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Re: Droits Tv 2020 à 2024

23 Mar 2022, 18:27

Ils vont vraiment pouvoir bloquer les iptv ?
Même ceux qui passent par un vpn ?

Re: Droits Tv 2020 à 2024

23 Mar 2022, 18:48

Oui je suis curieux de savoir aussi. C'est pour un ami qui vient juste de souscrire car son équipe préférée a joué un match d'une obscure coupe d'Europe sur une chaine de merde la semaine dernière.

Re: Droits Tv 2020 à 2024

23 Mar 2022, 20:10

Re: Droits Tv 2020 à 2024

23 Mar 2022, 23:06

gob a écrit:Ils vont vraiment pouvoir bloquer les iptv ?
Même ceux qui passent par un vpn ?


Ta réponse est dans ta question (et non où je pense).

Soit "ils" savent où sont les serveurs et les font saisir, soit le piratage a de beaux jours devant lui.
Quand ils comprendront qu'un "Netflix" du sport aura du sens, ils verront leurs recettes augmenter. Nostradamus style.

Re: Droits Tv 2020 à 2024

31 Mar 2022, 16:10

"Droits TV de Ligue 1: Canal+ à nouveau débouté par la justice" : https://www.lefigaro.fr/medias/droits-t ... e-20220331

Re: Droits Tv 2020 à 2024

31 Mar 2022, 22:18

ruby, les procédures les plus redoutables restent à venir. Aussi bien au niveau national qu'au niveau de l'UE, Canal et Be in attaquent la LFP. Là en gros, c'était juste Canal contre Be In en appel, on n'avait peu de doute sur la confirmation du jugement en premier instance. Si en juin prochain la justice dit qu'il faut carrément refaire l'appel d'offres, ça sera autrement plus dramatique.

Re: Droits Tv 2020 à 2024

04 Avr 2022, 20:33

Re: Droits Tv 2020 à 2024

07 Juil 2022, 16:45

Bonne nouvelle Amazon va proposer un abo annuel à 99euros, ca va faire baisser la facture. Tout en laissant celui à 12.99 sans engagement.

Re: Droits Tv 2020 à 2024

07 Juil 2022, 19:47

Je pense prendre l’offre d’ici le 28 août. 49 Amazon prime à l’année et 89€ pour la ligue 1 a l’année, soit 140€… en plus livraison en 1 jour et musique en stream… quand je vois que j’ai pris canal pendant deux ans et qu’on a même pas la ligue, sauf sur canal sport ou décalé…

Au final ils ont fait leur preuve durant la saison passée chez Amazon. Je vais prendre, mon abo canal arrive à sa fin en décembre.

Re: Droits Tv 2020 à 2024

07 Juil 2022, 21:10

Perso j'étais déjà abonné donc je repartais pour la saison avec Amazon sans soucis, donc l'offre à 89€ c'est que du bonus

Re: Droits Tv 2020 à 2024

07 Juil 2022, 22:29

Premier abord, ça a l'air top. Mais en réfléchissant à 2 fous, avec la coupe du monde au milieu, et vu que seul l'Om m'intéresse, je pense que je risque de rester au mois, pour ne pas prendre les fois où l'om ne sera pas sur amazon

Re: Droits Tv 2020 à 2024

08 Juil 2022, 07:16

Pareil.

Et puis Prime permet de regarder The Boyz :mrgreen:

Re: Droits Tv 2020 à 2024

08 Juil 2022, 09:32

font chier Prime de pas proposer la Ligue 1 partout...
d'ailleurs quelqu'un sait si c'est possible d'avoir le prime francais (donc accée L1) en Polynésie francaise ?

Re: Droits Tv 2020 à 2024

08 Juil 2022, 09:39

The Flankeur, sinon VPN.

Re: Droits Tv 2020 à 2024

08 Juil 2022, 09:47

Ouais nordvpn

Re: Droits Tv 2020 à 2024

08 Juil 2022, 10:03

alexduke a écrit:Premier abord, ça a l'air top. Mais en réfléchissant à 2 fous, avec la coupe du monde au milieu, et vu que seul l'Om m'intéresse, je pense que je risque de rester au mois, pour ne pas prendre les fois où l'om ne sera pas sur amazon

L'om risque de passer tous les mois amha, et les deux mois de la cdm seront bien reportés plus tard. Je pense que c'est plus intéressant annuellement.

