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Re: Tapie, the boss

21 Oct 2021, 12:58

c'etait we are the champions mais hyper mal joue, perso j'ai trouve ca genant

Re: Tapie, the boss

21 Oct 2021, 13:00

Tu n'es pas le seul. J'ai trouvé cela particulierement immonde, et cela m'évoquait le sketch des Inconnus autour du réveillon et cet enfant artiste ^^

Re: Tapie, the boss

21 Oct 2021, 13:26

Seules fausses notes d'un tres bel hommage

Re: Tapie, the boss

21 Oct 2021, 15:26

pour toi la plus part on trouve sa pas mal ...

Re: Tapie, the boss

21 Oct 2021, 20:45

Betsamee, c’était très bien joué mais un solo au violon déjà compliqué à être mélodieux, ne pouvait pas l’être sur un tel morceau (pas fait pour) et dans un tel lieu (pas fait pour).
A la cathédrale ça rendait déjà mieux mais l’intérêt aura été de provoquer une minute de recueillement pendant l’interprétation.

Re: Tapie, the boss

21 Oct 2021, 21:25

gigi, je dis rien d'autre, c'etait pas adapte

Re: Tapie, the boss

23 Oct 2021, 12:23

Bah tu dis que c’était mal joué.
À te lire ça donnait ça dans l’esprit

[youtube] https://m.youtube.com/watch?v=QuFTCirwmoM[/youtube]

Re: Tapie, the boss

23 Oct 2021, 17:24

:lol:

Re: Tapie, the boss

24 Oct 2021, 10:10

Betsamee a écrit:c'etait we are the champions mais hyper mal joue, perso j'ai trouve ca genant

j'ai pensé la même chose, pas que c’était mal joue mais que c’était pas adapté et assez gênant

mais je suis content de voir que mon avis est assez minoritaire, rassurant.

Re: Tapie, the boss

27 Mar 2023, 08:24

Information
DOMINIQUE TAPIE LA VIE SANS LUI

PORTRAIT EN METTANT SES PAS DANS CEUX DE BERNARD TAPIE, ELLE A CHOISI L'AVENTURE. AVEC DES HAUTS ET DES BAS. DÉSORMAIS RUINÉE, ELLE RACONTE SA VIE AVEC L'HOMME D'AFFAIRES.

Si je n'avais pas rompu mes fiançailles, j'aurais eu une vie plutôt banale » ... Dominique Tapie sourit. Elle aurait pu commencer son livre à la façon d'Aragon, « la première fois que je vis Bernard, je le trouvai franchement laid. Il me déplut, enfin » . Entre ces deux-là, ce fut loin, en effet, d'être un coup de foudre. Lorsqu'elle croise, en 1969, celui qui deviendra son mari, elle n'est pas franchement conquise. Elle a alors 19 ans et demi, est fiancée à un garçon de bonne famille, habite encore chez sa grand-mère maternelle et travaille pour se payer des cours de danse. Alors, quand elle voit débouler « ce type d'une présence envahissante », « ce loustic » aux cheveux mi-longs qui tutoie tout le monde, fume des gitanes et roule en Ferrari jaune, c'est à peine si elle lève les yeux. Même si c'est son patron. L'idée qu'il puisse devenir l'homme de sa vie ne l'effleure même pas. « Ce n'était même pas envisageable. Je n'ai jamais pensé que je pourrais finir avec lui. Mais, ajoute-t-elle, on ne pouvait pas être indifférent à sa personnalité. Quand il entrait dans une pièce, il prenait tout l'espace... »

Cinquante ans après, Dominique Tapie a les yeux qui brillent lorsqu'elle raconte sa rencontre avec cet homme qui s'est révélé « aussi brillant qu'invivable » . « En une vie, j'ai eu vingt vies. Il m'a fait tout connaître. » Elle le sait : elle a vécu une histoire exceptionnelle. Avec des hauts et des bas. Des années de bonheur dans des maisons de rêve, et d'autres - finalement plus nombreuses -, d e « galères », avec des perquisitions à la pelle, des interrogatoires chez le juge et même des visites en prison.

