Gunter Jacob, Dir Sportif de l'OM, une bonne histoire belge
28 Juil 2016, 16:16
Portrait de lui dans l'Equipe ce matin :
Information
Gunter Jacob, une bonne histoire belge
Joueur, entraîneur, avocat, agent, dirigeant… le nouveau directeur sportif de l’OM, âgé de quarante-huit ans, a eu plusieurs vies, mais a toujours fait preuve d’un savoir-faire certain de l’autre côté de la frontière. De notre envoyé spécial permanent.
Mathieu Grégoire MARSEILLE -«Je suis là si vous avez besoin de quoi que ce soit. » Le week-end dernier, à l’heure du repas, Gunter Jacob (48 ans) a salué l’ensemble du groupe marseillais, leur a répété sa proposition avant d’aller s’asseoir sagement à la table du staff. « Un avis sur ton niveau, un point de droit fiscal, une clause de ton contrat… tu peux parler de tout avec Gunter, il est toujours prêt à rendre service » , confie Daniel Camus, quarante-quatre ans. Ce dernier et Jacob ont fait les belles heures du RWD Molenbeek dans les années 1990, formant un redoutable duo de récupérateurs : « Côté droit, j’étais un peu le Didier Deschamps de l’équipe. Côté gauche, Gunter était notre Redondo, lent, mais avec un pied gauche remarquable, une vraie qualité de centres et une frappe de mule. » Une grande gueule écoutée sur le terrain, respectée en dehors. « On le surnommait l’intellectuel du football, il a vite parlé quatre langues, il a passé son diplôme d’avocat tout en faisant une honnête carrière. Il a montré la voie aux autres, j’ai obtenu un master de sciences économiques et sociales en suivant son exemple. »
Homme d’affaires basé à Bruxelles, Camus a lancé une chaîne de centres sportifs axés sur l’électrostimulation. Lui n’a pas eu besoin d’un coup de jus pour muscler son jeu, il avait l’aiguillon Jacob pour le piquer : « Il a été mon entraîneur à Malines en 1999-2000 (D 2). Un précurseur, qui accordait sa confiance aux jeunes, savait leur parler. À vingt-huit ans, j’étais presque le doyen. On jouait un football hyper offensif, nous étions troisièmes à la trêve avant de craquer physiquement. Certains dirigeants old school se plaignaient qu’on prenait trop de buts, mais Gunter avait ses convictions, et il n’a pas dévié de sa ligne. » Jacob a trente et un ans, il boit des Jupiler avec ses hommes au troquet après les matches, et il les défend contre vents et marées. « La direction a voulu remanier l’effectif à l’intersaison, il était en désaccord, il a démissionné », explique Camus.
Gunter connaît ses responsabilités et les prend”
Dirk Degraen, ancien directeur général de Genk.
« Gunter, je l’aime, c’est un dirigeant passionné, et il n’y en a pas beaucoup dans ce milieu », glisse un autre Camus, Fabien. Passé par l’OM de dix-sept à vingt ans, il a connu Jacob au KRC Genk : « Il est juste. Il m’arrivait de rater des matches et de râler en sortant du terrain. Gunter me disait la vérité sur ce qui n’allait pas, puis me remettait en confiance. Il ne tourne pas autour du pot. Il adorait s’installer discrètement en tribune pour regarder l’entraînement. Parfois, il partait de chez lui pendant quinze jours pour aller observer un joueur. »
Camus se souvient d’une première partie de saison 2013-2014, où Genk marche sur le Championnat et régale en Ligue Europa : « L’équipe était taillée pour le titre, l’entraîneur de l’époque l’a sabordée. Mais Gunter peut être fier de tout ce qu’il a accompli dans ce club, de ces joueurs dénichés avec patience qui ont permis de gonfler les finances. » Pour vérifier son flair, on a appelé son acolyte de Genk, Dirk Degraen. « Je suis arrivé en 2010, et j’ai proposé de le prendre un an après comme directeur technique. Ecoutez, j’ai fait pas mal de transferts dans ma vie, et je crois que c’est le meilleur », dit l’ancien directeur général. Les tâches sont bien réparties. Degraen gère la préparation des contrats et les négociations clubs-agents, Jacob veille à l’équilibre du vestiaire et garde un œil sur le recrutement : « Il débarquait dans mon bureau et me disait : ‘‘Dirk, il faut agir ’.’ Cela a donné Koulibaly (acheté à Metz, revendu à Naples), Milinkovic-Savic (vendu pour 10 M€ à la Lazio), Kara Mbodj (Anderlecht), les perles actuelles, le Nigérian Ndidi (déjà sollicité par la Bundesliga), le Jamaïquain Bailey. Il y a surtout eu ce défenseur supervisé à Eupen, en Deuxième Division. Gunter m’a dit : “ Il est libre, il a de vraies qualités, il faut le faire.’’ Je lui ai répondu : ‘‘ Mais tu es fou ou quoi ? ’’ Il a tant insisté qu’on a pris Christian Kabasele, devenu depuis international Espoirs belge et vendu à Watford pour 10 M€. »
En conflit avec la présidence, Degraen part en 2014, mais refuse que son ami démissionne avec lui. Jacob rendra son tablier un an plus tard. « Gunter connaît ses responsabilités et les prend. Il a des expressions ironiques, et certains ne les comprennent pas, sourit Degraen. Reste qu’à sa fête de départ, il y avait tous les joueurs et dirigeants, à une ou deux exceptions près. Ça vous pose un homme. »
Joueur, entraîneur, avocat, agent, dirigeant… le nouveau directeur sportif de l’OM, âgé de quarante-huit ans, a eu plusieurs vies, mais a toujours fait preuve d’un savoir-faire certain de l’autre côté de la frontière. De notre envoyé spécial permanent.
Mathieu Grégoire MARSEILLE -«Je suis là si vous avez besoin de quoi que ce soit. » Le week-end dernier, à l’heure du repas, Gunter Jacob (48 ans) a salué l’ensemble du groupe marseillais, leur a répété sa proposition avant d’aller s’asseoir sagement à la table du staff. « Un avis sur ton niveau, un point de droit fiscal, une clause de ton contrat… tu peux parler de tout avec Gunter, il est toujours prêt à rendre service » , confie Daniel Camus, quarante-quatre ans. Ce dernier et Jacob ont fait les belles heures du RWD Molenbeek dans les années 1990, formant un redoutable duo de récupérateurs : « Côté droit, j’étais un peu le Didier Deschamps de l’équipe. Côté gauche, Gunter était notre Redondo, lent, mais avec un pied gauche remarquable, une vraie qualité de centres et une frappe de mule. » Une grande gueule écoutée sur le terrain, respectée en dehors. « On le surnommait l’intellectuel du football, il a vite parlé quatre langues, il a passé son diplôme d’avocat tout en faisant une honnête carrière. Il a montré la voie aux autres, j’ai obtenu un master de sciences économiques et sociales en suivant son exemple. »
Homme d’affaires basé à Bruxelles, Camus a lancé une chaîne de centres sportifs axés sur l’électrostimulation. Lui n’a pas eu besoin d’un coup de jus pour muscler son jeu, il avait l’aiguillon Jacob pour le piquer : « Il a été mon entraîneur à Malines en 1999-2000 (D 2). Un précurseur, qui accordait sa confiance aux jeunes, savait leur parler. À vingt-huit ans, j’étais presque le doyen. On jouait un football hyper offensif, nous étions troisièmes à la trêve avant de craquer physiquement. Certains dirigeants old school se plaignaient qu’on prenait trop de buts, mais Gunter avait ses convictions, et il n’a pas dévié de sa ligne. » Jacob a trente et un ans, il boit des Jupiler avec ses hommes au troquet après les matches, et il les défend contre vents et marées. « La direction a voulu remanier l’effectif à l’intersaison, il était en désaccord, il a démissionné », explique Camus.
Gunter connaît ses responsabilités et les prend”
Dirk Degraen, ancien directeur général de Genk.
