[2018/19 - Ligue 1 - J8] Lille 3-0 OM

Betsamee, hey désolé mais j’ai eu le plaisir d’observer ton bazard et t’as bien le physique d’un pessimiste

tu t'en plaignais pas de mon pessimisme...

Mais on en fout du match. On vient d'apprendre que Rocca connait le zob de Bet's et que ruby a chopé une infection sexuellement transmissible. Ce sont ça les vrais sujets bordel !

ssallenge akssepted !

Betsamee, non C’est vrai

Y en a qui font leurs dents de sagesse aujourd' hui ou bien ?

Je me faisais une réflexion l'autre jour. Trouvez vous que Thauvin défend moins dans son couloir? J'avais cette impression, et je me disais qu'il voulait garder son jus pour être décisif devant

Je pense que concernant Thauvin il y´a deux facteurs à souligner.
Le premier c´est que forcément avec la World Cup, il n´ est pas au top physique pour l´instant et si on regarde du coté du PSG par exemple, on se rend compte que Neymar et MBappé ne font pas du tout de travail défensif. Meme un Cavani pas avare en efforts a eu beaucoup de mal sur le replacement contre Liverpool. Donc il doit forcément avoir une part de physique là dedans. En regardant l´Atletico contre le Real, pareil je me disais que Costa et Griezmann étaient un peu léger sur le pressing. C´est peut être plus des fausses idées qu´une réelle vérité cela dit.

Et puis surtout le deuxième facteur, c´est que clairement Thauvin a fait évolué son jeu depuis les matchs retours l´an dernier vers plus d´efficacité devant le but, plus de présence dans la surface adverse et moins de création.
On peut le regretter mais bon vu qu´il doit en être à 20 buts en 2018 en L1, on ne peut que s´incliner.

negrOM, qui dit à chaque match qu’on va perdre ? Qui ? Trouve un omliver qui dit ça à chaque match !

Delio, Herpès, quelques autres même toi tu commences à basculer du côté obscur ^^

Delio et Herpes sont de tres mauvais exemples

De mauvais exemples mais quand l'OM est moins bien, ils représentent la moitié des posts du forum

negrOM, qui dit à chaque match qu’on va perdre ? Qui ? Trouve un omliver qui dit ça à chaque match !

Delio, Herpès, quelques autres même toi tu commences à basculer du côté obscur ^^

Non moi je dis que Si Garcia arrête d’être con on sera 3eme . Mais pour moi on devra tomber un peu pour qu’il se bouge

@Pépé :



La suite :

Spoiler: montrer

Prions pour que ça soit notre Nice de l’an dernier

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Nicolas Pépé « Jʼai un plan de carrière »

Approché par Lyon cet été, l'international ivoirien, meilleur joueur lillois en 2018, a préféré prolonger sa progression dans le Nord. Un choix dont profite le LOSC en ce début de saison. DE NOTRE ENVOYÉ SPÉCIAL PERMANENT


JOËL DOMENIGHETTI CAMPHIN-EN-PÉVÈLE (NORD) – Jeudi, 14 h 15, ancienne salle de presse du Domaine de Luchin, autrefois réquisitionnée par Marcelo Bielsa pour ses séances vidéo. Nicolas Pépé (23 ans) vient de terminer son repas du midi et rompt plusieurs mois de silence médiatique qu’il s’était imposé « pour laisser couler et rester concentré » sur son travail. Souriant, détendu et attentif, l'attaquant lillois (23 ans), qui habite toujours avec ses parents, vit sereinement sa décision de ne pas avoir quitté le Nord cet été. Conscient des attentes qu’il suscite, l’ancien Angevin, recruté par Luis Campos en 2017, entend faire une grande saison avec le LOSC.

« Pensez-vous être dans la plus grande forme de votre carrière (4 buts) ? Disons qu’en termes d’efficacité, je suis sur une grosse progression. À un très bon niveau. Mais j’estime que je peux faire encore mieux.

Avez-vous ressenti une forme de plénitude dans le jeu lors de votre première période contre Nantes (2-1, le 22 septembre) ? À l’image du début de saison, j’étais en pleine confiance. Quand on arrive à marquer et à faire marquer, à produire des accélérations et des gestes décisifs, on évolue relâché. Mais c’est aussi une réussite collective. Parce que je reçois de bons ballons.

Mais vous êtes plus décisif, ce qui relève d’un registre plus individuel… Je suis un joueur de percussion. J’essaie assez souvent d’éliminer mes adversaires dans les trente derniers mètres.

Quelles raisons expliquent votre progression ? J’ai un peu plus de responsabilité. Je cherche en permanence la justesse dans mes derniers gestes. C’est ce qui fait cette force. Quand j’étais jeune, j’étais persuadé que je pouvais le faire. Parce que je réussissais les gestes que je fais à l’heure actuelle. Je suis donc dans la continuité.