Re: Droits Tv 2020 à 2024

03 Nov 2022, 16:09

Information
beIN Sports, un avenir assez sportif

Après la Coupe du monde au Qatar, beIN Media Group devrait chercher des investisseurs, minoritaires ou pas, pour trouver un second souffle. ÉTIENNE MOATTI ET SACHA NOKOVITCH

Au Sportel, le rendez-vous international du sport et des médias organisé cette semaine à Monaco, le stand de beIN Sports, longtemps le plus imposant du plateau, a disparu depuis 2019. Un paradoxe au moment où le groupe audiovisuel qatarien, présent sur cinq continents, commence à être rentable sur plusieurs territoires, dont la France après son accord avec Canal + qui gére en exclusivité sa distribution jusqu’en 2025 pour 250 millions d’euros par saison. Cela n’empêche pas l’idée d’un possible désengagement du Qatar dans certains pays, après l’organisation de sa Coupe du monde (20 novembre-18 décembre), de refaire régulièrement surface. En février dernier, Charles Biétry, l’un des artisans du lancement de l’entité française de beIN Sports en 2012, s’interrogeait aussi dans L’Équipe : « J’ai toujours été persuadé qu’après la Coupe du monde de foot au Qatar, il y aurait des changements de stratégie du pays dans pas mal de domaines, notamment au niveau des médias. »

Ces dernières semaines, certains signaux ont pu réinstaller cette idée. Le 14 octobre, le média américain Bloomberg révélait en effet que des fonds d’investissement américains s’intéressaient à beIN Media Group également propriétaire à 51 % de la société hollywoodienne de production Miramax, plutôt dans le cadre d’une prise de participation dans la société audiovisuelle. Tout comme le PIF, le fonds souverain d’Arabie saoudite, qui a racheté le club anglais de Newcastle l’an passé. « beIN Media Group envisage un certain nombre d’options stratégiques », a répété cette semaine un porte-parole de beIN à L’Équipe, refusant toutefois d’en dire davantage. Un autre membre du groupe audiovisuel glisse toutefois que les chances de s’accorder avec les sociétés américaines semblent plus probables malgré la récente reprise des relations diplomatiques et économiques avec l’Arabie saoudite. « On essaie de nous voler et de nous tuer et maintenant on essaie de nous acheter ? », induisait-il en référence au piratage de beIN Sports dans la région MENA (Moyen-Orient et Afrique du Nord) par la chaîne pirate beoutQ de 2017 à 2021 dont le Qatar a toujours soupçonné les Saoudiens d’en être à l’origine…

Néanmoins, signe du réchauffement diplomatique, beIN Media Group a annoncé cette semaine un accord avec une société liée au gouvernement saoudien, Saudi Media CO., qui avait notamment formulé cette année une offre de rachat de Chelsea, sans succès. Elle sera chargée de vendre la publicité de beIN Sports dans toute la région. « Ce n’est que le début, estime Mazen Hayek, consultant médias et ancien porte-parole du diffuseur saoudien MBC. Cet accord pourrait conduire les deux pays et/ou entités à acquérir conjointement, dans le cadre d’un deal plus élargi soutenu par PIF, les droits mondiaux de diffusion et marketing dans la région du Proche et Moyen-Orient et fusionner leurs produits et services, notamment en matière de télé linéaire, câble et diffusion numérique. »

Les différents acteurs ne semblent pas croire à l’option d’un désengagement de beIN Sports du paysage audiovisuel sportif

Car beIN MENA détient, pour le moment seule, tous les droits de diffusion premium dans la région - avec par exemple un deal de droits de diffusion de la Premier League à 500 M€ pour le cycle 2022-2025 - sans parvenir à les rentabiliser. Au Sportel, les différents acteurs ne semblaient en tout cas pas croire à l’option d’un désengagement de beIN Sports du paysage audiovisuel sportif. Y compris Javier Tebas, le président de la Liga, qui dénonçait pourtant récemment le retard de paiement de la dernière échéance du contrat de diffusion de son partenaire, finalement intégralement réglé par la chaîne jeudi (voir par ailleurs). « Je pense que beIN va poursuivre son activité après la Coupe du monde, car ils ont fait des opérations récentes d’achats de droits, la Bundesliga pour trois ans, des compétitions de football dans la zone asiatique également, estime Tebas. Ils auront peut-être un partenaire, mais je pense qu’ils vont continuer. »

Du côté de son allié français Canal+, on ne semble pas croire non plus à l’option d’un désengagement. Et la chaîne cryptée n’aurait d’ailleurs reçu aucun signal allant dans ce sens pour le moment. beIN Media Group rappelle aussi que la grande majorité de ses droits de diffusion ont été signés au-delà de 2022, même si en dehors de la région MENA, la plupart arrivent à échéance en 2024. Sa position lors du renouvellement de certains droits, comme lors du prochain appel d’offres de la Ligue 1 l’an prochain, devrait donner de nouveaux indicateurs.

L'Equipe

Re: Droits Tv 2020 à 2024

03 Nov 2022, 16:21

Information
DROITS TV: BEIN SPORTS, FAUX DÉPART?

