Andoni Zubizarreta - EX-Directeur Fictif #OM

Moi je serait déçu de le voir partir , je serait pour lui donner plus de pouvoir dans le club et le laisser choisir le futur coach .

Moi aussi, mais JHE nous réserve probablement encore une surprise

Zubi il a un "nom", c'est le genre de "bon gars" avec un CV qu'on aime avoir dans ses rangs, mais qu'a-t-il réussi de bien à l'OM en 2 ans 1/2 ? Est-ce que le job de DS à l'OM est similaire à celui de DS dans un club Top 3 mondial ? Est-ce que réussir au Barça ( ?? ) veut automatiquement dire être fait pour un club pour l'OM ?

Certes une partie de son travail ne porte ses fruits que sur le MT/LT, mais même au niveau formation est-ce qu'il aura eu les mains libres, quand on voit les noms qui traînent encore au club ? Et plus généralement, est-ce qu'un gars qui comme lui accepte de passer au 3ème rang décisionnel alors qu'il était supposé marquer de sa patte et son réseau son passage à l'OM est fait pour un tel environnement où il faut savoir s'imposer pour ne pas se faire écraser ?

Après si on me demande si je préfère garder Zubi ou Garcia, la réponse est vite trouvée tant j'aurais envie de ce dernier...

peezee, envie de ?

Rocca, auto-censure, pas de violence ciblée nommément sur le site on a déjà eu assez d'ennuis comme ça.

Ah je pensais que ça tournait encore autour du trou de balle

Petit coup de pression de Zubi , " Moi ou Garcia " . Non ???

Je ne pense pas vu qu'il sait que pour Garcia c'est de tte façon terminé. Quand Arsenal t'appelle tu réfléchis, la liste des joueurs susceptibles de venir dans ton club est sans doute bien plus grande qu'à l'OM. Ils ont l'argent, un encadrement solide et la Premier League.

Petit coup de pression de Zubi , " Moi ou Garcia " . Non ???

Garcia s'est de toute façon grillé tout seul ; on ne peut pas dire qu'il soit désormais en position de force pour réclamer encore les pleins pouvoirs s'il est amené à rester. Selon moi, soit il dégage, soit il reste mais avec des prérogatives sur le sportif amoindris.

Mon pronostic : un limogeage de Garcia, remplacé par un Jardim à son arrivée à Monaco. C'est-à-dire un entraîneur peu coté donc peu gourmand en salaire et qui accepterait une gestion du recrutement partagée avec Zubi. Je verrais bien un hispanophone du coup. Ou un Portugais.

Un ticket Comolli Blanc. Gros comme une maison

Rocca, qu'est-ce que tu as contre les Portugais exactement ?

Gastibelza, je suis pour un coach de la nouvelle génération de portugais. Boas Jardim Espirito (ou un truc comme ça) L’ancien de Fenarbahce,

Rocca, et les autres Portugais, ils n'ont pas le droit au respect peut-être ? Sache que feue ma grand-mère n'était pas portugaise mais qu'elle aurait très bien pu l'être et que tes propos sont blessants.

Gastibelza, si elle ne l’est pas tout roule. Tu serais probablement pas ce que tu es devenu (correcteur de merde)

Modifié en dernier par Rocca le 02 Avr 2019, 13:47, modifié 3 fois.

Rocca, je ne comprends pas ce tu dis mais laissons tout cela au passé ! Sans rancune !

EDIT : je comprends mieux. Je suis ému maintenant.

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Effacé mais toujours loyal

Vigilant sur les catégories de jeunes, le Basque s’est montré en retrait sur les dossiers chauds du mercato. Sans jamais s’en émouvoir publiquement. DE NOTRE ENVOYÉ SPÉCIAL PERMANENT


MATHIEU GRÉGOIRE MARSEILLE – Depuis son arrivée à l’OM, en octobre 2016, Andoni Zubizarreta est couvé par Jacques-Henri Eyraud. Le président eut un temps pour rituel de s’asseoir à côté du Basque lors des matches afin de profiter de ses ondes positives, et il a souvent semblé plus offensé par les attaques ciblant son directeur sportif que par les critiques le concernant. Souvent il est monté au créneau pour répondre à une question récurrente et qu’il trouvait injuste : « À quoi sert Zubi ? »

Oui, à quoi ? À relancer la politique de formation de l’OM, mais c’est un chantier qui portera peut-être ses fruits dans quelques années. Le problème, et les argumentaires de JHE n’y peuvent rien, c’est que sur le volet du mercato, Zubizarreta lui-même a fait part de sa lassitude à ses interlocuteurs. Il a toujours soigné les apparences et ses interviews, évitant la moindre pique envers le grand artisan des transferts, Rudi Garcia, qui s’est impliqué personnellement sur nombre de dossiers en contactant les joueurs (Payet, Rami, Caleta-Car, Strootman, Balotelli…).

