[SALC] Longoria : comme un Eyraud ?

Vu que l’on n’a pas les moyens financiers pour s’inscrire dans le top 16 , il nous reste comme stratégie qu’une bonne gestion et une continuité. Avec des 20 transferts par an, un changement de coach chaque année et de système, je ne vois pas comment on pourrait arriver à quoi que ce soit.
On peut au mieux viser un parcours exceptionnel dans une coupe mais rien de plus.

Arno26, Le projet c'est Longoria faut juste l'intégrer

Longoria disait en 2020 qu'il voulait stabiliser l'OM dans le top20. Qu'on soit déjà dans le top50, puis 40, etc.

pretender, le problème c'est que des gens comme gigi n'ont pas la patience.

Bonne nouvelle ! Je préfère Marcelino à Gallardo, pour moi il apporte plus de certitudes. On va pouvoir avancer, priorité à Sanchez maintenant.

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CHOIX; Longoria au centre du jeu

De retour des États-Unis où il a rencontré le clan McCourt, le président de l'OM a pris les choses en main concernant le dossier de l'entraîneur. Sous pression, il sait ce qu'il veut pour l'équipe.

Ne pas se fier seulement à ses excès de joie en tribune ou à sa manière de tirer frénétiquement sur ses fines cigarettes. Oui, Pablo Longoria bouillonne, vit sa passion intensément et la laisse exploser le cas échéant ; oui, il sort vidé de certaines contre-performances qui le plongent dans une sorte d'état second loin de l'image policée qu'il renvoie, impeccable dans ses costumes parfaitement taillés et ses chemises siglées à ses initiales. Mais le président de l'OM a de la ressource. Il retrouve vite ses esprits. Il sait aussi prendre de la hauteur quand la situation l'exige, passer en mode concentration pour analyser froidement les choses, notamment au niveau du mercato. Il essaie de se tenir loin des remous qui secouent régulièrement le microcosme marseillais afin de prendre les décisions qu'il estime justes.

Au lendemain de la gifle contre Tottenham (1-2) synonyme d'élimination de toutes compétitions européennes, il s'était réfugié dans le calme du Garlaban, en compagnie de Richard Caillat, entrepreneur et producteur à succès, pour s'isoler loin du tohu-bohu de la deuxième ville de France, alors que la démission d'Igor Tudor était réclamée à cor et à cri. Il se dit "plus réfléchi" après 27 mois de présidence à la tête du plus fada des clubs français, le tout à seulement 37 ans. Capable de garder son sang-froid en toute situation, même quand la période se tend, quand la pression s'accroît et que la marge de manoeuvre rétrécit.

Il a demandé aux candidats d'analyser l'équipe ; il attend les réponses

Soit le moment que vit actuellement l'OM. La quête de l'entraîneur reste désespérément vaine, les échecs se multiplient, pour des raisons diverses (refus de Gallardo, Fonseca retenu par Lille) et les supporters s'impatientent. Après avoir cumulé les casquettes, Longoria a petit à petit élargi son management en déléguant à sa garde rapprochée formée par Javier Ribalta, Pedro Iriondo et Stéphane Teissier. Il s'appuie sur ses différents directeurs de secteurs. Jusqu'à un certain point. "J'observe tout en les laissant travailler et en sachant quand intervenir pour prendre les meilleures décisions", nous confiait-il le 26 février.

De retour des États-Unis où il a échangé pendant plusieurs jours avec le clan McCourt sur le présent et le futur de l'OM, Longoria s'est immédiatement plongé dans le dossier de la succession, toujours ouverte, d'Igor Tudor dont la démission a été officialisée il y a trois semaines, déjà. Il se sait attendu sur ce dossier et veut s'imposer en maître des horloges. Sans s'affoler, alors que le temps file à toute vitesse et joue en défaveur de l'OM, et sans se laisser dicter son calendrier ni son choix par l'environnement du club. Car, plus que tout, il "aime avoir le contrôle".

Le portrait-robot de l'homme idoine a été établi dès le départ du Croate et l'Espagnol ne dévie pas de sa trajectoire, à l'heure où des agents essaient toujours de refourguer leurs poulains et où deux hommes paraissent se détacher dans ce qui ressemble à la dernière ligne droite de ce choix stratégique : Marcelino, nouveau favori, et Christophe Galtier, l'outsider dont la situation n'est toujours pas réglée avec le PSG, ce qui empêche toute avancée. Les choses semblent se décanter positivement avec le premier que Longoria a longtemps rechigné à approcher pour une raison simple : leur proximité depuis de longues années.

Un frein dans l'esprit du président de l'OM. Il est toujours difficile de mêler amitié et travail, surtout quand on a collaboré avec le même agent et ce, même si le technicien de 57 ans, libre depuis un an, avance escorté d'une solide et flatteuse réputation, celle d'un entraîneur exigeant qui fait bien jouer ses équipes. Impossible d'empêcher les raccourcis faciles, surtout en cas de difficultés qui, de facto, placeraient également Longoria en première ligne.

Ces paramètres expliquent-ils la durée des pourparlers qui, sur le papier, apparaissent assez simples ? Ou Longoria sortira-t-il un troisième larron de ses manches, ce qui n'est jamais exclu avec lui ?

