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Sampaoli : et s'il allait se faire cuire un neuf ? (maj)

22 Fév 2021, 10:11

Jorge Sampaoli sera donc présent à Marseille dès la fin de cette semaine.

Re: Jorge Sampaoli : sang, sueur, larmes ... et beau jeu ?

22 Fév 2021, 10:15

Information
Sampaoli arrive en terrain déminé

Alors qu’un accord verbal a été trouvé avec Jorge Sampaoli, Nasser Larguet a remobilisé l’OM, en six matches sur le banc. Même si le chantier reste important pour l’Argentin. MÉLISANDE GOMEZ

Le compte à rebours est lancé pour l’arrivée de Jorge Sampaoli à Marseille - la date de vendredi est évoquée- mais cette agitation ne risque pas de faire perdre son calme à Nasser Larguet. Propulsé à la barre en pleine tempête, le 2 février, alors que le violent passage des supporters à la Commanderie, trois jours plus tôt, était encore dans toutes les têtes et qu’André Villas-Boas venait de claquer la porte, le directeur du centre de formation de l’OM a brillé par son flegme.

Sauf énorme surprise, il laissera donc sa place au technicien argentin, qui a trouvé un accord verbal avec le club olympien, et devrait s’engager jusqu’en juin 2023, accompagné de quatre adjoints. Larguet retrouvera avec plaisir « ses » jeunes du centre après trois semaines avec les pros, où il a pris la mesure de son groupe avec une lucidité précieuse, le sens des priorités et, toujours, le goût de la formation.

Un état d’esprit  retrouvé

Personne n’a vibré, samedi, à Nantes (1-1), devant le spectacle offert par l’OM, mais il faut se souvenir, aussi, de la terrible spirale du mois de janvier pour mesurer que l’équipe a fait du chemin. Battus par Nîmes (1-2 le 16 janvier) puis par Lens (0-1, le 20) au Vélodrome après une rencontre affligeante, les Marseillais semblaient incapables de la moindre réaction, ils avaient perdu encore à Monaco (1-3, le 23), subi la fronde de leurs supporters et le départ d’AVB.

À son arrivée, Larguet mesure la fragilité de l’effectif et choisit des mots simples, avant son premier match, à Lens. Il explique aux joueurs qu’il comprend leurs difficultés mais il ne fait pas que les cajoler et leur rappelle la tristesse du bilan : « C’est vous qui êtes sur le terrain », leur répète-t-il, pour les responsabiliser et encourager la révolte. Rejoints de 2-0 à 2-2, les Marseillais souffrent, à Bollaert, mais ils courent, font les efforts et sauvent un point. Contre le PSG, ensuite (0-2), puis à Bordeaux, à neuf contre onze pendant plus d’une demi-heure (0-0), l’OM affiche un état d’esprit revenu, solidaire et combatif même quand le sort est contraire. À Nantes, encore, il ne s’est pas résigné après le but gag concédé sur une erreur de Mandanda et il est allé chercher l’égalisation. Dans le jeu, cela reste très insuffisant mais Marseille a retrouvé une équipe qui sait résister et réagir, au moins.

Des jeunes à revoir

Au chevet d’une équipe en crise, Larguet insiste sur l’importance du plaisir à l’entraînement. Les séances sont rythmées et intenses, et chacun a une carte à jouer. Il convoque des jeunes à participer, les observe avec exigence : « Pour les jeunes, il faut le mental, c’est-à-dire assumer la concurrence, et il faut la mentalité, ne pas s’enflammer trop vite », résume-t-il. De bons entraînements peuvent ouvrir la porte du onze de départ, si les blessures et les suspensions s’en mêlent.

Ainsi, Larguet a offert leur première titularisation en L1 de la saison à Khaoui, Luis Henrique et Dieng. Le trio a été intéressant contre Nice (3-2), profitant des espaces béants laissés par les Aiglons en première période. Mais leur deuxième match, à Nantes, a été nettement moins convaincant, parce que le bloc bas des Nantais réclamait davantage de mouvements et de justesse. Les joueurs ont acquis de l’expérience, mais le salut de l’OM ne peut reposer sur leurs épaules, encore un peu frêles.

