[LOSC 2017] - Gerard Lopez L2 Trading Project

[randoulou]

Enyama y est encore non ?
Son remplaçant se débrouille pas mal aussi.

[Dragan]

Information

Des investisseurs pour Lille
En grande difficulté sur le terrain et dans les tribunes, Lille n'est pas non plus au mieux financièrement. Mais des investisseurs ont approché Gérard Lopez.

Lille est dans le rouge, et c'est un euphémisme. Au classement, dans le jeu, et dans les tribunes. Mais également en dehors, où le club devra faire face à ses responsabilités en fin de saison. La situation financière est très complexe et aléatoire. D'où la question qui se pose en interne : faut-il ouvrir le capital du club avant le 30 juin ? Une réflexion nourrie par les approches récentes reçues par le propriétaire du LOSC, Gérard Lopez. En marge de la venue du PSG, le 3 février dernier, des Thaïlandais sont venus pour sonder l'atmosphère et échanger à propos de leur souhait de s'impliquer financièrement dans le club.

Mais le boss lillois a surtout reçu une offre de la part d'investisseurs biélorusses, prêts à apporter de l'argent frais. Problème, dans les deux cas de figure, ces partenaires financiers sont intéressés par une prise de majorité dans le capital à hauteur de 51%, ce qui ne serait absolument pas le désir de Lopez. L'homme d'affaires hispano-luxembourgeois tient à son histoire avec Lille, il ne souhaiterait pas perdre le contrôle du navire et voudrait garder la majorité des actifs.
De bonnes nouvelles sont arrivées des tribunaux
Il pourrait du coup se passer d'éventuels associés après les dernières bonnes nouvelles en provenance des tribunaux. En effet, le cas Bielsa était un paramètre inquiétant pour la viabilité du projet. Dans le conflit qui oppose le LOSC à son ancien entraîneur, qui lui réclame une vingtaine de millions d'euros de salaires et de préjudices confondus, les Nordistes ont remporté une bataille importante puisque le tribubal de commerce de Lille vient de condamner Bielsa à verser 300 000 euros au club. Un début, car il faudra beaucoup plus d'argent pour redonner de l'espoir aux supporters du LOSC et des garanties pour rassurer les nombreux salariés du club.

FF

[Bibpanda]

Biélorusses et Thaïlandaises, pas mal comme origine pour l'argent, cela ne sent pas du tout la pègre qui veut en profité.

[Kenshi]

Au pire il peut trouver du soutien ailleurs. Un trio Lopez / Mammadov / Kachkar me semble être la meilleure garantie pour l'avenir du LOSC.

[Castor_Troy]

[Vodevil]

Pas pire que l'argent du terrorisme.

[ruby]

C'est pas Riolo en début de saison qui jugeait le projet du Losc bien plus intéressant et abouti que le nôtre ?

[Dragan]

[Odd]

Je crois que les titres de topic de club n'ont jamais été aussi bien choisis.

J'espère que celui de Lyon ne se confirmera pas dimanche.

[ruby]

Information

Des investisseurs pour Lille
En grande difficulté sur le terrain et dans les tribunes, Lille n'est pas non plus au mieux financièrement. Mais des investisseurs ont approché Gérard Lopez.

Lille est dans le rouge, et c'est un euphémisme. Au classement, dans le jeu, et dans les tribunes. Mais également en dehors, où le club devra faire face à ses responsabilités en fin de saison. La situation financière est très complexe et aléatoire. D'où la question qui se pose en interne : faut-il ouvrir le capital du club avant le 30 juin ? Une réflexion nourrie par les approches récentes reçues par le propriétaire du LOSC, Gérard Lopez. En marge de la venue du PSG, le 3 février dernier, des Thaïlandais sont venus pour sonder l'atmosphère et échanger à propos de leur souhait de s'impliquer financièrement dans le club.

