Droits Tv 2020 à 2024

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Droits TV du foot : BeIN Sports fait un pas en arrière et plonge la Ligue dans l’impasse

L’ambiance risque d’être tendue lors du prochain conseil d’administration de la Ligue, mercredi 5 juin. Vincent Labrune devra déployer son habituelle force de persuasion pour rassurer un auditoire forcément crispé par un avenir qui s’assombrit. L’ordre du jour se concentrera sur la négociation des droits TV pour la période 2024-2029. Alors que la prochaine saison reprend dans deux mois et demi, aucun accord n’a été trouvé et la situation semble de plus en plus inextricable.

Alors que tout le monde pensait que le salut viendrait de BeIN Sport, la chaîne qatarienne a récemment fait un pas en arrière, laissant la LFP face à un mur d’incertitudes. Pourtant, un vent d’optimisme soufflait depuis trois mois. Lors du dîner d’État organisé à l’Élysée en l’honneur de l’émir du Qatar, le 27 février, la présence de Vincent Labrune n’est pas passée inaperçue. Elle a suscité de nombreux fantasmes sur le rôle de l’émirat, régulièrement alimentés par la proximité entre Labrune et Nasser Al-Khelaïfi, président du PSG et de BeIN Media Group.

Selon une rumeur qui s’est rapidement propagée, le Qatar, via sa chaîne BeIN Sports, devait signer un gros chèque pour acquérir les droits de la Ligue 1 et sauver le football français. En contrepartie, la part des droits promise au PSG devait s’accroître. Une théorie bancale qui aurait du mal à être acceptée par les présidents de L1.

Canal+ refuse un nouvel accord avec BeIN Sports

Selon nos informations, BeIN n’a jamais eu l’intention de récupérer 100 % des droits du Championnat de France. De même que l’émir ne s’est jamais intéressé de près ou de loin à ce dossier. « Le Qatar n’a pas vocation à sauver la Ligue 1 et l’émir a des problèmes beaucoup plus importants à régler », résume un proche de la chaîne.

BeIN, qui n’était même pas candidat lors du premier appel d’offres, s’est pourtant bel et bien retrouvé en première ligne. Avec une idée bien précise en tête. Acquérir les droits de la Ligue 1 devait lui permettre de renégocier à la hausse son contrat de diffusion exclusif avec Canal + en France, actuellement chiffré à 250 millions d’euros annuel minimum.

Les échanges se sont multipliés entre Youssef Al-Obaidly, patron de BeIN Sports France, et son ami Maxime Saada, président de Canal+. Un vent d’optimisme s’est propagé de BeIN à la Ligue, jusqu’à ce qu’un coup de massue glace tout ce petit monde. La semaine dernière, Canal+ a annoncé à BeIN Sports que ce deal ne l’intéressait pas.

Dans ces conditions, impossible pour BeIN de poursuivre les négociations avec la Ligue. Financièrement, la chaîne qatarienne n’a pas les reins assez solides pour rafler les droits. Elle a donc fait un (grand) pas en retrait, faisant savoir aux responsables de la LFP que le seul moyen de débloquer la situation était désormais de trouver un accord avec Canal+.

Aucune discussion entre Canal+ et la Ligue

Plus que jamais, la chaîne cryptée est en position de force. Mais il existe un problème de taille : elle refuse de négocier et n’est (officiellement) pas intéressée par l’acquisition des droits de la Ligue 1. Maxime Saada l’a d’ailleurs confirmé au Figaro le 6 mai : « Nous ne participons pas aux discussions de gré à gré. Nous n’avons pas d’accord avec DAZN ou BeIN sur la suite. Lorsque le processus de vente des droits de la Ligue sera finalisé, nous aviserons. » Canal+, ayant beaucoup investi ces dernières années dans les droits sportifs pour compenser la perte de la Ligue 1, devrait se montrer extrêmement prudent.

