Actualité, matchs, Olympique de Marseille, Ligue 1, championnats étrangers et football en général, c'est ici que ça se passe !
Règles du forum
Sujet verrouillé

Re: Qui pour remplacer Rudi Garcia ?

22 Mai 2019, 16:25

C'est surtout encore un putain de signe d'impréparation… C'est quand même pas une surprise que l'autre clampin quitte son poste.

Re: Qui pour remplacer Rudi Garcia ?

22 Mai 2019, 16:27

gigi, si. Cela fait partie de la volatilité du football. :eyraud2:

Re: Qui pour remplacer Rudi Garcia ?

22 Mai 2019, 16:36

Heinze, combiné à un Gasset/Cuperly/Stephan style, çà pourrait avoir sacrément de la gueule, que ce soit niveau professionnalisme que niveau qualité de jeu.

Au vu des articles sur le jeu produit, et ayant été marqué par le style Bielsa, je ne cracherais pas dessus.

Pour le reste, Blanc-Gasset, why not.
J'avoue avoir été tenté un moment par Puel mais la qualité de jeu m'enthousiasme guère.

A moins que Zubizaretta confirmé à son poste ramène un espagnol... :-k

Re: Qui pour remplacer Rudi Garcia ?

22 Mai 2019, 16:40

Jack73, espagnol ou argentin. Pareil au meme niveau langue :

Bielsa
Gallardo
Heinze
Sampaoli
Benitez
Quique Setien
Machin


Il a le choxi pour parler espagnol

Re: Qui pour remplacer Rudi Garcia ?

22 Mai 2019, 16:46

Vous pensez que Stephan serait capable de lacher l'EDF pour revenir à l'OM avec Heinze? Niveau profil il serait idéal, mais vu ce qui s'st passé au départ de Deschamps, je n'en suis pas sûr que ça soit imaginable.

Je pense aussi que vu les indems qu'on va cracher, même s'il y a eu accord, le prochain coach ne pourra peut-être pas modeler le staff aussi entièrement que l'a fait Garcia. Il viendra évidemment au minimum avec un adjoint, mais pour les postes de préparateurs physique et d’entraîneur des gardiens (Cassard est en fin de contrat), est-ce qu'on va refaire un package pour attirer un coach ou est-ce qu'on va essayer de limiter une éventuelle mésaventure similaire à l'actuelle?

Re: Qui pour remplacer Rudi Garcia ?

22 Mai 2019, 16:49

boodream, sur cette vidéo, Eyraud nie les chiffres avancés dans la presse pour le licenciement de Garcia. Il y a sûrement un accord pour que le club n'ait pas à verser la totalité de l'indemnité.

Re: Qui pour remplacer Rudi Garcia ?

22 Mai 2019, 17:54

Re: Qui pour remplacer Rudi Garcia ?

22 Mai 2019, 18:07

Sur Quique Setien

Liga – Comment juger le Betis de Quique Setién ? Avec du bon sens et l'aide de Stendhal – Furia Liga

Crédits : thesefootballtimes
Hier, le Betis a achevé sa campagne européenne de piteuse manière contre Rennes. À tel point qu’une campagne s’est créée, demandant le départ de Quique Setién. Déception, indulgence, comment juger ce Betis ?

« Quique vete ya » chantait le Benito Villamarín à l’issue de la défaite d’hier contre le Stade Rennais. Sur Instagram et Twitter, divers sondages obtenaient une claire majorité à la question « souhaitez-vous le départ de Quique Setién? ». Lorsqu’une afición vit le football de manière aussi passionnelle que celle du Betis, le bon et le mauvais s’entrelacent continuellement. D’un côté, l’ambiance du Villamarín est l’une des meilleures d’Espagne, fait du soutien indéfectible de ses supporters. Ça, La Liga l’a compris, programmant souvent les Andalous les vendredis, les lundis, ou le dimanche soir en prime time. D’un autre côté, lorsque les choses ne se passent pas comme on le souhaite sur le terrain, l’ire manifestée par les Beticos semble irrationnelle.