Le rôle du directeur sportif a, lui, été réduit à la portion congrue, celui de passeur de plats coincé entre l’enclume du financier (Eyraud) et le marteau du sportif (Garcia). Ainsi, il est allé manger une pizza avec Évra à Turin ou une salade de poulpe en Croatie avec les représentants de Caleta-Car. Il a aussi transmis l’été dernier, à Nice ou à Mino Raiola, les propositions de l’OM pour Balotelli par textos. Mais il lui manque le véritable pouvoir, celui de décider, ou en tout cas d’influer vraiment sur le cours du mercato.

Il n’a guère goûté au chassé-croisé Anguissa-Strootman

Cet hiver, il a été absent des négociations pour la venue de « Super Mario », il s’est replié sur des sujets secondaires comme celui du latéral gauche, avec les pistes Nsoki et Dalbert, et le plan B en attaque en cas d’échec des pourparlers. Cette situation s’est souvent répétée ces dernières saisons. À l’été 2018, sa cellule de recrutement n’a vraiment planché que sur le profil de Radonjic. Il n’a guère goûté au chassé-croisé Anguissa-Strootman, il aurait gardé le premier pour le vendre encore plus cher en 2020, et il aurait plutôt opté pour Samassékou (Salzbourg) pour le remplacer. Mais « Zubi » s’est effacé, comme à son habitude, derrière Garcia, choisi avant lui par Frank McCourt pour mener le projet olympien en 2016. Garcia qui l’a aussi préféré à Luis Campos. « Je suis ravi qu’Andoni ait prolongé, c’était aussi un détail que j’avais fait remonter au président, parmi mes interrogations pour la suite », disait encore l’entraîneur en octobre 2018, rappelant (involontairement ?) qui donnait le ton à l’OM.


L'Equipe

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Zubizarreta, l’appel de Londres

FRANÇOIS VERDENET (AVEC M. GR.)


Alors que l’OM s’est encore un peu plus éloigné de la Ligue des champions après son nul face à Angers (2-2), samedi, la fin de cycle de l’effectif annoncée récemment par le président, Jacques-Henri Eyraud, semble se dessiner aussi chez les dirigeants. Arrivé en octobre 2016, en même temps que l’entraîneur Rudi Garcia, Andoni Zubizarreta pourrait quitter Marseille avant que le fameux « Champions project » aboutisse ou vole en éclats. Lui aussi gagné par la lassitude d’un club qui n’avance pas dans le bon sens, le directeur sportif de l’OM (57 ans) a fait état, ces derniers jours, de ses velléités de départ à des proches au sein du club.

Son idée est même plus précise, comme, peut-être, sa future destination. L’ex-patron sportif du FC Barcelone de 2010 à 2015 a été approché par Arsenal. Il est même passé en première ligne de la short list des Gunners pour occuper le poste de directeur du football au sein du club londonien, qui est à la lutte pour une place dans le Big 4 de la Premier League, synonyme de qualification directe en Ligue des champions (il occupe la 3e place, avec deux points d’avance sur Tottenham et Manchester United). Son nom circulait à Arsenal depuis quelques semaines, mais la cible marseillaise s’est resserrée à la faveur de décisions qui pourraient être favorables à l’ancien gardien espagnol.

Jusqu’à la semaine passée, les favoris pour occuper cette place étaient Marc Overmars, l’ex-attaquant des Gunners, actuellement directeur sportif de l’Ajax Amsterdam, et Monchi. Mais le Néerlandais a finalement décidé de prolonger son contrat avec l’Ajax jusqu’en 2024 alors que l’Espagnol, qui a quitté l’AS Rome le 8 mars, a préféré retourner au Séville FC dans ce rôle qu’il avait déjà occupé.

Outsider pour le poste chez les Gunners, « Zubi  » est devenu favori. Il possède même plusieurs soutiens de poids dans l’ancien bastion d’Arsène Wenger pour convaincre la famille Kroenke, Stan et son fils Josh, propriétaires d’Arsenal. Depuis le départ d’Ivan Gazidis à l’AC Milan, Raul Sanllehi est aux commandes du sportif. Cet Espagnol de cinquante ans connaît bien Zubizarreta pour l’avoir côtoyé au FC Barcelone, où il a passé quatorze ans avant de rejoindre les Gunners en novembre 2017.

Moins en phase avec Rudi Garcia

C’est lui qui est allé débaucher Sven Mislintat à Dortmund, fin 2017, comme responsable du recrutement. Sanllehi et Mislintat avaient piloté l’arrivée d’Unai Emery au poste d’entraîneur. Mais Mislintat a quitté prématurément les Gunners en janvier. Le poste de « chief scout » est donc à pourvoir.

Zubizarreta peut aussi compter sur le soutien d’Emery qui est un chaud partisan pour accueillir le technicien, basque comme lui. Les deux hommes se connaissent depuis longtemps, quand « Zubi  » exerçait à la direction sportive de Bilbao au début des années 2000. Les Espagnols d’Arsenal aimeraient ainsi solidifier leur colonne vertébrale directionnelle avec le renfort de leur compatriote d’expérience, à l’image de ce qu’a fait Manchester City : Pep Guardiola comme coach, Ferran Soriano comme directeur exécutif et Txiki Begiristain en tant que directeur technique, trois anciens du très glorieux Barça, ont permis aux Citizens de s’installer au sommet du paysage anglais.