Des sources proches de beIN Sports démentent l'hypothèse d'un désengagement prochain du média qatari, détenteur de nombreux droits TV dans le monde du football.

Chaîne qatarie recherche investisseurs minoritaires ou non. Les rumeurs d'un désengagement de beIN Sports deviennent de plus en plus fortes. Argument avancé à l'approche de la Coupe du monde de football au Qatar: la recherche d'un second souffle pour le groupe qatari implanté en France depuis le 1er juin 2012. Contactées par RMC Sport, plusieurs sources proches du média présidé par Yousef Al-Obaidly déclarent que "c'est littéralement un non-sens".

"Être plus discipliné, être intelligent, être rentable, croître partout, lancer de nouvelles plateformes, investir derrière nous pour devenir plus global et se développer, c'est exactement le contraire de sortir. Nous venons de signer un accord avec l'AFC (Confédération asiatique de football, ndlr) jusqu'en 2032", font savoir ces sources.

Une importance encore "plus grande" après le Mondial?

"Nous entendons ce discours depuis des années, nous l'ignorons simplement, ajoutent-elles. L'importance de beIN et de QSI (Qatar Sports Investments, propriétaire du Paris Saint-Germain) ne sera jamais plus grande une fois la Coupe du monde passée".

Les 64 matchs du Mondial 2022 au Qatar seront proposés par beIN Sports, qui diffuse en temps normal des matchs de Ligue 2, Bundesliga, Liga, Serie A et de Ligue des champions en ce qui concerne le football. Le groupe détient aussi des lots de la Ligue 1 qu'il sous-licencie à Canal+.

Le groupe qatari, qui dispose de filiales dans d'autres régions du monde, s'est dernièrement retrouvé en conflit avec LaLiga, l'instance dirigeante du football professionnel espagnol. Celle-ci, accusant beIN d'être en retard dans des paiements pour les droits TV, avait engagé une procédure judiciaire. Un tribunal espagnol avait alors ordonné, le 10 octobre, le gel provisoire de 50 millions d'euros. beIN a ensuite fait savoir que le paiement réclamé avait été honoré.

RMC

Re: Droits Tv 2020 à 2024

10 Fév 2023, 19:33

Re: Droits Tv 2020 à 2024

28 Avr 2023, 10:21

Information
Médias; Quelles perspectives pour les droits TV de la L1?

À six mois du lancement de l'appel d'offres sur les droits de la Ligue 1, la chaîne cryptée semble se préparer à s'en séparer.

La Ligue, elle, prospecte. La scène se déroule fin janvier, dans un restaurant italien à Paris. Maxime Saada, président de Canal+, et Vincent Labrune, patron de la Ligue et de la nouvelle société commerciale chargée de commercialiser les droits de la Ligue 1, se sont salués avant leurs déjeuners respectifs. À la fin du repas, en partant, le premier lance au second, toujours attablé : « Tu me laisses la note, comme d'habitude ? »Une allusion à peine voilée aux 332 M€ payés par sa chaîne pour deux matches par journée de L1, somme qu'il récuse depuis le deal signé entre Amazon et la Ligue en juin 2021 (*).(*) 250 M€ pour huit matches par journée, dont le top 10 de la saison.Les rires fusent et Saada s'éloigne. Pierre-Antoine Capton, célèbre producteur télé, président de Caen (L2) et ami proche de Labrune, était l'invité de Saada ce jour-là.

Il se souvient : « Leur rencontre était un pur hasard. Vincent déjeunait avec le président de Lens (Joseph Oughourlian). La réplique était drôle et ne m'a pas surpris. Maxime a beaucoup d'humour... »

Le rêve du milliard

À l'automne prochain, le ton devrait être plus sérieux lorsque la Ligue présentera un nouvel appel d'offres pour les droits de diffusion du Championnat, a priori pour la période 2024-2028. Pour l'heure, Labrune en garde les contours secrets. Il faut dire que l'enjeu est grand.Son objectif est connu du milieu : le milliard d'euros par saison pour les droits nationaux (663 M€ aujourd'hui) et internationaux. Avant de viser les 1,8 milliard d'euros en 2028, le montant qu'il a cette fois publiquement affiché l'été dernier, après la signature du deal avec CVC (1,5 Md€ alloué contre 13 % des parts de la filiale commerciale de la LFP).

Pour atteindre de tels niveaux, le patron de la Ligue a nommé un DG à la tête de la société commerciale, Benjamin Morel, ex-patron du Tournoi des Six Nations, passé par la NBA, en poste depuis le 27 mars. Martin Aurenche, en charge des acquisitions de droits pour beIN Media Group depuis 2011, vient lui aussi d'être recruté. Il s'occupait notamment de la revente des droits de la L1 à l'étranger, gérée par beIN depuis 2018...