Mais le boss lillois a surtout reçu une offre de la part d'investisseurs biélorusses, prêts à apporter de l'argent frais. Problème, dans les deux cas de figure, ces partenaires financiers sont intéressés par une prise de majorité dans le capital à hauteur de 51%, ce qui ne serait absolument pas le désir de Lopez. L'homme d'affaires hispano-luxembourgeois tient à son histoire avec Lille, il ne souhaiterait pas perdre le contrôle du navire et voudrait garder la majorité des actifs.
De bonnes nouvelles sont arrivées des tribunaux
Il pourrait du coup se passer d'éventuels associés après les dernières bonnes nouvelles en provenance des tribunaux. En effet, le cas Bielsa était un paramètre inquiétant pour la viabilité du projet. Dans le conflit qui oppose le LOSC à son ancien entraîneur, qui lui réclame une vingtaine de millions d'euros de salaires et de préjudices confondus, les Nordistes ont remporté une bataille importante puisque le tribubal de commerce de Lille vient de condamner Bielsa à verser 300 000 euros au club. Un début, car il faudra beaucoup plus d'argent pour redonner de l'espoir aux supporters du LOSC et des garanties pour rassurer les nombreux salariés du club.

FF

La conclusion de cet article est non seulement ridicule mais révèle une nouvelle fois l'amateurisme des journaleux aujourd'hui.
Cf mes explications à ce sujet dans les pages précédentes de ce topic

[Dragan]

[randoulou]

Galtier avait pas demandé à ses joueurs le no comment ?

[gigi]

randoulou, parce que tu crois qu’il y a encore une autorité dans ce club ?

[Remind]

Un autre éclairage. Article qui aurait pu être écrit par Rob77, j’aurais pu être d’accord sur plein de choses, s’il ne légitimait, dans le fond, la violence des supporters.

Information

Le Monde | 12.03.2018 à 13h43 • Mis à jour le 12.03.2018 à 14h37 |
Par Alexandre Pedro

Chronique. Même aussi stupide qu’intolérable et condamnable, la violence physique renseigne toujours sur ceux qui l’infligent et ceux qui la subissent. Samedi soir, lors de la 29e journée de Ligue 1, des supporteurs ont frappé leurs propres joueurs. Il y a ce que disent les images et il y a le son. Les images montrent un groupe de 200 à 300 supporteurs du LOSC envahir la pelouse du stade Pierre-Mauroy après un match nul concédé contre Montpellier (1-1) et, pour certains, s’en prendre physiquement à ceux qu’ils encourageaient encore quelques minutes auparavant. Cette foule menaçante hurle le même mot d’ordre : « Mouillez le maillot ! » Soit le mantra préféré des supporteurs dont l’équipe ne gagne plus. Lille, 19e et relégable malgré le 5e budget prévisionnel de Ligue 1, est bien dans ce cas-là.
Lire aussi : Football : les supporteurs du LOSC assument l’envahissement du terrain, pas les violences

Depuis que l’homme d’affaires hispano-luxembourgeois Gérard Lopez a repris le LOSC à l’été 2016, les supporteurs voient leur club évoluer comme dans une mauvaise partie de Football Manager, à moins qu’il s’agisse d’une métaphore d’un sport dans lequel le néolibéralisme le plus assumé tient les joueurs pour des actifs, sur lesquels on spécule avec l’argent de fonds vautours en une-deux avec des paradis fiscaux. Pour 70 millions d’euros, treize recrues sont arrivées dans le Nord en début de saison, venues d’un peu partout (Argentine, Brésil, Côte d’Ivoire, Pays-Bas, Portugal). Jeunes et perfectibles, ils devaient progresser sous les ordres d’un Marcelo Bielsa, caution technique et morale d’un projet au nom à peine ronflant : « LOSC Unlimited ».