Son histoire d'amour avec Bernard Tapie reproduit un schéma assez classique, finalement : celui d'une « bourgeoise » attirée par un « mauvais garçon », par un homme qui a priori n'était pas son genre. Et n'était pas de son monde. « Toute ma vie, il m'a traitée de bourgeoise ou d'emmerdeuse », confirme-t-elle. Évidemment, elle a bien tenté de mater « l'animal » ; de policer son langage, ses attitudes, son tempérament, ses tenues, ses signes trop visibles de richesse. « Parfois, je lui disais : «Essaie d'être un petit peu plus normal.» Il y parvenait quand il le fallait, mais, souvent, le naturel revenait au galop... » Car le bonhomme était du genre « indomptable ». « Brut » tant dans sa vie publique que privée.

Dominique Tapie, longtemps discrète, vient de publier un livre, écrit avec Catherine Siguret, Bernard. La fureur de vivre (Éditions de l'Observatoire), qui raconte son histoire avec l'ancien patron de l'OM. Un livre qui paraît alors que la France gronde, décidément rétive à une réforme des retraites dont elle ne veut pas. Elle n'est pas indifférente à ce qui se passe dans le pays. Tout comme son mari, mort en octobre 2021, ne l'aurait pas été, imagine-t-elle, en rappelant qu'il n'a jamais oublié d'où il venait, répétant souvent : « Je suis né dans le tiroir du bas. » « Il avait reçu des «gilets jaunes» à la maison. Il a toujours pris parti pour les petites gens, les gens du peuple. Il en était issu, il n'a jamais oublié. » Lorsqu'on lui fait remarquer que l'homme d'affaires qu'il a été, le repreneur notamment de Terraillon, racheté en 1981 pour un euro symbolique, ou de Wonder (entreprise de piles pour laquelle il a même joué dans une publicité) a pourtant licencié des salariés, elle assure que lorsque c'est arrivé, « quand il rentrait à la maison, il en était malade ». Et d'ajouter : « Il était hypersensible. C'était un dominant hypersensible. »

« Un macho, galant et pas misogyne »

Propos d'une femme aveuglée par l'amour ? Pas vraiment. Dominique Tapie, qui s'exprime d'une voix posée, sans se draper dans les habits de la veuve éplorée, a son petit caractère. Elle se tient droite comme un i, forgée par des années de danse, « la passion de toute (sa) vie ». « Une discipline de vie . Baisse les épaules, tiens-toi droite et lève le menton. C'est une posture. Rien qu'avec ça, vous affrontez la vie, ça vous apprend à tenir. Et à sortir toutes vos émotions. » Elle le reconnaît, elle a choisi de s'occuper de ses enfants, de sa maison et de son « homme ». Car Tapie était très loin de l'homme déconstruit vanté par les féministes d'aujourd'hui. « C'était un patriarche dans toute sa splendeur » , « un macho, galant et pas misogyne », reconnaît Dominique Tapie, qui avoue que cela ne lui « déplaisait pas parce que c'était un vrai mec, et ça devient de plus en plus rare ». Néanmoins, elle qui a élevé en grande partie les deux premiers enfants de l'ancien patron d'Adidas, en plus des deux autres qu'ils ont eu ensemble, lui a souvent résisté et n'a accepté de l'épouser qu'après dix-sept ans, en 1987. Un mariage féerique. Atterrissage à Corfou (Dominique Tapie est d'origine grecque) suivi de cinq jours de festivités sur le Phocéa .

