[OL] Textor met le Aulas

84-2004, arrête tu vas lui porter l’œil

Aha excellent ! C'est vraiment LOL cette saison.

Résultat qui fait nos affaires entre 2 de nos concurrents directs pour la descente en L2 @spy et fennec

Tant mieux si ça te fait rire d'avoir 3 points d'avance sur le 16ème au tiers du championnat.

Fennec, ben non mais si on joue le maintien à la 13ème journée, autant que les équipes en dessous de nous ne prennent pas 3 points non ?
Ça vous paraît absurde comme raisonnement ?

Dimeco63, je dis pas qu'on joue le maintien. Je dis que dans ce championnat daubé où tout le monde se tient, je serai soulagé quand on aura pris les points nécessaires.
Pour l'instant on a gagné autant de match que Le Havre.

Y a quand meme une constante c'est qu'on est des bons supporters de merde, les saisons galeres font parti d'une vie de supporter, surtout de l'OM, on en a vecu un pacson, on a jamais lache le club, meme bien plus bas qu'en ce moment.

Faut faire le dos rond, encaisser et prendre ce qu'il y a a prendre pour le moment (un peu de kiff en C3) en esperant que ca finisse par un peu tourner

Je suis perso focus à fond sur la Coupe. C'est une honte de pas l'avoir gagné l'an dernier, ça fait trop longtemps là.

Mais la coupe de France c'est vraiment notre compétition maudite
Perso je crois pas à la descente, je me dit qu'on a quand même un effectif capable d'assurer entre la 5éme et 8éme place au pire quoi, par contre je m'accroche à la C3 depuis le début !

P.S : ce qui m'inquiète c'est que je nous pas trop une équipe de coupe

On a une equipe sans caractere ni qualite technique, ca fait effectivement peu pour faire mieux que du tres moyen.

Non mais s'il y a un type de compète sur lequel vaut mieux pas miser c'est bien la coupe de France, trop aléatoire, et on le voit TOUS les ans (je vais pas ressasser ça sert à rien).

Là on est à notre place, milieu de tableau. Triste, mais factuel.

peezee, justement, la seule compétition où une équipe de milieu de tableau peut le faire, avec l'alignement de planètes qui va bien, c'est la coupe de France.

A condition d’avoir l’esprit et l’envie de se dépasser.
Ce que n’ont pas nos gentils touristes.

gob, y en a litteralement aucun si ce n'est Gigot, qui a la rage mais semble trop gentil pour secouer ses coequipiers quand ca tangue.

Betsamee, t’exagère dans la catégorie des durs au charisme puissant il y'a Veretout aussi !

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Dernier de Ligue 1, l'OL a beaucoup à jouer face à Rennes

Il y a bientôt six mois que l'OL n'a pas gagné un match. Les Lyonnais répètent qu'ils travaillent mais rien ne change, sauf les compositions de Fabio Grosso.



Vendredi matin, avant l'entraînement, des supporters sont venus remettre en main propre aux joueurs de l'OL une lettre d'encouragement, une attitude constante des dernières semaines malgré la dernière place. Et les joueurs, touchés pour la plupart, ont promis de tout donner en retour, à Rennes (11e). Mais quand, un peu plus tard, on a fait remarquer à Corentin Tolisso la limite des bons sentiments, et qu'il s'agissait d'abord de football, un jeu avec lequel les Lyonnais ont actuellement des problèmes, il s'est sérieusement agacé : « Il n'y a pas forcément d'évolution, oui, mais après, on fait quoi ? On dit qu'on n'a pas évolué et on abandonne ? On veut progresser, on veut s'en sortir. On sait qu'il nous faut un déclic. »

Les Lyonnais connaissent la date par coeur : ils n'ont pas gagné depuis le 27 mai face à Reims (3-0) et s'approchent lentement des six mois sans victoire, à l'aube de leur voyage à Rennes en fin d'après-midi dimanche, avant un enchaînement face à Lille, Lens, Toulouse et Monaco après la trêve internationale. Au coeur de l'actualité après les événements dramatiques de Marseille (le 29 octobre), qui ont décalé les débats sur un terrain qu'il n'a pas choisi, Fabio Grosso redevient progressivement un entraîneur comme les autres, soumis aux résultats, et surtout à l'absence de résultats, puisque l'on peut difficilement considérer qu'il a fait beaucoup mieux que Laurent Blanc (2 points en 5 matches, contre 1 point en 4 matches).

Mais, puisqu'il ne suffit pas que les Lyonnais gagnent des matches seulement quand ils jouent entre eux, il va falloir autre chose. Autre chose que les mots, aussi. Mais, en conférence de presse, Grosso a quand même navigué entre un peu plus de dureté (« Celui qui n'a pas envie de rester sur le bateau peut me le dire, on fera sans lui »), un aveu (« Je n'arrive pas encore à changer la dynamique ») et une défense de ses choix sans cesse différents, sans cesse contradictoires. « Avant, on me disait que j'étais trop rigide, et maintenant, c'est le contraire, a déclaré le technicien. Je change d'organisation, mais je garde les mêmes principes de jeu. Je ne suis pas encore arrivé à trouver la solution, mais on a les idées plus claires par rapport à ce qu'on a mis en place. »