Cristallisation

14, 16, 14, 18, 12, 7, 20, 10, 15, ce sont les places occupées par le club sévillan en Liga, depuis 2005, date de la dernière campagne réussie avant l’arrivée de Setién. À cela, ajoutons deux relégations lors des dix dernières années, ainsi que des problèmes institutionnels à foison. Alors, quand l’équipe espagnole a fini sixième la saison passée, les attentes ont explosé, les têtes ont tourné. Le projet venait soudainement de sauter plusieurs étapes. Le Betis venait de discréditer les discours de tous les entraîneurs demandant du temps pour mener à bien leurs idées. « Des excuses de perdant » disait-on. La preuve, Setién n’avait eu besoin que d’un an pour changer drastiquement la vie d’un club.

Résultats, style de jeu attractif, éclosions de Loren Morón, Fabián Ruiz, Junior, Francis, on se plaisait à voir un mini Barça du côté de l’Heliopolis. Trop bien trop vite, une manière certaine de basculer dans la démesure des passions. La cristallisation stendhalienne était à l’oeuvre. Amoureux, supporters et observateurs ne voyaient dans le Betis de Setién que des qualités. Et comme en amour les réalistes sont des rabats-joies, leur parole valait bien peu. « En un mot, il suffit de penser à une perfection pour la voir dans ce qu’on aime » écrivait Stendhal. Toutes les qualités du monde étaient projetés sur ce Betis. Mais en football comme en amour, le plus dur, c’est précisément de durer.

Crédits : Diario de Sevilla
Le doute

Au lieu de consolider ses ambitions, en continuant à perfectionner le jeu et en essayant de raccrocher l’Europe, il était demandé à cette équipe de faire rêver plus que de raison des supporters frustré par des années au purgatoire. Pour ne rien arranger à l’étourdissement ambiant, un mercato des plus excitants avait été réalisé à l’été. Désormais, les furieux demandeurs de résultats pourraient utiliser cet argument à charge, si d’aventure l’équipe ne remplissait pas les exigences. C’était sans compter que le temps n’avait pas fini d’être une denrée essentielle à tout projet sérieux, malgré la croyance d’avoir pu se passer de lui.

En premier lieu, le Betis a dû composer avec de nouveaux défis sur le terrain en début de saison. Les adversaires attendaient les Sévillans de pied ferme, bien au fait de leurs desseins. Ciblant William Carvalho à l’heure de presser, les opposants appuyaient là où ça fait mal. À force de travail, Setién parvenait à tirer le meilleur du Portugais, tandis qu’il transformait Canales en relayeur pour les besoins du collectif, parvenant petit-à-petit à faire oublier le spectre de l’excellent Fabián Ruíz. Après réglé ces incommodités, Setién devait faire face à deux nouveaux problèmes, d’une ténacité insoluble : l’absence d’un buteur et l’absence de joueurs capables d’offrir du débordement. Sans trop s’avancer, on ne peut dire plus jusqu’à la fin de la saison, quoi qu’il arrive. L’entraîneur serait-il un être imparfait? Là, la cristallisation prend fin. Les défauts de l’autre font leur apparition. On n’est plus amoureux de la même manière.

Pire, il est impossible de se sortir certains défauts du crâne. La défaite contre Rennes devient inacceptable. Qu’importe le fait que les caractéristiques de l’adversaire soient celles qui nuisent le plus au Betis. Qu’importe du manque d’expérience européenne des Andalous. Avec un tel projet de jeu, il est fondamental de respecter en tous temps certains principes, même lorsque le spectre de la défaite pousse à la précipitation ; continuer à fixer des joueurs sans ballon, à courir pour ouvrir des espaces, à ne pas trop s’approcher de son coéqupier pour demander le ballon, rester patient. Tout ce que les verdiblancos n’ont pas fait.

Autre défaillance impardonnable entend-on, l’incapacité à tirer le meilleur d’Inui, de Tello, de Sanabria. Ils ont été bons dans d’autres clubs, pourquoi pas au Betis ? Qu’importe la vérité universelle selon laquelle le niveau des joueurs n’est pas une constante, même lorsqu’ils sont sous les ordres des meilleurs entraîneurs du monde.

