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[L'ÉQUIPE, SO FOOT...] Topic de la presse écrite

30 Sep 2016, 08:49

Je ne me rappelle pas avoir vu un tel sujet alors que nous citons régulièrement la presse écrite.
Si je me trompe, ne pas hésiter à déplacer mon post.

J'avais envie de parler de L'équipe ce matin.
Sans apporter la moindre preuve, le journaliste écrit à propos de Wenger : "(...) privé d'un bien plus beau palmarès parce qu'il jouait rarement à onze contre l'OM de Tapie (1987-1994) (...)"

Même s'il y a de gros doutes durant cette période, on est proche de la diffamation s'il n'y a pas preuve...
Bref...

Re: [L'ÉQUIPE, SO FOOT...] Topic de la presse écrite

30 Sep 2016, 08:58

Qui est le journaliste, que j'aille l’inonder d'insultes?

Re: [L'ÉQUIPE, SO FOOT...] Topic de la presse écrite

30 Sep 2016, 09:18

:mrgreen:

Le plus connu du journal...

Re: [L'ÉQUIPE, SO FOOT...] Topic de la presse écrite

30 Sep 2016, 09:25

Gros caniche ?

Re: [L'ÉQUIPE, SO FOOT...] Topic de la presse écrite

30 Sep 2016, 09:45

Le pote d'Arsène, oui.

Re: [L'ÉQUIPE, SO FOOT...] Topic de la presse écrite

30 Sep 2016, 10:10

Ah Ménès du coup, qui suivait Arsenal à l'époque. Je pensais à Duluc :mrgreen:

Re: [L'ÉQUIPE, SO FOOT...] Topic de la presse écrite

30 Sep 2016, 10:13

aristote2 a écrit:Je ne me rappelle pas avoir vu un tel sujet alors que nous citons régulièrement la presse écrite.
Si je me trompe, ne pas hésiter à déplacer mon post.

J'avais envie de parler de L'équipe ce matin.
Sans apporter la moindre preuve, le journaliste écrit à propos de Wenger : "(...) privé d'un bien plus beau palmarès parce qu'il jouait rarement à onze contre l'OM de Tapie (1987-1994) (...)"

Même s'il y a de gros doutes durant cette période, on est proche de la diffamation s'il n'y a pas preuve...
Bref...


depuis le temps que je voulais créer un topic du genre...je sais ou je vais pouvoir me lâcher sur ces journaleux malhonnêtes désormais, merci! :mrgreen:

Re: [L'ÉQUIPE, SO FOOT...] Topic de la presse écrite

30 Sep 2016, 11:36

En regardant le palmarès de 1987-1994 Monaco n'a etait que 2 fois dauphin de l'Oheme redaface2

Re: [L'ÉQUIPE, SO FOOT...] Topic de la presse écrite

30 Sep 2016, 12:41

Flys a écrit:Ah Ménès du coup, qui suivait Arsenal à l'époque. Je pensais à Duluc :mrgreen:



Non, c'était bien Duluc, grand pote d'Arsène lui aussi.

Re: [L'ÉQUIPE, SO FOOT...] Topic de la presse écrite

30 Sep 2016, 13:39

qu il s etouffe dans son venin ce sac a merde

Re: [L'ÉQUIPE, SO FOOT...] Topic de la presse écrite

30 Sep 2016, 13:47

On va voir si Manu Petit à la radio rebondit sur ça, car lui aussi avait un différent avec Di méco sur ça.
Ensuite le football c'est pas le monde des bisounours surtout dans les années 1990 et monaco n'a pas aussi le cul propre, et aussi car Christophe Robert a joué à Monaco lors de la saison 1991-1992 et Monaco fini second cette année là. :wink:

Re: [L'ÉQUIPE, SO FOOT...] Topic de la presse écrite

30 Sep 2016, 16:02

Betsamee, ca s'attaque complètement en diffamation ce genre de saloperie. Le problème c'est que si t'attaques, tu fais de la pub.

Wenger, qui n'a fini que 2 fois second pendant l"ère Tapie, est persuadé que l'OM achetait 100% de ses matchs. C'est de la parano de loser. On sait très bien que Campora n'était pas une bonne sœur non plus.

Et c'est l'OM de Tapie qui rend cette grosse merde incapable de gagner quoi que ce soit en Angleterre malgré des millions engloutis dans des recutement pourris?

Pauvre minable.

