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Re: LFP, après la blonde vient Labrune

09 Nov 2020, 16:23

Manquerait plus que des coupures EDF, tiens! :cretin:

Re: LFP, après la blonde vient Labrune

09 Nov 2020, 17:13

Fait pas ton JPP, on est en plein dedans avec 3 matchs du 11 au 17 Novembre , rassemblement 8 jours avant, voyages, fatigue, risque de blessures , burn out de nos starlettes, etc, etc .... :lol:

Re: LFP, après la blonde vient Labrune

09 Nov 2020, 17:28

Ça change quand même pas grand chose sur la répartition2 clubs à répartir sur 18. Même pas de quoi payer le salaire de Valère ? :eyraud2:

Re: LFP, après la blonde vient Labrune

09 Nov 2020, 17:37

Moins de matchs à diffuser dansc un contexte déjà baissier de droits TV. Par ailleurs, à ma connaissance,, lorsqu'on était 18 le championnat n'était pas devenu fabuleux par magie.

Ca fait surtout des dates en plus pour la C1 si tout le monde diminue le nombre de clubs de D1, afin de proposer une alternative à la future Ligue des Fils de Putes.

Re: LFP, après la blonde vient Labrune

09 Nov 2020, 17:40

boodream, elle s'appelle la superligue et non la ligue des fils de putes

Re: LFP, après la blonde vient Labrune

09 Nov 2020, 20:33

Si ça peut nous permettre de payer des Germain 400 000€/mois, je dis banco.

Re: LFP, après la blonde vient Labrune

09 Nov 2020, 22:24

jarlandine, cherche "coupure EDF" sur gogole ça te donnera un nouvel éclairage (haha) sur mon post. ;)

Re: LFP, après la blonde vient Labrune

10 Nov 2020, 08:45

Pas sur que de passer à 18, ça augmentera beaucoup les droits des clubs : moins d'équipes, donc moins e matchs, donc moins de droits.
Ce ne fait que 4 matchs en moins, et si c'est pour virer des "faibles", l'argument ne tient pas : si ces équipes sont trop faibles, au contraire, cela peut permettre aux gros de faire un peu jouer leurs remplaçants et ainsi ne pas les démobiliser.

Re: LFP, après la blonde vient Labrune

10 Nov 2020, 08:53

le coup de la L1 a 18 clubs est un serpent de mer, la correlation entre le nombre de clubs et la competitivite au niveau europeen a jamais ete etablie.
De plus avec la CDL en moins l'argument du calendrier tient vraiment pas des masses.
On dirait que Labrune vient d'avoir une idee de genie :lol:

Re: LFP, après la blonde vient Labrune

10 Nov 2020, 12:46

On s’en fout, on aura 4 soirées qui ne seront pas gachées.

Re: LFP, après la blonde vient Labrune

10 Nov 2020, 13:54

Re: LFP, après la blonde vient Labrune

30 Jan 2021, 20:51

Information
Le football français dans les mains de Labrune

La priorité du nouveau président de la Ligue de football professionnel, après la défaillance du diffuseur Mediapro, est de sécuriser un nouveau contrat télévisuel pour une Ligue 1 asphyxiée économiquement

Quand Vincent Labrune lâche la présidence de l’Olympique de Marseille (OM) en 2016, Eric Hannezo n’a jamais vu son ami aussi fatigué depuis leur rencontre dans les couloirs de France 2, en 1994. « Il était lessivé, se souvient le producteur-réalisateur. La première chose qu’il m’a dite, c’était : “J’ai besoin de dormir.”Pendant cinq ans, Vincent avait été en alerte permanente. » Ces dernières semaines, Vincent Labrune – arrivé en stage à France Télévisions après un DEA d’économie – creuse de nouveau sa dette de sommeil. C’est en très grande partie sur lui que repose le sauvetage du football français, mis à mal par le défaut de paiement du groupe sino-espagnol Mediapro, principal diffuseur du championnat de France.

Le 10 septembre 2020, Vincent Labrune (49 ans) est sorti du bois pour ravir la présidence de la Ligue de football professionnel (LFP), après un modèle de campagne souterraine, à un Michel Denisot, le journaliste et ex-président de club (PSG, Châteauroux) arrivé pape au conclave. Ce jour-là, en costume chic mais, comme toujours, sans cravate, l’heureux élu ne jubilait pas face aux journalistes à l’entrée du Pavillon Kléber (Paris 16e). Ni questions ni joie excessive, il a délivré un bref discours emprunt de responsabilité et annoncé que son mot d’ordre serait « l’“unité” que doit retrouver le football professionnel français ». Il faut dire que le spectacle, au printemps 2020, de vaisselle sale envoyée à la figure entre présidents de club avait réussi à combler l’absence des matchs lors du premier confinement.