« Gunter, je l’aime, c’est un dirigeant passionné, et il n’y en a pas beaucoup dans ce milieu », glisse un autre Camus, Fabien. Passé par l’OM de dix-sept à vingt ans, il a connu Jacob au KRC Genk : « Il est juste. Il m’arrivait de rater des matches et de râler en sortant du terrain. Gunter me disait la vérité sur ce qui n’allait pas, puis me remettait en confiance. Il ne tourne pas autour du pot. Il adorait s’installer discrètement en tribune pour regarder l’entraînement. Parfois, il partait de chez lui pendant quinze jours pour aller observer un joueur. »
Camus se souvient d’une première partie de saison 2013-2014, où Genk marche sur le Championnat et régale en Ligue Europa : « L’équipe était taillée pour le titre, l’entraîneur de l’époque l’a sabordée. Mais Gunter peut être fier de tout ce qu’il a accompli dans ce club, de ces joueurs dénichés avec patience qui ont permis de gonfler les finances. » Pour vérifier son flair, on a appelé son acolyte de Genk, Dirk Degraen. « Je suis arrivé en 2010, et j’ai proposé de le prendre un an après comme directeur technique. Ecoutez, j’ai fait pas mal de transferts dans ma vie, et je crois que c’est le meilleur », dit l’ancien directeur général. Les tâches sont bien réparties. Degraen gère la préparation des contrats et les négociations clubs-agents, Jacob veille à l’équilibre du vestiaire et garde un œil sur le recrutement : « Il débarquait dans mon bureau et me disait : ‘‘Dirk, il faut agir ’.’ Cela a donné Koulibaly (acheté à Metz, revendu à Naples), Milinkovic-Savic (vendu pour 10 M€ à la Lazio), Kara Mbodj (Anderlecht), les perles actuelles, le Nigérian Ndidi (déjà sollicité par la Bundesliga), le Jamaïquain Bailey. Il y a surtout eu ce défenseur supervisé à Eupen, en Deuxième Division. Gunter m’a dit : “ Il est libre, il a de vraies qualités, il faut le faire.’’ Je lui ai répondu : ‘‘ Mais tu es fou ou quoi ? ’’ Il a tant insisté qu’on a pris Christian Kabasele, devenu depuis international Espoirs belge et vendu à Watford pour 10 M€. »
En conflit avec la présidence, Degraen part en 2014, mais refuse que son ami démissionne avec lui. Jacob rendra son tablier un an plus tard. « Gunter connaît ses responsabilités et les prend. Il a des expressions ironiques, et certains ne les comprennent pas, sourit Degraen. Reste qu’à sa fête de départ, il y avait tous les joueurs et dirigeants, à une ou deux exceptions près. Ça vous pose un homme. »
Re: Gunter Jacob, Dir Sportif de l'OM, une bonne histoire be
28 Juil 2016, 20:00
La direction a voulu remanier l'effectif et il a démissionné. On est pas dans la merde 
Merci pour l'article Dragan
Merci pour l'article Dragan
Re: Gunter Jacob, Dir Sportif de l'OM, une bonne histoire be
28 Juil 2016, 20:03
la suite avec l'itw de Wilmots :
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« Il a été habitué à faire avec des bouts de ficelle »
Marc Wilmots, l’ancien sélectionneur de la Belgique, a connu Gunter Jacob pendant son adolescence. Il porte un regard bienveillant sur le nouveau directeur sportif marseillais. « Qui est Gunter Jacob ? Celui qui m’a permis de m’intégrer à Saint-Trond. Je suis arrivé à seize ans, c’était à trente-cinq bornes de chez moi, mais je ne connaissais pas un mot de néerlandais. Gunter parlait aussi bien français que néerlandais et m’a sauvé de la solitude ! C’était un milieu gauche qui délivrait beaucoup de passes décisives, ce qui m’allait bien vu mon poste ! Malheureusement, il a eu bien des problèmes à la cheville, ça l’a empêché de faire une meilleure carrière.
D’agent à entraîneur, en passant par directeur sportif, il a touché à tout… En Belgique, ce n’est pas tabou d’être agent puis dirigeant, ou l’inverse. Tant qu’on est compétent… Et il l’est. Il est toujours sorti de l’ordinaire, il ne passe pas son temps à donner des leçons, il agit, met en œuvre ses idées. Sage, réfléchi, fiable, il a su combiner ses études et sa carrière. Il a fait du droit du sport au moment de l’arrêt Bosman, qui a changé la face du football européen et mondial. Il a épousé cette révolution, est allé très tôt vers le job d’agent, a travaillé ses réseaux, en Europe et en Afrique.
Comment jugez-vous son bilan à Genk ? Ce qui m’a vraiment plu : il est resté de marbre quand ce fut très chaud. Cela m’a étonné, mais aussi rappelé mon manager général à Schalke 04, Rudi Assauer, sifflé par le public pendant plusieurs saisons, mais toujours fidèle à son club et droit dans la tempête.