Quand avez-vous su que vous pourriez devenir professionnel ? J’aimerais parler de deux personnes qui ont fait beaucoup pour moi. D’abord Philippe Leclerc, un ami de Stéphane Moulin (le coach d’Angers). Il est venu me voir en premier. Il a fait en sorte que j’arrive au SCO. Il m’a fait comprendre que j’avais le potentiel. J’étais à Poitiers. Je ne pensais pas au foot pro. C’est pour ça que j’ai du recul aujourd’hui. Mais je joue depuis tout petit. C’est ma passion. J’arrive donc à Angers. Je ne connaissais pas la formation. Je tombe sur le directeur du centre, Abdel Bouhazama. J’arrive avec une coupe de cheveux…

Un peu style branleur ? On peut dire ça (rires). Et la première fois que je vois Abdel, il me recadre directement. Pendant deux ans, il ne m’a pas lâché. Il m’a énormément apporté, surtout humainement. Je ne connaissais pas le monde du travail, ses contraintes. Ça me sert encore à l’heure actuelle.

“Ce peut être la L 1 ou l'étranger. Pour l'instant, je suis dans le projet lillois

On ne comprend pas toujours pourquoi le LOSC a autant changé cette saison… Nous avons la complicité que nous n’avions pas. De nouveaux joueurs sont arrivés. José Fonte, Rémy, Pied, Ikoné, Bamba. Jonathan, en plus, c’est un ami. Il connaissait déjà Ballo (Ballo-Touré), Soumaré (du PSG). Cela crée des liens. Avec Thiago Mendes et Thiago Maia, bien sûr il y a la barrière de la langue. Mais avec des signes, on arrive à bien rigoler et à nous rapprocher tous. La saison dernière, on ne gagnait pas. Cela crée des tensions. Les victoires donnent le sourire. Ça nous pousse à aller vers l’autre.

Vous aviez choisi depuis longtemps de rester à Lille. Pourquoi ? Je n’ai pas terminé ce que j’ai à faire ici. J’ai un plan de carrière bien défini. Malgré son offre (*), Lyon est normalement un club qui ne se refuse pas.

Eden Hazard, parti en 2012, avait dit qu’il ne quitterait pas Lille pour un autre club français. Vous êtes dans ce registre-là ? Ce n’est plus pareil aujourd’hui. Je ne suis pas dans cette optique. On verra. Ce peut être la L 1 ou l’étranger. Pour l’instant, je suis dans le projet lillois.

Quels sont vos objectifs personnels et collectifs ? On veut finir dans les dix premiers. Beaucoup disent que l’on peut être dans le top 5, le top 3. Mais on reste concentrés sur cet objectif. Sur le plan personnel, je veux faire beaucoup mieux que la saison précédente.

Bielsa vous faisait évoluer dans l’axe. Christophe Galtier à droite. Cette confiance explique-t-elle votre niveau ? Bielsa avait pleinement confiance en moi. Il essayait des systèmes différents. Il m’avait un moment remis à droite. Le coach Galtier m’a vraiment dit que j’évoluerai au poste où je pouvais exprimer le mieux mes qualités. Et pour le moment, ça fonctionne.

Est-ce aussi votre sentiment ? Oui. Au début de ma carrière, je jouais plus excentré côté gauche, avec des débordements puis des centres. Maintenant, je suis à droite, où je peux profiter de l’appel du latéral droit ou entrer vers la surface. Quand je suis plus à gauche, il est plus facile de lire mes intentions. Le défenseur va forcément bloquer mon pied gauche. À droite, si j’entre intérieur, je suis face au but sur mon pied fort. Le défenseur ne sait pas si je vais y aller ou à droite. Ou si je vais donner au latéral. Je travaille aussi la frappe du pied droit mais c’est compliqué.

La défaite à Bordeaux (0-1, mercredi) est-elle liée à un manque de maturité ? On doit apprendre à gérer les équipes qui jouent bas. Quand les Girondins ont ouvert le score, ils voulaient conserver le résultat. On a essayé de jouer rapidement vers l’avant. Il faut apprendre à être patient pour exploiter la faille.

Vous avez aussi amélioré le placement de vos pieds… J’ai bossé ma manière de courir. Je voulais et pouvais gagner en vitesse. Je cours un peu n’importe comment. Je continue à le travailler. Comme à surveiller ma nutrition, mon sommeil.

Que peut-on espérer du LOSC face à Marseille ? La victoire. À domicile, on est sur un très bon début (9 points sur 9). La saison passée, on avait perdu (0-1). C’est le bon moment pour les prendre. Ils encaissent beaucoup de buts (13 en 7 matches). Mais ils ont un potentiel offensif très important. C’est excitant de se comparer à des top players.

Avez-vous envie de confirmer ? Je ne suis pas obnubilé par le fait de rester dans la lumière. Je pense avant tout à l’équipe. Il y a déjà des cadres au LOSC. On a un champion d’Europe (le Portugais José Fonte). Ces joueurs expérimentés expliquent notre saison. En 2017-2018, on découvrait la L 1. Moi, c’était ma première saison pleine.

Avez-vous de bonnes ondes avant l’OM ? On a un signal, la défaite à Bordeaux. Ce sera peut-être un mal pour un bien. Si on y avait gagné, on se serait peut-être trop relâchés à Pierre-Mauroy. Là, on est en état d’alerte. »

(*) En fin de mercato, l’OL était prêt à miser 30 M€ sur lui.