Re: [L'ÉQUIPE, SO FOOT...] Topic de la presse écrite

30 Sep 2016, 16:20

boodream, si j'ai bien compris Claude Bez le président de Bordeaux de l’époque et Francis Borelli n’était pas des tendres dans leur genre ???????????

Re: [L'ÉQUIPE, SO FOOT...] Topic de la presse écrite

30 Sep 2016, 16:34

L'article du jour sur Wenger:


Information
VINGT  ANS UNE ŒUVRE

Le 30 septembre 1996, Arsène Wenger était officiellement nommé manager d’Arsenal. Pour étirer plus avant ce règne historique, même s’il manque quelques lignes au palmarès des Gunners sous son ère, le Français continue à vivre dans le présent et le match d’après. VINGT ANSUNE ŒUVRE


Le 30 septembre 1996, Arsène Wenger était officiellement nommé manager d’Arsenal. Pour étirer plus avant ce règne historique, même s’il manque quelques lignes au palmarès des Gunners sous son ère, le Français continue à vivre dans le présent et le match d’après. VINCENT DULUC

Il n’aime pas les hommages ni les anniversaires qui lui rappellent que le temps passe. Il est à la tête d’Arsenal depuis vingt ans parce qu’il a toujours été obsédé par le match suivant, dans trois jours. Arsène Wenger semble avoir un rapport au temps complexe, plutôt fuyant, sans doute pour éviter que le présent ne lui échappe. Un entraîneur qui se retourne sur son passé n’a pas d’avenir. Il dit prendre beaucoup plus mal les défaites, maintenant, parce qu’il a moins de temps. « Ma faim de victoires est encore plus grande que quand je suis arrivé, avouait-il le week-end dernier, après la victoire sur Chelsea (3-0), parce que je sais que je n’ai pas vingt autres années devant moi. Et puis, je ressens la responsabilité. Vous ne pouvez pas passer vingt ans quelque part et ne pas ressentir ce poids de rendre les gens heureux. »

À la fin de sa carrière, Guy Roux, un autre entraîneur au long cours, disait que le moteur d’une vie d’entraîneur était une libido et qu’il l’avait perdue, à la fin. Chez Arsène Wenger, rien n’annonce la fin, surtout pas lui-même. Il aura soixante-sept ans dans trois semaines, l’âge de Bruce Springsteen, qui donne encore des concerts de quatre heures, et les photos de lui à vingt ans de distance, sans photoshop, sans lifting, disent que ce jeu l’a moins vieilli que bien d’autres. Il y a de l’avenir pour l’ascétisme. Il avait les cheveux moins gris, un costume croisé parce que c’était la mode, des lunettes plus larges parce que c’était le siècle dernier, et les défaites n’avaient pas creusé autant de rides, mais il était le même. Sinon, bien sûr, que l’Angleterre n’avait jamais entendu son nom. C’était le célèbre titre de l’Evening Standard, le quotidien londonien devenu un gratuit, depuis : « Arsène who ? » (Arsène qui ?). Ses références n’avaient pas de quoi émouvoir l’île. Relégué en D 2 avec Nancy (1984-1987), privé d’un bien plus beau palmarès national avec Monaco parce qu’il jouait rarement à onze contre l’OM de Tapie (1987-1994), ouvert à une autre culture à Nagoya (1994-1996), l’Alsacien a pourtant trouvé le club de sa vie, à Arsenal. Il l’a révolutionné, d’abord, l’a rebâti, ensuite.

L’entraîneur français qui aura eu le plus de pouvoir dans un club

Dans un contexte très britannique, très conservateur et très alcoolisé, deux éléments ont accéléré sa réussite : sa réforme culturelle est survenue au moment même où Tony Adams, le leader du vestiaire, avait décidé d’arrêter de boire, et l’apparition de Patrick Vieira sur le terrain, qui aura bouleversé l’équipe, a donné de la crédibilité à ses choix comme à ses allures de professeur. Il est devenu le premier entraîneur étranger à réussir en Angleterre, le premier à changer sa culture, le premier à imaginer le futur.

Dans le jardin anglais de Highbury, au coin d’Avenell Road, où il lui arrive encore de rêver qu’il parcourt l’étroit couloir qui n’existe plus, rare aveu d’une nostalgie fantôme ressentie malgré la disparition du monument, il a giflé l’ancienne identité du « Boring Arsenal » pour lui donner une philosophie de jeu comme un esthétisme. Les années Bergkamp et les années Henry ont été magnifiques, le plus souvent. Avant d’arriver, il avait imaginé une défense à trois, une révolution absolue. Il a finalement étiré de quatre ou cinq saisons la vie du « back four », Dixon, Keown, Adams, Winterburn. Il aurait bien le temps d’aligner, furtivement, une équipe sans joueurs britanniques.