Peut-il réussir à l’OM, avec des moyens limités ? En Belgique, il a été habitué à faire avec des bouts de ficelle. Il va trouver des joueurs à des bons prix, il va les transférer plus cher, et c’est ce que recherche l’OM. Il a le profil idéal. Après, Marseille, c’est Genk avec trois fois plus de supporters au stade et cinq fois plus de pression. Il sait faire avec les joueurs, le staff médical, les agents, les médias. Il faut juste lui laisser un peu de temps. Soyez patients, son travail portera ses fruits. Et après Raymond Goethals, Michel De Wolf, Éric Gerets et Michy (Batshuayi), le club aura un nouveau porte-bonheur belge ! » M. Gr.
Marc Wilmots, l’ancien sélectionneur de la Belgique, a connu Gunter Jacob pendant son adolescence. Il porte un regard bienveillant sur le nouveau directeur sportif marseillais. « Qui est Gunter Jacob ? Celui qui m’a permis de m’intégrer à Saint-Trond. Je suis arrivé à seize ans, c’était à trente-cinq bornes de chez moi, mais je ne connaissais pas un mot de néerlandais. Gunter parlait aussi bien français que néerlandais et m’a sauvé de la solitude ! C’était un milieu gauche qui délivrait beaucoup de passes décisives, ce qui m’allait bien vu mon poste ! Malheureusement, il a eu bien des problèmes à la cheville, ça l’a empêché de faire une meilleure carrière.
D’agent à entraîneur, en passant par directeur sportif, il a touché à tout… En Belgique, ce n’est pas tabou d’être agent puis dirigeant, ou l’inverse. Tant qu’on est compétent… Et il l’est. Il est toujours sorti de l’ordinaire, il ne passe pas son temps à donner des leçons, il agit, met en œuvre ses idées. Sage, réfléchi, fiable, il a su combiner ses études et sa carrière. Il a fait du droit du sport au moment de l’arrêt Bosman, qui a changé la face du football européen et mondial. Il a épousé cette révolution, est allé très tôt vers le job d’agent, a travaillé ses réseaux, en Europe et en Afrique.
Comment jugez-vous son bilan à Genk ? Ce qui m’a vraiment plu : il est resté de marbre quand ce fut très chaud. Cela m’a étonné, mais aussi rappelé mon manager général à Schalke 04, Rudi Assauer, sifflé par le public pendant plusieurs saisons, mais toujours fidèle à son club et droit dans la tempête.
Peut-il réussir à l’OM, avec des moyens limités ? En Belgique, il a été habitué à faire avec des bouts de ficelle. Il va trouver des joueurs à des bons prix, il va les transférer plus cher, et c’est ce que recherche l’OM. Il a le profil idéal. Après, Marseille, c’est Genk avec trois fois plus de supporters au stade et cinq fois plus de pression. Il sait faire avec les joueurs, le staff médical, les agents, les médias. Il faut juste lui laisser un peu de temps. Soyez patients, son travail portera ses fruits. Et après Raymond Goethals, Michel De Wolf, Éric Gerets et Michy (Batshuayi), le club aura un nouveau porte-bonheur belge ! » M. Gr.
Re: Gunter Jacob, Dir Sportif de l'OM, une bonne histoire be
28 Juil 2016, 20:20
Ils n'en parlent pas comme un dénicheur de talents aux faibles moyens, mais comme un mec qui fait des petites plus values.
Hors on peut être vendu dans 6 mois. J'arrive pas à comprendre la stratégie.
Mais bon, bienvenu à lui pour sa courte mission.
Hors on peut être vendu dans 6 mois. J'arrive pas à comprendre la stratégie.
Mais bon, bienvenu à lui pour sa courte mission.
Re: Gunter Jacob, Dir Sportif de l'OM, une bonne histoire be
28 Juil 2016, 20:26
Il a vraiment démissionne suite à un désaccord ou bien il s'est fait dégager ?
Re: Gunter Jacob, Dir Sportif de l'OM, une bonne histoire be
28 Juil 2016, 20:27
Les histoires belges, ça vaut pas les histoires marseillaises. 
Re: Gunter Jacob, Dir Sportif de l'OM, une bonne histoire be
28 Juil 2016, 20:31
De toute façon, fallait bien quelqu'un pour tenir la baraque sportive en attendant donc son arrivée ne peut être que positive.
Après, si tu es vendu à un fond luxembourgeois, il fera pas forcément tâche dans le nouveau projet. Et si la vente traine, il y a quelqu'un à la barre. Par exemple pour aller trouver un coach.
