gigi, je ne vois pas spécialement du schisme sur le fond en fait.
Tout le monde est à peu près d'accord pour dire qu'on fonce dans le mur sans renforts.
Tout le monde est à peu près d'accord pour dire que c'est d'autant plus le cas qu'on a un coach qu ne saura pas forcément adapter sa philosophie pour fabriquer un bloc équipe qui n'existe pas vraiment pour l'instant.
Et de facto si le problème c'est le recrutement et/ou le coach; ce sont donc des choix de JHE qui sont en cause.
Donc il n'y a à mon sens absolument pas le référendum entre pro et anti que tu décris pour polariser.
Je gueule en permanence sur le décalage entre ses powerpoint débiles et certaines actions (augmentation stupide de Thauvin par exemple, mais bientôt ru vas expliquer que je suis un pro Thauvin tout comme tu as essayé de vendre que j'étais un pro Sertic pendant le dernier match
)
Là où il y a un vrai schisme, c'est sur le refrain "on a pas de fric" qui est une connerie absolue qui vient de la Pierre Ménésiation des esprits et d'une consommation abusive de Twitter. Ca oui, ça m'exaspère. Si on, foire cette saison et le mercato, ce sera à cause de mauvais choix des hommes recrfutés par Etraud pour diriger le sportif, ce ne sera pas parce que "on a pas de fric et sors les sous le ricain".
L'imitation collective de Jean Claude Gaudin commence sérieusement à me casser les couilles.
Comme le dit peezee, le fait que Neymar ait coûté plus que notre enveloppe totale annoncée sur 4 ans n'est évidemment pas neutre dans cette hystérie playstation. On ne va pas jouer un remake de yapadaragent. Par rapport au PSG ce sera toujours vrai. Mais si le recrutement foire ce sera faute de compétence, pas faute de moyens. Faut arrêter avec ça. Ou alors il faut dire clairement qu'on voulait l'Iran.
Eyraud qui a monté le business plan connait nos moyens sur le bout des doigts. Il a choisi Garcia et Zubi, qui connaissaient parfaitement ce qu'on peut faire et sont supposés connaitre le marché. les caprices Atlasiens, ça suffit. S'ils se planteznt, ce sera de leur faute, pas de la faute de l'absence d'un fond souverain.