Et la LFP compte justement sur une sérieuse hausse de leur montant pour parvenir à ses fins. Le contrat actuel ne rapporte que 80 M€ par an à la Ligue française alors que la Liga espagnole en touche dix fois plus.

Les Gafam comme solution ?

Labrune pense pouvoir intéresser les acteurs mondiaux comme Apple... Sauf que le géant américain vient de lancer son passe sur la MLS (le Championnat nord-américain) au prix exorbitant de 13,99 € par mois en France.Pas vraiment de quoi séduire le consommateur européen... Apple envisagerait pourtant de se tester directement sur le Vieux Continent avec des droits premium. La marque à la pomme a recruté en 2020, comme directeur des sports, James DeLorenzo, qui avait initié pour Amazon, en 2019, le premier deal avec Roland-Garros et dont la priorité serait aujourd'hui la Premier League (l'appel d'offres doit être lancé prochainement...). Mais la Ligue pense néanmoins avoir des arguments pour la séduire.Par ailleurs, Amazon, qui vient de renouveler ses droits sur le tournoi du Grand Chelem français jusqu'en 2027, souhaite prolonger l'aventure en L1. On murmure que l'Américain pourrait même formuler une offre globale pour les droits nationaux et internationaux... mais pas à n'importe quel prix.Le possible intérêt de la plateforme norvégienne ViaPlay, récemment lancée aux États-Unis et qui avait tenté de s'offrir la Premier League en 2021 pour le marché français, n'a pas non plus échappé à la Ligue.

Chez Canal, politique de la « désintox »...

Elle doit en revanche composer avec le contexte actuel du football professionnel de l'Hexagone. Entre la cinquième place de la France à l'indice UEFA menacée par les Pays-Bas, après un parcours raté des clubs français en Coupes d'Europe cette saison, et les possibles départs des stars du PSG comme Lionel Messi, Neymar voire Kylian Mbappé, le produit Ligue 1 a déjà été plus attractif.Par ailleurs, la Ligue ne peut se contenter de miser sur les seuls Gafam (Google, Apple, Facebook, Amazon, Microsoft) et doit continuer d'intégrer les acteurs traditionnels pour espérer faire monter les prix.Sauf que les opérateurs télécoms, grands contributeurs des années 2010, désertent désormais l'industrie des contenus pour concentrer leurs investissements sur le développement de la fibre et de la 5G.À l'instar de SFR, qui maintient RMC Sport a minima, ou BT, qui a vendu BT Sport à Warner Bros Discovery au Royaume-Uni... Discovery justement, propriétaire d'Eurosport, doit aussi réaliser des économies. Sa présence, en force, sur l'appel d'offres de la L1 semble donc très peu probable. Free souhaiterait poursuivre son aventure sur le quasi-direct mais en revoyant le tarif à la baisse (42 M€ par saison actuellement).

Restent les historiques diffuseurs du Championnat, beIN Sports et Canal +.

Le premier est désormais totalement dépendant du second, qui gère toute sa distribution contre 250 M€ par saison. Ravi d'être enfin rentable via ce contrat conclu jusqu'en 2025 (plus cinq années renouvelables), le groupe franco-qatarien ne souhaiterait plus investir d'importants montants sans garanties financières de son partenaire. Or Canal + poursuit sa cure de « désintox » de la Ligue 1. Depuis l'été 2021, le groupe a prolongé la Premier League - cette fois en exclusivité - jusqu'en 2025, s'est offert toutes les Coupes d'Europe, dont la nouvelle formule de la Ligue des champions à partir de 2024, a prolongé la F1 et la moto jusqu'en 2029 et doublé sa production-acquisition de documentaires sport.Canal a aussi poursuivi sa politique d'agrégation des plateformes avec la distribution récente de Paramount + après celles de Netflix et Disney +, et avec l'arrivée imminente (20 avril) d'AppleTV + et celle espérée de Prime Video. Les accords avec le cinéma français et les studios américains ont également été renouvelés. De quoi permettre à la chaîne cryptée de montrer qu'elle réduit sa dépendance à son droit sportif historique....et une rancune tenace

En coulisse, la direction de Canal, après avoir tout fait pour éloigner de son antenne premium la Ligue 1, scruterait même avec attention le jour où l'audience du Top 14 (très bien exposé) devancera celle de la Ligue 1. Ses multiples procédures judiciaires engagées sans succès contre la Ligue n'ont pas non plus arrangé la donne.Canal + a longtemps espéré obtenir une forme de compensation... qui n'est jamais venue. Alors, malgré les blagues, la rancoeur semble tenace. Si on ne peut affirmer totalement que la chaîne cryptée ne sera pas de la partie à l'automne prochain, on peut néanmoins dire que sa présence sonnerait pour la première fois comme une véritable petite surprise.

L'Equipe
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