Un Payet en forme

« Un leader technique doit emmener le groupe vers l’avant, et c’est ce qu’il fait », appréciait Nasser Larguet, samedi, pour résumer l’influence de Dimitri Payet sur son équipe, actuellement. Cette saison, le Réunionnais a souvent occupé les débats, pour sa silhouette, son rendement intermittent, ses passages sur le banc, sa relation devenue compliquée avec Villas-Boas. Mais le foot est revenu au cœur des discussions à son sujet, aujourd’hui : suspendu pour un vilain geste sur Verratti pendant le Classique, le 7 février (0-2), il a été absent deux matches mais il a travaillé à la Commanderie, pour affûter son physique et garder le rythme.

Cela se voit : depuis deux matches, recentré en numéro 10 dans un 4-2-3-1, Payet s’est remis au cœur du jeu, impliqué sur les trois buts de l’OM contre Nice et buteur à Nantes. Il se déplace, propose des solutions, tente des gestes, et son influence est déterminante. Son équipe est à la peine, mais il ne se cache jamais : avoir du caractère n’est pas toujours un défaut.

L'Equipe

Re: Jorge Sampaoli : sang, sueur, larmes ... et beau jeu ?

22 Fév 2021, 10:15

Information
Sampaoli c'est oui ! L'OM et l'entraîneur argentin sont parvenus à un accord verbal pour un contrat jusqu'en 2023. Celui-ci est attendu à Marseille en fin de semaine

Jorge Sampaoli se trouvait à Recife, hier soir, à 2 000 kilomètres de Belo Horizonte. L'entraîneur argentin de 60 ans s'apprête à effectuer un trajet beaucoup plus long dans les prochaines heures. Il va quitter l'Amérique du Sud, où il a effectué l'essentiel d'une carrière entamée il y a près de vingt ans au Pérou, pour mettre le cap sur le Vieux Continent où son unique expérience, à la tête du FC Séville en 2016-17 avec, notamment, Adil Rami (lire ci-dessous), a tourné court. Sélectionneur du Chili puis de l'Argentine, il va atterrir à l'OM. Hier, selon nos informations, un accord verbal portant sur un contrat courant jusqu'en 2023 a été trouvé après plusieurs jours de discussions. Plus rien ne s'oppose désormais à sa venue en Provence, même si les documents n'étaient pas encore signés de manière officielle. "Il n'y a aucun problème, on doit juste finir la négociation", nous confirmait une source proche du dossier.

Pourquoi ce choix ?

Plusieurs candidats se trouvaient sur la ligne de départ. Parmi eux les noms de Lucien Favre et Maurizio Sarri ont rapidement émergé. Libre depuis la fin de son aventure avec le Borussia Dortmund en décembre dernier, le technicien suisse (63 ans) ne se sentait pas de reprendre une équipe au beau milieu de la saison ; l'Italien (62 ans) non plus, sans compter qu'un autre obstacle s'est rapidement révélé insurmontable : il est sous contrat avec la Juventus jusqu'au 30 juin, quand bien même il n'occupe plus la moindre fonction officielle chez les Bianconeri. Ces pistes envolées, Pablo Longoria a été matraqué par les propositions de services d'une multitude d'entraîneurs : Roberto Donadoni, Walter Mazzarri, Carlos Queiroz... Mais le directeur du football avait déjà arrêté son choix : dans son esprit, l'heureux élu devait se nommer Jorge Sampaoli et rien ne l'a fait dévier de son idée initiale.

à quand remontent les premiers contacts ?

André Villas-Boas était encore en poste que les premiers contacts entre l'OM et l'entraîneur de l'Atletico Mineiro étaient déjà noués. Quelques jours avant la démission transformée en mise à pied du Portugais, Longoria s'est rapproché de l'Argentin. À cette époque-là, peut-être songeait-il seulement à préparer la saison prochaine, la perspective de voir "AVB" prolonger l'aventure en Provence étant des plus infimes même si des discussions avaient eu lieu en décembre. Le départ précipité du Special Two a, semble-t-il, accéléré le processus. D'autant que, en dépit d'un contrat courant jusqu'au 31 décembre, Sampaoli pouvait quitter le Minas Gerais, rejoint il y a tout juste un an, pour quelque 600 000 euros. Avec un souhait : terminer la saison à la tête d'O Galo (le coq, surnom de l'Atletico), le championnat brésilien se finissant ce vendredi.

avec qui vient-il ?