D’autant plus que le contentieux est profond et date de 2018. Partenaire historique du Championnat de France, Canal avait été mis hors-jeu par la Ligue qui déroulait le tapis rouge à Mediapro. Le début de l’un des plus grands fiascos de l’histoire du football français. Un affront impardonnable selon Maxime Saada auquel il faut ajouter un vrai problème relationnel entre Vincent Bolloré (propriétaire de Canal) et Vincent Labrune.

Option 2 : Orange, Bouygues et SFR mis à contribution ?

Le président de la Ligue se retrouve aujourd’hui dans une position très inconfortable. Mais il garde quelques atouts dans son jeu. Si l’option numéro un reste de trouver un accord avec le duo Canal + et BeIN, une autre piste mène à la création d’une chaîne 100 % Ligue 1 et de réduire la facture en mettant à contribution les fournisseurs d’accès Internet (FAI), comme Bouygues, Orange ou SFR.

Cette option serait sans doute moins rentable pour les clubs professionnels. Dans l’ensemble, les présidents restent confiants même s’ils ont compris depuis longtemps que la conjoncture leur est particulièrement défavorable. C’est sans doute ce que Vincent Labrune rappellera lors du CA de la Ligue. Extrêmement secret sur les négociations qu’il mène, le président de la LFP resterait, dit-on d’un optimisme farouche et répète à qui veut l’entendre que la reprise du championnat, le week-end du 17 août, sera bien retransmise.

Le doute réside aujourd’hui dans l’identité du diffuseur et, surtout, sur le montant du chèque. Dans ses projections avec BeIN, Labrune misait sur 700 millions d’euros. La position de force de Canal + pourrait faire chuter cette somme en dessous de 500 millions. Une baisse qui ne sera pas compensée par la hausse des droits internationaux (qui pourraient passer de 80 à 150 millions d’euros).

Dans ce contexte très incertain, Jean-Marc Mickeler, le président de la DNCG, l’instance de contrôle financier, a envoyé une lettre aux présidents il y a quelques jours pour les inciter à une extrême prudence au moment d’élaborer leurs budgets prévisionnels. Pour certains clubs, une baisse sensible des droits TV pourrait fortement fragiliser leur équilibre économique. Car derrière cet interminable feuilleton, rythmé par les coups de bluff et les petits arrangements entre amis, se joue la survie de certains clubs.

Le Parisien

Il faut que l'OM fasse cavalier seul et les envoie tous péter. On vend ça 100 à 150 millions par an et basta

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L'édito de Vincent Duluc sur les droits TV de la L1 : « C'est ainsi qu'éclate une bulle »

Si la négociation enlisée pour les droits TV de la Ligue 1 est un échec politique et économique, pour la LFP et son président, Vincent Labrune, elle n'est pas forcément un échec sportif, ou pas encore.



C'est ainsi qu'éclate une bulle et que s'éteint une illusion. Face aux fausses promesses de Mediapro, les dirigeants du football français avaient déjà cru qu'ils pouvaient vendre la Ligue 1 plus d'un milliard, en 2020. Ils l'ont cru encore, ces derniers mois, mais vont peut-être dire merci pour la moitié de la somme, alors que le Championnat de France n'a toujours pas de diffuseur, à deux mois et demi du début de la saison prochaine.

Ce flou gigantesque est la suite d'une somme d'erreurs et d'errements, de mauvais calculs et de risques dont le football français n'avait pas le luxe. Par-delà les fausses promesses du groupe Mediapro et les conséquences du Covid (la France aura été le seul pays du top 5 européen à décider d'arrêter définitivement son Championnat), les relations historiques avec Canal+ sont au coeur du jeu.

Il est clair, avec le recul, que les affronts successifs faits à Canal+ n'ont pas beaucoup servi la cause du football professionnel français, ces derniers mois, de même que Canal ne sert pas beaucoup la cause, en ce moment, de tous les abonnés historiques qui l'ont construit sur la base de la promesse de voir la L1 sur l'antenne.

