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Re: Working class Eyraud

02 Fév 2017, 10:54

Ce genre de trucs tu le fais avec un emprunt

Re: Working class Eyraud

02 Fév 2017, 10:59

On avait déjà entendu McCourt parler de la Commanderie quand il venait d'arriver, en expliquant qu'il y avait des aménagements à faire. Il avait dû halluciner en comparaison des centres existants aux US. Pareil pour Garcia qui avait dit en arrivant que c'était trop petit. À mon avis ils vont laisser la Commanderie au centre de formation et pour les bureaux administratifs.

Re: Working class Eyraud

02 Fév 2017, 11:05







Re: Working class Eyraud

02 Fév 2017, 11:11

J'aime bien le fait que JHE parle de la commanderie et non pas centre RLD. Vu le mal qu'à fait cette famille au club j'ai hâte que tout ce qui nous rappelle cette période disparaisse...

Re: Working class Eyraud

02 Fév 2017, 11:32

Information
Le président de l'OM depuis octobre revient sur le mercato à peine terminé, sur les ambitions du club et sur ses cent jours de dirigeant.

Vincent Garcia, Mélisande Gomez, Mathieu Grégoire

Installé au restaurant du Sofitel, qui offre une vue lumineuse sur le Vieux-Port depuis le septième étage de l'établissement, Jacques-Henri Eyraud (48 ans) prend un chocolat chaud. Il est 8 h 30 lorsqu'il nous reçoit. Il commence une longue journée, qui le verra visiter la plupart des groupes de supporters de l'OM en commençant par les South Winners, à la Belle-de-Mai. Pour faire le service après-vente d'un mercato affriolant avec les arrivées de Sanson, et Evra, et le retour spectaculaire de Dimitri Payet. Pour garder le lien avec un public échaudé par des années sans titre, pire, sans espoir. Cette tournée sera d'autant plus douce après le geste de Doria, explorateur de territoires inconnus jusqu'ici, buteur contre Lyon mardi soir (2-1 a.p.) expédiant l'OM en huitièmes de finale de la Coupe de France.
LE MERCATO - «Il faut des icônes»
«Comment sortez-vous de ce mois de mercato ?
Avec le sentiment d'avoir atteint nos objectifs. C'est-à-dire commencer à renforcer l'équipe, intelligemment, à l'image de ce que doit être notre projet : à la fois des jeunes talents prometteurs, qu'on va faire grandir, et des joueurs plus expérimentés, qui vont avoir un rôle important sur le terrain et dans le vestiaire. Tout ça dans une discipline budgétaire réelle. On n'est pas le Qatar.
Vous avez beaucoup insisté là-dessus, "On n'est pas le Qatar ". Parce que vous ne voulez pas être les dindons de la farce ou parce que Frank McCourt ne veut pas investir autant que ça dans le club ?
Ce qui est certain, c'est qu'on n'est pas là pour se faire avoir sur tous les joueurs qu'on va acheter. Mais si vous me dites que, cent jours plus tard, il y a encore des questions sur le sérieux de Frank McCourt pour financer un projet ambitieux à l'OM, alors là, je serai très déçu. Ce qu'a prouvé ce mercato, c'est qu'on était capables de prendre des engagements importants, y compris au niveau financier.

