fin de la saison.

Re: [Ligue 1 2021-2022] Et le titre alors ?

06 Mai 2022, 06:54

Spoiler: montrer
Elle est deja finie

Re: [Ligue 1 2021-2022] Et le titre alors ?

06 Mai 2022, 12:24

Information
« Le football français rentre dans un cercle vertueux »

VINCENT LABRUNE

Président de la Ligue de football professionnel

Dans quel état se trouve aujourd'hui le football professionnel français ?

Le football français est sauvé. Mais il reste convalescent. Nous avons su collectivement nous mobiliser pendant une période extrêmement compliquée et anxiogène pour faire de nos faiblesses une force et transformer nos contraintes en opportunités. Notre union nous a permis de créer les conditions d'un « New Deal » pour le football français qui va nous permettre de sortir plus forts de la tempête que nous avons traversée. Les éléments sont réunis pour que nous entrions dans un cercle vertueux, c'est le sens du projet Renaissance porté par la Ligue et les clubs.

Mais on n'est pas passé loin de la catastrophe ?

Le football français a perdu 1,8 milliard en deux ans. Le système était en quasi-faillite. Sans l'aide de l'Etat, et l'implication des clubs, nous allions droit dans le mur. Cela ne pouvait plus durer car nous avons vécu un triple tsunami. Au-delà du Covid-19, qui a frappé toutes les autres ligues, nous avons, en plus, subi un arrêt complet des compétitions qui a provoqué un manque à gagner de 250 millions d'euros et la défaillance de notre diffuseur MediaPro, qui nous a fait perdre 600 millions. Mais nous étions, avant même cette crise conjoncturelle, dans un cercle structurel vicieux.

Depuis des décennies, le football français doit faire face à des contraintes très fortes qui nous pénalisent face aux autres grandes ligues européennes. Nous avons un marché audiovisuel domestique qui est beaucoup moins porteur que celui de nos concurrents… Par ailleurs, nous avons des propriétaires de clubs qui n'ont souvent pas la même surface financière que leurs homologues européens. Nous souffrons enfin d'une fiscalité particulièrement lourde. Le club de Clermont, en Ligue 1, paye plus de charges à lui tout seul que l'ensemble des clubs de la Bundesliga [le championnat allemand]. Résultat, depuis l'arrêt Bosman du milieu des années 1990 [qui autorise la libre circulation des joueurs en Europe], nos équipes sont obligées, pour s'en sortir économiquement, de vendre leurs talents à leurs concurrents européens.

En quoi la donne a-t-elle changé ?

Nous avons réussi, en un temps record, à monter une société commerciale et à faire entrer, avec [le fonds d'investissement luxembourgeois] CVC, un partenaire professionnel qui va nous apporter des compétences et 1,5 milliard d'euros. Cet accord, soutenu à l'unanimité par tous les présidents de clubs de Ligue 1 et de Ligue 2, nous permet d'échapper, à court terme, au scénario du pire. Mais cela va bien au-delà d'une simple bouffée d'oxygène.

Ce n'est pas un plan de sauvegarde mais un plan de développement. Le football français va prendre un véritable nouveau départ. Nous allons avoir les moyens de nous professionnaliser, d'améliorer le spectacle et nos performances sur la scène européenne. Nous allons passer, par étapes, à une Ligue 1 puis une Ligue 2 à 18 clubs.

Surtout, pour la première fois, la redistribution des droits audiovisuels tirés de l'international ira aux clubs qui jouent les compétitions européennes. Pour avancer, nous avons besoin de locomotives et il faut récompenser les plus performants. Cela doit nous permettre de progressivement accélérer la hausse de nos revenus et d'avoir ainsi plus de moyens pour conserver nos talents et en recruter de nouveaux.

Le risque n'est-il pas que l'argent de CVC ne serve qu'à rembourser des dettes et à augmenter des salaires ?