La période actuelle met aussi en lumière le drôle de choix collectif du football français d'avoir préféré encore Amazon Prime Video, qui était parti pour être un partenaire de demain à un prix d'hier, et qui se révèle, aujourd'hui, un partenaire d'hier à un prix d'avant-hier. Le contrat léonin et à courte vue signé avec CVC, qui a sauvé quelques comptabilités à un prix parfaitement ruineux, est une pièce de plus dans ce puzzle désassemblé.

Il y a aujourd'hui une quadruple incertitude sur l'attraction de la L1 sans Kylian Mbappé, un an après les départs de Lionel Messi et de Neymar, sur l'état économique des clubs lorsque le nouveau deal sera scellé, sur leur compétitivité européenne et sur la manière dont nous pourrons regarder la Ligue 1 la saison prochaine.

Mais qu'elle ne vale pas un milliard n'est pas plus grave que ça, c'était un élément de langage de vendeur. Que beIN renonce à être le sauveur de la Ligue 1 nous épargnera au moins un nouveau mélange des genres. Et que les présidents cessent de dépenser l'argent qu'ils n'ont pas encore ne sera pas un mal, non plus. Enfin, si cette négociation enlisée est un échec politique et économique, pour la LFP et son président, Vincent Labrune, pour l'instant, elle n'est pas forcément un échec sportif, ou pas encore.

Historiquement, il n'y a pas toujours de lien direct entre l'abondance et la lucidité, ni entre l'argent qui coule à flots et les bons recrutements. L'austérité a parfois permis la révélation de générations spontanées, comme au FC Nantes au milieu des années 1990. Ce serait une autre vie, sûrement, mais la vraie vie du foot français, peut-être.

https://www.lequipe.fr/Football/Article ... le/1471034

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Sans Canal +, un plan B activé en urgence pour sauver les droits TV de la L1

Faute d'accord entre beIN Sports et Canal+ pour la distribution exclusive d'une chaîne 100 % Ligue 1, une seconde option est activée en urgence : une antenne disponible auprès de tous les autres opérateurs.



La saison de Ligue 1 s'est achevée il y a dix jours, mais le dernier match, celui des droits télévisés pour la période 2024-2029, n'a pas encore livré son verdict. Comme l'a révélé L'Équipe dès la mi-novembre, la LFP discute avec beIN Sports pour une cession de l'ensemble de ses matches pour les cinq prochaines années. Cet appétit du diffuseur franco-qatarien pour la L1 a été une surprise, car il a longtemps assuré en coulisse ne plus vouloir faire de folies sur le marché des droits.

Son intention affichée étant de ne plus perdre d'argent en s'appuyant sur son contrat de distribution avec le groupe Canal+, qui lui verse autour de 250 M€ par saison. L'échéance de ce « deal », tacitement reconductible pour cinq ans, est fixée à juin 2025. La Ligue 1 n'étant a priori pas obligatoire pour renouveler ce contrat, l'intérêt de beIN d'acquérir des matches du Championnat de France pouvait donc sembler limité.

Mais grâce à l'entregent de Vincent Labrune, le patron de la LFP, et du soutien d'Emmanuel Macron, le président de la République, qui a défendu, auprès de l'émir du Qatar, Tamim bin Hamad al-Thani, les intérêts du football français, les contours d'un « deal » autour de 700 M€ annuels ont été tracés entre les parties. Mais il dépend aussi d'un accord entre beIN et le groupe de Canal+, revu et corrigé financièrement, en termes de distribution.

Sarkozy impliqué dans les négociations

Depuis des semaines, les dirigeants de beIN discutent avec Maxime Saada, le patron de Canal+, mais ne l'ont toujours pas convaincu de faire un effort pour débloquer la situation, comme l'a rappelé L'Équipe samedi. Pour des questions économiques, mais aussi en raison d'une rancoeur tenace vis-à-vis de la LFP, qui lui a une première fois préféré Mediapro, le diffuseur originaire d'Espagne qui s'est vite montré défaillant lors de la saison 2020-2021, avant de s'engager plus tard avec Amazon Prime Video. Depuis des semaines, les contacts sont permanents pour mettre de l'huile dans les rouages entre la LFP et Canal+.