La question du nouvel entraîneur a été réglée plus rapidement que le sort de l'ancien. La menace d'un licenciement pour faute grave plane toujours au-dessus de la tête de Villas-Boas, toujours mis à pied, quand ses six adjoints, eux, seraient simplement dispensés de leurs activités. Quant à Sampaoli, il a dessiné les grandes lignes de son futur staff. Pour l'instant, il a décidé de rejoindre l'OM avec trois assistants : Jorge Desio, un second qui l'épaule depuis des années, le préparateur physique Pablo Fernández, ainsi que Diogo Meschine rencontré à Santos et spécialiste de la performance. Ce staff pourrait encore s'étoffer. Reste à savoir quand cette nouvelle équipe prendra ses fonctions. La voir sur le banc dès dimanche contre l'OL paraît hypothétique et Nasser Larguet devrait avoir l'occasion de faire un dernier tour de piste. À moins que les choses ne s'accélèrent encore plus en ce début de semaine...

La Provence

Re: Jorge Sampaoli : sang, sueur, larmes ... et beau jeu ?

22 Fév 2021, 10:16

Information
LE TÉMOIGNAGE D'ADIL RAMI, QUI A ÉVOLUÉ SOUS SES ORDRES À SÉVILLE, EN 2016-17; "Il te pousse à être un pitbull"

Quels souvenirs gardez-vous de Jorge Sampaoli ?

Un très bon souvenir ! Je l'aime tellement... Nous avions fait une belle saison et avions été leaders durant un petit moment. Nous avions fait de gros matches, contre le Barça notamment. C'était à la maison, nous avions perdu (1-2), mais nous avions été énormes ! Nous avions battu le Real Madrid chez nous (2-1). C'est un mec qui va droit au but.

Comment était-il humainement avec les joueurs ?

Il est incroyable. Son physique donne une impression de bad boy, rasé et tatoué. Son football, aux entraînements et lors des matches, est basé sur la grinta. Il ne faut jamais rien lâcher. C'est un grand passionné, très attachant. C'est le style de coach que je prends dans mes bras quand je le revois, comme à la coupe du monde 2018 (Sampaoli dirigeait l'Argentine éliminée par les Bleus en 8es de finale). Entre l'entraîneur et le personnage hors des terrains, c'est le jour et la nuit. Dès qu'il y a entraînement ou match, ce n'est plus le même homme. Il est là, il lance : "Il faut qu'on les mange, qu'on leur marche dessus, on doit avoir des actions ; je veux que tu tentes, que tu marques des buts, que tu défendes..."

Que vous demandait-il sur le terrain ?

Il me mettait en confiance, me disait : "Mais qui va te prendre de vitesse ?" Alors qu'en France, on a tendance à dire que je n'avance pas, lui, il était serein. Il m'encourageait à faire du un contre un. Ce qui va être compliqué pour l'OM, justement, c'est qu'il va falloir que les défenseurs centraux soient prêts à être très bons sur l'homme et en un contre un. C'est ce qui permettra aux offensifs d'être plus dangereux.Il nous demandait d'être positionnés haut, de harceler les adversaires, de ne pas les laisser jouer, de les épuiser, de tenter, de tirer. Il ne s'arrêtait jamais. À l'entraînement, il criait : "Va presser, va presser, bouffe-le, bouffe-le !" Il te pousse à être un pitbull. Le hic, c'est qu'il faut ensuite faire très attention à l'espace que tu laisses dans ton dos.

Avez-vous une anecdote particulière à raconter le concernant ?