Et il a répété que son 4-3-3 avec deux ailiers correspondait mal à Rayan Cherki, une semaine après avoir choisi un 3-5-2 et ne pas l'avoir titularisé quand même. Mais l'impact des entrants dans la fin de match contre Metz (1-1, Nuamah, Cherki, puis Jeffinho) est une rare lueur d'espoir pour l'entraîneur avant ce match décisif avec lequel l'OL devra vivre deux semaines, pendant la trêve. Les Lyonnais sauront, lundi, s'ils n'ont pas gagné depuis près de six mois, ou depuis la veille.

https://www.lequipe.fr/Football/Article ... es/1431131

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LA PATTE GATTUSO; L'OM cherche toujours son nord; Si l'entraîneur italien a rapidement insufflé un esprit conquérant à ses troupes, les copies rendues par les Olympiens, notamment sur le plan offensif, manquent de continuité.

Qu'ils soient moqueurs ou nerveux, les rires ont fusé jeudi soir dans les bars et salons des supporters marseillais. Malgré leur supériorité sur l'AEK Athènes et l'âme conquérante insufflée par le colonel calabrais, les troupes de Gennaro Gattuso ont livré une bataille échevelée. En point d'orgue, ces ultimes escarmouches qui ont, assurément, caressé la fibre nostalgique de quelques fidèles marseillais, dont le magnétoscope rembobinait jadis les cassettes du "Foot en Folie". Pim, pam, poum. Une partie de flipper. Le ballon brûlait les pieds, sauf ceux d'audacieux convaincus de pouvoir dribbler cinq adversaires en fonçant dans le tas. Iliman Ndiaye et sa bande esquissaient là une caricature de la devise brodée sur leur coeur.

Droit au but, certes. Mais pas à n'importe quel prix. "On n'est trop frénétique ces derniers temps, on cherche trop la verticalité", grimaçait déjà leur chef de file après le succès athénien. Constat étoffé à la veille du déplacement au stade Bollaert : "J'aime quand on joue vertical pour sauter le pressing adverse mais j'aime encore plus quand on reste propre. On se trompe trop dans les 30-40 derniers mètres. On se précipite et ça nous oblige à courir après le ballon. Ça devient un match de ping-pong et moi ça ne me plaît pas de jouer au ping-pong. "

Gattuso : "J'aime bien le football fait de passes et de possession"

Du tennis de table en milieu de semaine, une ennuyeuse partie d'échecs le week-end dernier (0-0 contre le Losc)... En Provence, les temps sont rudes. L'on ne sait plus vraiment sur quel pied danser après la valse lancinante de Jorge Sampaoli et la zumba chère à Igor Tudor. Leur successeur sur le banc bleu et blanc, dont les principes dessinent un "football hybride" entre ceux du technicien argentin et croate, a pourtant les idées claires. "J'aime bien le football fait de passes et de possession. Si on fait cela bien, on peut isoler des joueurs offensifs et rapidement les servir en situation de un contre un, ou deux contre deux. Ça n'a aucun sens de faire des passes à l'infini si on n'attaque pas l'espace quand la situation se présente. Il faut prendre le temps nécessaire, en acquérant des automatismes, en répétant nos combinaisons dans le camp adverse", détaillait l'ancien Milanais, avant le rendez-vous manqué avec les Lyonnais.

Conjuguez ces intentions avec une agressivité retrouvée à la perte de balle, et vous aurez un premier aperçu de l'Olympique façon "Ringhio". Les premiers actes emballants devant Brighton (2-2) et l'AEK Athènes (3-1), voire la balade face aux Havrais (3-0), sont la preuve qu'en moins de deux mois (46 jours exactement) la greffe peut pendre. Malgré les faillites individuelles, dont celle de Pierre-Emerick Aubameyang de nouveau opérationnel, et un calendrier dantesque ne laissant guère de place aux séances tactiques. Sans oublier le virage en épingle opéré entre le fútbol de Marcelino et le calcio de Gattuso. "Avec Marcelino, on avait une posture plus défensive. On sent aussi que c'est plus intense avec Gattuso, a admis Renan Lodi, hier après-midi. Il nous demande d'être calmes, de garder le ballon pour trouver des espaces qui nous permettront d'attaquer. Et quand on n'a pas la possession, mettre la pression."

À écouter les compliments émis (et omis) quelque 1000 km au nord de La Commanderie, où l'OM se rend ce soir pour défier les Sang et Or, l'on serait tenté d'avancer que l'international brésilien et ses partenaires ont déjà parcouru la moitié du chemin. "Ils sont très chiants (sic) à jouer, a lâché l'ancien Marseillais Brice Samba. Ce qui m'a le plus marqué, c'est leur grinta, leur envie de faire mal." Et le jeu dans tout ça ? "C'est surtout un bloc très hermétique, pas facile à bouger et qui concède très peu", résumait Franck Haise, l'entraîneur artésien, renvoyant une impression identique à celle laissée par une équipe dont le meilleur joueur est le gardien...

La Provence

Bon bah Rennes a 10 au bout de 4 minutes.
V’la la première victoire de Lyon.

Frappard a encore frappé

Mérité ?

Franchement non
Un jaune oui mais un rouge direct au bout de 4mn c’est nawak