Au cours de ces cinquante ans passés ensemble, il lui est arrivé plusieurs fois de menacer de le quitter. Parce qu'il n'est pas aisé de vivre avec un tel personnage qui se croyait « invincible, avait trop confiance en lui » et était « éruptif, hyperactif, impulsif ; généreux et coléreux, jaloux et séducteur » . Un homme mû par une foi profonde mais qui « n 'avait pas du tout ce côté judéo-chrétien selon lequel il ne faut pas montrer sa fortune. Il s'en fichait. Il était fier de montrer qu'il avait un bateau de 72 mètres, mais une fois dessus il s'enquiquinait. C'était une manière de dire «Je l'ai fait». Comme lorsqu'il a fait venir sa mère rue des Saints-Pères pour la faire asseoir dans le fauteuil du Régent : « Voilà : toi, Raymonde Tapie, tu es assise dans le fauteuil du Régent.» C'était comme un aboutissement. » Dominique Tapie pourrait parler des heures de « Bernard ». « De ses gros défauts mais aussi de ses très belles qualités. C'était un bel humain, un bon père, un bon fils, un bon mari », dit-elle.

Un bon mari... mais qui, malgré ses côtés « rassurants et protecteurs » , l'a laissée démunie et ruinée, après sa disparition. « Je ne vous cache pas que quand je me suis retrouvée, à sa mort, dans une situation vraiment dramatique, sans un sou, tous les comptes bloqués et contrainte de quitter la rue des Saints-Pères, je n'ai pas compris : comment m'avait-il laissée dans cette situation ? Je lui en ai voulu. » Depuis, vivant notamment grâce à l'aide d'amis comme Jean-Louis Borloo, sa colère s'est calmée, même si elle sait qu'il y a « une dette inextinguible » qu'elle ne pourra jamais rembourser. Elle avoue avoir découvert après sa mort la manière dont son mari fonctionnait : « À chaque société qu'il reprenait, il remettait son patrimoine personnel en jeu. Il faisait un va-tout, comme au poker. Tapis ! C'est le cas de le dire. Tout ça, je l'ai su après. Pendant des années, je le voyais qui redressait des affaires, je lui faisais confiance. Je ne me suis jamais occupée de cela. Quand on nous a mis en liquidation, la première fois, j'ai découvert que j'avais une part dans le groupe Tapie, je ne le savais pas. » Elle ajoute : « Tout lui réussissait jusqu'à ce qu'il entre en politique. » Ah ! la politique... Selon elle, c'est elle qui a fait basculer leur vie. Du mauvais côté. Elle ne comprend pas qu'après s'être battu comme un diable pour avoir Adidas, son mari lâche tout pour s'engager dans la vie publique. « Sinon, je ne serai jamais qu'un marchand de pompes alors que là je deviens un ministre au service de la France », lui dit-il en guise de justification.

Un cancer baptisé « Crédit lyonnais »

Lorsque le couple se fait attaquer dans sa maison de campagne, au printemps 2021, Bernard Tapie, déjà malade et amaigri, lance un moment à ses agresseurs : « Mais comment pouvez-vous me faire ça à moi qui ai passé ma vie à toujours vous défendre ? » Dominique Tapie se souvient : « Il était mortifié d'avoir été attaqué, lui, Bernard Tapie, ministre de la Ville qui avait défendu les banlieues. » Et de manière générale, à la fin de sa vie, il ne comprenait plus la société actuelle. Face à la maladie, face à ce cancer de l'estomac qu'il avait baptisé « Crédit lyonnais », Tapie là encore n'est pas comme les autres. Il se bat comme un lion. Refuse les antidouleurs ( « Il voulait garder son esprit vif, clair, c'était aussi une manière de garder la main » ) et Dominique Tapie se souvient qu'un jour, en lui rendant visite, après une opération, elle l'a trouvé en train de faire des pompes... Hyperactif. Excessif. Fantasque. Encore. Toujours. Sa mort a été évidemment comme « un grand vide » pour Dominique Tapie. « Et Dieu sait que parfois je n'en pouvais plus. Je m'éclipsais. J'adore lire, c'était impossible quand il était là. Il arrivait, il avait un avis sur tout. Il lui fallait un public, et j'étais tout le temps là. »

Dominique Tapie a tout le temps de lire, maintenant, mais cela lui « manque » . Il lui manque. Cela prend de la place, un ouragan.