Pas directement, car les dirigeants de la chaîne cryptée refusent de parler avec la Ligue. Mais par différents intermédiaires, les décideurs de Canal+ sont sollicités : Maxime Saada, mais aussi Vincent Bolloré, le patron de Vivendi, la maison mère de Canal+. Proche de Bolloré, de Nasser al-Khelaïfi, boss du PSG et de beIN Media Group, et de l'émir du Qatar, Nicolas Sarkozy, l'ancien président de la République, grand supporter du club parisien, n'est pas non plus resté inactif. Mais aucune ligne n'a bougé pour autant.

À l'international, c'est un peu plus positif

Ce plan A est donc fragilisé car beIN Sports ne veut ou ne peut pas assumer seul le risque financier d'un accord à 700 millions d'euros annuels, comme l'a écrit, mercredi, Le Parisien. D'autant que le contrat porte sur cinq ans, soit un total de 3,5 milliards d'euros. Le plan B est donc désormais activé. Il ressemble au plan A, avec toujours une chaîne 100 % L1, en y ajoutant sans doute la Ligue 2, encore porté par beIN Sports, mais en abandonnant l'idée d'une distribution exclusive par le groupe Canal+.

Cette chaîne va être proposée à tous les opérateurs du marché, notamment les FAI (fournisseurs d'accès à internet), mais aussi possiblement à DAZN, l'entreprise britannique qui souhaite se développer sur le marché français.

Cette option excluant Canal+ ne permettra sans doute pas d'atteindre le minimum garanti rêvé par le football français (700 M€ annuels pour les droits domestiques). Mais peut-elle faire bouger la position intransigeante de Canal+ ? Pour l'heure, l'ancien « diffuseur historique » du Championnat de France est en position de force, car il a sécurisé les droits, jusqu'en 2027, de la totalité des Coupes d'Europe en garantissant 480 M€ annuels à l'UEFA. Mais comme l'OM n'est pas qualifiée sur la scène européenne, sans Ligue 1, la locomotive française (avec le PSG) en termes d'audience et de prise d'abonnements va lui faire cruellement défaut.

Concernant les droits internationaux (la vente de la L1 à l'étranger), la situation est plus favorable, puisque la LFP a déjà assuré un total de 125 M€ annuels de recettes contre seulement 80 M€ aujourd'hui. Et il reste des territoires à vendre, ce qui devrait lui permettre d'atteindre environ 160 M€ par an, soit un doublement des revenus sur la scène mondiale.

Il s'agit d'une bonne nouvelle, mais cela ne compense évidemment pas les grandes incertitudes au niveau national. Et cela n'éteint pas les craintes de présidents de club, qui seront sans doute débriefés lors du conseil d'administration et de l'assemblée générale de la Ligue prévus mercredi.

https://www.lequipe.fr/Football/Article ... -b/1471005

D’autant plus que le contentieux est profond et date de 2018. Partenaire historique du Championnat de France, Canal avait été mis hors-jeu par la Ligue qui déroulait le tapis rouge à Mediapro. Le début de l’un des plus grands fiascos de l’histoire du football français. Un affront impardonnable selon Maxime Saada auquel il faut ajouter un vrai problème relationnel entre Vincent Bolloré (propriétaire de Canal) et Vincent Labrune.

Ce que je disais plus haut c'est (aussi) une histoire de concours de zigounettes quoi

Il n'y a pas eu que media pro. Canal est revenu vers la ligue, a repris le championnat quand media pro s'est barré, et ensuite la ligue a préféré vendre le meilleur des matchs une bouchée de pain à Amazon. C'est pas juste un vieux truc passé ils ont persisté dans la tentative de baiser canal+.

Qui entre-temps s'est développé autrement et il va mieux que depuis des années, quoi qu'on puisse penser par ailleurs de ce que malheureusement devenu le groupe d'un point de vue éditorial.