Quatre mois après son élection, l’ex- « M. Communication » de Jean-Luc Delarue au sein du groupe Réservoir Prod a réussi à fédérer la grande famille du football derrière lui. A circonstances exceptionnelles, unité exceptionnelle. Vincent Labrune, dont certains pouvaient railler le style décousu et voir en lui un intrigant plus malin que la moyenne, est aujourd’hui paré de toutes les qualités.

Pour un vieux sage comme l’ex-président de Lille, Michel Seydoux, « il est le meilleur président qu’on pouvait trouver par rapport aux circonstances ». Après lui avoir fait la courte échelle vers sa nouvelle fonction, Jean-Pierre Caillot, président du Stade de Reims, observe avec plaisir ses collègues soutiens d’autres candidats reconnaître « que Vincent est très à l’aise dans le costume ».

A commencer par Jean-Michel Aulas. En 2015, le patron de l’Olympique lyonnais (OL) donnait du « guignol » à son homologue marseillais, après un OM-OL tendu. Mais ça, c’était avant. Avant que Mediapro ne sombre, avant que Vincent Labrune n’exfiltre, dans des délais raisonnables, le mauvais payeur. « En tirant le maximum de ce qu’il pouvait tirer de cette boîte », juge Seydoux, à propos des 100 millions d’euros récupérés auprès du diffuseur.

Séducteur ? « C’est indiqué en ce moment »

Avant aussi de lancer un nouvel appel d’offres crucial pour les lots rendus par Mediapro – pour lesquels les candidats doivent répondre avant le 1er février – et qui met en jeu la survie de certains clubs. Aujourd’hui, « JMA » vante même « la fougue, le sang-froid et la jeunesse » du président de la LFP, qui a le bon goût de l’associer « à ses échanges ».

Comme à l’OM, Vincent Labrune prend de nouveau la lumière, « lui qui n’aime pas s’exposer, contrairement à ce qu’on pourrait penser », assure Eric Hannezo. « Il préfère rester dans l’ombre pour mieux faire passer ses messages », complète Olivier Fisch, ancien directeur de la communication à TF1 au début des années 2000, quand Vincent Labrune y était un consultant extérieur.

Derrière ses allures de dandy et ses cheveux mi-longs, ce faux dilettante soupèse ses prises de parole. Un entretien à L’Equipe, un autre au Journal du dimanche et c’est tout. Le patron de la LFP s’active surtout dans les coulisses et met à la disposition de la Ligue l’œuvre d’une vie : son réseau.

A une époque où le déjeuner d’affaires tenait lieu de sport national, Vincent Labrune était un convive apprécié, qui savait renvoyer la pareille au Peninsula, un cinq-étoiles parisien. « C’est quelqu’un d’attachant, de captivant dans la façon de présenter les choses », vante Bernard Joannin. A l’image d’autres patrons de club, celui d’Amiens l’a souvent sondé après son départ de l’OM.

Pendant quatre ans, l’ancien enfant de la télé a murmuré à l’oreille des présidents et tissé sa toile. A l’un, il conseille un ­entraîneur, à d’autres de miser sur le ­lucratif « trading » de joueurs. « C’est un type pas désagréable, un séducteur. Il rend des services et a toujours une histoire sympa à raconter, glisse un observateur privilégié du petit monde des présidents. Après, il connaît le foot mais sans toujours bien le ­comprendre. »

Séducteur ? « En ce moment, c’est indiqué de l’être quand vous devez composer avec 40 présidents de clubs, reprend Bernard ­Joannin. Vincent sait présenter les choses, être convaincant et il a l’avantage de ­connaître nos attentes pour avoir été ­lui-même ­président. » Une pierre dans le ­jardin de ­Nathalie Boy de la Tour, l’ex-présidente de la Ligue.

Un match contre le groupe Canal

En grand amateur de poker, Vincent Labrune sait « sur quelle main il faut jouer ou pas », ­remarque Olivier Fisch. Comme le matin de son élection, quand il jouait encore les ­indécis alors que le terrain avait été balisé par Jean-Pierre Caillot et deux autres amis présidents, Laurent Nicollin (Montpellier) et Loïc Féry (Lorient). Le coup gagnant avait été préparé depuis au moins janvier 2020, ­estiment certaines sources. Même un pro-Denisot comme Claude Michy (Clermont Foot) salue sa capacité à manœuvrer en ­coulisse : « Il a bien préparé sa candidature, sans l’ébruiter, c’est tout un métier. » Aujourd’hui, le président de l’UCPF, syndicat regroupant 18 des 20 clubs de Ligue 2, salue « son autorité ­naturelle ».