Enfin, faute par dessus toutes les fautes, la prétention de Setién à se faire apôtre du beau jeu. La supériorité morale qu’il convoie est insupportable, du moins pour certains. Cette défaite européenne est l’occasion de réaffirmer l’escroquerie des philosophes, des bien-pensants, des esthètes. Cela équivaut à dire à son ami « je t’ai toujours dit que ce n’était pas la bonne« . Ou alors, on peut aussi se laisser aller aux moqueries. « Tiens ta possession, tiens ta possession » chantaient les supporters de Leganés à Setién, lorsque leur équipe battait leur adversaire 3-0 il y a deux semaines.

Seconde cristallisation

Stendhal évoque la possibilité – la nécessité même, si l’on entend faire durer l’idylle – d’une seconde cristallisation. Malgré ses défauts, on aime l’être aimé, et c’est cela qui compte. L’amour paraît inévitable. C’est comme ça que l’on en vient à accepter sans aucun problème de ne pas sortir avec des top model, idéalisés. C’est comme ça que la réponse « mais parce qu’ils s’aiment » sert de justificatif ultime à l’existence d’un couple improbable.

Pour ce que cette seconde cristallisation ait lieu entre le Betis et ses suiveurs, il faut donc s’accommoder des défauts de l’équipe. Le projet est encore en développement, Setién n’est pas encore Guardiola, les joueurs ne sont pas tous au niveau escompté. Sans oublier qu’il n’est pas interdit de reconnaître certaines qualités. Le Betis croit en son style, est en demi-finales de Coupe du Roi, en plus d’être dans les temps de passages de ses objectifs en Liga. Même en amour, un peu de bon sens est nécessaire.

Re: Qui pour remplacer Rudi Garcia ?

22 Mai 2019, 18:19

Pas emballé du tout par Setien, ça pue l’echec a plein nez.

Un combo Jardim/Zubi, ce serait vraiment top.

Re: Qui pour remplacer Rudi Garcia ?

22 Mai 2019, 18:21

J'ai peur des techniciens espagnols

Re: Qui pour remplacer Rudi Garcia ?

22 Mai 2019, 18:56

Pas chaud non plus. Pas du tout, il n’a aucun palmarès et des stats de merde. Mais ça doit être un fake news

Re: Qui pour remplacer Rudi Garcia ?

22 Mai 2019, 19:00

Les espagnols,on a donné avec Michel redaface2

Re: Qui pour remplacer Rudi Garcia ?

22 Mai 2019, 19:02

Avec Clémente aussi

Re: Qui pour remplacer Rudi Garcia ?

22 Mai 2019, 19:06

Rassurez vous, on aura Pancho Coach de la une au 31 aout après avoir peser toutes les options :hehe:

Re: Qui pour remplacer Rudi Garcia ?

22 Mai 2019, 19:24

Re: Qui pour remplacer Rudi Garcia ?

22 Mai 2019, 19:35

L'article de la Provence de ce matin

Information
Quel entraîneur après Garcia ? La succession du technicien olympien est lancée. Plusieurs candidats, français et étrangers, apparaissent


C'est LA question qui agite le microcosme olympien depuis que le départ de Rudi Garcia ne fait plus de doute, depuis que la seule incertitude - secondaire - qui demeure concerne le timing de cette annonce : qui succédera à l'ancien technicien du Losc et de la Roma sur le banc de l'OM à partir de la saison prochaine ? Arrivé en octobre 2016, sous contrat jusqu'en 2021 après avoir rempilé pour deux ans en octobre, Garcia vit ses dernières heures en Provence pour avoir raté les objectifs assignés par sa direction. C'est un secret de Polichinelle et plus personne au centre Robert Louis-Dreyfus ne cherche à masquer la réalité. Peut-être pour atténuer la colère du Vélodrome avant le baisser de rideau contre Montpellier, vendredi soir, dans un contexte brûlant.