Vous avez investi 43 M€. Vous auriez pu investir davantage ?
On a parlé d'une enveloppe de 200 millions d'euros. La question était justement de ne pas déséquilibrer le projet en investissant trop dès le début, pour d'ailleurs donner des messages, car investir beaucoup, c'est un message. Acheter Payet, ce n'est pas un message, sinon, ça fait cher le message. On pense que c'est le bon joueur pour le projet, et qu'il a envie de venir à Marseille, et qu'il peut apporter beaucoup. On ne le fait pas pour les autres, on le fait pour nous.
Avez-vous ressenti sur ce mercato que l'OM était redevenu un club attractif ?
Début janvier, Andoni (Zubizarreta, directeur sportif) est venu dans mon bureau. Il m'a dit : "Tu sais ce qui me fait le plus plaisir ? C'est que l'OM intéresse beaucoup de monde."Pas Cristiano Ronaldo, bien sûr, mais beaucoup de monde. Ce n'est que le début, on va continuer. Mais pendant ces cent jours, j'ai essayé d'instaurer une nouvelle dynamique.
Vous avez aussi essuyé des refus ?
Il y a dû y en avoir, mais Patrice Évra est un cas intéressant. Même à ce moment de sa carrière, je pense vraiment qu'il ne serait pas venu à l'OM sans conviction profonde sur ce qu'il pouvait y faire dans ces dix-huit mois, sur la façon dont le projet serait capable de lui faire peut-être revivre des expériences avec les Bleus.


Évra et Payet, c'est un message donc ?
Je pense que ces deux arrivées sont un signal concret de notre ambition. Cela aura un impact sur des joueurs de ce calibre. Il faut des icônes. Payet en fait partie, c'est évident. Il a vendu 1 000 maillots dans la journée d'hier !
Recruter Payet pour moins de 30 M€, c'était l'objectif que vous vous étiez fixé, ou c'est que vous ne pouviez pas aller au-delà ?
On pouvait aller au-delà, mais c'est l'objectif que je m'étais fixé. Je n'y ai jamais dérogé. Ça fait vingt ans que je suis entrepreneur, vingt ans que je négocie des contrats, que j'ai des gens devant moi.
LE MONDE DU FOOTBALL - «la passion a un revers, celui de prendre des décisions irrationnelles»
Dans le football, c'est la même chose ?
Quand je suis arrivé, ce qui m'a le plus étonné, c'est : "Qu'est-ce que vous connaissez au foot ?" Avec un peu de suspicion. Oui, c'est la première fois que je gère un club de foot. Mais un club de foot, c'est une entreprise. Les ressorts d'une négociation sont les mêmes : comme dans d'autres secteurs économiques, la personne en face de vous peut être motivée par l'ego, par des contraintes financières, elle peut dire des choses, ne peut pas en dire, mentir, bluffer... Je suis un entrepreneur avec un peu d'expérience de ces sujets-là. Il y a des spécificités propres au foot, c'est évident. À vous, aux autres, au public, aux observateurs, de dire si c'était une négociation réussie ou pas.
Cette suspicion, où l'avez-vous ressentie ?
Ce n'est pas un ressenti. Le football est un milieu très autocentré. Par exemple, il est très imperméable à la technologie. Il est marqué par des personnalités, qui sont là depuis longtemps, et pour certains ont fait un travail exceptionnel, mais c'est un secteur qui a peu évolué. On est peut-être à un point d'inflexion. Je n'ai pas de baguette magique, je n'ai pas de solution pour que la Ligue 1 devienne la Premier League, mais en tout cas, pour Marseille, j'ai quelques idées qu'on va essayer d'appliquer.
Lesquelles ?
La technologie, par exemple, est un sujet à part entière. J'ai vécu aux États-Unis. Là-bas, dans certains sports pros, vous avez une équipe de coaches, située en haut des tribunes, parce qu'il y a une vision du jeu intéressante. Ils ont un certain nombre d'outils à leur disposition, en direct, en temps réel : sortir des photos sur les schémas tactiques, et être capables de les transférer sur les bancs de touche, aux équipes techniques, pour qu'elles puissent s'adapter.
C'est interdit, en Ligue 1...
C'est non seulement interdit, mais quand Fred Bompard appelle Claude Fichaux (les adjoints de Rudi Garcia) pour lui donner des indications, des conseils, on le menace d'une amende. Je ne dis pas que le foot français doit s'américaniser. Je dis : comment la technologie peut-elle aider davantage à améliorer l'intérêt pour le jeu ?