Oui, lors de la rencontre contre le Barça, dont je parlais tout à l'heure. Avant le match, il m'avait dit : "Barça ou pas, nous n'allons pas avoir peur, nous allons devoir faire des sacrifices pour gagner". Je n'avais pas compris et, en fin de compte, il nous avait fait jouer à trois derrière. Mais pour lui, cela ne voulait pas dire trois défenseurs axiaux et deux latéraux... Non, c'était bien à trois (rires) ! Je m'en rappellerai toute ma vie. Ça montre le "El Loco" ("le fou") qu'il est.

J'étais là pour m'occuper de Suarez en un contre un, Mercado, je crois, se chargeait de Neymar et Carriço de Messi. On avait été surpris, mais on avait fait un très beau match. En seconde période, Messi était justement descendu d'un cran pour absorber et attirer l'un de nous trois. Nous ne l'avions pas suivi et cela nous avait déboussolés. C'est pour ça que nous avions perdu.

En tant que joueur, aviez-vous ressenti son appartenance à "l'école Bielsa" ?

Je ne connais pas "l'école Bielsa", je ne sais pas ce qu'est son réel style. En revanche, je sais qu'il y a du Guardiola chez Sampaoli. Quand je regarde Manchester City jouer, je vois qu'il y a beaucoup d'espace dans le dos des défenseurs, qu'ils n'hésitent pas à faire du un contre un derrière et à harceler devant pour récupérer le ballon le plus vite possible. Il nous apprenait, pour ceux qui n'avaient pas compris, que lorsqu'on récupérait le ballon dans le camp de l'adversaire, il ne fallait pas pinailler avec la balle. Il fallait aller droit au but pour éviter que l'équipe adverse se replie et tente de se repositionner défensivement. En tout cas, je le répète : c'est un très bon coach. En revanche, il y a un "mais" : il faut vraiment être prêt physiquement et athlétiquement car il en demande beaucoup sur ce plan-là. Je sais juste que c'est la même chose pour Bielsa, donc ça y ressemble sur ce point.

Pensez-vous qu'il a le bon profil pour l'OM ?

Oui, je pense. Concrètement, il s'en fout des on-dit et des critiques. Il s'en fiche qu'on l'encense ou pas... Il est focalisé sur son travail et ça, c'est une bonne nouvelle car à Marseille, on t'adule quand tu es bon mais on te met tout en bas dès que tu ne l'es pas. C'est le charme de l'OM, ce n'est pas un reproche. Après, le problème, c'est que les dirigeants devront faire un recrutement qui lui corresponde avec des joueurs athlétiques et physiques derrière, d'autres qui vont vite devant et qui aiment faire les efforts défensifs. Si tu as un mec nonchalant, qui ne les fait pas et n'écoute pas, il va prendre cher...

Re: Jorge Sampaoli : sang, sueur, larmes ... et beau jeu ?

22 Fév 2021, 10:33

Perso, je prends le pari que l'aventure Sampaoli sera très brève. Je ne vois pas Sampaoli régénérer un groupe malade, qui plus est, avec une suite de matches difficiles. Je me trompe peut-être mais je ne le vois pas en toubib de l'âme d'un groupe à la dérive.
En résumé, je ne miserais pas un kopek sur ses chances de succès dans la situation actuelle. J'espère simplement qu'il me donnera tort. Aujourd'hui, je pense que seule la Bonne Mère peut faire quelque chose pour le club. Peut-être qu'elle voudra bien aider Sampaoli ?

Re: Jorge Sampaoli : sang, sueur, larmes ... et beau jeu ?

22 Fév 2021, 10:45

Ce qu'il faudra juger, c'est le tandem Longoria-Sampaoli la saison prochaine.

Le premier aura recruté "son" entraineur.
Le second aura participé au recrutement de "ses" joueurs.

Cette fin de saison servira principalement a prendre ses marques et dessiner les contours de l'effectif de la saison prochaine.

Et je dirai la même chose si l'OM se met en quelques match a rouler sur la ligue des talents hein. Le véritable effet sera visible la saison prochaine.

En attendant et comme dit par ailleurs, cette arrivée me contente !

Re: Jorge Sampaoli : sang, sueur, larmes ... et beau jeu ?