Ils ont les coupes d'Europe. À la limite ils ont juste besoin de négocier individuellement avec l'OM. Comme le dit très bien un article c'est le seul truc qui les intéresse. Mais on a un actionnaire qui fait l'étoile de mer un président qui veut se fâcher avec personne parce que c'est difficile c'est le football, et un directeur sportif qui a un poster de Nasser dans sa chambre.

Un groupe de chaîne hertzienne frapperait un grand coup en proposant un peu de ligue 1 en clair . Mais bon on peut toujours rever

boodream à écrit,

... et un directeur sportif qui a un poster de Nasser dans sa chambre.

Putain quel cauchemar quand même

P.S : je trouve l'idée de Dragan à la fin de son post pas si déconnante moi, on en parle sur le ton de la bravade depuis des années mais est-ce que c'est ce serait si irréaliste que d'imaginer l'OM partir seul pour vendre ses propres droits et avoir un diffuseur exclusif* avec tous nos matchs ?
*apparemment Benfica viens de procéder de la sorte

Allez, on ressuscite la chaîne OM pour suivre nos matchs, les autres on s' en tape

Au fait l'accord avec CVC ne devient pas caduque si jamais il n'y a pas de vente de droits TV, ou en tout cas pas sous la forme habituelle avec appel d'offres, lots diffuseurs exclusifs etc ?

on a un actionnaire qui fait l'étoile de mer un président qui veut se fâcher avec personne parce que c'est difficile c'est le football, et un directeur sportif qui a un poster de Nasser dans sa chambre.

C'est tellement ça

Vendre ses propres droits, je ne sais pas l'OM aurait le droit de le faire en vertu des règlements de la la LFP?

Un truc qui m'interroge quand même dans toute cette histoire de recherche des droits TV, c'est le rôle de CVC?
Les gars ont quand même investit gros au début, et se payent sur la bête au pourcentage.
Ad vitam aeternam certes, mais ils ont quand même un intérêt XXL à ce que le deal TV dont ils toucheront 13% soit au taquet.

On n'en entend pas parler, d'eux dans toute cette séquence, mais vu leur réseaux dans beaucoup de pays, je trouve finalement le truc étonnant qu'ils n'aient pas réussi à actionner un deal. Le peu d'argent qu'ils investi(raient) dans ce process de recherche, leur reviendrait multiplié par beaucoup au moment de venir sucer le bonbon que leur a offert à vie Laburne.

Alexduke, pareil, je comprends pas leur rôle.
Parce que si ça limite à "je vous avance de l'argent mais ensuite j'encaisse à vie une part de vos revenus sans rien faire d'autre", c'est quand même intéressant comme investissement (pour eux)

Modifié en dernier par Lo Provençau le 30 Mai 2024, 12:33, modifié 1 fois.

C'est clairement l'arnaque du siècle. Mais comment tu peux confier ton avenir à Vincent labrune bordel, même si tu es en vieux gâteux et qu'il t'emmène voir des danseuses pour rester le plus soft possible, comment tu peux être assez fou pour faire ça ?

Je reste quand même persuadé que la diffusion du championnat de France de foot reste un bon produit d'appel pour Canal franchement, perso je me désabonne si y'a plus du tout de L1 sur Canal pcq c'est pas pour l'esprit Canal mort et enterré que je me suis abonné.

j'ai des infos qui me montrent que ce n'est pas le cas. Ce n'est pas rentable, ni directement ni indirectement

La lfp qui crée une chaîne ça va être comique...

Cvc doit être ravis

Arno26, bon ben c'est la merde alors ! On va peut-être voir de notre vivant le foot Fr retomber à son niveau d'avant la professionnalisation.

Pancho11, ca change rien pour CVC, ils prendrons 13% des revenus (j'ai bien dit revenus et pas bénéfices)

Après c’est tout simplement qu’on a surévalué notre championnat et que la, on revient à la raison
Il y a le top 4, et il y a le reste.
On s’est menti depuis des années (decenies?) maintenant on va morfler

Canal est devenu beaucoup moins dépendant du foot
Les seuls qui envisagent de surpayer ce sont les boîtes qui sont mal gérées