Pour l’instant, ce « roi fait dans l’ombre » – dixit Jean-Michel Aulas – et arrivé sans ­programme bien défini réalise le tour de force d’être un président qui consulte, tout en ayant instauré le silence dans des rangs autrefois agités. Parce qu’il a déjà travaillé avec le Groupe Canal+ – dont le président, Maxime Saada, prend soin de l’épargner ­entre deux obus envoyés sur un football français coupable d’avoir fauté avec ­Mediapro –, Vincent ­Labrune serait tout ­désigné pour ­négocier une solution raisonnable avec la chaîne cryptée, en position de force pour ­récupérer la Ligue 1 à bon prix. « C’est un homme de communication, enthousiaste et passionné. Je pense qu’il est compétent. En tout cas, il va falloir qu’il le soit car le sujet est très ­complexe », se persuade Jean-Michel Aulas.

Si Maxime Saada a bien affirmé, dans Le Figaro du 12 janvier, que le patron de la Ligue est « l’un des seuls à pouvoir restaurer la confiance » entre ces deux vieux partenaires brouillés, cela n’a pas empêché Canal+ de saisir la justice, le 25 janvier, pour contester l’appel d’offres de la LFP. Une audience a été fixée au 19 février. Le diffuseur historique de la Ligue 1 estime l’appel d’offres caduc sans la remise en jeu du lot de 332 millions d’euros par an – jusqu’en 2024 – que BeIN Sports lui sous-licencie.

Même la proximité amicale de Vincent Labrune avec Nicolas Sarkozy et, par ricochet, Vincent Bolloré, propriétaire de Vivendi, maison mère de Canal+, risque de se heurter à l’inflexibilité du milliardaire dans ce dossier. Alors, face à la position dominante de la chaîne cryptée, le dirigeant active ses connexions médiatiques pour donner du poids à un concurrent éventuel.Le nom d’Amazon circule pour se positionner sur au moins un des six lots.

Reste que sa première mission de président paraît délicate. Mais quand on se définit comme un spécialiste de gestion de crise, il s’agit « d’un superdéfi », positive l’ancien boxeur Brahim Asloum, dont Vincent Labrune gérait l’image au début des années 2000. «

En boxe, on dit : pour se faire un nom, faut battre un nom, poursuit le champion olympique. La réputation d’un boxeur se fait sur l’adversité. » A défaut de chercher le K.-O.,le patron de la Ligue doit d’abord éviter d’aller au tapis, au risque d’entraîner le football français avec lui.

Le Monde

Re: LFP, après la blonde vient Labrune

12 Fév 2021, 09:33

Information
Vincent Labrune, négociateur en puissance
Propulsé à la tête de la Ligue de football professionnel au cœur d’une crise sans précédent des droits TV, l’électrique Vincent Labrune s’est imposé en cinq mois comme l’infatigable négociateur du foot français, fort d’une expérience dans la gestion de crise acquise dans la tourmente marseillaise.

Par La rédaction avec AFP - Hier à 09:03 - Temps de lecture : 4 min
1| | Vu 547 fois

Vincent Labrune, lors d'une conférence de presse à la Ligue de football professionnel. Photo Franck FIFE/AFP

Comme baptême du feu, on pouvait difficilement faire pire. Deux semaines seulement après son élection surprise à la présidence de la LFP le 10 septembre, le dirigeant de 49 ans s’est heurté à une catastrophe économique majeure : la défaillance du diffuseur sino-espagnol Mediapro. Un crash industriel auquel l’Orléanais a dû, bien malgré lui, consacrer l’intégralité de son temps, entre les bureaux parisiens de la LFP, les couloirs d’un tribunal de commerce et les appels téléphoniques aux présidents de clubs, dirigeants de chaînes et responsables politiques.

"C’est vrai qu’il a un certain sang-froid face au danger", décrit Arnaud Rouger, directeur général exécutif de la Ligue. La gestion de crise, c’est la marque de fabrique de l’ancien conseiller de Robert Louis-Dreyfus : en cinq années d’une présidence agitée à l’Olympique de Marseille (de 2011 à 2016), il a connu un sacre en Coupe de la Ligue (2012) mais surtout plusieurs tempêtes. La dernière s’est soldée par son départ et la vente du club phocéen…

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Le "deal" sur les droits TV passé jeudi dernier avec Canal+ ne règle pas tout. Mais il a surpris, tant les discussions semblaient au point mort avec la chaîne cryptée qui diffusera finalement la Ligue 1 jusqu’à la fin de saison. Autre accord à l’actif de cet ancien communicant passé par France Télévisions, les 100 millions d’euros de dédommagement arrachés à Mediapro au bout d’une nuit de "négos" le 11 décembre.

"L'exercice du pouvoir est quand même très solo"
"Il s’est mis rapidement dans le costume", confirme Sylvain Kastendeuch, coprésident du syndicat des joueurs UNFP qui avoue même "s’inquiéter un peu" du manque de sommeil du dirigeant. Kastendeuch, comme d’autres soutiens, se satisfait de cette recentralisation du pouvoir, à l’opposé de la direction bicéphale du mandat précédent, diluée entre la présidente Nathalie Boy de la Tour et le directeur général exécutif Didier Quillot.