Qu'est-ce que vous voyez comme solutions ?
Je trouve très bien de dépeindre le foot européen comme un sport avec le coach tout-puissant qui doit, de son cerveau, trouver lui tout seul la réponse aux problèmes de son équipe, mais je trouve que c'est une vision totalement dépassée. Un autre exemple : l'arbitrage. L'arbitre central a tous les pouvoirs. Il est seul à prendre des décisions. Je vois très rarement l'arbitre arrêter le match à un moment clé, convoquer ses adjoints pour partager sa perception de la situation, et faire en sorte que l'intelligence du groupe soit supérieure à l'intelligence d'un individu. On va me dire : cela casse le rythme. Si on est capables de faire ça en moins d'une minute, peut-être qu'on éviterait des problèmes.
Vous parlez du football de façon très raisonnable. Mais il y a aussi un côté passionnel dans le foot, des dirigeants passionnés. Est-ce que vous êtes passionné de football ?
Oui, il suffit de me voir pendant un match. Mais la passion a un revers, celui de prendre des décisions irrationnelles, qui vous entraînent vers l'échec. Je suis un entrepreneur. J'essaie d'être rationnel, dans l'irrationnel de cette ville, ce club, cette passion qu'il génère. C'est très intéressant.
LES AGENTS - «Tous les agents impliqués dans des procédures judiciaires ne sont pas les bienvenus»
Pendant cette période de mercato, avez-vous parfois dû mettre un mouchoir sur certains principes que vous vous étiez fixés ?
Non. De quels principes parlez-vous ?
De ne pas discuter avec certains agents, par exemple. Vous avez notamment rencontré Willy McKay pendant les négociations avec West Ham...
Vous avez écrit que Willy McKay était sur la "liste noire" des agents de l'OM, ce n'est pas vrai. Le sujet, pour nous, c'est de prendre en compte le passé de l'OM. Je ne vais pas m'occuper des questions d'agents sur toute la planète du foot. En revanche, compte tenu du contexte spécifique à l'OM et de ce qu'il s'est passé autour des agents ici, alors oui, tant que des instructions sont en cours, je ne vais pas travailler avec des agents impliqués.
Donc, c'est circonscrit aux affaires en cours ?
Je n'ai pas eu accès aux dossiers judiciaires mais un audit sécurité a été mené et il concerne aussi les transferts douteux. Tous les agents impliqués dans ces procédures judiciaires ne sont pas les bienvenus. Après, mes principes sont nombreux sur ce sujet-là. C'est d'abord de travailler avec un agent homologué ; c'est de payer un montant de commission raisonnable ; et c'est de ne pas multiplier les intermédiaires, voire d'éviter de passer par des intermédiaires.
Andoni Zubizarreta, sur ce mercato, a parfois semblé servir de filtre. Vous êtes ainsi dispensé de toutes ces discussions de départ.
C'est exactement ça. J'ai reçu beaucoup d'appels d'agents et il y en a énormément que je n'ai pas pris, parce qu'il y a quelqu'un de très compétent, Andoni, qui peut amorcer les discussions. À un moment donné, je rentre en jeu, et on fonctionne très bien comme ça.
Zubizarreta fait-il une enquête de moralité quand il reçoit un appel d'agent ?
Il nous est arrivé et il nous arrivera de faire des enquêtes d'intégrité, de probité, avec des agents que l'on peut voir surgir et sur lesquels nous avons des interrogations. C'est surtout vrai pour les jeunes joueurs qui peuvent être entourés de gens à la moralité douteuse.