Prud’hommes et investisseur hongkongais

L’Argentin allait bien valoriser ces actifs dénichés par le directeur sportif, Luis Campos, déjà à la manœuvre à Monaco. Et tant pis si les deux se détestaient cordialement. On était dans du trading purement capitalistique, mais Gérard Lopez vendait un projet gagnant-gagnant, promettant football léché et Coupe d’Europe aux fans et des ronflantes plus-values lors des prochains mercatos à ses investisseurs. Pas vraiment convaincue par le montage financier de Lopez, la Direction nationale du contrôle de gestion (DNCG), le gendarme financier du football français, a interdit le LOSC de recrutement et le menace d’une rétrogradation administrative, qui pourrait s’ajouter à celle sur le terrain. Bielsa a été débarqué et réclame plus de 18 millions à son ancien patron, mais le technicien argentin a perdu la première manche juridique devant le tribunal de commerce de Lille, la deuxième devant se jouer mardi 13 mars devant les prud’hommes.

On en est là. Selon une information de Canal+, Lopez recevait samedi dans sa loge un investisseur hongkongais providentiel pendant que sur le terrain, ses « actifs » étaient protégés des coups de leurs supporteurs par les stadiers.

Ces joueurs forment une armée mexicaine en déroute dirigée par Christophe Galtier. Pour situer la logique du projet, disons que sa vision du football et celle de Marcelo Bielsa sont aussi proches que les cinémas de Fabien Onteniente et d’Ingmar Bergman. On demande à ces joueurs de sauver la peau d’un club qui ne s’appartient plus. Les voilà coincés entre des dirigeants probables fossoyeurs d’une histoire – le LOSC, successeur de l’Olympique lillois, dominait le football français d’après-guerre – et des supporteurs qui s’en disent les derniers garants. Même s’ils ne sont que de passage, ces joueurs ont livré samedi un match avec leurs limites et doutes du moment mais avec tout le professionnalisme possible. Ils ont mené contre une équipe mieux classée (6e) avant de se faire rejoindre. On appelle ça le football. Sauf que certains ne l’entendent pas ainsi.

« La suite logique et inexorable du flou financier »

Dimanche après-midi, un communiqué des ultras du groupe de supporteurs Dogues Virage Est (DVE) assumait les débordements tout en condamnant les violences. Il en donnait les causes : « Ces événements sont la suite logique et inexorable du flou financier entourant le club et de l’investissement personnel irrégulier ou inexistant de la majorité des joueurs. »

Propulsé capitaine à 24 ans et garant de l’identité d’un club qu’il n’a rejoint qu’en 2015, Ibrahim Amadou tentait tant bien que mal de recoller les morceaux. De comprendre tout en condamnant.

« Qu’ils soient déçus, je suis tout à fait d’accord, mais ils auraient pu exprimer leur mécontentement autrement. Ceux qui veulent nous soutenir jusqu’à la fin de saison sont les bienvenus au stade. Pour les autres, ce n’est pas la peine de revenir. »

La justice devrait s’en charger elle-même après les différentes plaintes déposées par la direction lilloise. Amadou a, lui, neuf matchs pour encore un peu « mouiller le maillot » avant d’être vendu cet été pour 15 millions ou plus à un club anglais. Il contribuera alors à rembourser – un peu – les emprunts obligatoires de Lux Royalty, la holding luxembourgeoise qui détient le LOSC. Les supporteurs, et peut-être même ceux qui l’ont menacé samedi dernier, regretteront le départ de celui qui aura fait son boulot le mieux possible.

[Marseillais-du-93]

J'aimerais vraiment savoir ce qui a poussé Bielsa à signer dans ce club, sachant qu'il est en froid avec Campos et que c'est ce dernier qui fera le plus gros du recrutement, vu son réseau et sa "qualité" à trouver des jeunes crack. On l'a vu chez nous ce que ça a donné à l'aube de sa deuxième saison, ainsi qu'avec la Lazio, si il n'a pas ses joueurs demandé (après l'accord du club) il s'en va. J'ai pas l'impression qu'il ait imposé quoi que ce soit.