Cet argent, c'est tout sauf un chèque en blanc pour récompenser les mauvais élèves. Nous allons nous assurer que les investissements seront fléchés sur l'amélioration de la performance à long terme. C'est notamment une opportunité unique d'investir dans le « produit Ligue 1 » pour le rendre meilleur, en utilisant le potentiel du digital comme moyen de renforcer les liens entre la Ligue 1 et les supporters, à l'instar de ce qui est fait dans d'autres sports comme en NBA [ligue de basket américain] ou en NFL [ligue de football américain].

Au niveau des contrôles, la DNCG [direction nationale du contrôle de gestion] veillera à ce que les salaires ne représentent pas plus de 70 % du budget des clubs désormais. Les actionnaires devront aussi jouer leur rôle. Ainsi, les clubs dans lesquels les fonds propres ne seront pas redevenus positifs à la fin de la saison ne toucheront que 50 % des sommes prévues. En parallèle, nous discutons avec les joueurs et les clubs pour allonger à cinq ans la durée des premiers contrats professionnels, ce qui permettra de mieux valoriser notre formation. L'ambition est de faire entrer le football français dans le top 3 européen d'ici 2028. Il n'y a pas de raison que le football des clubs tricolores ne soit pas au niveau de notre équipe nationale qui est championne du monde.

Les droits audiovisuels peuvent-ils réellement progresser ?

Un nouveau cycle pour la commercialisation des droits nationaux et internationaux s'ouvrira à partir de la saison 2024 qui sera l'année du rebond. Le business plan validé avec CVC est d'atteindre des droits de 1,8 milliard d'euros par an d'ici 2028. Il nous faudra, pour cela, franchir des étapes. Nous sommes aujourd'hui, en raison de circonstances exceptionnelles, à seulement 663 millions pour les droits domestiques. Nous avons là une première marge de progression réelle. Nous en avons une seconde sur les droits à l'international.

Aujourd'hui, sur les 3 milliards d'euros de droits internationaux vendus par les ligues européennes, la France ne touche que 3 %. Nous sommes à peine à 80 millions par an, quand la Serie A italienne perçoit 200 millions ! Nous avons déjà beaucoup de talents dans l'Hexagone, et si le spectacle et les performances s'améliorent, les recettes finiront par suivre. Nous aurons, d'ici peu, au moins trois équipes en Ligue des champions, qui auront plus de moyens pour briller. Toutes les conditions sont réunies pour attirer de nouveaux investisseurs prêts à donner plus de moyens pour valoriser la France et son football. L'Angleterre l'a fait. Il n'y a pas de raison pour que nous ne puissions pas en faire autant.

N'est-ce pas un peu trop tard ? Les autres sports et Netflix ne vont-ils pas vous compliquer la tâche ?

Je suis là depuis 18 mois, pas 18 ans, et nous avons déjà collectivement fait beaucoup de choses. Le football est un spectacle qui a toujours dû faire face à des concurrents. Le cinéma, les séries, les restaurants… A nous de nous donner les moyens de faire venir les gens dans les stades. Un film ou une série avec Leonardo Di Caprio et Brad Pitt aura plus de succès qu'avec des inconnus. A nous de mettre des stars à l'affiche. Nous sommes en train de nous en donner les moyens et, du coup, nous pouvons être confiants.

Le foot est un sport unique avec 300 millions de pratiquants dans le monde et 45 millions de licenciés. Par comparaison, la Formule 1, ce sont 20 pilotes qui, pour près de la moitié, doivent payer pour leur volant. Cela n'a rien de comparable. Le football est le sport numéro 1 dans pratiquement tous les pays, à l'exception des Etats-Unis, de l'Inde et du Pakistan. Et dans ces pays, c'est le sport en plus forte croissance.

Nous avons un produit unique. Ce sont plus les autres sports qui doivent s'inquiéter et revoir en partie leur modèle économique pour être de moins en moins dépendant des recettes audiovisuelles car le football a vocation à en capter une part croissante.

Mais le football français n'est-il pas trop dépendant du PSG ?

Il ne faut pas banaliser la présence du Qatar en Ligue 1. Le PSG est notre point fort à l'international et heureusement qu'ils sont là. Nous partageons avec eux l'ambition de faire du football français une marque planétaire. Il faut pour cela que tout le foot français progresse. Que nous ayons, nous aussi, comme en Angleterre, un « Big 4 » ou un « Big 6 », avec des clubs puissants qui se disputent les titres et les qualifications en coupes d'Europe.

