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Dragan a écrit:
Révolution, acte 2 ? Doha reprend les choses en main. Et comme souvent avec l’Émir, qui avait décidé de l’éviction de Laurent Blanc en 2016 suite à l’élimination face à City, l’opération se fait avec fracas. Nous expliquerons en détail dans les prochains jours comment le Qatar est en train de réorganiser le Paris Saint-Germain, après une succession d’échecs en Ligue des champions qui le fatiguent.
Le souverain en personne a décidé de serrer la vis. De fait, tout le monde au PSG est potentiellement en danger. Notamment Antero Henrique, qui s’entend de moins en moins avec la partie qatarienne du club (Nasser Al-Khelaïfi , Jean Martial Ribes), ce qui explique, non seulement les luttes intestines actuellement en vigueur au club mais aussi leur intensité. Le directeur sportif portugais, qui avait pourtant obtenu les pleins pouvoirs sportifs de Doha l’été dernier, n’arrive pas à obtenir gain de cause sur le dossier du futur coach parisien. Son pouvoir d’influence diminue de jour en jour. S’il a confié à plusieurs reprises qu’il ne resterait pas éternellement au Paris Saint-Germain, il n’a jamais non plus cacher son attirance pour l’Eldorado chinois et ses promesses de richesse. Ainsi, l’ex-portista pourrait ne pas durer à Paris, alors qu’un nom revient sur le devant de la scène : Arsène Wenger.
Cible éternelle
Fantasme absolu et cible prioritaire de Doha depuis la reprise du club (2011), l’Alsacien a toujours fait l’unanimité auprès de l’Emir et ses plus proches conseillers. Or, 22 ans après son arrivée à la tête d’Arsenal, Wenger vient d’annoncer son départ du club londonien, à 68 ans, après ce long règne. « Après sérieuses considérations et des discussions avec le club, je sens que c’est le bon moment pour moi de prendre du recul à la fin de la saison. Je suis reconnaissant d’avoir eu le privilège de servir le club pendant de si nombreuses et mémorables années. J’ai dirigé le club avec un engagement total et avec intégrité. Je veux remercier le staff, les joueurs, la direction et les fans qui rendent ce club spécial. J’appelle nos fans à être derrière l’équipe pour bien finir la saison. À tous les amoureux d’Arsenal qui chérissent les valeurs du club. Mon amour et mon soutien éternels », explique le Français via un communiqué publié sur le site officiel des Gunners, ce vendredi matin. Un timing qui va dans le sens d’une possible arrivée au Paris Saint-Germain, qui essaye chaque année d’attirer Wenger.
Vers un rôle de manager général
Si son arrivée n’est pas actée, nous pouvons cependant affirmer que des bruits persistants indiquent que le recrutement de Wenger à Paris en tant que manager général du club, est dans les cartons de Doha depuis quelque temps. Cette idée a ressurgi dernièrement au gré de la restructuration envisagée, et semble plus que jamais une évidence aux yeux du board qatarien. Signe que des tractations sont en cours, la présence de son avocat dans la capitale parisienne, ce jeudi. Ce qui impliquerait la révocation d’Antero Henrique. L’ officialisation, du départ de l’ancien consultant de TF1, ce jour, tendrait à confirmer cette piste, qui revient dans l’état-major du club depuis des semaines. « J’ai toujours été proche du PSG, j’ai toujours supporté le PSG », disait l’Alsacien au mois de mars dernier sur beIN Sports, quand on l’interrogeait sur le club de la capitale. Il avait d’ailleurs jouer les conseillers de l’ombre, lors de la présidence de son grand ami Charles Villeneuve. Nasser Al-Khelaifi a connu Arsène Wenger à Al-Jazeera Sport, via Sophie Jordan, son avocate française, et Serge Kotchounian, l’agent d’image de l’entraîneur français.
Entre les deux hommes existe un lien d’amitié, bien qu’ils ne soient pas de la même génération. Cette complicité, entre deux personnalités qui aiment échanger dès que l’occasion s’y prête, date des années 2000, alors que Nasser Al-Khelaïfi pas encore président du Paris Saint-Germain. Par la suite, devenu alors le boss du club de la Ville Lumière, le Qatarien a tenté à plusieurs reprises d’attirer l’ancien monégasque à Paris. Sans succès. Attaché à Arsenal, Wenger a toujours rejeté jusqu’ici les offres parisiennes, alors que la politique de recrutement du club londonien est aux antipodes de celles du PSG. Si son arrivée devait s’effectuer dans les prochaines semaines, le Français occuperait alors le rôle de manager général du club, et non pas celui d’entraîneur. Thomas Tuchel, qui a un accord avec Doha, occuperait alors le banc du club de la capitale.
Un an après le mercato estival faramineux du club, le Paris Saint-Germain changerait de nouveau de direction, et les pouvoirs sportifs seraient occupés par le binôme Tuchel-Wenger. Deux hommes passionnés par la stratégie, qui possèdent en commun une vision très scientifique du football. Rien n’étant pleinement finalisé, ni pour l’un, ni pour l’autre puisque des contacts existent entre Thomas Tuchel et Arsenal, à suivre.