Le mercato est quand même très marqué Rudi Garcia : Payet est un joueur qu'il a eu, Sanson un joueur de Ligue 1, Sertic un joueur qui a les mêmes agents que lui, et Évra, un international français. Est-ce que Zubizarreta a trouvé sa place ?
Il a été la cheville ouvrière de ce mercato, de toutes les discussions, de tous les combats. C'est quelqu'un d'exceptionnel. Par exemple, sur le transfert de Patrice Évra, il a eu un rôle absolument décisif : sans Zubizarreta, il n'y a pas de Patrice Évra à l'OM. Il a passé beaucoup de temps avec le joueur.
Ce n'est pas un décideur, sur ce mercato ?
Je pense qu'on est parfaitement alignés tous les trois. On ne va pas dire que le fonctionnement est exemplaire parce que ce n'est que le début. Il y a un principe simple, c'est qu'on n'impose pas un joueur à un coach. Mais cela ne veut pas dire que c'est le coach qui décide seul. L'une des plus grandes réussites de ces cent jours, c'est ce trio et notre répartition des rôles.
L'arrivée de Grégory Sertic a fait parler. Il a les mêmes agents que Rudi Garcia et beaucoup s'interrogent sur ce transfert.
Si ce sont d'autres agents qui se plaignent... Ils sont impliqués dans des procédures judiciaires avec l'OM, les frères Boisseau (les agents de Rudi Garcia)?
Cela ressemble à un "cadeau".
( Très énervé.) Un cadeau ? Ce n'est certainement pas mon idée de faire des cadeaux aux agents, je ne suis pas là pour ça. Je trouve cela profondément injuste de se poser la question, c'est un jugement faux et illégitime.
Mais c'est un sujet que vous aviez vous-même évoqué avec les frères Boisseau quand Rudi Garcia a signé...
Oui, évidemment. Et dans le contrat de Rudi Garcia il y a une clause de conflit d'intérêt. Il y a beaucoup de clubs qui font ça ? Kevin Gameiro à l'OM cela serait bien pour l'OM ou un cadeau à ses agents?
LA FORMATION ET LES JEUNES - «Si l'argent est le premier moteur des jeunes...»
Avec les salaires que vous donnez maintenant aux recrues, est-ce que vous ne vous achetez pas des problèmes avec les jeunes ? Certains sont en train de négocier en ce moment (Lopez, Kamara)...
Ils doivent savoir que la formation est une priorité pour nous. Le staff pro y passe beaucoup de temps. Claude Fichaux est le référent. Andoni va voir des matches de CFA, de jeunes. On ne voyait pas ça avant à l'OM. Et on a pris cette décision d'impliquer davantage nos meilleurs jeunes au sein du groupe professionnel. Ce qu'ils doivent se dire, c'est : "Quelle chance j'ai à 17, 18, 19 ans d'évoluer avec Dimitri Payet, Patrice Évra, d'avoir du temps de jeu !" Pour ça, ils doivent continuer à afficher une attitude exemplaire, humble, celle d'un jeune talent qui apprend. S'ils nous donnent satisfaction, on leur proposera évidemment des revalorisations.
Comment se passent les négociations avec Maxime Lopez, un jeune devenu titulaire indiscutable ?
Elles avancent. Mais on ne prendra aucune décision irrationnelle et injustifiée, ni avec Maxime Lopez ni avec qui que ce soit. Si à un moment donné l'argent devient le premier moteur de motivation de ces jeunes, ils iront là où on leur propose plus d'argent. C'est le même problème que pour Kamara. Il faut trouver le bon équilibre. Ils sont impliqués dans le groupe professionnel, ils ont leur chance et évoluent avec des joueurs de classe mondiale. Et on leur propose des revalorisations. Si ça ne suffit pas, on en tirera les conséquences.
Sur la formation, les partenariats, quand y aura-t-il des annonces concrètes ?
On est en discussion très concrète avec des clubs, Air Bel, Burel, ASPTT, Luynes, Gemenos et d'autres. On veut vraiment regagner les coeurs des clubs des environs. On a défini une convention très complète. Maintenant, parlons des méthodes. Quand des clubs de Ligue 1 du sud de la France viennent dans la région de Marseille faire signer des contre-lettres à des familles d'enfants de dix ans pour les bloquer pendant plusieurs années alors que ces documents n'ont aucune valeur juridique, je trouve qu'il y a quelque chose qui ne va pas dans le monde du foot. Et ça, nous, on ne le fera pas. Ce ne sont pas des pratiques normales. Elles sont mêmes interdites.
Vous voulez bâtir un nouveau centre d'entraînement ultramoderne avec une clinique. Où en est ce dossier ?
C'est un dossier sur lequel je travaille beaucoup. La Commanderie est un écrin, mais c'est trois terrains et demi dont deux dédiés à l'équipe professionnelle. Ça n'est certainement pas un équipement moderne pour un club professionnel voulant jouer les premiers rôles à l'avenir. On peut garder la Commanderie couplée à un autre site, dans Marseille ou à l'extérieur. On peut aussi complètement déménager. Mon objectif est de boucler le projet avant l'été.
SES PREMIÈRES IMPRESSIONS - «Il y a beaucoup de mythes autour de l'OM»
Quatre mots, comme sur vos PowerPoint de présentation, pour définir vos cent premiers jours à l'OM ?
Ouverture. Rénovation. Intransigeance. Détermination.
Plus personnellement, comment avez-vous vécu ces cent jours ?
J'ai fait du sport de haut niveau et je me suis toujours bien préparé pour mes échéances sportives. Là aussi, j'étais bien préparé. Je n'ai pas eu de surprises. J'avais fait un tableau de marche, où j'avais prévu tout ce que je voulais faire semaine après semaine et les étapes à franchir. J'ai pratiquement tout tenu.
La réputation de ce club si difficile à gouverner, où l'environnement est si particulier, est donc un mythe ?
Il y a beaucoup de mythes autour de l'OM, oui. Il y a eu certainement quelques réalités douloureuses dans le passé. Mais les entrepreneurs que nous sommes veulent démontrer que c'est une entreprise, qu'on va essayer de gérer du mieux possible.