La tentation est grande pour l’actuel directeur sportif marseillais de céder à ces appels du pied. D’autant qu’il est de moins en moins en phase avec Rudi Garcia, alors qu’il avait prolongé comme lui, en octobre 2018, et ce jusqu’en 2021. « Arsenal fait partie du top 10 mondial, et dans toutes les entreprises que j’ai dirigées, j’ai toujours été très flatté qu’un leader dans son secteur s’intéresse à l’un de mes collaborateurs, a réagi Eyraud hier soir. Cela étant dit, cette information ne me semble absolument pas d’actualité. Andoni, comme tout le staff, reste pleinement concentré sur cette fin de saison. » Cela n’empêche pas de penser aussi à celle d’après.


L'Equipe

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Andoni Zubizarretasur le départ ? L'avenir du directeur sportif basque à l'OM, où il n'a jamais été très écouté, est de plus en plus flou


C'est l'histoire d'une collaboration qui semblait prometteuse sur le papier. Un président-entrepreneur au CV imposant (Jacques-Henri Eyraud), un directeur sportif renommé ayant fait ses preuves à l'Athletic Bilbao et au Barça (Andoni Zubizarreta) et un entraîneur aux méthodes reconnues et au passé flatteur au Losc et à Rome (Rudi Garcia). Le hic, c'est qu'il est parfois difficile de transformer les bonnes intentions en actes concrets sur le terrain. L'OM version McCourt l'a appris à ses dépens.

"JHE" ? Les supporters ont rapidement compris que ses connaissances en football se résumaient à Wikipedia, pour la partie historique, et Transfermarkt, pour l'aspect financier.


"Zubi" ? L'ancien international espagnol a très vite eu les mains liées et s'est retrouvé prisonnier d'un fonctionnement à trois têtes au sein duquel il n'a pas vraiment de poids.

"RG" ? C'est finalement lui le vrai boss du secteur sportif, le décisionnaire numéro un durant le mercato. Et c'est bien là tout le problème...

Après des premiers mois durant lesquels les trois hommes forts du projet ont appris à se connaître, l'été 2017 avait laissé apparaître les premières tensions en interne. À force de voir les noms qu'il proposait (comme Mariano Diaz ou Chicharito) être balayés d'un revers de la main par l'entraîneur olympien, le Basque a commencé à se lasser. Il n'a rien dit, n'a jamais eu un mot plus haut que l'autre dans la presse, est resté professionnel et s'est concentré sur une autre partie de sa mission : se séparer des indésirables. Pas une mince affaire lorsqu'il s'agit d'éléments comme Doria ou, plus tard, Sertic ou Mitroglou.

À force d'être relégué au second plan, l'ex-gardien de la Roja s'est donc posé des questions sur son utilité. Ce qui ne l'a toutefois pas empêché de prolonger son contrat jusqu'en 2021 à l'automne dernier. Les signaux de désaccord étaient pourtant déjà nombreux, mais l'excellent parcours en Ligue Europa avait finalement apaisé le climat. Ces derniers mois, l'ambiance est en revanche redevenue plus pesante.

Il y a quelques jours, The Independent révélait que Zubizarreta faisait partie des noms évoqués du côté de Londres pour prendre la direction sportive d'Arsenal, où oeuvre le DG Raul Sanllehi, qu'il connaît très bien pour l'avoir côtoyé chez les Blaugrana.

Hier soir, L'Équipe allait même plus loin en indiquant qu'il était désormais en pole position pour le poste. Quittera-t-il donc l'OM dans les prochaines semaines ? "Il a un contrat ici", nous a-t-on simplement répondu au sein de la maison bleue et blanche, tout en laissant planer le flou sur l'avenir provençal du dirigeant de 57 ans.

Si le niveau de mésentente n'atteint pas celui du conflit Deschamps-Anigo (2011-12), il est en revanche difficile d'imaginer que Garcia et "Zubi" continueront à travailler ensemble la saison prochaine dans les mêmes conditions. Il n'est d'ailleurs pas dit que le premier soit encore là au mois de juillet. Cette hypothèse-là serait-elle de nature à pousser l'Ibère à rester à l'OM pour enfin mettre sa patte sur le fameux Champions Project ? Tout est envisageable, sauf la poursuite du fonctionnement actuel, qui a clairement montré ses limites. Le feuilleton ne fait peut-être que commencer. La fin de saison actuelle, elle, risque d'être très longue...


La Provence

Zubi ne s'est jamais plaint publiquement ce qui a été relayé chaque semaine depuis qu'il est là. Toutes les semaines on apprend qu'il souffre en silence. Quelle discrétion! Ce qui ne l'a pas empêché de prendre le chèque quand il a fallu prolonger.

Garcia et Eyraud sont les principaux responsables de l'échec du club, mais cette soupe tiédasse fait de Zubi le principal irresponsable.

et JHE et Garcia n'ont pas arrete de repeter publiquement que les decisions etaient toujours prises a 3. Si c'etait du foutage de gueule il aurait pu le dire. Ou ne pas prolonger.
Ou arreter de venir presenter toutes les recrues s'il en voulait pas.