Et pour lui, même pour 6 mois, c'est joli sur le CV et c'est l'expérience de sa vie.
Après, si tu es vendu à un fond luxembourgeois, il fera pas forcément tâche dans le nouveau projet. Et si la vente traine, il y a quelqu'un à la barre. Par exemple pour aller trouver un coach.
Et pour lui, même pour 6 mois, c'est joli sur le CV et c'est l'expérience de sa vie.
Re: Gunter Jacob, Dir Sportif de l'OM, une bonne histoire be
29 Juil 2016, 00:03
peezee a écrit:Les histoires belges, ça vaut pas les histoires marseillaises.
On peut aussi les mixer
Re: Gunter Jacob, Dir Sportif de l'OM, une bonne histoire be
29 Juil 2016, 15:30
Gunter Jacob ca ferait pas un peu nazi juif ca ? :adolf:
Re: Gunter Jacob, Dir Sportif de l'OM, une bonne histoire be
30 Juil 2016, 00:31
"Bonjour Monsieur Gunter"
Je suis désolé mais je pense à ce sketch depuis qu'il a signé
Sinon, je sais pas vous, mais moi je tique un peu sur la présence, pour ne pas dire l'omniprésence de Boli qui fait doublon avec Jacob. Ca sent la guerre larvée avec cette armée mexicaine Passi-Durand-Boli-Jacob. Ca ne me dit rien qui vaille.
Et c'est pas Giovani qui risque de mettre de l'ordre en cas de guerre larvée...
Je suis désolé mais je pense à ce sketch depuis qu'il a signé
Sinon, je sais pas vous, mais moi je tique un peu sur la présence, pour ne pas dire l'omniprésence de Boli qui fait doublon avec Jacob. Ca sent la guerre larvée avec cette armée mexicaine Passi-Durand-Boli-Jacob. Ca ne me dit rien qui vaille.
Et c'est pas Giovani qui risque de mettre de l'ordre en cas de guerre larvée...
Re: Gunter Jacob, Dir Sportif de l'OM, une bonne histoire be
30 Juil 2016, 02:31
Boli, on connait toujours pas son rôle, si ?
Re: Gunter Jacob, Dir Sportif de l'OM, une bonne histoire be
30 Juil 2016, 09:17
Savonner les planches et sucer le plus offrant
Re: Gunter Jacob, Dir Sportif de l'OM, une bonne histoire be
30 Juil 2016, 09:24
C'est le conseiller du Président 
...
Et quand on voit la gueule du dit "président....
...Et quand on voit la gueule du dit "président....
Re: Gunter Jacob, Dir Sportif de l'OM, une bonne histoire be
04 Aoû 2016, 21:42
Information
Amené à se présenter, Gunter Jacob a insisté sur ce que représentait l'OM à ses yeux. "Ma femme ne voulait pas que je replonge, explique celui qui a démissionné de son poste au KRC Genk en janvier 2015. Mais on ne peut pas résister quand l'OM fait appel à vous…" Le nouveau patron du sportif s'éclipsera ensuite pour mieux revenir en annonçant ostensiblement la signature de Florian Thauvin aux supporters.
Spoiler: montrer
Re: Gunter Jacob, Dir Sportif de l'OM, une bonne histoire be
04 Aoû 2016, 22:25
Il a déjà la rhétorique anigien/Labrunienne du mec qui se sacrifie pour occuper un poste qui est en fait la chance de sa vie.
Re: Gunter Jacob, Dir Sportif de l'OM, une bonne histoire be
05 Aoû 2016, 08:40
Surtout la réthorique d'un alcoolo ^^
Re: Gunter Jacob, Dir Sportif de l'OM, une bonne histoire be
06 Aoû 2016, 16:56
Il était bourré car il avait fait une grosse fête Jacob
Re: Gunter Jacob, Dir Sportif de l'OM, une bonne histoire be
06 Aoû 2016, 17:06
Ho bordaile...
Re: Gunter Jacob, Dir Sportif de l'OM, une bonne histoire be
06 Aoû 2016, 17:14
Emmental a écrit:Il était bourré car il avait fait une grosse fête Jacob
J'ai cherché mille moyens de la placer, il arrive et la sort easy
Re: Gunter Jacob, Dir Sportif de l'OM, une bonne histoire be
07 Aoû 2016, 09:37
Le mec en une semaine me dégoute déjà autant que Anigo
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