Une chose est sûre : Longoria a les idées claires. Il a demandé aux derniers entraîneurs encore en lice leur analyse de l'équipe actuelle. Hier, il attendait leur retour. Avant d'annoncer enfin la décision que tous les amoureux de l'OM attendent.

La Provence

La Provence toujours au sommet du journalisme…
Une phrase sur deux (ou presque) contient une pique ou un critique gratuite et disproportionnée …

Il leur lache plus une info, c'est pas surprenant.
en meme temps a cote des monceaux de caca qu'on deverse ici, ils sont softs

nicopro99,a moyen terme ça devrait changer avec la prise de pouvoir de Saadé

Rien que le fait qu'il devienne sponsor, il va y avoir une petite inflexion dans le traitement de l'information.
Mine de rien, l'OM est sponsorisé par la maison mère de la Provence maintenant.

pretender, le problème c'est que des gens comme gigi n'ont pas la patience.

J’ai été très patient avec Sakai.

pretender, le problème c'est que des gens comme gigi n'ont pas la patience.

J’ai été très patient avec Nakata.

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OM. Marcelino : "Facile de travailler avec quelqu'un comme Longoria"

En avril 2022, l'Espagnol de 57 ans avait accepté de répondre aux questions de La Provence au sujet de Pablo Longoria

De longues semaines après la démission de d'Igor Tudor, l’OM est enfin en passe de nommer son nouveau coach. Il s’agit de Marcelino, l’un des meilleurs entraîneurs espagnols et proche de Pablo Longoria depuis plus de quinze ans.

En avril 2022, La Provence avait réalisé un portrait du président de l'OM. Marcelino avait accepté de répondre aux questions de La Provence au sujet de Pablo Longoria pour qui il a le plus grand respect. Le technicien de 57 ans a travaillé avec le boss de l'OM de manière informelle quand il entraînait le Recreativo Huelva (2005-2007) et le Racing Santander (2007-2008), puis de façon officielle à Valence, où il avait imposé Pablo Longoria au poste de directeur sportif.

Quel souvenir gardez-vous de vos années de travail en commun avec Pablo Longoria ?

Par dessus tout, il est constant et méticuleux. Il sait s'adapter aux besoins de son entraîneur, il travaille en accord avec l'idée footballistique du coach dans le but d'améliorer le jeu de l'équipe et de développer le club. Son but, quand je travaillais avec lui, était de recruter des profils complémentaires aux joueurs déjà sur place. C'est beaucoup plus facile de bosser avec quelqu'un qui travaille comme Pablo. Il fait toujours en sorte d'avoir le plus d'informations possible sur un joueur. Ses choix sont le fruit d'un travail exhaustif. Prendre la bonne décision au moment d'intégrer un joueur dans un groupe, c'est le plus difficile dans le foot.

Il a commencé à travailler très jeune avec vous. Cela était-il un désavantage ?

Sa trajectoire prouve que non. Être capable, si jeune, de travailler comme consultant externe (en tout début de carrière), puis à l'intérieur de clubs comme la Juventus, Valence, l'OM, c'est assez parlant... On peut dire que sa carrière est une grande réussite et qu'il est en constante progression.

Est-ce une surprise de le voir à ce poste de président de l'OM ?

Oui, c'est une surprise pour moi de le voir à ce poste, mais d'un autre côté, qu'il exerce une fonction importante dans un grand club européen ne m'étonne absolument pas. Il est très très intelligent et humble, il sait s'adapter à chaque situation de la meilleure manière possible. C'est un homme de consensus, ouvert au dialogue, qui cherche le bon chemin pour son club. Pour être président, tu ne dois jamais douter de toi-même parce que les pressions sont importantes de la part des médias et du public. Je crois qu'il domine parfaitement ce contexte et que sa réussite tient dans le fait qu'il a réduit la part de hasard pourtant inhérente dans le football. Pablo est une personne honnête et bosseuse, quand on est comme ça, il est plus facile de s'imposer, quel que soit le poste.

Il semble obsédé par le foot, c'est possible de parler d'autre chose avec lui ? (Rires)

Oui, c'est possible mais le doute n'est pas permis : le foot occupe une partie très importante dans sa vie.

La Provence

nicopro99,a moyen terme ça devrait changer avec la prise de pouvoir de Saadé

Ce serait couillon de basculer dans le cirage de pompes pour défendre l’investissement
Mais franchement, les mecs sont dans la petite phrase assassine ou le dénigrement gratuit pour remplir les pages.
Bien entendu, l’Equipe ou autres c’est pire…

La Provence toujours au sommet du journalisme…
Une phrase sur deux (ou presque) contient une pique ou un critique gratuite et disproportionnée …

Je ne vois pas du tout ce que tu reproches à cet article pour le coup. Je sais que ça peut être le cas, et en l'occurrence ça ne me paraît pas du tout achat c'est plutôt équilibré. L'équipe est beaucoup plus malveillante sous certaines plumes par exemple.

nicopro99, comme dit Boodream, j'ai pas trouvé l'article aussi assassin que cela

Non, mais ça aura au moins permis à Bets de larguer une caisse sur les forumeurs.

A défaut de leur faire caca dessus

Sinon pour revenir à Pablo, j'aurais aimé qu'il rue dans les brancards suite à la piteuse élimination face à Annecy par exemple.
Un Pape Diouf, un Tapie n'aurait jamais laissé passé çà et aurait descendu au lance flammes joueurs et coachs.
Là, rien, nada.