22 Fév 2021, 10:53

Je peux ouvrir le sujet "Qui pour remplacer Sampaoli ?" ?

Re: Jorge Sampaoli : sang, sueur, larmes ... et beau jeu ?

22 Fév 2021, 10:58

Si Sampaoli adopte un schéma bielsesque, ça donnerait donc ça la compo :



Intérêt : Kamara pourra naviguer entre défense et milieu en phase offensive où il est à l'aise, Iraola pourra faire valoir sa capacité à se projeter et Payet reste en 10 où il est bon. En matière d'animation offensive, c'est super appétissant quand même. Milik va avoir 4 ailiers et un meneur de jeu pour le servir.

Par contre, on sait ce que ça exige en matière de dépense d'énergie pour se replier.

Perso, je trouve qu'on a l'effectif pour jouer comme ça. Si la mayonnaise prend, ça peut être vraiment chouette.

Re: Jorge Sampaoli : sang, sueur, larmes ... et beau jeu ?

22 Fév 2021, 11:01

Iroala je sais pas qui c'est, du coup j'ai mis Lirola dans ta compo :mrgreen:

Re: Jorge Sampaoli : sang, sueur, larmes ... et beau jeu ?

22 Fév 2021, 11:02

Jester, alors quoi ? On n'a plus le droit d'inventer des joueurs maintenant ? redaface2

Re: Jorge Sampaoli : sang, sueur, larmes ... et beau jeu ?

22 Fév 2021, 11:03

Gastibelza, nan redaface2 c'est assez la foire comme ça dans l'effectif.

Par contre, je te fais de la pub

Re: Jorge Sampaoli : sang, sueur, larmes ... et beau jeu ?

22 Fév 2021, 11:04

Jester, j'exige d'être rémunéré en pute et en coke au titre des droits d'auteur. :mrgreen:

Re: Jorge Sampaoli : sang, sueur, larmes ... et beau jeu ?

22 Fév 2021, 11:05

Je ne sais pas si Lirola est mieux que Sakaï.

Sinon, vu l'effectif, je ne vois pas ce coach réussir les 4 prochains mois.
Perso, j'aurais fini l'année avec Larguet et pris mon temps pour avoir un entraineur qui tient la route.
On a l'impression que Sampaoli vient pour faire quelques mois de contrat.

Et hâte de voir Payet tirer une tronche de 10km quand l'argentin le sortira d'un match ou ne le convoquera pas pour insuffisance.

Re: Jorge Sampaoli : sang, sueur, larmes ... et beau jeu ?

22 Fév 2021, 11:12

Dégage !!

Re: Jorge Sampaoli : sang, sueur, larmes ... et beau jeu ?

22 Fév 2021, 11:14

Rocca, même si tu n'es pas d'accord, aristote2 a le droit de s'exprimer.

Re: Jorge Sampaoli : sang, sueur, larmes ... et beau jeu ?

22 Fév 2021, 11:26

Je pense que rocca vit déjà en Février 2022 :mrgreen:

Re: Jorge Sampaoli : sang, sueur, larmes ... et beau jeu ?

22 Fév 2021, 11:27

Gastibelza a écrit:Jester, alors quoi ? On n'a plus le droit d'inventer des joueurs maintenant ? redaface2


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Re: Jorge Sampaoli : sang, sueur, larmes ... et beau jeu ?

22 Fév 2021, 11:29

tigrou a écrit:Je pense que rocca vit déjà en Février 2022 :mrgreen:



Je pense que c'est déjà bien trop loin pour ce type de coach !
J'espère sincèrement me tromper mais je ne vois pas Sampaoli réussir sur le court terme ici.
Après, si on lui laisse un peu de temps et que JHE dégage, à voir...

Re: Jorge Sampaoli : sang, sueur, larmes ... et beau jeu ?

22 Fév 2021, 11:29

ISS à l'ancienne !! 8)

Re: Jorge Sampaoli : sang, sueur, larmes ... et beau jeu ?

22 Fév 2021, 11:31

Il famoso Carboni (Ravanelli pour les intimes) !
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