Mais pour de rares voix, cette "méthode Labrune" fait tiquer. "Le Conseil ne sert absolument à rien. L’exercice du pouvoir est quand même très solo", pointe une source proche de l’instance, regrettant une réunion "ubuesque" début février, où le président "a fait poireauter tout le monde pendant 30 minutes pour parler 30 secondes".

L’intéressé, qui assure avoir toujours impliqué ses pairs et misé sur la pédagogie, explique que lors de la réunion en question, les avocats de la LFP lui avaient demandé d’être le plus concis possible pour ne pas compromettre les négociations à venir avec les diffuseurs.


Présenté par Arnaud Rouger comme "quelqu’un qui consulte beaucoup", Vincent Labrune salue d’ailleurs la cohésion retrouvée au sein du football professionnel après la cacophonie du printemps 2020. "Mon objectif c’est l’unité des clubs, je l’ai dit depuis le début. Et sur ce point, l’unité des clubs est totale derrière la LFP", fait-il valoir.

Salué par Jean-Michel Aulas
Les violons s’accordent sur l’immense capacité de travail du dirigeant, présent sur tous les dossiers chauds, fidèle à son tempérament fonceur et un brin irascible déjà entrevu à Marseille, où il a fini détesté par les supporters. "C’est un bosseur fou. Il est obsessionnel sur le résultat et la manière de l’obtenir", raconte son ancien collaborateur à l’OM Luc Laboz. "La crise ne lui fait pas peur, il a les neurones en place pour la gérer".

Et un certain sens de l’improvisation comme en 2016, un soir de manifestation houleuse au stade Vélodrome où, pour dédramatiser le fait d’être retranché avec plusieurs personnes dans la loge présidentielle, Labrune avait organisé une partie de billard. Même Jean-Michel Aulas, le président lyonnais qui l’avait traité de "guignol" lors d’un houleux OM-OL, semble convaincu par sa connaissance du monde audiovisuel : "Vincent Labrune arrive avec des idées nouvelles, plus jeunes et dynamiques".

Un autre dirigeant de club décrit Labrune comme "un guerrier" : "Les clubs sont un peu comme une armée et c’est notre général." L’intéressé vit de son côté la période plutôt "comme un film". Début janvier, alors que l’horizon tardait à se dégager, le président de la LFP a filé en privé la métaphore maritime, plutôt que l’image guerrière : "On est sur le Vendée Globe, c’est le Cap Horn bientôt !". Un mois plus tard, l’avarie guette toujours le foot français et son capitaine de bord. Mais la tempête s’est un peu calmée.

Re: LFP, après la blonde vient Labrune

12 Fév 2021, 10:26

comme quoi on peut avoir été une grosse merde dans le passé et continuer à être soutenue voir même sucé par le milieu du foot
je ne suis pas inquiet pour son successeur :eyraud2:

Re: LFP, après la blonde vient Labrune

12 Fév 2021, 12:10

Pourtant, ce qu'il a obtenu pour les droits, c'est de la merde non ?
Le 100M arraché à Mediapro :ptdr:

Re: LFP, après la blonde vient Labrune

12 Fév 2021, 12:39

el loco, labrune n'a jamais quitté le milieu du foot, et le soutient de présidents tient au fait qu'il a fait profité de son entregent.

Re: LFP, après la blonde vient Labrune

12 Fév 2021, 12:42

randoulou, pour le coup Mediapro pouvait très bien laisser pourrir. Au risque de me répéter, il faut regarder la somme globale des droits pour cette année. Elle est basse, mais ce situe entre le cycle 2012-2016 et le cycle 2016--2020. Si Labrune arrive à revenir au niveau de 2016-2020 cet été, ça sera difficile de le défoncer vu le contexte

Re: LFP, après la blonde vient Labrune

12 Fév 2021, 12:51

boodream, c'est un moindre mal mais pour le coup, Mediapro en est sorti largement vainqueur

Re: LFP, après la blonde vient Labrune

12 Fév 2021, 13:10



Cette bande d'escrocs qu'on se coltine... Pas prêt de changer le foot en france.

Re: LFP, après la blonde vient Labrune

12 Fév 2021, 16:51

en ce moment j ai du tems alors j'en perds pas mal sur twitter
y aun thread tres interessant fait par "SecretMercato" sur le travail de Labrune en coulisse.
Il ferait du gros gros lobby pour qu'un max de clubs francais se fassent racheter (dont l'OM of course) afin d'augmenter l'attractivité du championnat.
C'est assez décousu mais assez juste sur les négos Labrune-Canal (ca date principalement de decembre)
enfin ca tient la route ce qu'il raconte, c'est interessant
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