Il est paradoxal de reprocher aussi souvent à Arsenal de ne pas changer, alors que le club a été un pionnier historique du changement, de l’ère d’Herbert Chapman, dans les années 1930, négociant avec le métro londonien la modification de la station Gillespie Road en Arsenal. Alors qu’il a été l’un des premiers à reconstruire un nouveau stade, en plein Londres, comme Tottenham est en train de le faire, dix ans après.

Il manque de l’argenterie dans les placards, mais, en vingt saisons, Arsenal a terminé quatorze fois sur le podium

Et Arsène Wenger a été, aussi, l’homme de cette révolution, comme il avait veillé à la construction du centre d’entraînement de Colney, s’impliquant jusqu’au moindre détail, jusqu’à la plantation de 280 arbres sur le site. Malgré le départ en cours de route de David Dein, qui l’a laissé un peu seul, ensuite, face aux nouveaux actionnaires, il est l’entraîneur français de l’histoire qui aura eu le plus de pouvoir dans un club.

Il n’y a pas que le palmarès dans la vie, mais il ne faut pas s’y tromper : dans celle d’Arsène Wenger, il y a aussi le palmarès. La moquerie de Mourinho, qui l’aura qualifié de « spécialiste de l’échec », reste une insulte d’ego à ego, mais qui résiste peu aux faits. Il manque à Wenger de l’argenterie dans les placards, et le tunnel sans trophée de 2006 à 2014 aura été interminable, mais en vingt saisons à la tête des Gunners, il a terminé quatorze fois sur le podium du Championnat d’Angleterre, et n’est jamais allé au-delà de la quatrième place. À l’échelle européenne, depuis 2001, son niveau le plus bas demeure les huitièmes de finale de la Ligue des champions. Cela ne suffit à personne, à l’Emirates, puisque ce jeu demande des étincelles et des sentiments en montagnes russes, mais c’est une œuvre. Manchester United aura disputé une seule fois la Ligue des champions lors des trois dernières saisons. Chelsea, plombé par les neuf défaites en quinze journées de la fin de l’ère Mourinho, en est privé, cette saison. Quand Arsenal est nul et que Wenger est trop vieux, les Gunners sont au moins quatrièmes de la Premier League et en huitièmes de finale de la Ligue des champions.

Il ne sort jamais, reste chez lui, passe des heures à regarder le football mondial à la télé

La trace de Wenger à Arsenal, si l’on ne s’occupe que du palmarès, est marquée par le doublé de 1998, par la finale de la Ligue des champions 2006 perdue face à Barcelone (1-2) au Stade de France, après que l’expulsion de Lehmann lui avait fait perdre deux joueurs majeurs (il avait choisi de sortir Pirès), et par l’accomplissement absolu des « Invincibles », champions d’Angleterre sans défaite en 2004. « Le rêve d’une vie », avouera-t-il.

Il est fascinant, lorsqu’on le croise, de constater à quel point ses rêves et son obsession sont intacts. On se souvient d’une soirée passée dans son bureau, la saison dernière, à l’Emirates, après une victoire sur Manchester City qui l’avait apaisé au moins quelques heures, sûrement. Jusqu’à une heure très avancée de la nuit, il avait évoqué la recherche de la performance, comment il pouvait mettre bout à bout, pour un détail biomécanique ou mental, des études confidentielles qui recelaient une piste, un sujet de curiosité. Il était entraîneur d’Arsenal depuis plus de dix-neuf ans et on s’était dit, ce soir-là, que son but n’était pas de durer, mais bien de continuer à gagner.

