Marseille, c'est pas Paris
Blague à part, je rejoins l'avis de
Fennec. Quand les mecs veulent jouer, tu les vois capables de faire vivre le ballon, de se créer des belles occasions et de faire un bon pressing. Et quand ils ne veulent plus, qu'on soit devant à la marque ou pas, tu sens que chaque possession adverse peut faire mal.
En tout cas, on a su gérer l'absence de Bafé en s'imposant sur les deux derniers matchs (les seuls abordables sans Gomis) le tout en marquant sept buts. C'est de bon augure, ça nous permettra d'éviter de le faire revenir trop vite.