Du coup est-ce qu'il y croyait a ce projet? Est-ce qu'il entretient cette sois disant grande amitié avec Lopes et lui a fait une confiance aveugle? Je sais que le personnage peut interpeller, mais ça reste une des seuls (rare) personne à avoir une vrai honnêteté, un tel amour pour le foot et un dévouement sans faille.
Ca me rend dingue de lire ce cadavre de Seydoux lui balancer l'entière responsabilité de ce fiasco, sachant que c'est lui même qui a balancé le club aux mains d'un homme peux scrupuleux. Cette manière de se dédouaner aussi facilement sur un seul homme, c'est tellement grotesque! Je souhaite de tout mon cœur voir Bielsa récupérer son gros chèque.

Un autre éclairage. Article qui aurait pu être écrit par Rob77, j’aurais pu être d’accord sur plein de choses, s’il ne légitimait, dans le fond, la violence des supporters.

Information

Le Monde | 12.03.2018 à 13h43 • Mis à jour le 12.03.2018 à 14h37 |
Par Alexandre Pedro

Chronique. Même aussi stupide qu’intolérable et condamnable, la violence physique renseigne toujours sur ceux qui l’infligent et ceux qui la subissent. Samedi soir, lors de la 29e journée de Ligue 1, des supporteurs ont frappé leurs propres joueurs. Il y a ce que disent les images et il y a le son. Les images montrent un groupe de 200 à 300 supporteurs du LOSC envahir la pelouse du stade Pierre-Mauroy après un match nul concédé contre Montpellier (1-1) et, pour certains, s’en prendre physiquement à ceux qu’ils encourageaient encore quelques minutes auparavant. Cette foule menaçante hurle le même mot d’ordre : « Mouillez le maillot ! » Soit le mantra préféré des supporteurs dont l’équipe ne gagne plus. Lille, 19e et relégable malgré le 5e budget prévisionnel de Ligue 1, est bien dans ce cas-là.
Lire aussi : Football : les supporteurs du LOSC assument l’envahissement du terrain, pas les violences

Depuis que l’homme d’affaires hispano-luxembourgeois Gérard Lopez a repris le LOSC à l’été 2016, les supporteurs voient leur club évoluer comme dans une mauvaise partie de Football Manager, à moins qu’il s’agisse d’une métaphore d’un sport dans lequel le néolibéralisme le plus assumé tient les joueurs pour des actifs, sur lesquels on spécule avec l’argent de fonds vautours en une-deux avec des paradis fiscaux. Pour 70 millions d’euros, treize recrues sont arrivées dans le Nord en début de saison, venues d’un peu partout (Argentine, Brésil, Côte d’Ivoire, Pays-Bas, Portugal). Jeunes et perfectibles, ils devaient progresser sous les ordres d’un Marcelo Bielsa, caution technique et morale d’un projet au nom à peine ronflant : « LOSC Unlimited ».

Prud’hommes et investisseur hongkongais

L’Argentin allait bien valoriser ces actifs dénichés par le directeur sportif, Luis Campos, déjà à la manœuvre à Monaco. Et tant pis si les deux se détestaient cordialement. On était dans du trading purement capitalistique, mais Gérard Lopez vendait un projet gagnant-gagnant, promettant football léché et Coupe d’Europe aux fans et des ronflantes plus-values lors des prochains mercatos à ses investisseurs. Pas vraiment convaincue par le montage financier de Lopez, la Direction nationale du contrôle de gestion (DNCG), le gendarme financier du football français, a interdit le LOSC de recrutement et le menace d’une rétrogradation administrative, qui pourrait s’ajouter à celle sur le terrain. Bielsa a été débarqué et réclame plus de 18 millions à son ancien patron, mais le technicien argentin a perdu la première manche juridique devant le tribunal de commerce de Lille, la deuxième devant se jouer mardi 13 mars devant les prud’hommes.

On en est là. Selon une information de Canal+, Lopez recevait samedi dans sa loge un investisseur hongkongais providentiel pendant que sur le terrain, ses « actifs » étaient protégés des coups de leurs supporteurs par les stadiers.