Dragan a écrit:Wenger qui va etre directeur sportif du psg selon Paris United, Gros LOLRévolution, acte 2 ? Doha reprend les choses en main. Et comme souvent avec l’Émir, qui avait décidé de l’éviction de Laurent Blanc en 2016 suite à l’élimination face à City, l’opération se fait avec fracas. Nous expliquerons en détail dans les prochains jours comment le Qatar est en train de réorganiser le Paris Saint-Germain, après une succession d’échecs en Ligue des champions qui le fatiguent.
Le souverain en personne a décidé de serrer la vis. De fait, tout le monde au PSG est potentiellement en danger. Notamment Antero Henrique, qui s’entend de moins en moins avec la partie qatarienne du club (Nasser Al-Khelaïfi , Jean Martial Ribes), ce qui explique, non seulement les luttes intestines actuellement en vigueur au club mais aussi leur intensité. Le directeur sportif portugais, qui avait pourtant obtenu les pleins pouvoirs sportifs de Doha l’été dernier, n’arrive pas à obtenir gain de cause sur le dossier du futur coach parisien. Son pouvoir d’influence diminue de jour en jour. S’il a confié à plusieurs reprises qu’il ne resterait pas éternellement au Paris Saint-Germain, il n’a jamais non plus cacher son attirance pour l’Eldorado chinois et ses promesses de richesse. Ainsi, l’ex-portista pourrait ne pas durer à Paris, alors qu’un nom revient sur le devant de la scène : Arsène Wenger.
Cible éternelle
Fantasme absolu et cible prioritaire de Doha depuis la reprise du club (2011), l’Alsacien a toujours fait l’unanimité auprès de l’Emir et ses plus proches conseillers. Or, 22 ans après son arrivée à la tête d’Arsenal, Wenger vient d’annoncer son départ du club londonien, à 68 ans, après ce long règne. « Après sérieuses considérations et des discussions avec le club, je sens que c’est le bon moment pour moi de prendre du recul à la fin de la saison. Je suis reconnaissant d’avoir eu le privilège de servir le club pendant de si nombreuses et mémorables années. J’ai dirigé le club avec un engagement total et avec intégrité. Je veux remercier le staff, les joueurs, la direction et les fans qui rendent ce club spécial. J’appelle nos fans à être derrière l’équipe pour bien finir la saison. À tous les amoureux d’Arsenal qui chérissent les valeurs du club. Mon amour et mon soutien éternels », explique le Français via un communiqué publié sur le site officiel des Gunners, ce vendredi matin. Un timing qui va dans le sens d’une possible arrivée au Paris Saint-Germain, qui essaye chaque année d’attirer Wenger.
Vers un rôle de manager général
Si son arrivée n’est pas actée, nous pouvons cependant affirmer que des bruits persistants indiquent que le recrutement de Wenger à Paris en tant que manager général du club, est dans les cartons de Doha depuis quelque temps. Cette idée a ressurgi dernièrement au gré de la restructuration envisagée, et semble plus que jamais une évidence aux yeux du board qatarien. Signe que des tractations sont en cours, la présence de son avocat dans la capitale parisienne, ce jeudi. Ce qui impliquerait la révocation d’Antero Henrique. L’ officialisation, du départ de l’ancien consultant de TF1, ce jour, tendrait à confirmer cette piste, qui revient dans l’état-major du club depuis des semaines. « J’ai toujours été proche du PSG, j’ai toujours supporté le PSG », disait l’Alsacien au mois de mars dernier sur beIN Sports, quand on l’interrogeait sur le club de la capitale. Il avait d’ailleurs jouer les conseillers de l’ombre, lors de la présidence de son grand ami Charles Villeneuve. Nasser Al-Khelaifi a connu Arsène Wenger à Al-Jazeera Sport, via Sophie Jordan, son avocate française, et Serge Kotchounian, l’agent d’image de l’entraîneur français.
Entre les deux hommes existe un lien d’amitié, bien qu’ils ne soient pas de la même génération. Cette complicité, entre deux personnalités qui aiment échanger dès que l’occasion s’y prête, date des années 2000, alors que Nasser Al-Khelaïfi pas encore président du Paris Saint-Germain. Par la suite, devenu alors le boss du club de la Ville Lumière, le Qatarien a tenté à plusieurs reprises d’attirer l’ancien monégasque à Paris. Sans succès. Attaché à Arsenal, Wenger a toujours rejeté jusqu’ici les offres parisiennes, alors que la politique de recrutement du club londonien est aux antipodes de celles du PSG. Si son arrivée devait s’effectuer dans les prochaines semaines, le Français occuperait alors le rôle de manager général du club, et non pas celui d’entraîneur. Thomas Tuchel, qui a un accord avec Doha, occuperait alors le banc du club de la capitale.
Un an après le mercato estival faramineux du club, le Paris Saint-Germain changerait de nouveau de direction, et les pouvoirs sportifs seraient occupés par le binôme Tuchel-Wenger. Deux hommes passionnés par la stratégie, qui possèdent en commun une vision très scientifique du football. Rien n’étant pleinement finalisé, ni pour l’un, ni pour l’autre puisque des contacts existent entre Thomas Tuchel et Arsenal, à suivre.
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