Quels souvenirs forts garderez-vous d e ces cent jours ?
La première visite dans les locaux des supporters. Le match à Bastia (2-1, le 21 décembre), une histoire d'hommes. Le transfert de Payet évidemment. Et je rajouterai mon arrivée le 17 octobre au club, quand je me suis adressé à tous les collaborateurs. J'ai vu toute l'attente dans leurs regards. Et je me suis dit que je ne pouvais pas les décevoir.
Comment va Frank McCourt ?
Il sera de retour à la fin du mois. Il est entre les États-Unis et la France. Il sera là au Classique (le 26 février) et même avant. Il est joignable à tout moment, il est dans le support permanent quand je le sollicite, l'OM a beaucoup dechance de l'avoir.»
La fiche de l'Olympique de Marseille
Modifié en dernier par coton le 02 Fév 2017, 11:34, modifié 1 fois.

Re: Working class Eyraud

02 Fév 2017, 11:32

C'est clair ! La commanderie :fier:

Re: Working class Eyraud

02 Fév 2017, 11:34

coton, merci. ;)

Re: Working class Eyraud

02 Fév 2017, 11:50

Boucler le projet du centre d'entraînement avant l'été ????

Soit c'est très avancé, soit on aura une solution au rabais, genre le cdf déménage et le centre RLD est consacré aux pros.

Le mieux étant un vrai centre moderne pour les pros, sur le modèle de Luchin avec intégration de la CFA et des moins de 19. Et le centre RLD pour les minots.

Ça irait dans le sens d'une récupération des équipes seniors du centre, l'association se contentant de la pré-formation.

Re: Working class Eyraud

02 Fév 2017, 12:04

Merci beaucoup coton.

Re: Working class Eyraud

02 Fév 2017, 12:12

Allez hop, l'OM déménage à Sainte Marthe.
C'est assez inattendu comme info en tout cas.

