10 Jan 2018, 00:13
10 Jan 2018, 00:42
10 Jan 2018, 01:57
10 Jan 2018, 03:01
gigi a écrit:Dragan, c'est clair. Autant Berizzo avait un minimum de CV et un certain potentiel, autant Pablo&Daniel c’était de la grande escroquerie made in Courbis.
Seize ans après, Rolland Courbis a toujours des choses à préciser. L’actuel entraîneur de Montpellier accepte encore difficilement de passer pour l’unique responsable du transfert de Laurent Blanc de l’OM vers l’Inter Milan à l’issue de la saison 1998-1999. Un départ qui a enclenché la fin de l’histoire avec son club de cœur. "Je l’ai pris tout seul dans la gueule alors que c’était une décision économique et sportive en concertation avec Robert Louis-Dreyfus, soupire Courbis. Il ne restait qu’un an de contrat à Laurent. On avait une offre de 25 millions de francs (18 en fait) pour un joueur de 35 ans (33 en fait) qui pouvait tripler son salaire et bénéficier d’une semaine pour préparer les matches, vu que l’Inter ne disputait pas la Ligue des champions. Je ne voyais pas comment on pouvait le retenir."
A l’époque, Laurent Blanc avait publiquement accusé son entraîneur de l’avoir placé sur le marché des transferts alors qu’il comptait terminer sa carrière à l’OM. Le libero des Bleus était d’autant plus surpris que ses rapports avec Rolland Courbis étaient "bons, en tout cas pas mauvais". Ce dernier reconnaît que cette décision a marqué, pour lui, "le début de la fin à l’OM". Six mois plus tard, il quittait le club par la petite porte après un début de saison raté où l’absence d’un taulier en défense s’était fait sentir. "A la base, je voulais Walter Samuel (Boca Juniors) mais l’AS Rome avait un coup d’avance, assure l’intéressé. Ensuite, je visais Gabriel Milito (Independiente) mais ça avait capoté sur un coup du sort. C’est finalement Eduardo Berizzo (River Plate) qui est arrivé et il n’avait pas l’envergure de Laurent Blanc."
Tension à Metz
Deux ans plus tôt, c’est lui qui avait fait venir le défenseur de l’équipe de France en provenance de Barcelone pour être le socle du nouveau projet marseillais. "Deux bonnes saisons avec trois derniers mois un peu difficiles", synthétise Courbis aujourd’hui. L’OM avait laissé le titre à Bordeaux à la dernière journée et perdu contre Parme en finale de la Coupe de l’UEFA (0-3). Il se disait alors que l’erreur de Blanc sur l’ouverture du score de Crespo avait scellé son sort dans l’esprit de son entraîneur. Courbis dément mais reconnaît un autre point de tension avec Blanc, lors de leur première saison commune. Le 6 mars 1998, l’OM se déplace à Metz. A sept journées de la fin, les deux équipes sont à égalité en tête du classement.
"Le matin du match, Laurent m’informe qu’il ne va pas pouvoir jouer, rembobine Courbis. Je ne comprends pas. Je lui demande si c’est le 1er avril. Mais non, il estime que la blessure qu’il traîne risque de s’aggraver. On est à trois mois de la Coupe du monde. Sur le moment, ça m’inquiète que l’équipe de France soit plus importante que l’OM dans sa réflexion. Mais avec du recul, que peut-on reprocher à ça ? Mais je l’ai en travers car il me prévient au dernier moment. Et j’ai doublement les boules car j’ai laissé un autre défenseur (Teddy Bertin) à Marseille pour jouer en CFA. Si on gagne à Metz, on ne perd pas le championnat." Marseille s’incline et échoue à la 4e place deux mois plus tard. « On a été en froid. Depuis, tout est rentré dans l’ordre », sourit Rolland Courbis qui ne manque pas une occasion de dire tout le bien de l’entraîneur qu’est devenu Laurent Blanc.
10 Jan 2018, 05:25
10 Jan 2018, 08:07
10 Jan 2018, 16:18
gigi a écrit:Dragan a écrit:C'est pas cet ete la qu'on fait Calendria et l'autre argentin improbable aussi ? Il nous avait completement foutu en l'air cet ete la... Maudit soit il.
Montenegro ?
13 Jan 2018, 01:09
13 Jan 2018, 13:51
13 Jan 2018, 16:54
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