Le Figaro

Re: Tapie, the boss

14 Avr 2023, 18:38

Information
Deux ans après la mort de Bernard Tapie, l’État, via l’une de ses sociétés, le CDR, continue à traquer les 660 millions d’euros que devait l’homme d’affaires. 300 millions devraient au final être restitués.

Bernard Tapie s’est battu jusqu’au bout contre l’État. Nommé ministre de la Ville par François Mitterrand en 1992, il avait dû vendre Adidas qu’il contrôlait. L’équipementier sportif alors en difficulté avait ensuite été redressé. Permettant au Crédit Lyonnais, banque sous le contrôle de l’État, de faire une confortable plus-value.

Le début d’un marathon judiciaire qui durera plus de vingt ans. L’homme d’affaires avait obtenu en 2008 d’une commission d’arbitres le versement de 404 millions d’euros. Mais la Cour d’appel l’a obligé à les rembourser en février 2015. 660 millions aujourd’hui, avec les intérêts. Injuste, a clamé jusqu’à son dernier souffle Bernard Tapie. « Mon père est mort innocent », estime aujourd’hui son fils Stéphane. Vraiment ?

L’homme d’affaires, ex-député, ex-ministre et ex-président de l’Olympique de Marseille aura en réalité beaucoup dribblé avec la vérité.

Jeu de piste

Deux ans après sa mort, le CDR(Consortium de réalisation) contrôlé à 100 % par l’État continue à traquer les sommes que devait Bernard Tapie. 300 millions d’euros devraient, au final, rentrer dans les caisses de l’État. Pas trop compliqué quand il s’est agi de vendre son luxueux hôtel particulier, rue des Saint-Pères, à Paris : 80 millions d’euros. Ou ses parts dans le journal La Provence, 81,1 millions, ou encore sa villa de Saint-Tropez, La Mandala, pour 81,2 millions d’euros.

Mais pour le reste, c’est à un jeu de piste qu’il a fallu se livrer pour retrouver la trace de dizaines de millions d’euros dispersés entre Hong Kong et Singapour, où une douzaine de millions restent bloqués grâce à une saisie pénale. « Il pourrait bien y avoir encore un petit magot quelque part », observe Me Martel, l’avocat du CDR.

L’homme d’affaires avait-il remboursé les sommes qu’il devait, comme il l’a parfois affirmé ? « Le CDR a touché deux acomptes de 143 millions, un point c’est tout », réplique François Lemasson, président du CDR. Pas tendre à l’égard de l’ancien ministre de François Mitterrand. Car Bernard Tapie avait une capacité « à mentir comme un arracheur de dents », ajoute-t-il. Puisant par exemple abondamment dans le compte courant du quotidien La Provence pour payer les gardiens de sa villa de Saint-Tropez. Ou dissimulant les sommes obtenues dans de multiples paradis fiscaux…

Ouest France

Re: Tapie, the boss

14 Avr 2023, 18:41

Charognard, c’est aussi un métier!

Re: Tapie, the boss

14 Avr 2023, 18:46

Sont foutus de le déterrer pour voir s' il n' a pas des lingots d' or dans son cerceuil redaface2 redaface2 redaface2

Re: Tapie, the boss

15 Avr 2023, 12:28

Une série sur netflix en 13 épisodes va sortir sur Tapie.
1ère diffusion en septembre.

Re: Tapie, the boss

15 Avr 2023, 12:31

Re: Tapie, the boss

15 Avr 2023, 14:48

çà parlera de l'OM ou aussi de Terraillon et La Vie Claire ?

Re: Tapie, the boss

15 Avr 2023, 18:53

On pourra pas s'empecher de regarder et on sera probablement hors de nous apres l'avoir vu

Re: Tapie, the boss

15 Avr 2023, 19:04

Je ne regarderai pas.

Re: Tapie, the boss

15 Avr 2023, 19:10

Pas la moindre envie non plus. Mais que ce soit Netflix ou autre importe peu. Ca ne m'intéresse pas.

Re: Tapie, the boss

15 Avr 2023, 19:11

J’adore cet acteur en général

J’espère qu’ils vont pas se planter
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