Ces joueurs forment une armée mexicaine en déroute dirigée par Christophe Galtier. Pour situer la logique du projet, disons que sa vision du football et celle de Marcelo Bielsa sont aussi proches que les cinémas de Fabien Onteniente et d’Ingmar Bergman. On demande à ces joueurs de sauver la peau d’un club qui ne s’appartient plus. Les voilà coincés entre des dirigeants probables fossoyeurs d’une histoire – le LOSC, successeur de l’Olympique lillois, dominait le football français d’après-guerre – et des supporteurs qui s’en disent les derniers garants. Même s’ils ne sont que de passage, ces joueurs ont livré samedi un match avec leurs limites et doutes du moment mais avec tout le professionnalisme possible. Ils ont mené contre une équipe mieux classée (6e) avant de se faire rejoindre. On appelle ça le football. Sauf que certains ne l’entendent pas ainsi.

« La suite logique et inexorable du flou financier »

Dimanche après-midi, un communiqué des ultras du groupe de supporteurs Dogues Virage Est (DVE) assumait les débordements tout en condamnant les violences. Il en donnait les causes : « Ces événements sont la suite logique et inexorable du flou financier entourant le club et de l’investissement personnel irrégulier ou inexistant de la majorité des joueurs. »

Propulsé capitaine à 24 ans et garant de l’identité d’un club qu’il n’a rejoint qu’en 2015, Ibrahim Amadou tentait tant bien que mal de recoller les morceaux. De comprendre tout en condamnant.

« Qu’ils soient déçus, je suis tout à fait d’accord, mais ils auraient pu exprimer leur mécontentement autrement. Ceux qui veulent nous soutenir jusqu’à la fin de saison sont les bienvenus au stade. Pour les autres, ce n’est pas la peine de revenir. »

La justice devrait s’en charger elle-même après les différentes plaintes déposées par la direction lilloise. Amadou a, lui, neuf matchs pour encore un peu « mouiller le maillot » avant d’être vendu cet été pour 15 millions ou plus à un club anglais. Il contribuera alors à rembourser – un peu – les emprunts obligatoires de Lux Royalty, la holding luxembourgeoise qui détient le LOSC. Les supporteurs, et peut-être même ceux qui l’ont menacé samedi dernier, regretteront le départ de celui qui aura fait son boulot le mieux possible.

Donc en gros tu considères que je légitime la violence.
Tu peux étayer ou c'est juste basé sur du vent ?

[Remind]

Rob77, ton syllogisme n'a pas lieu d'être.
C'est l'article du Monde qui légitime la violence, pas toi effectivement.
Je t'ai cité car la partie critique du néolibéralisme du modèle Lopez (avec laquelle je suis plutôt d'accord) était plutôt raccord, je trouve, avec ce que je lis de ta prose dans le café.

[fourcroy]

Remind, Rob est assez grand pour se défendre tout seul, mais, même si ce n'était visiblement qu'une maladresse, je ne vois pas comment on ne peut pas comprendre de ton message précédent que la légitimation de la violence fait partie de la doctrine robienne ordinaire.

[Remind]

fourcroy, ce n'est pas comme cela que j'ai voulu l'écrire et en relisant forcément, je ne vois toujours pas cela, puisque je parle d'un côté de l'article et de ses idées avec lesquelles je suis plutôt d'accord, et de l'autre la violence des supporters.

Maintenant, j'ai compris qu'il y avait une autre lecture à ma phrase, qui nécessite justification. Dont acte.

[Benito De Soto]

Cela chauffe aussi à Lens !

https://www.lequipe.fr/Football/Actualites/-vous-faites-chier-meme-les-constipes-battez-vos-adversaires-au-lieu-de-battre-vos-femmes-des-banderoles-hostiles-aux-joueurs-du-rc-lens-contre-bourg-en-bresse/883723

Dommage que Lille n'evoluera jamais en l2 l'an prochain (lens va se maintenir vu le niveau des deux derniers), une duel pour éviter la relégation en fin de saison avec des supporters furieux de part et d'autre...contre leurs propres équipes, aurait pu valoir le détour !