Jacques-Henri Eyraud et Andoni Zubizarreta s'activent pour dégoter le technicien parfait, conscients qu'ils sont attendus au tournant et que leur marge de manoeuvre s'avère restreinte. Ils ne manquent pas d'idées même si toutes ne sont pas forcément réalisables. Dès cet hiver, alors que l'OM se débattait dans la crise et en dépit du soutien affiché à Garcia, un nom avait émergé dans l'esprit des décideurs : Leonardo Jardim (44 ans).

Alors libre, en pourparlers avec l'Olympique Lyonnais, le Portugais avait finalement rallié son ancien port d'attache, Monaco. La piste n'aurait pas été réactivée, depuis, notamment parce que l'ASM compte sur celui qui lui a permis d'être champion de France pour redorer son blason. Sans compter que les émoluments de Jardim, qui émarge à 450 000 euros nets en Principauté, ont de quoi refroidir le plus intrépide des courtisans.

Comme souvent en cette période, les rumeurs circulent. Comme celles conduisant à Christophe Galtier (52 ans) ou Claude Puel (57 ans). Le premier est évidemment attaché à l'OM et Marseille, mais il vient de qualifier Lille en Ligue des champions. Il devrait poursuivre dans le Nord. "Le Losc lui a fait confiance, il lui est reconnaissant. Impossible à l'heure actuelle qu'il vienne à l'OM", appuie l'entourage de celui qui vient d'être désigné meilleur entraîneur de Ligue 1.

Limogé par Leicester fin février, le second présente l'avantage d'être libre. Joueur, il n'a jamais porté l'OM dans son coeur, estimant s'être fait flouer de plusieurs titres de champion alors qu'il évoluait à Monaco. Il aurait mis de l'eau dans son vin, depuis, mais son entourage réfute encore toute approche olympienne. D'autant qu'après l'Angleterre, il verrait davantage son avenir en Espagne.

Toujours au rayon des techniciens français, Laurent Blanc (53 ans) apparaît comme un candidat crédible au vu de son expérience. Son exigence élevée dans le choix de ses prétendants lui a fait refuser plusieurs propositions depuis son départ du PSG. L'attente (trois ans sans poste) le rendrait-elle moins regardant ? À voir, mais l'OM frapperait assurément un grand coup en enrôlant un tel technicien, qui plus est passé par ses rangs comme joueur (1997-99).

Deux autres noms, étrangers cette fois, reviennent avec insistance. Rafael Benitez (59 ans) constitue une piste crédible qui, de source anglaise, aurait été explorée récemment par l'OM. En poste à Newcastle, il plairait du côté de La Commanderie. Son parcours varié, son expérience et son palmarès plaident en sa faveur, tout comme sa situation contractuelle dans le nord de l'Angleterre où il n'est pas certain de prolonger si les Magpies ne lui offrent pas des garanties pour améliorer l'effectif. Reste Gabriel Heinze (41 ans) qui suscite tous les fantasmes ces dernières heures. L'ancien Olympien officie chez lui, en Argentine, à Velez Sarsfield. Considéré comme l'un des meilleurs techniciens du pays, il se verrait bien relever un défi en Europe. Courtisé par Newell's, il disposerait d'un accord avec son président pour répondre à une telle sollicitation si jamais elle se présentait et ce, même si sa prolongation paraît en bonne voie.

Par ailleurs, Sergio Conçeicao (44 ans) a été proposé la semaine dernière sans que la candidature du Portugais, champion avec Porto la saison dernière, n'éveille l'attention des dirigeants olympiens qui savent qu'ils n'ont pas le droit à l'erreur et doivent frapper juste.

Re: Qui pour remplacer Rudi Garcia ?

22 Mai 2019, 19:36

Pourquoi vous mettez "style" après un nom d'entraîneur potentiel (ou de directeur sportif, ou de président) pour l'OM ? :cretin:

Re: Qui pour remplacer Rudi Garcia ?

22 Mai 2019, 19:40

Banderole des fans argentins de Newels pour inciter Heinze a prolonger (pres de chez lui)

Re: Qui pour remplacer Rudi Garcia ?

22 Mai 2019, 19:43

Re: Qui pour remplacer Rudi Garcia ?

22 Mai 2019, 19:47

Du coup pour vexer personne au bled il va aller à l'OM
Sujet verrouillé