Les Gafa seront-ils prêts à miser sur le football français ?

Ils ne vont pas miser. Ils misent déjà. C'est en France qu'Amazon a le plus investi dans le sport européen. Et leur expérience s'avère très positive. Dans les années qui viennent, les Gafa vont continuer de s'intéresser à des contenus premium et notre ambition est de pouvoir leur proposer ce spectacle exclusif et de qualité. Le football, c'est le sport du futur. En Italie, un investisseur du Golfe vient de mettre 1,8 milliard sur la table pour racheter le Milan AC, et en Angleterre, Chelsea va changer de mains pour 4 ou 5 milliards. CVC a investi 1,5 milliard dans notre projet. Il s'agit de leur plus gros investissement en France. Tous, Gafa comme investisseurs, voient un énorme potentiel de création de valeur dans le football.

Cela ne veut pas dire que la Ligue ferme la porte à Canal+, qui a été son partenaire historique. Il y a eu de la rancoeur et nous sommes en train de reconstruire avec eux une relation de confiance. Nous ne les ferons pas changer d'avis, s'ils devaient décider qu'ils n'ont plus besoin du football français. Mais nous n'avons jamais dit que nous voulions tout faire sans eux. Notre ambition est de consolider notre relation avec tous nos partenaires actuels et d'en trouver d'autres qui auront envie d'investir dans un football qui monte en puissance. Le « momentum » est bon. Nous n'avons pas perdu de temps mais nous devons encore accélérer pour être certain de basculer du bon côté avec les clubs, la fédération et les joueurs.

David Barroux

François Vidal

Son actualité

Arrivé à la tête du foot pro tricolore en pleine crise (Covid-19, faillite de Mediapro), Vincent Labrune n'a pas réussi à apaiser les relations avec Canal+, le partenaire historique de la Ligue, mais a convaincu Amazon d'investir sur le foot français. Il vient de créer une filiale commerciale qui, avec l'appui du fonds CVC, a vocation à financer un très ambitieux plan de renaissance du ballon rond. CVC mise 1,5 milliard et prend 13 % de cette société qui veut faire passer les recettes audiovisuelles du footballfrançais de moins de 800 millions aujourd'hui à 1,8 milliard d'euros en 2018.

Les Echos

Re: [Ligue 1 2021-2022] Et le titre alors ?

06 Mai 2022, 12:47

qui veut faire passer les recettes audiovisuelles du footballfrançais de moins de 800 millions aujourd'hui à 1,8 milliard d'euros en 2018.


Re: [Ligue 1 2021-2022] Et le titre alors ?

06 Mai 2022, 15:04

Betsamee a écrit:Gautier, prof de maths, COMME DE PAR HASARD redaface2


Et maire de sa commune

Re: [Ligue 1 2021-2022] Et le titre alors ?

06 Mai 2022, 15:18

De gauche , le parfait connard 8)

Re: [Ligue 1 2021-2022] Et le titre alors ?

06 Mai 2022, 15:21

Delio a écrit:
Spoiler: montrer
Elle est deja finie


Tais toi, Gautier ou je te fais avaler ton sifflet :vioc:

Re: [Ligue 1 2021-2022] Et le titre alors ?

06 Mai 2022, 16:44

On peut perdre la seconde place dès ce soir en cas de victoire de Monaco face à un LOSC en vacances.Rennes jouera mercredi contre Nantes qui termine sa saison samedi soir.
A condition de faire le tad dimanche,on va jouer notre saison sur un match à Rennes.

Re: [Ligue 1 2021-2022] Et le titre alors ?

06 Mai 2022, 17:31

Mode béat optimiste :

- Monaco perd à Lille
- On gagne dimanche
- Rennes fait nul à Nantes.

Mode realiste :

- Monaco tord Lille
- Nul piteux à Lorient
- Rennes bat Nantes a la 90eme
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