Il ne cède rien à l’âge ni à l’usure. Ne sort jamais, reste chez lui, dans sa maison de Totteridge, passe des heures à regarder le football mondial à la télé. « Pour parler de foot avec lui le lundi, il faut avoir tout vu le week-end, a confié, un jour, l’un de ses proches. Si tu veux être au niveau dans la discussion, il faut n’avoir rien manqué. »

Il vient de passer vingt années à Arsenal et ce n’est pas fini. Il est en fin de contrat, en juin prochain. Ce n’est pas la première fois. Depuis le 1er octobre 1996, il a toujours respecté ses engagements, et les a toujours prolongés. Il n’est jamais parvenu à partir, alors que le monde entier est venu sonner à sa porte, et il est possible qu’il n’arrivera pas, non plus, à s’arrêter. Un jour, il lui faudra s’arracher à cette obsession du match suivant, à cette addiction du pouvoir, de l’adrénaline et du plaisir, à ce sentiment sans pareil d’être exactement là où il a toujours rêvé être. Un jour. Mais là, tout de suite, et puisque l’équipe d’Angleterre rêve de lui, il va sûrement signer un nouveau contrat avec Arsenal. Il y aura d’autres anniversaires.

Re: [L'ÉQUIPE, SO FOOT...] Topic de la presse écrite

30 Sep 2016, 18:18

Okay, donc on s'en fout des trophées parce que ce mec a duré dans une équipe sans ambitions ? :-k

Re: [L'ÉQUIPE, SO FOOT...] Topic de la presse écrite

01 Oct 2016, 08:58

RMC (le site) qui fait ses gros titres depuis 48 heures exclusivement sur le retour des ultras au Parc, comme le ferait n'importe quel site officiel, sans regard critique ou presque...

Re: [L'ÉQUIPE, SO FOOT...] Topic de la presse écrite

01 Oct 2016, 11:46

Blanc en une de l'équipe ce jour.
C'est l'histoire d'un mec, viré par le PSG et se croyant au pays de Oui-Oui (ça change des Bisounours)...
Sa grande fierté : avoir fait cracher 22 millions d'€ aux qataris.

Re: [L'ÉQUIPE, SO FOOT...] Topic de la presse écrite

01 Oct 2016, 12:34

Et aussi "Aulas viré de la ligue?" sur la première page... Ça va pas lui plaire a papi HoleAss :lol: :lol:

Re: [L'ÉQUIPE, SO FOOT...] Topic de la presse écrite

06 Oct 2016, 13:51

Je trouve que L'Equipe adopte depuis quelques temps un ton plus incisif que d'habitude. Hier c'était la réforme d'infantino qui était "ridicule", aujourd'hui la guéguerre entre les présidents de club devient "la guerre des bouffons". Terme qui s'applique donc auw présidents de l1 et l2, pas gagné que le journal se permette ca jusqu'à peu.

Re: [L'ÉQUIPE, SO FOOT...] Topic de la presse écrite

06 Oct 2016, 19:48

Franchement Di Meco est ridicule face à Petit. Malgré la folie qu'à pu être l'OM sur cette période, les buts de dingue, le publics, ces joueurs qui nous ont tous donné envie de faire du foot, c'est avoir de la merde dans les yeux et se voiler la face de nier que le foot français des années 80-90, et ça continue était pourri jusqu'à la moelle avec des mecs comme Bez, Tapie, Camporra et d'autres... L'argent liquide circulait quasi partout... Les anecdotes sont nombreuses et sur tous les clubs...

Au racing, les joueurs de l'est lachaient les matchs et se faisait racketter par la mafia russe...

Information
Mostovoï disait à Weller (il le tutoyait, il était russe et ne parlait pas très bien français) : « Président, tu me donnes telle somme, j’ai besoin de cet argent, si tu me le donnes, on gagne le match; je t’ai demandé avant le match, tu n’as pas voulu, t’as vu la première mi-temps… ». Malheureusement, je n’entends pas la fin du dialogue et du coup je remonte en tribune. Le match recommence et je dis à l’antenne : « j’ai l’impression que Mostovoï a subitement retrouvé l’envie de jouer, il a dû se passer quelque chose… » Résultat : il marque deux buts, en donne un et le Racing gagne, avant de finir dans les bras du président.

En fait, Mostovoï avait toujours besoin d’argent car il était racketté et poursuivi par la mafia russe. Un jour, j’ai appris que c’était parce qu’il avait exfiltré une fille de la mafia. En tous cas sur le terrain, Mostovoï était génial, un des tous meilleurs qu’on ait eu en milieu de terrain. Quel joueur ! Par ailleurs, je voudrais aussi volontiers citer Ivica Osim, resté dans ma mémoire comme un énorme joueur.


Source Rue89Strasbourg

et c'était une époque ou tous les paris sportifs n'étaient pas aussi développer bref.

Notre OM a été magique, a remporté de belles victoires, nous a fait rêver, à volé des matchs, s'est fait volé aussi parfois. Il faut juste le reconnaitre.
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