EDIT : Et merci Coton, oeuf corse. :D
Modifié en dernier par Lo Provençau le 02 Fév 2017, 12:24, modifié 1 fois.

Re: Working class Eyraud

02 Fév 2017, 12:12

Merci coton!

Re: Working class Eyraud

02 Fév 2017, 12:22

Merci coton au top comme d'habitude.

Bordel c'est un hyper pro JHE, on va bientôt mesurer l'envergure du bonhomme, quelle chance on a :shock:

Je vais changer mon avatar :aime:

Re: Working class Eyraud

02 Fév 2017, 13:08

Il parle d'une clinique donc l'idée ce serait carrément de faire un genre de Milanello like.

Ce qui me plait beaucoup, c'est qu'il a une vraie vision pour le club. Quand il parle du role du coach, de la technologie de l'arbitrage, on sent qu'il y réfléchit concrètement et que ça bosse sur ses sujets en interne, ce n'est pas que pour faire joli. Pareil, prioriser le centre d'entrainement ca fait partie de la structuration du club, comme au même titre que la formation, la billeterie ou le sponsoring. Le mercato c'est cool, mais ce boulot de structuration est le truc le plus important pour l'avenir de l'OM, et le fait qu'il en soit très très conscient est une bonne nouvelle.

Après, il faudra le juger sur les actes. Pour l'instant, ca se passe très bien. Même quand il fait de la langue de bois comme un Jean François Copé en mode "profondément choqué" pour esquiver sur Sertic, il est doué. :mrgreen:

Re: Working class Eyraud

02 Fév 2017, 13:10

Intéressante ITW notamment sur les jeunes et la commanderie.
Prochaine étape : Le stade vel ?

Re: Working class Eyraud

02 Fév 2017, 14:19

En tout cas, là, on a une vraie stratégie pour le club avec la volonté de s'inscrire dans le temps et créer un actif. Cela c'est vraiment intéressant.

Re: Working class Eyraud

02 Fév 2017, 14:30

Je rejoins les avis ci-dessus: ça fait plaisir d'avoir un pro à la tête de l'OM.

Certes, il a du charisme et il faudra le juger sur des actes, mais ça fait du bien de ne plus être ridiculisé par les propos d'un pubard dégénéré qui a atterri aux manettes sur un malentendu.

Si on devait faire le bilan de ces 100 premiers jours, personnellement, je vote "Satisfait"!

Re: Working class Eyraud

02 Fév 2017, 14:45

Pas encore lu (+ tard, thanks a lot coton), juste relevé ceci :

Information
JHE : Acheter Payet, ce n'est pas un message, sinon, ça fait cher le message. On pense que c'est le bon joueur pour le projet, et qu'il a envie de venir à Marseille, et qu'il peut apporter beaucoup.
...
...
L'É : Évra et Payet, c'est un message donc ?

#-o

Re: Working class Eyraud

02 Fév 2017, 15:25

Gros merci à toi coton :wink:

La communication d'Eyraud est quand même parfaite. Certes, on vient tout juste de passer les cent jours donc il ne faut jurer de rien, mais ce mec a tellement l'air de savoir où il veut aller, comment il veut y aller et ce qui va l'y amener. Ca change, c'est le moins que l'on puisse dire :aime:

Par contre, on a clairement un début de confirmation de la patte Garcia sur le mercato, quoi qu'on puisse en dire.

Re: Working class Eyraud

02 Fév 2017, 15:47

peezee, quand JHE dit c'est que c'est pas un message pour dire trois questions après que c'est un signal, c'est pas de la faute des interviewers hein :lol:

Re: Working class Eyraud

02 Fév 2017, 17:24

Je suis veritablement admiratif d'Eyraud. Un homme aussi brillant à la tête de l'OM, c'est une chance inouïe. Le comparatif avec ses predecesseurs est assez hardcore a ce titre. De la même façon qu'il risque de l'être pour son successeur.
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