L'Equipe

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Marseille au crash test

L’OM, inconstant et affaibli par les absences, devra vraiment élever son niveau de jeu chez des Lillois en verve. VINCENT GARCIA (avec J. D.)


Les plus éminents chercheurs se sont penchés sur le sujet, mais ils n’ont toujours pas trouvé à quoi joue l’OM cette saison ni ce que les Marseillais ont dans le ventre. C’est le signe d’une grande inconstance, dans les résultats comme dans le jeu. D’un match à l’autre voire d’une mi-temps à une autre, les Olympiens sont capables de s’embraser puis de disparaître comme on éteint la lumière avec un interrupteur et c’est assez troublant.

Il y a eu ces dernières semaines de belles séquences, quelques miracles aussi, comme ces buts si précieux de Valère Germain à la dernière seconde contre Monaco (3-2, le 2 septembre) ou face à Strasbourg mercredi (3-2). Avec quatre points en moins, les hommes de Rudi Garcia seraient dans la deuxième partie de tableau du Championnat, ce qui donnerait moins de relief à ce début de saison, pour l’instant passable. La victoire en Principauté – enfin un succès contre un « gros » – aurait dû être un tremplin, mais on a vu, depuis, que tout le monde ou presque pouvait battre l’ASM. Un accident contre Francfort, en Ligue Europa (1-2, le 20 septembre), et la traditionnelle défaite automnale en terre lyonnaise (2-4, dimanche dernier) ont rapidement douché l’enthousiasme.

On sent bien qu’il ne faudrait pas grand-chose pour que l’OM reparte vers l’avant, une victoire sur la pelouse de Lille ce soir, par exemple, mais un rien, un souffle, est capable aussi de faire vaciller de grands gaillards comme Luiz Gustavo et Kevin Strootman. C’est une évidence que Marseille, avant-dernière défense de Ligue 1 avec Nîmes, Nantes et Amiens, encaisse trop de buts et ne peut pas tout le temps se reposer sur le talent offensif de Florian Thauvin ou Dimitri Payet. Mais ces deux-là ne peuvent pas non plus regarder les autres défendre et courir à leur place, ce qui est valable pour tous les attaquants, d’ailleurs.

“Tout le monde doit être plus concerné par les tâches défensives

steve mandanda, gardien de marseille

« On a souvent changé de défense, a dit Steve Mandanda vendredi. Mais défendre, cela concerne les onze. Tout le monde doit être plus concerné par les tâches défensives. » Quand c’est le cas, cela s’appelle une équipe et l’OM n’en montre pas vraiment le visage cette saison, ou par intermittence, loin de la force collective dégagée lors du précédent exercice, sur les scènes nationale comme continentale.

Le manque d’agressivité dans les duels a été souligné plusieurs fois et on serait tenté de conseiller aux Marseillais de montrer enfin leurs muscles. Mais ils lâchent les uns après les autres, comme aux plus mauvais jours de l’hiver, quand les terrains sont lourds et la fatigue s’accumule. Sauf que ce n’est que le début de l’automne et l’infirmerie de la Commanderie ressemble déjà à un hôpital de campagne. Sur la pelouse du stade Pierre-Mauroy, que certains (Garcia, Payet…) connaissent bien, il manquera du beau monde. Adil Rami, qui devrait faire son retour jeudi, en Ligue Europa, à Chypre contre Limassol, et Morgan Sanson (mollet), indisponible pour quinze jours, ne seront pas là. Duje Caleta-Car et Jordan Amavi sont suspendus. Cela fait quatre titulaires en puissance absents et Garcia devra bricoler.

L’entraîneur marseillais, qui a utilisé déjà six charnières centrales cette saison, en a l’habitude. Seulement, face à une redoutable formation lilloise, qui contre à toute vitesse, ce n’est pas un jour pour se lancer dans de grandes innovations, même si Adama Soumaoro manquera au LOSC, derrière. Le onze marseillais devrait ressembler à quelque chose de classique compte tenu des absents, avec plutôt Hiroki Sakai que Tomas Hubocan en latéral gauche. Sans certitude et avec beaucoup d’éclopés, l’OM passera un vrai test face au LOSC. Cette équipe de gamins portée par Nicolas Pépé sait punir les visiteurs imprudents cette saison.

L'Equipe

Non au championnat.

Non à l’EL. Jouons à fond ce soir et faisons tourner Jeudi

Non à la D1. Tous les joueurs majeurs doivent être au repos ce soir.

Lorenzin', t'en arrives à être plus lourd qu'Herpès & Delio réunis, chapeau bas.

Pour une qualif en LDC j’accepterais qu’on sorte des poules dès Le 1er tour. Faut qu’on engrange. De toute façon on peut pas faire tourner on a la moitié de l’effectif blessé ou suspendu

Je m'entraine dur pour ça.

Lorenzin', t'en arrives à être plus lourd qu'Herpès & Delio réunis, chapeau bas.

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